Celui Qui Est En Vous

Date: 63-1110E | La durée est de: 2 hours and 4 minutes | La traduction: VGR
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1 Merci, Frère Neville. Que le Seigneur te bénisse.
Restons debout un instant, pendant que nous prions. Inclinons maintenant la tête. Tous ceux d’entre vous qui aimeraient qu’on ait une pensée pour eux dans cette prière, levez la main et dites : “Ô Dieu, me voici.”

2 Dieu très saint et plein de grâce, nous amenons devant Toi ces gens, avec leurs requêtes. Ils ont demandé qu’on ait une pensée pour eux. Et, Seigneur, ma main aussi est levée. Je Te prie d’être miséricordieux envers nous. Tu connais nos besoins, et nous prions comme Tu nous as enseigné à prier : “Que Ton Règne vienne. Que Ta volonté soit faite sur la terre comme au Ciel.” Père, ce soir, nous réclamons Ta miséricorde et la liberté de l’Esprit, pour que nous puissions apporter aux gens la Vérité de l’Évangile et ce que nous croyons être le Message de cette heure, destiné à Ton Église. Seigneur, notre prière, c’est que nous soyons une partie de cette Église qui doit être appelée à sortir, dans les derniers jours! Père, si nous ne sommes pas cette partie-là, alors révèle-nous ce que nous devons faire pour être cette partie-là. Et donne-nous la grâce, la puissance, en cette heure éprouvante qui est sur la terre pour éprouver tous ceux qui y habitent. Donne-nous de Ton Saint-Esprit, afin qu’Il nous conduise et nous guide, pour que nous puissions enfin venir à Toi en paix, à la fin, entrer dans cette Vie Éternelle que tous les croyants attendent depuis le commencement du temps. Aide-nous, Seigneur. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
Vous pouvez vous asseoir.

3 Je suis vraiment reconnaissant du privilège d’être ici ce soir–ce soir, et de la grâce de Dieu qui nous a été accordée en Jésus.

4 Et là, au sujet du–du Message de ce matin, maintenant, je voudrais que tout le monde comprenne parfaitement. Bon, je mets ma confiance en Dieu que ce n’est pas encore cette heure-là. Voyez? Mais le Message est la vérité. Le Message est vrai. Si cette heure, ce n’est pas maintenant, elle va venir, un jour ou l’autre, elle va venir. Et ça y ressemble tellement, à cette heure-là, que je me suis senti comme Paul, autrefois, qui a déclaré : “Sans en rien cacher, je vous ai annoncé tout le Conseil”, vous voyez, tout ce qui doit se faire.

5 Il y a quelque chose que j’ai fait ce matin, une chose que je regrette d’avoir dite. Je–j’ai mentionné le nom d’un frère qui, je pense, est dans l’erreur. Je n’aurais pas dû faire ça. Je ne mentionne jamais le nom des personnes; alors, au cas où il tomberait sur cette bande. J’aimerais le voir et lui parler, parce que je pense que ce frère, c’est un grand homme, un brave homme, qui a prêché ici même derrière cette chaire, Frère David du Plessis. Et ce n’était pas mon intention de mentionner son nom. J’étais inquiet au sujet du Message, et tout, je me posais la question à savoir si nous en étions à cette heure-là, et j’ai mentionné le nom de ce frère. Ce n’est pas mon habitude. Je regrette de l’avoir fait. J’aime Frère David du Plessis. Il est notre frère, et je–je trouve qu’un homme intelligent comme lui devrait être plus instruit dans l’Écriture.
Je vais vous dire ce qu’il y a. C’est, l’entretien que David et moi avons eu...

6 Il a déjà parlé, dans mes réunions. Il a prêché ici, derrière cette chaire, ou, à l’ancienne église; ici même, derrière cette chaire. Et son frère, Justus, a été mon interprète en Afrique du Sud, où je dois retourner. Ils sortent d’une bonne famille, d’un foyer pentecôtiste, c’est quelqu’un de très bien. David a été, je crois, président des Assemblées Pentecôtistes Mondiales, à un certain moment, et de la Conférence Pentecôtiste Mondiale; il a été l’un des présidents. Par la suite, il est venu aux États-Unis et il s’est établi au Texas, avec Frère Gordon Lindsay, ensuite il s’est mis à prêcher un peu partout.

7 Mais ce qu’il y a eu, l’erreur, je pense, que notre précieux frère a commise, – ce qui peut m’arriver, à moi, ou à n’importe qui d’autre, – c’est qu’il s’est mis à fréquenter les gens de la haute. Il parlait constamment de l’Université de Princeton et des endroits où on l’invitait, il pensait qu’il faisait ce qui était juste, alors qu’en fait, il était en train d’alimenter la machine; vous voyez, et avec quelle allégresse!
Et ce n’est pas tout, il y aussi les Hommes d’Affaires du Plein Évangile, ceux qui parrainent mes réunions dans le monde entier–entier. Voyez? Je–j’aime ces hommes, vous voyez, mais je ne suis vraiment pas d’accord avec eux, quant aux principes qu’ils–qu’ils–qu’ils... Ils ont–ils ont abandonné les principes sur lesquels ils s’étaient fondés, et maintenant ils deviennent comme n’importe quelle autre organisation, comme n’importe quoi. Voyez? Ce qu’il y a, c’est qu’ils ne cherchent pas à rester pentecôtistes, ils cherchent plutôt à mélanger la pentecôte avec les autres mouvements.

8 Et il me semble que Frère du Plessis, un homme bien, un homme formidable comme lui, devrait connaître assez l’Écriture pour savoir qu’au moment où il voit la vierge endormie essayer d’acheter de l’Huile, il est trop tard. Voyez? Souvenez-vous, quand elle est venue acheter de l’Huile, il n’y avait plus d’Huile. Ça, c’est l’Écriture. Et elle a dit : “Donnez-nous de votre Huile”, en s’adressant à l’Église, mais elle n’En a pas reçu. Elle aura beau sauter en l’air, parler en langues, et quoi encore, mais selon la Parole même de Dieu, elle n’En a pas reçu. Et elle s’est retrouvée dans les ténèbres du dehors; et il y a eu des pleurs, des gémissements et des grincements de dents, alors que l’Épouse élue était déjà entrée. La–la vierge sage avait de l’Huile dans sa lampe.

9 Il y a un autre homme que je–je connais, là, quelque chose qui s’est passé juste l’autre jour. Ce qu’il y a, c’est que ces braves gens, vous voyez, dès qu’ils se mettent à avoir un peu, vous savez ce que je veux dire, un peu d’influence parmi les gens. Tout de suite, ils pensent que c’est l’action de Dieu, ça. Alors que souvent, c’est l’action du diable. Voyez?

10 Jésus a eu l’occasion de se présenter devant Hérode, Il a eu l’occasion de se présenter devant bien des gens; ce qu’ils voulaient de Lui, c’est qu’Il se donne en spectacle. Voyez?
C’est ce qu’ils cherchent à faire de la pentecôte, rien de plus que ça. La pentecôte était sortie de ces choses, pour être différente. “Et, comme un cochon à son bourbier et un chien à ce qu’il a vomi, elle y est retournée tout droit”, et elle est maintenant entrée dans le Conseil oecuménique. Voyez? C’est malheureux. C’est honteux.

11 Que Dieu me garde petit et humble, pour qu’Il puisse révéler Sa Vérité. Voyez? Jamais je ne voudrais faire ça; pas de lumières vives, pas d’éclat ni de tape-à-l'oeil du monde. Que je prenne le chemin, avec le petit nombre des méprisés qui appartiennent au Seigneur. Que je m’en tienne à la Parole.

12 Maintenant, au sujet du Conseil oecuménique, qui est en train de s’unir avec le Vatican. Croyez-vous qu’ils pourraient s’unir sur la base de la Parole? Peut-être sur la base de l’organisation, mais pas sur la base de la Parole, ça ils ne le peuvent pas. Voyez? C’est vrai. Alors, il n’y a aucun compromis possible. Voyez? L’organisation, elles sont toutes pareilles, pareilles en tout; elles sont en parfaite harmonie : mère et fille. Mais quand il s’agit de cette Parole, je suis aussi fermement opposé aux méthodistes, aux baptistes, aux presbytériens que je suis opposé au catholicisme, parce que c’est la mère et la fille, selon cette Parole. C’est à cette Parole que je me tiens, vous voyez, à Ceci, chaque Parole qu’Elle contient.

13 Donc, ce précieux frère, lui et sa femme sont de mes amis proches. Beaucoup d’entre vous ont vu le magazine – or, comment ce précieux frère envoyé de Dieu a-t-il bien pu laisser sa femme... Quelqu’un lui avait dit qu’elle ressemblait à Jacqueline Kennedy, alors elle s’est fait faire une coupe tout à rebrousse-poil, une de ces énormes coiffures, et tout. Qu’est-ce qu’il y a? C’est qu’elle fréquente continuellement cette sorte de gens là, et finalement...
Si un homme bon prend une femme mauvaise, soit qu’elle devienne une femme bonne, soit que... Je veux dire, si un homme bon prend une femme mauvaise, soit qu’elle devienne une femme bonne, soit qu’il devienne un homme mauvais. Montre-moi qui tu côtoies, je te dirai qui tu es. Voyez? Qui se ressemble s’assemble. Tenez-vous éloignés de ce qui brille!

14 L’autre jour, je suis descendu dans une mine, tout au sommet des montagnes, à la frontière entre l’Arizona et–et le Mexique. Frère Sothmann, qui est ici, et moi, nous y étions ensemble. Je suis entré là-dedans, et j’ai délogé des morceaux de... Ça ressemble tout à fait à de l’or. Mais le seul indice qui permet de reconnaître que ce n’est pas de l’or, c’est que ça brille plus que l’or. Ça brille; et l’or, ça ne brille pas, ça rayonne. Voyez? Et le nom qu’ils donnent à ça, c’est “l’or du sot”. Ça ne vaut même pas autant que la pierre dans laquelle ça se trouve. Ça s’appelle de la pyrite. Je pense que, dans les–les... Les hommes de science prétendent que l’eau, et les acides qui ont suinté, toutes ces choses ne se sont pas infiltrées assez pour que ça durcisse et que ça puisse alors devenir de l’or. Alors, ça–ça brille plus, mais ça ne contient pas l’élément chimique qu’il faut.
Et c’est comme ça pour beaucoup de ce semblant de Christianisme, vous voyez : ça brille, comme Hollywood. Mais l’Église, Elle rayonne de par l’Évangile.

15 Maintenant, il y a une soeur, là, Billy vient de me montrer ça, qui a eu la gentillesse d’aller chercher le magazine Life, la photo, de la faire agrandir, celle des sept Anges, et de me la faire envoyer. C’est cette photo-ci. Et maintenant, si vous remarquez ici, au moment où ça s’en est allé, où c’est remonté, – après que les Anges eurent apporté Leur Message, – c’était en forme de pyramide; exactement ce que je vous avais annoncé, trois mois avant que ça arrive, comment ce serait. Pas vrai? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]
Et l’Ange qui se distinguait des autres, avec Ses ailes de côté, vers l’arrière, déployées vers l’arrière, vous vous souvenez de Lui. J’avais dit “qu’Il avait la tête... en venant à cette vitesse”. Vous en voyez même les ailes, là, n’est-ce pas? Et voilà l’Ange, là, exactement tel que ç’avait été annoncé.

16 Or, il n’y a que Dieu qui peut faire ça. Et on a une autre photographie ici, d’une femme qui a déclaré... Souvent, les gens disent...

17 Dans le–le discernement, je dis : “Cette personne est recouverte de l’ombre de la mort, d’une ombre noire.”

18 Alors, les gens disent : “Eh bien, c’est lui qui dit ça.” Vous voyez, ça, ce sont les gens qui ne peuvent pas aller jusqu’au bout, qui ne peuvent pas voir ce qu’il en est. Ils peuvent pousser des cris avec vous, ils peuvent–ils peuvent parler avec vous, mais quand il s’agit de vraiment croire de tout leur être, corps et âme, ça, ils ne le peuvent pas.
Donc, mais, vous voyez, si Dieu est là-dedans, en train de déclarer la Vérité, nous sommes au dernier moment de l’histoire. Nous sommes à la fin de l’histoire du monde. Elle se termine. Un jour, il n’y aura plus de temps. Dieu confirme tout, tant sur le plan spirituel que sur le plan scientifique.

19 Quand je disais, dans mes jeunes années : “Une Colonne de Lumière, ça ressemblait à une étoile.”

20 Combien s’en souviennent, autrefois on appelait Cela une “Étoile”? Quand C’est apparu ici, sur la rivière, qu’Il a dit : “Comme Jean-Baptiste, envoyé...”

21 Finalement, donc, C’est ce qui est descendu, et on En a pris la photo. Nous en avions une ici, quelque part. Oui, on me dit qu’elle est là-bas, dans le coin; je ne la vois pas d’ici. La preuve scientifique que c’est la Vérité.

22 Bon, et pour ce qui est de dire que les gens étaient “recouverts d’une ombre”. Bon, ici il y avait une femme, en voici la photo. Voilà, celle-là est normale, semblable à n’importe quelle autre photo; comme celle qu’on aurait prise, avec un appareil. J’avais dit... Une personne se posait des questions à ce sujet. J’avais dit à cette femme : “Vous êtes recouverte de l’ombre de la mort, vous avez un cancer. Il y a une ombre noire.” Elle s’est tournée et elle a pris la photo. Cette femme est venue en témoigner, elle est peut-être même ici, ce soir, c’est bien possible, je ne sais pas. Voyez?
Maintenant, voici la femme, recouverte d’une espèce de capuchon noir. Très bien, alors, voilà la preuve scientifique que c’est la vérité. Et aussitôt après que la femme a été déclarée “guérie”, on a pris cette photo, et ce n’était plus là. Alors, qu’est-ce qui avait frappé l’objectif? Et qu’est-ce qui a disparu, qui ne–qui n’était plus devant l’objectif, quand il a été déclaré qu’elle était guérie? Voyez?
Or, je me suis tenu ici, je vous ai dit que les Anges allaient venir.

23 Frère Fred est un de ceux... J’ai vu Frère Fred, il y a quelques instants. Je pensais qu’il était juste ici, mais je l’ai perdu de vue quelque part. Oh, de ce côté-ci, c’est ça. Il était à–à moins de deux milles, d’un mille et demi ou deux milles [de trois kilomètres, de deux kilomètres et demi ou trois kilomètres] de l’endroit où j’étais; il a entendu l’explosion, il a senti la secousse, et tout, quand il y a eu la détonation. Pas vrai, Frère Fred?
Et les Anges étaient là, et Ils sont repartis avec ce Message. Voici, c’est même en forme de pyramide, comme je vous l’avais montré, comment ce serait, ici, je vous avais dit comment Ils seraient placés, avant que je parte.
On en a pris maintes et maintes photos, partout dans le pays, jusqu’au Mexique, et c’était à une altitude de trente milles [quarante-huit kilomètres] et mesurait vingt-sept milles [quarante-trois kilomètres] de large. À une altitude telle qu’il ne peut pas même y avoir d’humidité ni rien... L’humidité ne va pas plus haut qu’environ huit ou neuf milles [treize ou quatorze kilomètres]. Ils se trouvaient donc dans un endroit où il n’y avait rien pour produire de l’humidité. Voyez? Et ça, c’était, je pense que c’était soit à une altitude de vingt-sept milles [quarante-trois kilomètres] et ça mesurait trente milles [quarante-huit kilomètres] de large, ou bien c’était–c’était à vingt-... [à quaran-...], ou bien à une altitude de trente milles [quarante-huit kilomètres] et ça mesurait vingt-sept milles [quarante-trois kilomètres] de large, l’un ou l’autre. Le magazine Life en a parlé, ou Look. C’était lequel, Look ou Life? Life, le magazine Life. Je pense que c’était dans le numéro du dix-sept mai. C’est ça.

24 Maintenant, voilà la preuve scientifique que c’est la Vérité, ainsi donc, on–on n’a pas à s’inquiéter de savoir si c’est la Vérité : tant sur le plan scientifique que sur le plan spirituel, ce qui avait été annoncé s’est accompli. Alors, le Message des Sept Sceaux menés à terme, c’est le Message de la Bible entière. Les Sept Sceaux, qui mènent à terme le Nouveau Testament, ont scellé celui-ci. C’est vrai. Maintenant, nous savons qu’il en est bien ainsi, par la parole prophétique, par la science, et par la Parole. Trois en ont rendu témoignage, que c’est la Vérité.

25 Donc, nous savons que nous sommes au temps de la fin. Nous y sommes. Je ne sais pas dans combien de temps, je–je... ça, Il ne nous le dira jamais, parce que Sa Venue sera “comme un voleur dans la nuit”. Mes amis, mon frère, ma soeur, quoi qu’il en soit, tenons-nous prêts. Sanctifions-nous. Voyez? En effet, le monde, lui, va continuer comme avant. Ils ne sauront même pas que c’est arrivé. Après que les portes de la miséricorde seront fermées, les prédicateurs vont prêcher le salut, ils vont–vont amener les gens à se repentir, ça va continuer comme avant, comme ça s’est toujours passé. C’est ce qui s’est passé dans les autres âges, et c’est ce qui s’est passé dans... C’est ce qui se passera dans cet âge.
Et l’Enlèvement sera tellement soudain et tellement rapide que le monde ne s’en rendra même pas compte, qu’ils sont partis. C’est vrai. Ils n’en sauront rien. Il vient et s’éclipse avec Elle. Ce sera du passé, ils n’en sauront rien.
Alors, soyez en prière. Priez pour moi. Je prierai pour vous. Nous ne savons pas quand cette heure arrivera, mais nous croyons que ce sera bientôt. Tenez-vous éloignés de ce qui brille. Tenez-vous-en à l’Évangile, vous voyez, tenez-vous-en strictement à ça, maintenant, et priez.

26 Maintenant, Billy m’a écrit une lettre ici, ou plutôt une note, il me dit que quelqu’un aimerait consacrer son bébé. Si c’est bien ça, (c’est ça?) levez la main, si quelqu’un... Oui, deux bébés. Très bien, emmenez-les tout de suite à l’avant. Et Frère Neville... Je me demande si notre soeur veut bien venir au piano un instant, pour la consécration des bébés. Nous ne voulons en laisser aucun de côté.

27 Maintenant, souvenez-vous, à cette heure-ci, demain soir, si le Seigneur le veut, je serai à New York. Nous allons là-bas sur le champ de bataille, pour “combattre le bon combat de la Foi”.

28 Alors, juste ici, soeur, s’il vous plaît. Juste ici, à l’avant, et je vais les prendre. Oui, madame. Merci. Et maintenant, nous...

29 Combien vont prier pour moi? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Maintenant, si Dieu le veut, – et j’espère qu’Il le veut, – dimanche de la semaine prochaine... Si Frère Neville est d’accord. [Frère Neville dit : “C’est très bien.”] Dimanche de la semaine prochaine, je repasserai ici avant d’aller en Louisiane, je m’arrêterai pour une réunion ici à l’église. [“Amen.”]

30 Je tiens à vous remercier de vos gentillesses. La dame qui m’a envoyé ces bonbons, là-bas, je–j’apprécie. Je ne sais pas qui est cette dame. C’est quelqu’un qui m’a envoyé une boîte de bonbons et des petits gâteaux saupoudrés de cannelle. C’était vraiment, vraiment délicieux. J’en ai encore l’estomac bien garni; je–je vous remercie. Vous pensez que ces petites choses-là n’ont pas beaucoup d’importance? Bien au contraire; ce sont de petites marques d’affection. Et plusieurs personnes remettent des petits cadeaux gages d’amour. Ils montrent ça à Billy Paul, ce qu’ils donnent, et tout. Ils me–me parviennent, vous voyez. Vous ne savez pas combien j’apprécie! Que Dieu vous bénisse. Je m’en souviens, vous voyez, à combien plus forte raison Lui s’en souvient-Il. “Toutes les fois que vous avez fait ces choses au plus petit de Mes enfants, c’est à Moi que vous les avez faites.” Voyez? Or, on fera miséricorde à qui aura fait miséricorde.

31 Maintenant, nous avons ici de gentils petits enfants. Pourriez-vous... J’aimerais que vous restiez là, pour qu’on chante Amenez-les, après. Très bien, vous, les frères, avancez-vous ici un instant.
Oh, voilà la première, une paire de petits yeux bruns qui me regardent, avec un beau grand sourire. Une petite fille, quel est son... [La mère dit : “Sharon Rose. Sharon Rose.”–N.D.É.] Sharon Rose, c’est un grand nom, ça, pour moi. [“Frère Branham, nous lui avons donné ce nom en souvenir de la vôtre.”] En souvenir de ma petite fille qui est décédée. [Nous lui avons donné ce nom avant même qu’elle naisse, Frère Branham.”] Vous lui avez donné ce nom avant qu’elle naisse. Si c’était une petite fille, vous alliez l’appeler Sharon Rose. [“Nous étions sûrs que ce serait une fille. C’était assuré.”] C’était assuré. [“Sharon Rose Goodman.”]
Vous savez quoi? Je ne sais pas si vous le savez ou non; si ma femme était ici, probablement qu’elle en perdrait presque connaissance. C’est une robe du même genre que celle que ma petite fille portait à sa consécration, la petite Sharon Rose. Celle-ci sera peut-être... Puisse celle-ci vivre; alors que Dieu a repris la mienne.
Quel est votre nom de famille? [La mère dit : “Goodman.”–N.D.É] Mme et... Êtes-vous d’ici, de cette ville? [“De Chicago.”] De Chicago. Frère et Soeur Goodman, que Dieu vous bénisse.

31a Vous savez, ma petite Sharon lui ressemblait. Je ne pense pas qu’il y ait ici quelqu’un qui se souvienne d’elle, de comment elle était. Elle avait des petits yeux bruns comme ça, comme sa mère, une petite fille très mignonne, avec les cheveux foncés. À peu près...
Quel âge a le bébé? [La mère dit : “Cinq mois.”–N.D.É.] Cinq mois. Elle, elle avait huit mois quand Dieu l’a rappelée à Lui. Je l’ai revue, peu de temps après. Vous connaissez l’histoire. [“Nous l’avons à la maison, sur bande.”] Vous l’avez à la maison, sur bande.
Sharon Rose, ça vient de la Parole. J’ai inversé “la Rose de Saron”. Il avait besoin d’une petite fille comme elle sur Son autel, alors Il l’a reprise. Voyez? Et je serai de nouveau avec elle. Puisse votre petite Sharon vivre assez longtemps pour accomplir la vie qu’elle aurait vécue ici sur terre. Et puisse-t-elle être avec vous dans la Gloire, de même que je crois que ma petite Sharon sera avec moi.

31b Bonjour! Voyez? Vous parlez d’une petite fille affectueuse, regardez-moi ça! Elle est tout sourire.
Inclinons la tête.
Dieu bien-aimé, alors que je tiens ce petit trésor, une petite Sharon Rose. Tu sais, Seigneur, à quoi je pense, dans mon coeur, c’est pourquoi je n’ai pas besoin de l’exprimer. Béni soit le Seigneur Dieu, qui donne ces petits bijoux à nos coeurs! Bénis cette famille Goodman. Puissent les parents être honorés, et ils le sont, d’avoir un tel bijou dans leur foyer. Puisse-t-elle demeurer dans leur foyer, Seigneur. Et s’il y a un lendemain, fais d’elle une femme honorable pour demain.
Et maintenant, Seigneur Dieu, en obéissance au mandat que Tu nous as donné par Ton exemple – Tu as pris les petits enfants dans Tes bras, Tu les as bénis, et Tu as dit : “Laissez venir à Moi les petits enfants.” Et ils m’amènent leur bébé, à moi qui suis Ton serviteur, car Tu as déclaré que Tes serviteurs devaient poursuivre Ton oeuvre. Et il y a ici Tes serviteurs : Frère Neville, Frère Capps et moi. Et maintenant, Seigneur Dieu, des bras du père et de la mère, nous Te donnons la petite Sharon Rose Goodman, que nous consacrons pour une vie de service, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Que Dieu vous bénisse! [Soeur Goodman dit : “Frère Branham, nous en avons encore cinq à la maison, deux filles et deux garçons.”–N.D.É.] Cinq enfants à part elle! [“Oui.”] Comme c’est charmant! Que Dieu vous bénisse, Frère Goodman. Que Dieu vous bénisse, Soeur Goodman. Et que le Seigneur bénisse la petite Sharon!

31c Bonjour, frère. Voyons un peu, je–je... Arnett. [Le père dit : “Arnett.”–N.D.É.] Arnett. Arnett, c’est ça. [“Nous lui avons donné–avons donné votre nom.”] Vraiment? William, William Arnett? [“Jacques William Arnett.”] Jacques William Arnett. C’est un gentil garçon. Vous savez, nous avons déjà des choses en commun, lui et moi; le nom, et puis nous séparons nos cheveux de la même manière, vous voyez. C’est un gentil garçon : Jimmy. Je pense que c’est comme ça que vous l’appelez. Jacques? [“Jacques.”] Alors, c’est Jacques, très bien.
Je me demande si je vais pouvoir le prendre dans mes bras? [“Peut-être qu’il vous laissera le faire.”–N.D.É.] Je ne sais pas. Eh bien, Jimmy, nous sommes de vrais copains. Tu le sais, n’est-ce pas? Très bien.
Inclinons la tête.
Seigneur Dieu, Tu as béni ce foyer, la famille Arnett, avec ce gentil petit garçon. Et je Te prie de bénir son père, sa mère, ses bien-aimés. Ils sont Chrétiens. Quel dur combat son père a livré pour se débarrasser de la cigarette et de différentes choses, de... Un jour, c’est venu, par un “AINSI DIT LE SEIGNEUR”. Il a été comme la femme qui a persisté, déterminée à arriver là-bas. Lui, son commerce allait mal, et tout semblait aller mal, mais il a quand même pris une partie de son argent, et il a attendu, d’un entretien à l’autre, jusqu’à ce qu’un matin, cela arrive. Il croyait que cela arriverait.
Maintenant il amène ce petit garçon, Tu l’as béni en le lui donnant, ô Dieu, c’est le fruit de leur union. Je bénis ce petit Jacques William Arnett, au Nom de Jésus-Christ. Donne-lui une longue vie. Fais de lui un homme digne de Ton Évangile pour demain, s’il y a un lendemain. Et, finalement, dans le Royaume qui doit venir, puissions-nous y être ensemble. Je... En tant que Tes serviteurs, nous lui imposons les mains et le consacrons à Jésus-Christ, pour cette vie de service. Amen.

31d Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, frère. Vous en avez encore deux? Ce sont les mêmes. Très bien.
Je crois que tu pourrais presque me soulever, au lieu que ce soit moi qui te soulève. Celui-ci, c’est... [Frère Arnett dit : “C’est–c’est Al.”–N.D.É.] Alfred, et, Al et Marthe. Faisons voir à l’assemblée, j’aime qu’ils voient les enfants. Je trouve que, quand ils sont petits et jeunes, ils sont mignons.
Maintenant imposons-leur les mains.
De même, Dieu Tout-Puissant, nous, Tes serviteurs, nous imposons les mains à ces enfants, le petit frère et la petite soeur du petit garçon qui vient d’être consacré. Nous leur imposons les mains pour leur–leur consécration, des bras du père et de la mère, nous les plaçons dans les bras de Jésus-Christ, pour une vie de service, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Que Dieu vous bénisse, Al et Marthe. Soeur, je suis très content de vous revoir. Que le Seigneur soit avec vous.

31e Ce petit, oh, c’est un bon garçon. Avant je pouvais séparer mes cheveux comme ça. Voyez? Comment s’appelle-t-il? [Le père dit : “Terrell Keith Walker.”–N.D.É.] Ke-... [“Terrell Keith Walker.”] Herrell Keith Walker. Quel gentil garçon!
Je me demande, je ne sais vraiment pas, vous voyez, il me regarde comme s’il allait peut-être accepter. Je me demande si je vais pouvoir le prendre dans mes bras? [Le bébé dit quelque chose.–N.D.É.] Vraiment, Keith? Oh, c’est un gentil garçon. Certainement. C’est un amour de petit garçon, n’est-ce pas? Herrell. [La mère dit : “Terrell.”] Herrell, Terrell Keith Walker.
Dieu Tout-Puissant, des bras des parents nous le remettons dans les bras de Jésus-Christ, le petit Terrell Keith Walker, nous lui imposons les mains pour le consacrer au Dieu Tout-Puissant. En effet, le père et la mère désirent que ce bébé soit élevé dans la crainte de Dieu. S’il y a un lendemain, fais de lui un serviteur digne de cette consécration, car nous, Tes serviteurs, nous imposons les mains à ce bébé et le consacrons au Seigneur Jésus-Christ. Amen.
Dieu vous bénisse, Frère Walker. Est-ce Soeur Walker? [Soeur Walker dit : “Oui, monsieur.”–N.D.É.] C’est très bien. Vous avez un gentil garçon, et que Dieu vous bénisse.

31f [Frère Gramby parle à Frère Branham.–N.D.É.] Très bien, monsieur. [Frère Gramby continue à parler.] Oui. [“Et vous avez prié pour elle quand elle est venue au monde. À sa naissance, elle avait une nodosité à la mâchoire. Vous avez prié pour elle, et ça a disparu instantanément.”] Cette petite fille, Frère Grimsley, notre... [Le frère dit : “Gramby.”] Gramby. Je–je mélange les noms. Je connais un Frère Grimsley, et j’ai toujours dans l’idée... Frère Gramby amène cette petite fille. Et à sa naissance, elle avait une grosse nodosité au visage. J’ai prié pour elle, et la nodosité a disparu. Et maintenant ils veulent prier, parce que... Est-ce que les parents sont Chrétiens? [“Ils ne sont pas Chrétiens.”] Ils ne sont pas Chrétiens. Et ils craignent qu’un mauvais esprit soit en train de prendre possession de cette enfant, et ils veulent qu’il s’en aille.
Prions.
Seigneur Jésus, sur cette jeune enfant, penchée sur l’autel... Tu as manifesté Ta grâce envers elle, en faisant disparaître une nodosité tumorale de sa bouche. Maintenant un mauvais esprit cherche à prendre la vie de cette enfant. Nul doute que Tu pourrais utiliser cette petite fille, et que Tu projettes de le faire, mais Satan essaie de contrecarrer Ton plan. C’est pourquoi nous ordonnons à Satan, au Nom de Jésus-Christ, d’ôter ses–ses pattes, et de s’éloigner de cette enfant; et nous la remettons au Seigneur Jésus-Christ, pour la gloire de Dieu. Amen.
Frère Gramby, croyez. L’enfant est trop jeune, c’est à peine si elle peut avoir la foi, mais la chose se fera.

32 Je L’aime. Pas vous? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Il est merveilleux.
Maintenant, vous tous, j’avais promis que ce soir, je serais sorti à vingt heures trente au plus tard, alors ça me donne une demi-heure. Bon, là, je ne sais pas. Il se pourrait que je termine un petit peu plus tard que ça. Mais maintenant nous...

33 Je suis content de voir Frère Dauch ici ce matin. Et je ne sais pas où est passé l’autre homme; mais ce matin, si notre frère a un sosie, là, il y avait un homme assis au fond qui lui ressemblait comme deux gouttes d’eau. Je me suis dit : “Lequel est Frère Dauch?” Je regardais d’un côté puis de l’autre, et j’avais l’intention de le mentionner; mais j’étais tellement absorbé dans le Message. Vous savez, Frère Dauch, vous n’avez pas changé du tout. Je suis si content de le voir dans cet état-là.

34 Tout dernièrement j’ai reçu un appel longue distance, de Tucson, on me demandait de prier de nouveau pour lui, il lui était encore arrivé quelque chose. Frère Dauch a, je pense, soit quatre-vingt-dix ou quatre-vingt-onze ans. Il a quatre-vingt-dix ans, je crois, ou quatre-vingt-onze ans. Alors, le corps s’épuise. Mais : “De nombreux malheurs atteignent le juste, mais de tous, l’Éternel le délivre.” Et à un moment donné, quand le corps en est au point où il ne peut plus tenir – je sais que notre frère tient une Main. Même s’il n’était plus qu’une motte de terre, Dieu a promis de le ressusciter aux derniers jours. Et j’en suis si reconnaissant.

35 Je me souviens de Frère Dauch, quand il est descendu dans le baptistère, ici, pour être baptisé au Nom de Jésus-Christ, il n’avait même pas de vêtements de baptême, mais il voulait aller de l’avant quand même. Et Dieu a fait grâce à cet homme. Pensez un peu, il a dépassé de vingt ans le temps que Dieu lui avait fixé. Voyez? C’est bien la grâce, ça!
Et l’autre jour encore, il était étendu là, avec un arrêt du coeur, et une crise cardiaque, vous voyez, en plus. Et de voir que Dieu a guéri cet homme et l’a relevé, instantanément. Et je crois que depuis, son médecin est mort. C’est bien ça? Je compr-... Oui, même le médecin, un médecin juif, qui–qui le soignait, et tout, et qui m’avait parlé de lui dans le couloir, est maintenant décédé. Voyez?
Oh, combien, qu’il est profond, Ton amour, ô Seigneur! Qu’il est grand, Ton amour!

36 Maintenant, nous avons ici quelques mouchoirs sur lesquels nous allons prier dans quelques instants. Mais je voudrais parler un peu de la foi, et ensuite, nous verrons comment le Seigneur conduira, ce que nous ferons après. Eh bien, laissons simplement tout ça entre Ses mains, c’est ce qu’il y a de mieux à faire. Oh, d’être assis ensemble dans les lieux Célestes!

37 J’ai parlé à quelques-uns de mes amis aujourd’hui, après être sorti du Blue Boar, là-bas. Et j’ai dit : “Allez-vous rester pour le service?

38 – Oui.”

39 J’ai dit : “Vous devrez probablement conduire jusqu’à minuit ou une heure.” Ils prévoient arriver chez eux vers six heures du matin, ça fait un long trajet. Souvenez-vous, ce sont des humains, et il leur arrive d’être fatigués, comme moi. Ils ont un long trajet à faire, pour se rendre au Tennessee, et un peu partout. Que le Seigneur les bénisse.

40 Je pourrais dire tant de choses; ça prendrait tout le temps que j’ai. Mais je–je n’ai pas très souvent l’occasion de vous voir, et je ne sais trop pourquoi, mais je–je–j’aime beaucoup vous parler. Mais si je n’arrive pas à vous dire tout ce que je pense de vous ici... Voyez?
Je tiens à dire à ces frères. Certains d’entre eux ont annulé leurs réunions.

41 Frère Jackson, qui était ici ce matin, a donné cette belle interprétation d’une–d’une langue inconnue dans laquelle un frère avait parlé, et qui confirmait ou attestait que C’était de Dieu. Avez-vous remarqué, Il n’a jamais dit que Ce n’était pas faux, Il n’a jamais dit qu’il n’En était pas ainsi; Il nous a avertis qu’il fallait écouter, c’est tout. Voyez? Voyez? Donc, Frère Junior était ici ce matin, il avait annulé sa réunion.
Et j’ai cru comprendre que d’autres frères de... des autres églises, de Sellersburg, ici.

42 Et–et Frère Ruddell, il était ici ce matin. Je ne sais pas s’ils sont ici ce soir ou pas. Bien, ils sont de nouveau ici ce soir! Eh bien, que le Seigneur vous bénisse, Frère Ruddell. Et vous...
Il n’y a pas moyen d’exprimer vraiment ce que je pense. Mais peut-être... Eh bien, quand nous serons de l’autre côté, je veux m’asseoir pendant dix mille ans avec chacun de vous, vous voyez. À ce moment-là, vous voyez, nous parlerons de tout ça.

43 Et pendant que la moisson est mûre et que les ouvriers sont peu nombreux, travaillons d’arrache-pied, car peut-être y a-t-il un pécheur tout près. Peut-être y a-t-il quelqu’un pour qui cette soirée changera tout le cours de sa vie.
Et si ce n’était pas encore cette heure-là ce matin, peut-être que c’est ce soir que se fermeront les Livres. Souvenez-vous, pas un seul de plus n’entrera, une fois que ces noms auront été rachetés.
Avant, maintenant écoutez tous très attentivement, avant que je lise l’Écriture.

44 Tous ceux qui devaient être rachetés, Dieu a mis leur nom dans le Livre de Vie de l’Agneau, avant même que le monde ait été créé. Combien savent ça? C’est l’Écriture. [espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] Et l’antichrist, dans les derniers jours, ressemblera tellement à la chose authentique, à l’Église authentique, en tous points, comme Judas, au point que ça séduirait même les Élus, si c’était possible. Pas vrai? Mais nul ne peut venir à Jésus, si Dieu ne l’envoie, et tous ceux que Dieu Lui a donnés viendront à Lui. Et quand Il prend ce Livre, le dernier nom...

45 Vous voyez, tous ceux de l’âge de Luther, Il les a fait sortir. Tous ceux de l’âge de Wesley, Il les a fait sortir. Tous ceux des différents âges, de l’âge pentecôtiste, Il les fait sortir. Ils sont de ce côté-ci, ils ne seront pas jugés avec les autres. Ils seront enlevés. Et alors, quand sera sorti le dernier nom qui avait été écrit dans le Livre de Vie de l’Agneau immolé avant la fondation du monde, quand ce dernier nom aura été racheté, alors Son oeuvre est terminée, Il s’avance pour prendre possession de ceux qu’Il a rachetés. Cela fait saigner notre coeur. Mais si ça continuait encore mille ans, il n’y aurait pas un seul racheté de plus.
Et nul ne peut être racheté, à moins d’avoir été inscrit dans le Livre de Vie de l’Agneau avant la fondation du monde. Qui sont-ils? Je ne sais pas. Personne d’autre ne le sait, vous voyez, Dieu seul. J’ai confiance que notre nom, à chacun de nous, a été mis dans ce Livre. Si le mien y est, je serai là-bas, c’est sûr et certain; s’il n’y est pas, je ne serai pas là-bas. C’est tout. Vous voyez, vraiment, ça dépend de Dieu, tout simplement. “Cela ne dépend ni de celui qui veut, ni de celui qui court, mais de Dieu qui fait miséricorde.” Voyez?

46 Maintenant abordons la Parole, là, avec tout le respect et la sincérité possibles. Je trouve que c’est une chose que nous devons faire, vous voyez. Cessons toutes ces sottises! Soyez respectueux, sincères!
Je remarque que les confessions qu’il y a, parfois, quand ils... À la télévision, quand ils ont présenté cette réunion de Billy Graham; je n’ai rien contre Billy Graham. Or là-bas, en Californie, cet homme a prêché un merveilleux message le dernier soir; il a prêché exactement la même chose que ce que j’ai prêché ici il n’y a pas longtemps, sur Daniel : “Tu as été pesé dans la balance, et tu as été trouvé léger.” Combien ont vu ça? Beaucoup parmi vous, je suppose.

47 Regardez, avez-vous remarqué les gens qui s’avançaient dans les allées, en mâchant du chewing-gum, en ricanant, en se donnant des coups de poing? S’avancer quand c’est une question de Vie ou de mort, ce n’est pas ça. Regretter son péché et se repentir, ce n’est pas ça. Voyez? Ça, c’est simplement ce que Billy a dit : “prendre une décision”. Et un consentement, une décision froide, prise les yeux secs, ça ne vaut rien, absolument rien. Vous devez regretter votre péché, et vous en détourner.
Billy lui-même a dit : “La preuve, c’est que, de trente mille de ceux-là, un an plus tard, on n’en trouve même plus trente.” L’autre jour, il a dit : “Mais qu’est-ce qui arrive à New York? J’y ai eu cette grande réunion, et qu’est-ce qui s’est passé? Maintenant le péché, c’est encore pire que jamais.”

48 Et ça va continuer à empirer. Il n’y aura pas de re-... de repentance nationale. La nation est finie. Il n’y a que vous, en tant qu’individus; et bientôt, ça aussi, ce sera terminé, si ce n’est pas déjà le cas. Maintenant, notez bien ça, vous, les jeunes enfants. Voyez jusqu’où Frère Branham... Ce n’est pas Frère Branham. Voyez si ce que j’ai dit est vrai ou faux. Le péché deviendra toujours pire, jusqu’à ce qu’un jour les cieux s’enflamment, cela tombera sur la terre, et la terre brûlera avec une grande chaleur. Mais les Rachetés ne seront pas ici à ce moment-là, ils seront partis.

49 Maintenant, j’aimerais lire dans le Livre de Marc, au chapitre 11, dans I Jean 4.4, et dans Matthieu 28.20.

50 Bon, j’aimerais d’abord lire dans Marc, au chapitre 11, et les versets 12 à 24.
Écoutez très attentivement, maintenant, pendant que nous lisons. Et maintenant, ceci servira de base à un petit témoignage et à quelques paroles d’exhortation, ensuite nous verrons ce que le Seigneur voudra que nous fassions. Que chacun reste assis, dans une attitude de prière maintenant, pendant que nous lisons.

51 Marc 11.12. Le lendemain, après qu’ils... sortirent de Béthanie, Jésus eut faim. Apercevant de loin un figuier qui avait des feuilles, il alla voir si, par bonheur, il y trouverait quelque chose; et, s’en étant approché, il ne trouva que des feuilles, car ce n’était pas la saison des figues. Prenant alors la parole, il lui dit : Que jamais personne ne mange désormais de ton fruit! Et ses disciples l’entendirent. Ils arrivèrent à Jérusalem, et Jésus entra dans le temple. Il se mit à chasser ceux qui vendaient et qui achetaient dans le temple; il renversa les tables des changeurs, et les sièges des vendeurs de pigeons; Et il ne laissait personne transporter aucun objet à travers le temple. Et il enseignait et disait : Il est... écrit : La maison de Mon Père sera appelée la... une maison de prière pour toutes les nations? Mais vous, vous en avez fait une caverne de voleurs. Les principaux sacrificateurs et les scribes l’ayant entendu, cherchèrent les moyens de le faire périr; car ils–car ils le craignaient, parce que toute la foule était frappée de sa doctrine. Quand le soir fut venu, Jésus sortit de la ville. Le matin (maintenant, c’est un autre jour), en passant, les disciples virent le figuier séché jusqu’aux racines.
Dans les vingt-quatre heures, le miracle s’était produit, après qu’Il lui avait dit : “Que personne ne mange.” Rien, semble-t-il, ne s’était produit à l’instant même; mais, pas plus tard que le lendemain, il avait séché. Pierre, se rappelant ce qui s’était passé, dit à Jésus : Rabbi, regarde, le figuier que tu as maudit a séché. Jésus prit la parole, et leur dit : Ayez foi en Dieu. En vérité, je vous le dis, si quelqu’un dit à cette montagne : Ôte-toi de là et jette-toi dans la mer, et s’il ne doute pas en son coeur, mais croit que ce qu’il a dit arrive, cela lui sera accordé. C’est pourquoi je vous dis : Tout ce que vous demandez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et cela vous sera accordé. Et lorsque vous êtes debout faisant votre prière, si vous avez quelque chose contre quelqu’un, pardonnez, afin que votre Père qui est dans les cieux vous pardonne aussi vos offenses. Mais si vous ne pardonnez pas, votre Père qui est dans les cieux ne vous pardonnera pas non plus vos offenses. (Il y a des conditions.)

52 Maintenant, j’aimerais lire I Jean 4.4. Vous, petits enfants, vous êtes de Dieu, et vous les avez vaincus, parce que... (écoutez bien) ...celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.

53 Si vous me le permettez, je vais le relire. Vous, petits enfants, vous êtes de Dieu, et vous les avez vaincus, (en parlant de l’antichrist) parce que celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde. Deux pronoms, vous voyez, “celui”, un pronom personnel; “celui” qui est dans le monde, et “Celui” qui est en vous. “Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.”

54 Maintenant, le–le chapitre 28 de Matthieu, et le verset 20. Et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. ...voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde.

55 Maintenant, comme sujet tiré de là, ce soir, voici ce que j’aimerais prendre comme sujet : Celui qui est en vous. Et c’est là-dessus que je veux me baser, bien sûr, pour faire grandir la foi, en vue d’un service de prière. Aussi vite que...

56 Maintenant, comme je vous l’ai dit, en effet, j’aime vous mettre au courant des événements qui sont arrivés. Et généralement, j’attends de venir ici, à la–l’église, pour raconter ces événements. Ensuite, si d’autres veulent les entendre, ils peuvent écouter les bandes. Mais j’attends d’être ici.
Il y a au moins, pour l’événement dont je vais vous parler maintenant, il y a plusieurs hommes ici qui en ont été témoins, des frères chrétiens. L’un de ceux qui étaient présents, c’est Frère Banks Wood. Un autre de ceux qui étaient présents, c’est Frère David Wood. Un autre, qui est ici présent, c’est Frère Evans et son fils Ronald. Un autre de ceux qui étaient présents, c’est notre distingué diacre, Frère Wheeler. Et un autre qui était présent, c’est Frère Mann. Est-ce que Frère Mann est ici, de New Albany? Un prédicateur méthodiste, que j’ai baptisé dernièrement au Nom de Jésus-Christ; lui aussi, il était là quand c’est arrivé.

57 Depuis un certain temps, quelques années, j’avais un lourd fardeau sur la poitrine, que je... dans mon coeur. J’avais comme l’impression d’avoir fait quelque chose de mal. Et j’ai examiné ma vie, maintes et maintes et maintes fois, pour voir ce qui n’allait pas. “Seigneur, si–si j’ai fait quelque chose de mal, alors Tu n’as qu’à me révéler ce qui ne va pas, et j’irai mettre la chose en ordre.” Mais rien ne m’était révélé. Je disais : “Est-ce que j’aurais blessé quelqu’un? Est-ce que j’aurais omis de faire quelque chose? Est-ce que j’ai... est-ce que je lis assez? Est-ce que je prie assez?” Et je lisais, et je priais. Et–et je–je disais : “Révèle-le-moi. Est-ce que j’aurais fait du mal à quelqu’un, quelque part? Si oui, je vais mettre la chose en ordre. Tu n’as qu’à me le montrer; je ne veux pas ce fardeau.” Et ces cinq dernières années, depuis que j’ai quitté le champ de mission, j’ai eu un fardeau continuel dans mon coeur.

58 Je suis allé dans les montagnes. Je suis allé au bord de la mer. Je suis allé partout, et j’ai prié, et prié, et prié, mais ça ne me lâchait pas. J’ai envisagé toutes les possibilités, en me demandant si j’avais fait quelque chose. Mais ça ne me lâchait toujours pas; c’était comme si j’étais captif.
Ce qui est très étrange, c’est que ça se soit dissipé au moment où ce Message a été apporté, vous voyez, celui de ce matin. Maintenant est-ce que c’était Dieu, qui attendait, à cause de ceci? Je ne sais pas. Vous voyez, je... Ces choses étaient toutes dans ma pensée. Vous pouvez vous imaginer ce qu’il y a dans le coeur d’un homme, quand il faut supporter ce genre de chose, vous voyez, de penser à ce qui est en train de se produire, et de savoir, en le disant aux gens, de savoir que certains vont le comprendre de travers, et que certains vont partir dans cette direction-ci, et dans cette direction-là. Vous savez ce que c’est. Certains vont croire, d’autres non. Et, mais c’est ce qu’il faut supporter.

59 Comment le dire sans blesser? Comment le dire, pour que ce soit efficace? Comment le dire, de manière que les gens voient qu’on ne cherche pas–pas à s’en prendre à eux, qu’on les aime? Comment être strict et ferme, tout en étant plein d’amour? Et, oh, comment présenter la chose? D’autre part, malheur à moi si je ne la présente pas! Voyez? Et voilà. Voyez? Ce n’est pas étonnant qu’on soit dans un état de nervosité et de déchirement continuels.

60 J’étais descendu de–de... venu de l’Arizona, pour rencontrer ici un groupe de frères qui vont à la chasse avec moi tous les ans, dans le Colorado.
Or, certaines personnes se sont posé des questions : “Pourquoi allez-vous à la chasse? Qu’est-ce qui vous pousse à le faire?”
Vous voyez, ici, c’est vous qui faites le plein, moi, je me vide; là-bas, c’est moi qui fais le plein, pour pouvoir me vider ensuite. Voyez? Alors, je n’y vais pas juste pour tirer du gibier. Allons donc! les gens, n’importe qui ici, parmi ceux qui y vont avec moi, sait que je passe à côté de centaines de pièces de gibier, je n’y touche même pas. Non.

61 Bon, il n’y a pas longtemps, j’avais commencé à tirer du gibier pour les hommes d’affaires chrétiens, quand ils venaient là-bas, et qu’ils disaient : “Billy, attrape-moi un mâle, attrape-moi une femelle, attrape-moi un wapiti, attrape-moi ceci, cela, autre chose.” Je partais, et je tirais du gibier à droite et à gauche. Le Seigneur m’aidait à voir et à dépister le gibier, et, étant assez bon tireur, à les toucher. Et–et eux, ils restaient assis là à discuter affaires.

62 Puis le Seigneur m’a dit de ne plus faire ça. Et je–je m’en suis voulu de l’avoir fait, alors je Lui ai promis que je ne le ferais plus. Non. J’ai dit : “Si c’est urgent, que quelqu’un en a besoin, je le ferai. Mais s’ils n’en ont pas besoin, je ne le ferai pas.” Ces hommes-là, ils ne manquent pas d’argent pour s’acheter du boeuf et tout. Alors, pourquoi est-ce que je le ferais? Laissez l’animal vivre, si vous n’avez pas l’intention de l’utiliser.

63 Donc, j’y vais simplement pour être seul. Et n’importe quel homme qui va à la chasse avec moi sait que je ne chasse avec personne. Je pars de mon côté, pour être seul. Je vais avec eux pour avoir une communion fraternelle le soir, être tous là et prier, et tout.
Mais il y avait beaucoup d’autres ministres là-bas; il y avait, – là-bas, dans les montagnes, cette année, – il y avait notre Frère Palmer. Je crois l’avoir vu, quelque part, il y a quelques instants... Le voilà, assis ici, Frère Palmer. Et un certain Frère Bob Lambert, il était ici ce matin, je l’ai entendu pousser des cris, quelque part. Je pense qu’il est encore ici. Et il y avait aussi un frère... les deux frères Martin, je pense qu’ils sont ici. Les frères Martin, est-ce qu’ils sont ici? Frère, Frère Martin. Vous m’avez appelé l’autre jour, vous avez bien fait. Ce jeune homme a été guéri, ce frère dans le ministère.

64 Êtes-vous ici, celui pour qui j’ai prié au téléphone l’autre jour? Son nom m’échappe, il vient de l’Arkansas. Sa femme m’avait appelé; cet homme avait un côté tout enflé et une forte fièvre, il était en train de mourir. Il s’agit de l’homme qui avait été désigné, à la–la réunion de Little Rock, ou, de Hot Springs, qui se trouvait à cette réunion.
Il est bel homme. S’il est ici, je pense que maintenant il ne voudra sûrement pas se lever. Mais son nom m’échappe. Je n’arrive pas à me rappeler son nom. [Quelqu’un dit : “Frère Blair.”–N.D.É.] Blair, Frère Blair. Quelqu’un...
Bon, eh bien, il se trouvait à la réunion de Little Rock, combien étaient à, – je veux dire, à celle de Hot Springs, – combien étaient à cette réunion? Et le Saint-Esprit a désigné ce jeune homme et lui a dit que le diable essayait de l’amener à me renier, à dire que j’étais un “faux prophète”. Et cet homme a attesté que c’était la vérité. Vous voyez ce que le diable était en train de faire? Cet homme ne consulte pas les médecins. Il n’est pas d’avis qu’on doive consulter les médecins. Mais Satan savait que cette maladie allait le frapper, et qu’à ce moment-là il pourrait le faire mourir. Voyez? Donc, il essayait de l’amener à me renier. Et le Saint-Esprit, dans Sa grâce, l’a désigné et lui a dit de ne pas faire ça, – et cet homme m’était inconnu, – Il l’a désigné, lui a dit de ne pas faire ça.

65 Et l’autre soir, sa femme m’a appelé en disant : “Frère Branham, je crois qu’il est en train de mourir.” Elle a dit : “Il est–il est tout enflé. Et avec la fièvre qu’il a, il est presque hors de lui.” Et elle a dit : “La dernière chose qu’il a dite, c’est : ‘Appelle Frère Branham.’”
J’ai dit : “Avez-vous quelque chose, votre sac à main avec un mouchoir dedans?
– Non.” J’étais à Tucson; elle était en Arkansas.
Et j’ai dit : “Avez-vous quelque chose?”
Elle a dit qu’elle avait, je crois, son “foulard”.
J’ai dit : “Bon, posez votre main sur ce foulard, et tenez le combiné de l’autre main.” Et j’ai prié, j’ai demandé à Dieu d’être miséricordieux et de repousser cet ennemi.

66 Et elle est allée poser le foulard sur cet homme. Le lendemain matin, c’est lui qui m’a appelé.
Alors, environ vingt-quatre heures plus tard, ou même moins.

67 Notre précieux frère, je ne l’ai pas encore vu ce soir : Frère Roy Roberson. À un moment donné, vous savez, Frère Roy était un homme plutôt militaire. S’il est ici, je–j’espère qu’il comprendra; en effet, je–je–je ne condamne pas ça. Mais tout est strict – il était sergent à l’armée, vous savez, et forcément qu’on prend un peu l’habitude de faire affaire avec les hommes comme ça se fait dans l’armée. “Bon, les choses spirituelles, c’est pour les autres”, pas pour lui! Mais le Seigneur l’a épargné. Il serait mort; on l’avait laissé pour mort pendant longtemps. Le Seigneur l’a guéri; depuis, il a toujours suivi fidèlement. Mais il ne connaissait rien de toutes ces choses spirituelles, ni des visions.

68 Et il n’y a pas longtemps – beaucoup sont au courant de la vision qu’a eue Frère Roy avant même que j’aille là-bas, et où il m’a vu debout sur la montagne, là, dans cette Lumière, et une Voix est sortie de moi. Cela a enlevé tout doute à Frère Roy.

69 Et l’autre soir, il a été frappé à un point tel, par la maladie, avec une fièvre tellement forte, et tout. Le médecin lui avait donné des médicaments, et autres, mais ça ne lui faisait aucun bien. Il en était même au point où il ne pouvait même plus bouger. Ses jambes, et tout, étaient comme paralysées.

70 Ce brave frère, le pauvre, il avait été mis en pièces par un éclat d’obus provenant d’un quatre-vingt-huit, d’un quatre-vingt-huit allemand. Et ce–c’était simplement... Je pense que tout son détachement avait été tué, tous sauf lui, et l’explosion l’avait mis en pièces.

71 Et savez-vous ce qui est arrivé? J’ai dit à sa noble épouse, Soeur Roberson, de... Elle a dit... J’ai dit : “Avez-vous quelque chose avec vous?”

72 Elle a dit : “J’ai un mouchoir sur lequel vous avez déjà prié.

73 – Allez le chercher.” J’étais à Tucson, elle a posé sa main dessus, j’ai prié, réprimé ça, et j’ai dit : “Soeur Roberson, ça va disparaître.”

74 Quelque Chose venait de me dire : “Ça va disparaître. Dis-le!” Et moins d’une demi-heure plus tard, la fièvre avait disparu : il était à la cuisine, il cherchait quelque chose à manger. Voyez? Voyez?

75 Voici ce que j’essaie de dire : “Ne perdez jamais confiance.” Ne laissez pas Satan vous dire du mal de moi; parce qu’il y en a beaucoup. Mais gardez cette confiance; parce que si vous ne le faites pas, ça n’arrivera pas. Ne regardez pas à moi en tant qu’homme; je suis un homme, je suis plein de fautes. Mais regardez à ce que je dis à Son sujet à Lui. C’est Lui. C’est de Lui qu’il s’agit.

76 Pendant que nous étions dans le Colorado, vous voyez, pendant que nous étions là-bas; nous y sommes allés. Le temps avait été très sec. Le gibier était rare. Le Seigneur avait béni Frère Wheeler, Il lui avait donné un–un beau trophée, et nous nous en réjouissions vivement. C’était la première fois qu’il allait chasser dans les bois, et le Seigneur l’a béni. Et moi, j’avais abattu un beau trophée, celui que j’attendais depuis vingt ans, que je guettais; Frère Banks et moi, ça faisait longtemps que nous le poursuivions. Et quand je... J’avais ajusté ma carabine dans une région chaude, et de l’avoir emportée dans une région froide, alors le fût a gonflé, bien que le mécanisme ait été assis sur une couche de résine. Alors la balle a dévié de plusieurs pouces, et l’animal, qui se trouvait entre les arbres, a été touché au mauvais endroit; s’il avait été touché plus bas, l’animal aurait été tué sans cruauté, en une seconde. Mais il a été touché tellement haut, là, qu’il a fait un bond, et on aurait dit qu’il était tombé, comme ça.

77 Billy était avec moi, et il a dit : “Touché.” Je pensais la même chose; mais quand nous sommes arrivés sur place, ce n’était pas le cas. Il a dit : “Tu as touché un arbre.” J’ai regardé de haut en bas, mais il n’y avait pas de marque sur l’arbre. Ensuite je suis parti à sa recherche.
C’est alors qu’il y a eu un signe, un avertissement. Il y avait presque cent hommes, juste au-dessus de nous. Frère Palmer et les autres en sont témoins. Et Frère Evans aussi, c’est vrai, il y était; Frère Welch Evans et son garçon Ronnie. Je crois que je les ai nommés tout à l’heure. De nombreux hommes étaient montés par groupes au-dessus de nous, à ce qu’on appelle le camp des vaches, c’est là que logent les cow-boys, et qu’ils font leurs tournées à cheval pour garder les boeufs séparés. Moi-même, dans le temps, je m’installais dans ce camp-là, je rassemblais le bétail et je gardais les bêtes séparées.

78 Et donc, là-bas, il y avait une centaine d’hommes. Mais tout le monde sait que, dans cette contrée-là, quand on annonce un blizzard, il faut partir immédiatement. C’est pour ça que Frère Palmer et les autres sont partis tôt, c’est parce qu’ils n’avaient qu’une transmission à trois vitesses à leur voiture, et qu’il fallait qu’ils partent de là; en effet, par ce temps, quand on est là-bas, il se pourrait qu’on y reste pendant des semaines. Alors, on a annoncé : “Il va y avoir un blizzard”, la météo, les journaux, la radio. Chargement après chargement, pratiquement tout ce qu’il y avait là-bas est parti. Ils sont partis immédiatement, parce qu’ils savaient qu’il fallait partir de là.

79 Mais mes frères avaient un permis qui donnait le droit de tuer deux cerfs, alors ils–ils ne voulaient pas partir. Donc je–j’ai dit : “Eh bien, nous allons rester.” Mais j’avais une réunion environ six jours plus tard, et il fallait que je retourne à Tucson.

80 Donc, ma petite épouse, je... nous sommes mariés depuis vingt-deux ans. Et pendant vingt ans, chaque fois, le jour de notre anniversaire, je me suis trouvé là-bas; ça tombe toujours cette date-là. Alors, il y a un petit coin où je vais toujours prier, ça ressemble à l’endroit où je l’avais emmenée.

81 Vous savez, j’ai fait un petit quelque chose, vous savez : je n’avais pas assez d’argent pour faire les deux, une partie de chasse et mon voyage de noces, alors, comme voyage de noces je–je–j’ai en quelque sorte emmené ma femme dans une partie de chasse. Alors, nous étions dans l’État de New York, et je me rappelle l’avoir soulevée pour l’aider à passer par-dessus les troncs et tout, pour arriver à un certain endroit. Et j’ai un petit coin là-bas, je pense toujours à elle quand j’y vais au moment de notre anniversaire. Le vingt-trois octobre, là-bas c’est la saison de la chasse. Et, depuis vingt ans, je n’ai pas été à la maison, je suis toujours là-bas.

82 Alors, ce jour-là, c’était notre anniversaire. Et Frère Mann... J’ai dit : “Maintenant, si vous, frères...” J’ai dit, autour du feu, ce matin-là : “Maintenant, si...” Ou plutôt, ce soir-là. “Si vous voulez rester, maintenant souvenez-vous, il se pourrait que nous soyons ici pendant un mois.” En effet, j’ai déjà vu tomber vingt pieds [six mètres] de neige en peu de temps, en une nuit. Vous êtes là-bas, voilà, il fait très beau et sec; et le lendemain matin, il y a une épaisseur comme ça de neige, plus haut, peut-être plus haut que votre tente. Et donc, j’ai dit... Alors vous restez là jusqu’à ce que ça fonde. Donc, vous êtes de quinze à vingt milles [vingt-cinq à trente kilomètres] à l’intérieur d’une région sauvage. Et donc, j’ai dit... Si c’est une situation d’urgence, alors, bien sûr, on envoie des hélicoptères et on vous sort de là. Mais, généralement, il faut... si personne n’est en danger de mort, il faut attendre là-bas.

83 Donc, tout le monde file, dès qu’ils entendent cette émission, ou plutôt, ce bulletin de météo. Donc, nous étions là-bas, et j’ai dit : “Maintenant, prenez une décision. Si vous voulez rester, je suis ici pour chasser avec vous, je vais appeler ma femme pour lui dire : ‘Bon anniversaire!’” Mais, j’ai dit : “Et en même temps, je vais, je, nous... Nous irons acheter des provisions, parce que nous serons peut-être forcés de rester ici.” Déjà nous n’avions plus de pain. Et je ne veux plus voir de crêpes avant un bon bout de temps – plus de crêpes! J’en mangeais depuis environ vingt et un jours au Canada, et j’en avais vraiment eu ma ration. Et donc, je voulais acheter du pain.

84 Alors ils ont dit qu’ils voulaient rester. Donc il n’y avait rien à faire... rester. Mais Frère Mann et moi, nous sommes partis, nous sommes descendus, et j’ai acheté les provisions. J’ai appelé ma femme, mais il n’y avait pas de réponse. Pas de réponse; alors, j’ai attendu environ une heure, jusqu’à ce que nous ayons fait nos provisions, je suis retourné, j’ai rappelé, elle ne répondait pas. Et il fallait que j’appelle Soeur Evans.
Je crois que Soeur Evans est ici. Et j’ai dit... Oui, Frère Evans, Soeur Evans, ils sont ici.

85 J’ai donc appelé Soeur Evans, de la part de Frère Evans, je le lui ai dit. Elle a dit : “Je vais appeler Soeur Branham pour le lui dire.” “Bon anniversaire”, bien sûr, vous savez. Donc, mais elle était sortie faire des courses, acheter des provisions pour les enfants.
Puis, nous sommes retournés là-bas. Le lendemain matin, le ciel était couvert de nuages. Il n’avait pas plu là-bas pendant tout l’automne, et c’était vraiment sec. Ils avaient prolongé la saison de la chasse de quelques jours à cause de la sécheresse.

86 Eh bien, ce matin-là, j’ai dit aux frères : “Maintenant, à la première goutte de pluie qui tombera, au premier flocon de neige, au premier grésil, ou quoi que ce soit, retournez au camp à toute vitesse, parce que moins de quinze minutes plus tard vous ne pourrez plus voir votre main devant vous. Voyez? Ça va souffler en rafales et, quelle que soit votre connaissance de la région, vous–vous serez bloqués là, et vous périrez. En effet, parfois on n’arrive même plus à respirer, à cause du grésil qui souffle si fort, et on meurt sur place.” Et j’ai dit : “Dès qu’il se mettra à tomber du grésil, retournez au camp à toute vitesse, où que vous soyez.”

87 Bon, j’ai dit : “Montez par ici, et mettez-vous dans ces ravins, moi, je vais grimper jusque très haut et faire rouler des pierres, du haut de la colline, et tout, pour effaroucher les cerfs, les faire descendre de là-haut, et vous n’aurez qu’à faire votre choix.”

88 Alors je me suis mis à grimper très haut, et au moment où j’allais arriver à l’endroit que nous appelons “la selle”, un petit endroit là-bas, je passe toujours par là pour me rendre à un endroit appelé “Quaker Knob”, qui se trouve juste sur la ligne de partage des montagnes Rocheuses, très haut. Et comme j’arrivais presque à cette petite selle... les nuages devenaient de plus en plus noirs. Il ne restait plus une seule voiture, il n’y avait plus que nous là-haut, pour autant que... et le cow-boy au camp. Le temps se–se gâtait de plus en plus. Alors, au bout de quelques minutes, il a commencé à pleuvoir. Eh bien, j’ai pris mon fusil et je l’ai mis sous ma veste pour éviter que la lunette se couvre de buée, et–et que le fût soit mouillé; au cas où je rencontrerais un ours ou quelque chose comme ça, en revenant. Alors je–je tenais mon viseur comme ceci, et je me suis assis quelques instants sous un arbre. J’étais assis là, et je priais. J’ai dit : “Seigneur Dieu, Tu es le Grand Jéhovah, et je T’aime.”

89 Que d’expériences j’ai vécues! J’ai montré aux frères, à Frère Palmer et aux autres, les différents endroits. L’endroit où cet aigle, vous savez, je l’ai vu s’élever ce jour-là, vous savez, et comment... C’est dans ces endroits-là que toutes ces choses se sont produites, là-bas. Il y a quelque chose qui me touche de très près, là-bas. J’ai vécu tant d’expériences extraordinaires avec mon Seigneur, là-haut dans ces montagnes. Alors, on ne peut tout simplement pas aller là-bas sans Le voir; Il est partout.

90 Et donc, pendant que je–j’étais assis là, le grésil s’est mis à tomber, et le vent à souffler en rafales, comme ça. Je me suis dit : “Je connais le chemin pour descendre, mais je ferais mieux de partir d’ici tout de suite.” Alors, je me suis dit...

91 En regardant vers le bas, je ne voyais même plus ce qu’il y avait en contrebas; avec ces nuages qui tourbillonnaient et tournoyaient, et ce grésil qui soufflait. Et voilà : c’était le blizzard! Ce qui avait été annoncé depuis plusieurs jours, “qu’il allait y avoir un violent blizzard”.

92 Frère Tom est ici. Frère Tom Simpson, qui venait du Canada, avait entendu le bulletin de la météo, et on lui avait déconseillé de traverser cette partie du pays, à cause de ces prévisions qui disaient : “Il va y avoir un blizzard.” Où es-tu, Frère Tom? Je pense que, oui, juste ici. Et il... Ce blizzard allait venir! Tout le monde s’était préparé pour ça.

93 Eh bien, j’ai remis mon fusil sous ma chemise, comme ceci, ma chemise rouge, et je me suis mis à redescendre de la montagne. Je marchais, et j’étais à environ un demi-mille [huit cents mètres] de la selle; et, oh! la la! il y avait de gros flocons de neige, comme ça, et le vent en rafales, sur la montagne, qui soufflait. Je ne voyais plus ce qu’il y avait en contrebas. Je voyais à environ vingt pieds [six mètres] devant moi ou peut-être trente [neuf mètres]. Et je savais qu’il fallait descendre par un genre de petit, ce qu’on appelle “un petit dos d’âne”, une petite crête, après quoi j’arrivais au ruisseau, ensuite je savais qu’il fallait suivre ce ruisseau, et je savais où aller si ça se gâtait vraiment trop.

94 Et donc, je me suis mis à descendre, et à peu près à mi-chemin, Quelque Chose m’a dit, aussi clairement que vous m’entendez : “Arrête-toi, et retourne là-bas!”

95 Eh bien, je me suis dit : “Qu’est-ce que j’ai pensé là? Peut-être que ce n’est que mon imagination.” Mais je n’arrivais plus à faire un pas en avant.

96 David m’avait préparé un sandwich ce matin-là, et je pense qu’il essayait de me rendre la pareille, parce que j’en avais préparé un à son papa, une fois, avec des oignons et du miel, c’est tout ce que nous avions. Alors, il m’en avait préparé un, avec du saucisson de Bologne et, oh, je ne sais trop ce qu’il avait empilé là-dedans! Je l’avais dans ma chemise, et il avait été mouillé à travers ma chemise. Je me suis dit : “Je vais juste m’arrêter pour manger ça, et peut-être que je... qu’ensuite, tout ira bien.” Alors j’ai sorti ce sandwich, il était vers les dix heures, et j’ai commencé à manger le sandwich. En mangeant le sandwich, je me disais : “Maintenant tout ira bien.”
Et je me suis remis en marche, mais Quelque Chose a dit : “Retourne là d’où tu viens!”

97 “Retourner dans cette tempête, remonter à un demi-mille [huit cents mètres] ou plus, sur cette montagne, m’enfoncer dans ce bois sombre?” À ce moment-là, on arrivait à peine à voir plus loin que d’ici à cet orgue! Mais je deviens vieux, voilà trente-trois ans que je suis Chrétien, et je sais que peu importe combien ça peut paraître ridicule : obéissez au Seigneur, faites ce que le Seigneur dit.

98 J’ai fait demi-tour et je suis reparti vers la selle, en avançant à tâtons. Oh, le grésil devenait de plus en plus violent; il faisait de plus en plus sombre. Je me suis assis là, et j’ai de nouveau mis ma veste comme ceci, ou, ma chemise sur le viseur; je me suis assis. Je me suis dit : “Qu’est-ce que je fais ici? Pourquoi revenir ici?”

99 J’ai attendu quelques minutes. Au moment où j’allais me relever, et aussi clairement que je pourrais jamais souhaiter L’entendre, une Voix a dit : “Je suis le Créateur des cieux et de la terre! Je produis les vents et la pluie.” J’ai enlevé mon chapeau.

100 J’ai dit : “Grand Jéhovah, est-ce Toi?”

101 Il a dit : “Je suis Celui qui a fait cesser les vents sur la mer. Je suis Celui qui a apaisé les flots. J’ai créé les cieux et la terre. Ne suis-Je pas Celui qui t’a dit de parler à ces, de prononcer des écureuils, et ils ont été créés? Je suis Dieu.”

102 Maintenant, quand une voix vous parle, observez l’Écriture. Si ce n’est pas conforme à l’Écriture, laissez ça de côté; peu importe combien c’est clair, tenez-vous loin de ça.

103 J’ai dit : “Oui, Seigneur.”

104 Il a dit : “Parle à ces vents, à cette tempête, et elle s’en ira.” Maintenant cette Bible est devant moi, et ma vie se trouve en Elle.

105 Je me suis levé, j’ai dit : “Je ne doute pas de Ta Voix, Seigneur.” J’ai dit : “Nuages, neige, pluie, grésil, je n’accepte pas votre présence. Au Nom de Jésus-Christ, retournez là d’où vous êtes venus! Je dis : le soleil doit apparaître immédiatement et briller pendant quatre jours, jusqu’à ce que notre partie de chasse soit terminée et que je reparte avec mes frères.”

106 Ça jaillissait, vraiment, ça faisait : “Wououououhh!”, comme ça. Puis ça s’est mis à faire, ça faisait : “Wououhh!”, ensuite ça a fait : “Wouhh, wouhh, wouhh, wouh!” Ça s’est arrêté!

107 Je n’ai pas bougé. Mes frères étaient là-bas, ils se demandaient ce qui se passait. Et le grésil, la pluie s’est arrêtée. Un vent est descendu dans les montagnes, en tourbillonnant, il a soulevé les nuages, et l’un est parti de ce côté; à l’est, au nord, à l’ouest, au sud. Quelques minutes plus tard, le soleil brillait, agréablement chaud. C’est la vérité! Dieu sait que c’est la vérité!

108 Je suis resté là, debout, à regarder autour de moi; j’avais enlevé mon chapeau, je regardais. Je... Vous dites... Tout mon corps était engourdi.

109 J’ai pensé : “Le Dieu de la création, tout est entre Ses mains. Qu’est-ce qu’Il est en train de me dire?”

110 J’ai ramassé mon fusil, j’ai essuyé le viseur, et j’allais repartir, redescendre la colline. Et Quelque Chose m’a dit : “Pourquoi ne pas venir te promener avec Moi dans cette région sauvage, marcher avec Moi?”

111 J’ai dit : “Oui, Seigneur, de tout mon coeur; ce serait l’une des choses les plus formidables que je puisse faire, de marcher avec Toi.” Alors, mon fusil à l’épaule, je me suis mis à marcher là-bas; je marchais au milieu de ces arbres vierges, où jamais une hache n’avait été utilisée.

112 Et alors, en marchant dans ces sentiers où passe le gibier, la pensée m’est venue : “Je crois que je vais monter à l’endroit où... Hier, c’était notre anniversaire; je vais passer quelques minutes là-bas, juste un petit geste en l’honneur de Méda, à l’endroit où il y a un petit groupe de trembles, sur un monticule.” Et je me suis dit : “Je crois que je vais marcher jusque là-bas, juste un geste en l’honneur de notre anniversaire. Puis, je redescendrai de l’autre côté, dans ces bois sombres, je me promènerai en me dirigeant vers les pics Corral, et je reviendrai par là.” Je marchais simplement, en me réjouissant.

113 Je disais : “Père, je sais que Tu es en train de marcher avec moi. Et quel privilège; je ne pourrais marcher avec personne de plus grand : Dieu Lui-même!” Et à la chaleur du soleil!

114 Même après avoir quitté les montagnes. Je m’arrêtais à des stations-service, je disais : “Il fait beau.” Trois jours plus tard. Il n’a pas plu du tout dans cette région-là, jusqu’à la fin des quatre jours. Le soleil brillait chaque jour. Pas vrai, les frères? [Les frères disent : “Amen.”–N.D.É.] Voyez? Et pas un nuage dans le ciel.

115 En arrivant à une station-service, j’ai dit : “Il fait vraiment beau.
– Oui, en effet!”
J’ai dit : “Il a fait terriblement sec.”

116 Il a dit : “C’est étrange!” Ce pompiste a dit, il a dit : “Vous savez, on nous avait annoncé un violent blizzard, mais tout à coup, il s’est arrêté!”

117 En continuant ma route, je suis arrivé à la frontière du Nouveau-Mexique. Billy et moi, mon fils, nous sommes entrés quelque part, là-bas, pour acheter de... le matin de notre départ, et j’ai dit : “Il fait vraiment beau.
– Oui, en effet!”
J’ai dit : “On dirait qu’il a fait pas mal sec.
– Oui, en effet!”
J’ai dit : “Êtes-vous d’ici?”

118 Il a dit : “Non, je viens du Wisconsin”, ou quelque part comme ça. Il a dit : “Ça fait une vingtaine d’années que j’habite ici; alors, je pense qu’on peut dire que je suis d’ici.”

119 J’ai dit : “On peut dire que vous êtes un autochtone, dans ce cas.” Alors j’ai dit : “Oui, monsieur,” j’ai dit, “on dirait que ç’a été très poussiéreux.”

120 Il a dit : “Vous savez, la chose la plus étrange est arrivée!” Il a dit : “On nous avait annoncé qu’il y aurait un blizzard, et beaucoup de neige; ça a effectivement commencé, puis ça s’est arrêté!”

121 J’ai dit : “Vraiment?”, très calme.

122 Puis je suis rentré. Et Frère Tom a dit qu’on l’avait averti de ne pas passer par là, qu’il y avait un blizzard. Et il a traversé la région, sans même une goutte de pluie ni rien! Il est toujours Dieu, vous voyez, autant qu’Il l’a toujours été. Voyez?

123 En me rendant là-bas, je me promenais... Or, pour ce qui suit, j’espère que ma femme ne recevra pas cette bande. Voyez? Mais je vais vous dire quelque chose. Et, bon, je–je ne vous le dis pas... Je vais simplement vous dire la Vérité, vous voyez, et c’est la seule façon d’agir. Je me suis souvent demandé pourquoi elle ne se plaignait pas de ce que je faisais ces voyages lors de notre anniversaire. Savez-vous ce que j’en avais conclu? Je me suis dit : “Il y a tellement de gens à la maison. Et puis moi, je suis toujours, vous savez, je suis d’un tempérament nerveux. Et tout ce dont je parle, ce dont je veux parler, c’est de Dieu, de la Bible, ou quelque chose comme ça. Peut-être qu’elle voit ça comme une petite période de repos pour elle. Que je sois loin d’elle pendant quelques jours, à la chasse.” Et c’est un peu ça que je pensais, en me promenant là-bas.

124 De ça, je... je, je vais lui faire des excuses, et je–j’ai demandé à Dieu de me pardonner d’avoir eu de telles pensées. En effet, en me promenant là-bas, je pensais : “Eh bien, elle trouve que... Eh bien, miséricorde! Elle–elle est travailleuse, vous savez, et–et tout le temps, quand elle est à la cuisine ou quelque part dans...”

125 Et tous ceux d’entre vous qui la connaissez le savent : la machine à laver marche tout le temps. Et alors, je vais à elle, je la prends par le bras; je dis : “Ne lave pas tout le temps comme ça. Parle-moi. Tu vois, je t’aime. Je veux que tu me dises quelque chose : dis-moi que tu m’aimes aussi.”

126 Elle dit : “Eh bien, tu sais que je t’aime”, puis elle retourne à sa lessive à toute vitesse.

127 “Je ne veux pas que tu fasses ça. Je veux que tu viennes t’asseoir près de moi.

128 – Oh, Bill, j’ai tellement de travail à faire!”

129 Alors je me suis dit : “Bon, tu vois, en venant ici, ça lui laisse le temps de faire son travail.” Je me promenais là-bas, en pensant à ça.
Maintenant, souvenez-vous, j’ai posé cette Bible ici, pour que vous voyiez que je suis devant la Parole.
Alors que je continuais à marcher, il m’est arrivé quelque chose. Je me suis mis à...

130 D’abord, je pensais au jour où je l’avais emmenée en voyage de noces là-bas. C’était une belle jeune fille aux cheveux noirs, aux yeux bruns, et je la soulevais par-dessus ces troncs, vous savez, et tout, je voulais l’emmener là-bas, à l’endroit où j’avais tué des ours. Et je voulais lui montrer ça, et alors... l’endroit où j’avais tué ces ours. Elle avait mes bottes de cow-boy aux pieds. Ça, ça s’était passé environ vingt-deux ans, ou, vingt et un ans plus tôt, il y a vingt-deux ans, je crois. Nous nous sommes mariés en 194 1. Et je la soulevais, vous savez, par-dessus ces troncs.

131 Et je me suis dit : “Maintenant, la pauvre petite, de devoir me supporter, elle a déjà les cheveux gris.” Oui. Je me suis dit : “Eh bien”, et j’ai fait... [Frère Branham s’éclaircit la voix.–N.D.É.] Je ne m’étais pas rasé depuis quelques jours, et j’ai constaté que moi aussi, j’étais grisonnant! J’ai vu ma barbe toute grise, alors je me suis dit : “Mon vieux, tu es presque fini, maintenant. Tu vois, si tu, tu veux faire quelque chose, tu ferais mieux de te dépêcher. Toi aussi, tu vieillis.” Voyez?

132 Et alors, pendant que je me promenais comme ça, il s’est passé quelque chose. Tout à coup, dans tous les mouvements, tous les éléments, j’étais un jeune homme, je pensais comme un jeune homme. J’avais la tête baissée, et j’ai levé les yeux. Je l’ai vue, aussi distinctement que jamais, elle était debout devant moi, les bras tendus. Je me suis arrêté; je me suis frotté le visage. J’ai regardé. J’ai dit : “Méda, est-ce toi, chérie?”

133 J’ai regardé par ici, et j’ai pensé : “Qu’est-ce qui s’est passé là?” Et j’ai pensé : “Oui, je suis en train de marcher avec Lui.” Et là ça a changé, j’étais redevenu un vieil homme, et la vision avait disparu de devant moi.

134 Je me suis arrêté; j’ai de nouveau enlevé mon chapeau, je l’ai mis sur mon coeur. J’ai dit : “Jésus, j’ai un fardeau tellement lourd sur mon coeur, depuis des années. Je n’ai pas besoin de Te dire que j’ai un fardeau. Je me suis repenti, je me suis repenti, j’ai fait tout ce que j’ai pu. Mais pourquoi ce fardeau ne me quitte-t-il pas?”

135 Et je me suis simplement remis en marche. Et comme je gravissais ce monticule, – qui était à une distance d’environ trente ou quarante yards [mètres] devant moi, – je me suis mis à gravir ce monticule, et je me suis senti très faible. Et il y avait là un petit tremble d’une dizaine de pouces [d’environ vingt-cinq centimètres] de diamètre, qui se dressait, puis formait comme un L, et s’élevait de nouveau. Et quand je suis arrivé là, je me sentais tellement faible que j’en titubais. Alors j’ai simplement... J’avais remis ma casquette. Et j’ai simplement appuyé ma tête contre ça; la forme était parfaite, pour que je puisse appuyer ma tête juste là, contre ce petit tremble, comme ceci. En fait, c’est un peuplier. C’est comme, ça ressemble à un bouleau, vous voyez. Et c’est... J’étais appuyé contre ça. J’étais simplement là, la tête baissée, les rayons du soleil me chauffaient le dos. Et je pensais : “Dieu Lui-même, c’est Lui qui a chassé cette pluie et ce vent!”

136 Et j’ai entendu quelque chose qui faisait : “Patt, patt, spatt.”

137 J’ai pensé : “Qu’est-ce que c’est? Le vent a chassé toute l’eau. Le soleil brille. Ce ‘spatt’, qu’est-ce que c’est?” J’ai regardé par terre; c’était l’eau qui venait de mes propres yeux, qui descendait sur ma barbe grise et tombait goutte à goutte sur les feuilles sèches, que Dieu avait séchées, par terre devant moi. Je suis resté comme ceci, appuyé contre l’arbre. Ma main, cette main-ci en bas, ma tête appuyée contre l’arbre, ma main sur la bretelle de ma carabine, comme ceci; j’étais là qui pleurais.

138 J’ai dit : “Ô Dieu, je ne suis pas digne d’être Ton serviteur.” Et j’ai dit : “Je–je suis désolé, je–j’ai fait une... j’ai fait beaucoup d’erreurs. Ce n’était pas mon intention de faire des erreurs, Seigneur. Tu as été si bon envers moi.”

139 J’avais les yeux fermés; et j’ai entendu quelque chose qui faisait “stomp, stomp; stomp, stomp”.

140 J’ai levé les yeux, et juste devant moi, trois cerfs venaient vers moi. Et je me suis dit : “Voilà celui de Frère Evans, celui de Frère Wood. Voilà les trois cerfs, vous voyez, exactement ce que je cherche.” À ce moment-là, la pluie s’était évaporée; j’ai tendu le bras pour saisir ma carabine. J’ai dit : “Je ne peux pas faire ça. J’ai promis à Dieu que je ne ferais pas ça.” Voyez? “Je Lui ai promis que je ne le ferais pas.”

141 Et quelque chose m’a dit : “Mais ils sont là!”

142 Et j’ai pensé : “Oui, Sa-... C’est ce qu’un–un homme avait dit à David, une fois : ‘Dieu l’a livré, te dis-je, entre tes mains!’” Vous savez, le roi Saül.

143 Et Joab lui a dit, il a dit : “Tue-le! Il est couché là!”

144 Il a dit : “Que Dieu me garde de toucher à Son oint.”

145 Et ces cerfs étaient là en train de me regarder. J’ai pensé : “Ils ne peuvent pas se sauver. Il est impossible pour eux de se sauver. Ils sont à moins de trente yards [mètres] de moi. Et j’ai cette carabine, je suis ici, et voilà trois cerfs. Non, je ne peux pas le faire. Je–je ne peux vraiment pas le faire.” C’était une biche et deux grands faons. Alors, vraiment, je–je–je ne pouvais pas prendre ma carabine. J’ai dit : “Je ne peux pas.” Je–je n’ai pas bougé. Je suis resté là, tout simplement. J’ai dit : “Je ne peux pas le faire, parce que j’ai promis à Dieu que je ne le ferais pas. En fait, ces frères-là, ils–ils n’ont pas besoin de ces cerfs.” Voyez? “Je–je ne peux pas faire ça. Je ne peux vraiment pas le faire.”

146 Et cette biche s’est approchée. Maintenant, écoutez, une centaine d’hommes avaient cherché à leur tirer dessus pendant quatre ou cinq jours. Effarouchés? Au premier signe, en voyant du rouge... Et moi, j’avais une chemise rouge, une casquette rouge. Au premier signe, ils s’éclipsent; mais ils restaient là, tous les trois, à regarder droit vers moi.

147 J’ai dit : “Mère, prends tes bébés et va-t’en dans les bois. Tu es entre mes mains. Je... Ta vie est entre mes mains, mais je ne vais pas te faire de mal. J’ai promis à Dieu que je ne le ferais pas.” Voyez? Elle s’est rapprochée. Elle me regardait. Tous, ils se sont rapprochés, jusqu’à ce qu’ils soient arrivés si près qu’ils auraient presque pu manger dans mes mains. Ils, le vent soufflait directement sur eux. Alors, elle a fait demi-tour, a fait quelques pas – tous les trois.

148 Et la voilà qui revient, qui s’avance directement vers moi. Je n’ai pas bougé; je suis simplement resté là. J’ai dit : “Allez, va-t’en dans les bois; moi aussi, je les aime. Vis! Tu vois, ta vie est entre mes mains, mais je vais t’épargner. Tu ne pourrais pas te sauver. Tu le sais.” J’aurais pu les tuer tous les trois en une seconde environ, ou en tout cas en trois secondes, juste le temps de faire feu; et ils n’auraient pas pu se sauver, ils étaient là, tout près de moi. Voyez? Et j’ai dit : “Je vous épargne. Allez, vivez.” Je suis resté là. Et ils ont continué leur chemin, sont repartis dans les bois.

149 Je me suis essuyé le visage, comme ça, et juste à ce moment-là, il s’est passé quelque chose. Une Voix a parlé, très distinctement, de ce ciel bleu, sans nuage. Tout ça s’était passé en moins de... en très peu de temps. Une Voix a parlé, et a dit : “Tu t’es souvenu de ta promesse, n’est-ce pas?”

150 J’ai dit : “Oui, Seigneur.”

151 Il a dit : “Je me souviendrai aussi de la Mienne. ‘Je ne te délaisserai point, et Je ne t’abandonnerai point.’” Le fardeau a quitté mon coeur. Depuis ce moment-là il n’y est plus; puisse-t-il ne plus jamais revenir.

152 Ensuite, je suis rentré à Tucson. C’est étrange, jamais il ne m’est arrivé autant de choses que depuis mon retour. Je–je crois que c’est Dieu qui retenait quelque chose pour cette heure. Je crois que le temps est proche maintenant, car quelque chose doit se produire.

153 Si seulement nous pouvions recevoir cette Vérité! Maintenant, un instant. Si seulement nous pouvions prendre conscience de la signification de ce passage de l’Écriture : “Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.” Nous ne pouvons pas comprendre Cela, et pourtant nous disons Y croire. Et nous savons que C’est vrai, mais en réalité, nous ne Le comprenons pas. ...celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde. Qu’est-ce qui est en vous, qui est plus grand? C’est Christ, le Oint! Dieu, qui était en Christ, est en vous. “Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.”

154 Alors, s’Il est en vous, ce n’est plus vous qui vivez, c’est Lui qui vit en vous. Voyez? Ce n’est pas votre pensée, ce que vous, vous penseriez à propos de Ceci; c’est ce qu’Il a dit à propos de Ceci. Voyez? Alors, s’Il est en vous, Il ne niera absolument pas ce qu’Il a dit. Il ne pourrait pas le faire. Au contraire, Il resterait fidèle à ce qu’Il a dit; et Il essaie de trouver quelqu’un à travers qui Il pourra confirmer ce qu’Il est.

155 Bon, ça, ça ne veut pas dire qu’Il doit le faire pour chacun. À l’époque où Moïse conduisait les enfants d’Israël, il y en avait un seul, c’était Moïse. Les autres ne faisaient que suivre le Message. Voyez? Certains d’entre eux ont essayé de s’élever pour imiter ça, et Dieu a dit : “Sépare-toi”, et Il les a engloutis, c’est tout. Voyez? Voyez?

156 Bon, mais “Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde”, Dieu en vous, comme Il était en Jésus-Christ. En effet, tout ce que Dieu était, Il l’a déversé en Christ; et tout ce que Christ était, Il l’a déversé dans l’Église. Vous voyez, c’est Dieu en vous, “Celui qui est en vous”.

157 Ce n’est pas étonnant que les vents et les flots Lui aient obéi, aient obéi à Ses Paroles; ils ont obéi à Ses Paroles, parce que C’était la Parole de Dieu, à travers Lui. Il était un Homme; mais Il était la Parole, faite chair. Voyez? Et quand Il parlait, c’était Dieu qui parlait à travers des lèvres humaines. Voyez? Ce n’est pas étonnant que les vents et les flots... Le Créateur Lui-même, Celui qui avait créé les vents et les flots, était en Lui. Maintenant, pensez à ça! Pensez profondément, maintenant, avant que ce soit le moment pour moi de terminer. Ce n’est pas étonnant que les démons aient été paralysés, quand Il prononçait la Parole! C’était Dieu en Lui. C’était Dieu en Christ. Les démons en étaient paralysés. Ce n’est pas étonnant que les morts, qui étaient en train de retourner à la poussière, n’aient pas pu rester là, quand Il prononçait la Parole! C’est qu’Il était la Parole.
Il a dit à Lazare, qui était mort et qui sentait, au bout de quatre jours, – son visage, son nez, s’étaient déjà affaissés, à ce moment-là, – “Lazare, sors!” Et un homme, qui était mort, s’est levé. Pourquoi? C’était Dieu; Celui qui était en Christ, c’était Dieu. Les morts ne pouvaient pas tenir en Sa Présence. C’était Dieu, en Christ.

158 Les vents, or souvenez-vous, Dieu a créé les vents : c’est de l’air. Dieu a créé les flots : c’est de l’eau. Mais quand le diable est entré en eux, il a tout bouleversé, pour produire la destruction. Dieu a créé les hommes, pour qu’ils soient des fils de Dieu, mais quand le diable entre en eux, vous voyez, il y a des ennuis. Alors là, c’était le diable, qui était entré dans les vents qui ont déclenché cette tempête. Le Créateur, Celui qui a créé le vent, ne pouvait-Il pas dire : “Retournez là où Je vous ai créés”?
N’est-ce pas ce même Créateur, qui se trouvait au sommet de la colline du Colorado, l’autre jour? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Voyez?
N’est-ce pas Celui-là même qui a pu prendre un morceau de poisson, le briser, et qu’il en pousse un autre morceau? En fait, Il n’avait pas besoin d’avoir ça. Il aurait pu le prononcer.
N’est-ce pas ce même Créateur, qui a créé des écureuils? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Dans ce cas, Celui qui était en Christ est en nous, vous voyez, puisqu’Il fait les oeuvres mêmes que Lui, Il avait faites, même chose.
Les morts ne pouvaient pas tenir en Sa Présence, quand Il prononçait la Parole.

159 Regardez, nous avons cinq attestations authentiques, de gens qui étaient “morts”, au sujet desquels le Seigneur a donné une vision, Il est allé à eux et les a ressuscités. En voici justement un, assis ici, qui est mort à l’endroit même où il est assis en ce moment. Et le voici, vivant, ce soir; il avait été foudroyé par une crise cardiaque. Voilà sa femme, qui est infirmière. Nous nous sommes approchés; tout était fini, ses yeux étaient immobiles, sans vie. Et le voici vivant. “Car Celui qui est ici, en nous, est plus grand que celui qui est dans le monde!” Voyez?

160 Il est plus grand! C’est Dieu, le Créateur! Il fallait que les vents et les flots Lui obéissent. Les démons en sont devenus paralysés. Toute la nature Lui a obéi, parce qu’Il était le Créateur de la nature. Oh, quand nous pensons à ça, ça fait disparaître la morsure. Alors nous comprenons ces choses, vous voyez. Qu’est-ce que c’est? Ce n’est pas l’homme. L’homme ne peut pas faire ça; l’homme fait partie de la création. Voyez? Mais ce sont les vents et les flots, qui obéissent au Créateur. Voyez?
Il faut que ce soit le Créateur qui le fasse : “Car Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.” Celui qui peut produire le chambardement, c’est celui qui est dans le monde. Celui qui est en vous, c’est le Créateur, qui a fait les vents. Il peut réprimer le démon, le chasser des vents, et le calme revient. Il peut réprimer le démon, le chasser de la tempête, et il n’y a plus de tempête. Il est le Créateur. “Et Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.” Voyez?

161 Le diable, lui, il est du monde. Le monde lui appartenait. Il lui a toujours appartenu. “Pourquoi es-tu tombé, Lucifer, fils de l’aurore?” Vous voyez, ce monde lui appartenait. C’est quand il a été chassé du Ciel qu’il y est revenu. Voyez?

162 C’est lui qui a dit au Christ : “Ces royaumes m’appartiennent, j’en fais ce que je veux.” Ils lui appartiennent, et c’est lui qui est “dans le monde”.

163 Jean venait de dire aux disciples : “Vous avez appris que l’antichrist doit venir, et il est déjà là, il agit dans les fils de la rébellion. Mais, petits enfants, vous n’êtes pas de ce monde. Vous êtes de Dieu. Et Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.” C’est Christ, en vous!

164 Celui qui–qui a créé les cieux et la terre a été manifesté dans la Personne de Jésus-Christ; Dieu, en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.
Supposons que vous dites : “Mais Lui, c’était le Fils de Dieu, Frère Branham.” Très bien, voyons s’Il est le Dieu Éternel, le Dieu d’éternité.

165 Celui qui était en Josué était plus grand que le soleil. Et Josué était un homme, né dans le péché, comme vous et moi. Et Celui qui était en Josué, et dans le soleil dont la course était réglée sur le commandement de Dieu, était plus grand. Dieu a ordonné au soleil de briller et de tourner sur lui-même, et celui-ci est gouverné et contrôlé par les lois de Dieu. Mais Celui qui était en Josué était plus grand que les lois de Dieu; en effet, le Créateur Lui-même était en Josué, au moment où Josué a levé les yeux vers le soleil et a dit : “Reste là où tu es. Et toi, lune, ne bouge pas de l’endroit où tu es, jusqu’à ce que j’aie fini cette bataille.” Et le soleil et la lune lui ont obéi, car Celui qui était en Josué était plus grand que le–le soleil et la lune. Celui qui était en Josué!

166 Celui qui était en Moïse était plus grand que l’Égypte. L’Égypte, c’était les armées puissantes du monde, ils avaient conquis le monde, à cette époque-là. Mais Celui qui était en Moïse était plus grand que l’Égypte, puisque Moïse a vaincu l’Égypte. Celui qui était en Moïse était plus grand que la nature elle-même. Y avez-vous déjà pensé, Dieu a pris Sa Parole et Il L’a donnée à Moïse, en disant : “Va là-bas et ordonne au soleil de ne plus briller”? Et le soleil est devenu noir comme du charbon! Pas vrai? Il peut faire briller le soleil et dissiper les nuages, ou Il peut obscurcir le soleil. Il est Dieu; Il peut faire ce qu’Il veut, et Il est dans l’enfant qui croit! Amen. C’est ça.

167 On ne voyait pas une seule puce. C’était peut-être l’hiver, il n’y avait pas de mouches, mais Dieu a dit à Moïse : “Va prononcer Mes Paroles, Je mettrai dans ta pensée ce qu’il faut dire. Va là-bas, ramasse de la terre sur le sol, et jette-la en l’air, la poussière.”

168 Il a dit : “Qu’il y ait des puces!” Et quelques heures plus tard, ça grouillait de puces, il y en avait probablement une épaisseur de plusieurs pouces, partout sur le sol. Pas vrai? Le Créateur!

169 Il n’y avait pas de grenouilles, alors il a étendu son bâton et il a dit : “Qu’il y ait des grenouilles!” Et elles se sont amoncelées partout, si bien que le pays entier en a été empesté. Pas vrai?

170 Quand il est arrivé à la mer Rouge, que celle-ci lui barrait la route, Dieu a dit : “Parle à la mer.” Et Moïse a parlé à la mer; et Celui qui était en Moïse était plus grand que la mer elle-même. Pas vrai? Oh! la la! Maintenant, vous voyez, Celui qui était en Moïse était plus grand que celui qui est dans le monde. Celui qui était en Moïse est plus grand que tous les éléments naturels du monde. Il a commandé à la nature. Tout ce que Dieu lui disait de dire, il le disait, et c’est ce qui arrivait.

171 Ce même Dieu est avec nous ce soir! Pas seulement avec nous, mais en nous! Il a prouvé qu’Il était en nous. “Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.” Pourquoi avons-nous peur du monde?

172 L’autre jour, ils ont découvert une–une espèce de dent de dinosaure, ici près de... Vous devez tous en avoir entendu parler; ici, aux chutes du Niagara. Ils disaient “qu’elle pesait six livres [deux kilos sept cents]”. Je pensais qu’ils allaient déclarer que c’était celle d’un homme, mais je–je pense qu’ils ont fini par déterminer que c’était celle d’une espèce d’animal préhistorique. Ces animaux-là ont probablement déjà vécu sur la terre, à un moment donné. Où sont-ils maintenant?
Savez-vous que le Dieu Tout-Puissant pourrait ordonner que des dinosaures viennent sur cette terre, et que, dans l’heure qui suivrait, il y en aurait sur une épaisseur de quarante milles [de plus de soixante kilomètres]? Savez-vous que Dieu pourrait détruire ce monde par des puces? Il pourrait faire venir des puces. Où vont-elles, quand elles meurent? Qu’arrive-t-il à la mouche domestique? Qu’arrive-t-il à la sauterelle? L’hiver arrive, il fait quarante degrés au-dessous de zéro; vous ressortez, le printemps suivant, et il y a des sauterelles partout. D’où viennent-elles? Il est le Créateur, qui les crée par Sa Parole! Il est Dieu! La nature obéit à Sa Parole.

173 C’est là que beaucoup de nos frères s’emballent, ils ont l’impression que c’est Dieu qui dit de faire une certaine chose, et ils disent que c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR, alors que ça ne l’est pas. Voilà pourquoi ça n’arrive pas.
Mais quand c’est vraiment Dieu qui vous le dit, ça doit forcément arriver, il ne peut pas en être autrement. Voyez? Quand c’est Dieu qui le prononce, ça ne peut qu’arriver.

174 Celui qui était en Moïse était plus grand que celui qui était en Égypte. Celui qui était en Moïse est plus grand que tout ce que Pharaon pouvait faire, toutes ses incantations. Celui qui était en Moïse était plus grand que celui qui était dans les magiciens. Voyez? Celui qui était en Moïse était plus grand que toute la nature.

175 Plus grand! Celui qui était en Daniel était plus grand que les lions. Il a pu arrêter ces lions affamés. Alors, tout ce qui peut arrêter quelque chose est plus grand que ce qu’il a arrêté. Alors, les lions affamés étaient sortis en vitesse, pour dévorer Daniel; et Celui qui était en Daniel était plus grand que celui qui était dans le lion.

176 Or, au début, quand le lion a été créé, il était l’ami de l’homme. C’est le diable qui lui fait faire ça. C’est vrai. Dans le Millénium, le loup et l’agneau paîtront ensemble; et le lion, comme le boeuf, mangera de la paille, et il se couchera avec le boeuf. Il ne se fera ni tort ni dommage, dans le Millénium. Le diable ne sera plus là. C’est le diable qui fait que les animaux sauvages déchirent, éventrent, dévorent, et tout ça, comme ils le font. C’est Satan qui fait ça. Mais Celui qui était en Daniel était plus grand que celui qui était dans le lion. Voyez? Celui qui était dans ce prophète était plus grand que celui qui était dans le lion.

177 Celui qui était dans les enfants hébreux était plus grand, Celui qui était en eux était plus grand que celui qui était dans le feu. En effet, ils ont été jetés dans le feu; et Celui qui était en eux était avec eux, et Il a empêché le feu de les brûler, bien que la fournaise ait été chauffée sept fois plus qu’elle ne l’ait jamais été, été chauffée. Pas vrai? Celui qui était avec les enfants hébreux était plus grand que celui qui était dans le monde.

178 Il y avait là Nebucadnetsar, ou, Beltschatsar. Je crois que c’est Nebucadnetsar qui avait fait chauffer la fournaise sept fois plus qu’elle ne l’avait jamais été. Il avait été inspiré par le diable, qui l’avait poussé à s’emparer de ces gens parce qu’ils prenaient position pour la Parole de Dieu; il les a jetés dans cette fournaise, qui avait été chauffée sept fois plus qu’elle ne l’avait jamais été, et elle n’a même pas pu les brûler. En effet, Celui qui était avec Schadrac, Méschac et Abed-Nego était plus grand que celui qui est dans le monde. Absolument! Oh! la la!

179 Celui qui était en Élie était plus grand que les cieux d’airain, puisqu’il a pu faire sortir de ces cieux d’airain de la pluie, alors qu’il n’avait pas plu depuis trois ans et six mois.
Celui qui était en Élie était plus grand que la mort. En effet, quand est venu le moment pour lui de mourir, Dieu a vu ce vieux prophète fatigué. Il avait réprimandé Jézabel avec tout son fard et ses choses modernes, et il était passablement fatigué, alors Il ne l’a même pas laissé rentrer à pied comme Il l’avait fait pour Énoch. Il a envoyé un char pour le prendre, et l’emporter à la Maison. Celui qui était en Élie est plus grand que celui qui était dans Jérusalem, dans la Judée et dans les montagnes. Celui qui est en Élie était plus grand que la mort elle-même. Celui qui était en Élie est plus grand que la tombe; en effet, il a échappé à la tombe, il a échappé à la mort, et il est simplement monté à la Maison dans un char. Vous voyez, Il était plus grand, et Il était en Élie.

180 Vous dites : “Oh, eh bien, lui, c’était un grand homme.”

181 Attendez une minute! La Bible dit que “c’était un homme qui avait les mêmes passions” que vous et moi. C’est vrai. Mais quand il priait, il croyait qu’il recevait ce qu’il demandait en priant; c’est ce que Jésus nous a dit : “Quand vous priez, croyez que vous avez reçu ce que vous avez demandé, et cela vous sera accordé.” Il a prié avec instance pour qu’il ne pleuve pas, et il n’est pas tombé de pluie pendant trois ans et six mois. Voyez? Celui qui était en Élie était plus grand que la nature.

182 Alors, qu’en est-il de la guérison des malades? Voyez? Celui qui est en vous est plus grand que la maladie. Voyez? En effet, c’est une perturbation, ça perturbe les lois mêmes de Dieu, c’est ce que fait la maladie. Eh bien, Il est “plus grand”, Celui qui est en vous, qui est le Guérisseur et le Créateur, que le–que le diable qui a perturbé le programme même de votre vie. “Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.” Voyez?
Celui qui était en Élie était plus grand! Celui qui était en Ésaïe était plus grand que le temps; ou n’importe lequel de ces prophètes-là, parce qu’ils voyaient au-delà du temps. Voyez?

183 Celui qui était en Job est plus grand que les vers de sa peau, que la mort et la tombe. En effet, par une vision, il a vu la venue du Seigneur, et il a dit : “Mon Rédempteur est vivant, et au dernier jour, Il se tiendra sur la terre; et même après que les vers de ma peau auront détruit ce corps, de ma chair je verrai Dieu.” Voyez? Celui qui était en Job est plus grand que la mort; plus grand, puisque la mort avait essayé de l’emporter, mais elle n’a pas pu le faire. Elle n’a pas pu le faire; en effet, il a déclaré : “Je ressusciterai”, et il l’a fait. Il l’a fait.

184 Écoutez, je voudrais bien qu’on ait le temps de continuer là-dessus. Mais j’aimerais poser la question, au sujet d’une remarque que j’ai entendue l’autre jour, concernant “Christ en vous”.
Maintenant, ne–ne vous appuyez pas sur quelque chose que vous avez fait; dire : “J’ai senti un petit frisson. Je–je–j’ai parlé en langues. Je–j’ai dansé par l’Esprit.” Or, je n’ai rien contre ça. C’est très bien, vous voyez, c’est, mais ne vous appuyez pas là-dessus. Voyez?
Votre vie doit correspondre à Ceci. [Frère Branham tapote sa Bible.–N.D.É.] Ce qu’il faut, c’est Ceci. Il faut que vous et Ceci deveniez un, vous voyez, et ensuite Ceci Se manifeste. Voyez?

185 Maintenant, qu’est-ce qui–qu’est-ce qui se passerait ce soir, si vous pouviez dire de tout votre coeur que l’esprit de Shakespeare vit en vous, que Shakespeare vit en vous? Vous savez ce que vous feriez? Vous feriez les oeuvres de Shakespeare. Vous, vous, vous composeriez des poèmes et–et des pièces, et tout, parce que Shakespeare était ce genre d’artiste là, un grand auteur, un auteur de poèmes. Alors, si Shakespeare vivait en vous, vous feriez les oeuvres de Shakespeare. Pas vrai?

186 Et si Beethoven vivait en vous? Qu’est-ce qui se passerait si Beethoven vivait en vous? Vous savez ce que vous feriez? Vous écririez des chants, comme Beethoven, le grand compositeur. Vous écririez des chants, comme Beethoven, parce que Beethoven, ce serait votre vie. Vous seriez un Beethoven réincarné. Si Beethoven vivait en vous, vous feriez les oeuvres de Beethoven, parce que Beethoven vivrait en vous. Pas vrai?

187 Mais Celui qui est en vous, c’est Christ! Et si Christ est en vous, vous ferez les oeuvres de Christ, si Christ vit en vous. Il l’a dit. Jean 14.12 : “Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais”, si vous étiez en Christ, ou, si Christ vivait en vous. Et Christ est la Parole. Pas vrai? Et la Parole venait à Ses prophètes. Voyez? Et si vous, si Christ vivait en vous, les oeuvres de Christ se feraient à travers vous, la Vie de Christ se vivrait à travers vous. Les oeuvres qu’Il a faites, la vie qu’Il a vécue, et tout, se vivraient en vous; tout comme si Shakespeare, Beethoven ou–ou n’importe qui d’autre vivait en vous.

188 Si Sa Vie! Par contre, si vous vivez encore votre vie à vous, alors vous ferez vos oeuvres à vous. Voyez? Mais si vous vivez la Vie de Christ, si Christ est en vous, “Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde”. Si vous avez en vous des doutes et des frustrations au sujet de la promesse de Dieu, alors Christ n’est pas là; vous voyez, vous êtes emballé, c’est tout. Mais si la Vie, si Christ vit en vous, Il reconnaîtra Sa Parole, et Il accomplira Sa promesse. Voyez? Il l’accomplira.

189 “Quand tu pries, crois que tu reçois ce que tu as demandé, et cela te sera accordé. Si tu dis à cette montagne : ‘Ôte-toi de là’, et si tu ne doutes pas en ton coeur, mais crois que ce que tu dis arrive, ce que tu auras dit te sera accordé. Mon Père agit, et Moi aussi, J’agis jusqu’à présent. En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même; mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement.” Voyez? Quand le Père Lui avait montré ce qu’il fallait faire, Il s’avançait là, aucun échec possible, Il disait : “Qu’il en soit ainsi”, et il en était ainsi.
Et ce même Christ vit en vous. Il vit en nous. Alors, nous ferons Ses oeuvres; en effet, Christ est la Parole, et la promesse qui se trouve dans la Parole vous apporte la guérison. Le croyez-vous? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Bien sûr!

190 Il a dit : “Je ne vous laisserai pas orphelins.” Comme j’ai prié, demandé, tout à l’heure, dans Matthieu 24, vous voyez, ou, Matthieu 28.20. Voyez? Il a dit : “Je viendrai à vous, Je serai en vous. Je”, la Personne, Christ, sous la forme du Saint-Esprit, “viendrai et Je vivrai en vous. Alors vous ne vous–vous ne vous appartiendrez plus. C’est Moi qui serai en vous. Et Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.” Voyez? Hébreux 13.8 dit “qu’Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement”.

191 Celui qui était en Noé était plus grand que les jugements exercés par l’eau.
Et Celui qui est en vous est plus grand que les jugements exercés par le feu. Voyez? Celui qui est en vous est plus grand, parce qu’Il s’est acquitté du jugement et qu’Il a vaincu le jugement pour vous. Voyez? Il n’y a aucune crainte à ce sujet. Vous voyez, vous êtes inclus. Oui.
Celui qui était en Noé est plus grand que celui qui était dans les jugements exercés par l’eau, qui a fait périr le monde incrédule. En effet, Noé avait cru. Et Celui qui était en lui – en lui qui avait cru en Celui qui lui avait parlé – était plus grand que celui qui était dans le monde. Aussi Noé a-t-il échappé entièrement au jugement, parce que la Parole de Dieu était plus grande que les jugements, et il s’est élevé au-dessus d’eux.
“Plus grand!” Nous pourrions nous arrêter là-dessus pendant un bon moment! Voyez?

192 Celui qui était en David est plus grand que l’ours qui avait volé sa brebis. Celui qui était en David est plus grand que le lion qui était venu enlever un de ses agneaux. Celui qui était en David est plus grand que l’ennemi, Goliath. Le grand Philistin qui se tenait là, qui mesurait douze ou quatorze pieds [trois mètres cinquante ou quatre mètres cinquante], qui avait des doigts de quatorze pouces [trente-cinq centimètres] de long; avec une lance semblable à une aiguille de tisserand; et il était recouvert d’une épaisseur de deux ou trois pouces [cinq à sept centimètres] d’acier ou de métal, d’airain. Mais ce qui était en David était plus grand que ce qui était en lui.
Lui, c’était la puissance, les muscles. C’était un guerrier. Il pouvait, il avait déclaré qu’il pouvait piquer David au bout de sa lance, le suspendre là et laisser les oiseaux le dévorer.

193 Et David a dit : “Tu marches contre moi en Philistin, au nom d’un Philistin. Tu me maudis au nom du dieu des Philistins.” Et il a dit : “Tu t’es vanté de ce que tu allais faire. Tu marches contre moi avec l’armure et la lance. Mais moi, je marche contre toi au Nom du Seigneur Dieu, et aujourd’hui je te couperai la tête de sur les épaules.” Et il l’a fait, parce que Celui qui inspirait David pour qu’il ait ce courage-là était plus grand.

194 Celui qui est en vous est plus grand que ce fauteuil roulant. Celui qui est en vous est plus grand que ce brancard. Celui qui est en vous est plus grand que ce cancer. Celui qui est en vous est plus grand que cette affliction. Il est plus grand que tout ce que le diable pourrait vous infliger. “Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.” Il est plus grand! Oui!
David était plus grand, ce qui était en David : Dieu en David.

195 Il est en nous, voilà ce qu’est le Christ. Il a été vainqueur, triomphant de tous les ennemis, pour nous. Quand Il était ici sur terre, Il a vaincu le péché, Il a vaincu la maladie, Il a vaincu la mort, Il a vaincu le séjour des morts, Il a vaincu la tombe, et maintenant Il vit en nous, le Vainqueur! Il a vaincu la maladie, le séjour des morts, la mort, la tombe, et Il est venu à nous, pour nous libérer de toutes ces choses. Et Celui qui est en vous est plus grand que celui qui peut vous infliger ces choses, alors que ce n’est que du bluff. Oui! “Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.”

196 Voilà ce qui fait que ces miracles se produisent. Voilà ce qui a fait cesser ce vent, l’autre jour. Est-ce qu’un être humain pourrait faire ça? Non monsieur, c’est impossible. Alors que j’étais là en train de pleurer, et que ces vents se déchaînaient, et...
Combien de ceux qui étaient là-bas sont présents? Faites voir votre main. Levez la main, tous ceux qui étaient là-bas, dans le Colorado, à–à ce moment-là. Très bien. Frère Fred doit être le seul ici qui y était, alors. Je pensais que Frère Mann était peut-être ici, mais il... Frère, Frère Evans y était, n’est-ce pas? Frère Evans était là-bas à ce moment-là. Oui. Très bien. Et, oui.

197 Remarquez. C’est la vérité, n’est-ce pas? C’est bien comme ça que ça s’est passé, n’est-ce pas? La pluie a cessé tout d’un coup, et les vents ont cessé de souffler. Qu’est-ce que c’était? Par ma parole à moi? Non! C’est parce qu’Il m’a dit de le faire. Et Celui qui est en nous est plus grand que tous les éléments naturels. N’est-ce pas que le même Dieu qui avait pu apaiser les flots sur la mer, a pu faire retourner les vents à l’endroit d’où ils étaient venus? N’est-ce pas que Celui-là même qui avait pu assombrir le soleil, a pu faire briller le soleil? Eh bien : “Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.” Voyez? Très bien.

198 Alors, voilà pourquoi ces véritables miracles peuvent être accomplis, c’est parce que c’est une promesse de Dieu : “Vous ferez, vous aussi, les choses que Je fais.” Jean 14.12. Lui, Christ, qui a apaisé les vents et les flots, Il en est le Créateur. Il est encore le Créateur, tout autant qu’Il l’était à cette époque-là. Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement.
Il a guéri les malades, Il a détruit le péché, Il a tout changé, pour vous, et Il est venu à vous, pour habiter avec vous. Il a vaincu toutes ces choses, afin de venir vivre en nous. Il est ce Vainqueur, qui a déjà vaincu ces choses, – Il l’a prouvé, dans les Écritures, – Il est revenu, Il a tout vaincu, et Il vous a prouvé qu’Il est le même Dieu. Et mille neuf cents ans plus tard, Le voici en train de faire parmi nous encore la même chose que ce qu’Il avait fait en ce temps-là : Il a vaincu la mort, le séjour des morts, la maladie et la tombe!

199 Ce Christ, ce “Celui”, c’est Lui qui est en vous. C’est Christ. Comme Jean l’a dit : “Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.” C’était Christ! Il est plus grand que le monde entier, puisqu’Il a vaincu le monde, et Il est plus grand que toutes ces choses, puisqu’Il les a vaincues pour nous. “Et nous sommes plus que vainqueurs par Celui qui nous a aimés, et qui S’est livré Lui-même pour nous”, afin de revenir accomplir Ses oeuvres à travers nous, pour nous prouver qu’Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement.
Quand Il était sur terre, Il a prouvé, quand Il était parmi les gens, qu’Il était bien le Messie. Il pouvait discerner les pensées qui étaient dans leur coeur. Et la Bible avait dit, Moïse avait dit “qu’Il serait prophète”. Pas vrai? Il connaissait les secrets du coeur. Il savait qui étaient les gens. Il savait ce qui n’allait pas chez eux. Avons-nous vu la même chose se faire? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Maintes et maintes fois!

200 Nous savons que des morts ont été ressuscités, d’entre les morts. Certains étaient morts depuis un jour et demi. Eh bien : mort un matin, ils l’ont emporté ce soir-là, ils ont voyagé toute la nuit; le lendemain, vers midi, ou un peu après midi, on l’a amené à l’emplacement de la tente. Un petit bébé, mort, froid, qui gisait dans les bras de sa mère. Le Seigneur Dieu a ramené, a prononcé la Parole de Vie, et ce bébé s’est réchauffé et s’est mis à pleurer; je l’ai remis dans les bras de sa mère.

201 Mme Stadklev était là, elle a vu la chose se faire, c’est pour ça qu’elle a tant pleuré pour son bébé, elle voulait que je fasse le trajet en avion, jusqu’en Allemagne. Mais le Seigneur a dit : “C’est Ma main; ne réprime pas ça.” Vous voyez, on s’en garde bien.
Quand Il avait dit à Moïse, qu’Il avait dit : “Parle au rocher”, ne le frappe pas. Ça voulait dire “parle”, ne frappe pas, vous voyez. Il faut obéir à ce qu’Il vous dit de faire. “Mais nul ne peut faire quoi que ce soit par lui-même”, il faut d’abord qu’il l’ait entendu de Dieu.

202 Maintenant la Parole de Dieu l’a promis : Il est vivant. Et, parce qu’Il est vivant, vous vivez. Il a promis que “vous ferez, vous aussi, les oeuvres que Je fais. Les mêmes choses, seulement vous les ferez en plus grand nombre, parce que Je m’en vais vers le Père.” Il a vaincu toutes choses. C’est Lui qui a arrêté...
C’est Lui qui a créé ces écureuils. C’est arrivé deux fois. C’est arrivé une fois chez toi, Charlie. Et c’est arrivé–c’est arrivé ici, quand les frères, Frère Fred, Frère Banks et les autres étaient avec nous.

203 C’est arrivé en Allemagne, alors qu’il y avait quinze sorciers guérisseurs de chaque côté de moi, qui avaient dit... Parce que Billy et Frère Arganbright avaient refusé de les laisser–les laisser me voir, ils avaient dit : “Eh bien, nous ferons en sorte que cette tente soit emportée par le vent.” Et ils se sont assis là, avec leurs incantations, ils invoquaient leur dieu, le diable, qui s’est présenté avec une tempête. Il y avait là environ trente à quarante mille Allemands, et la tente se soulevait et redescendait, comme ceci.
Puis ils ont coupé, avec des ciseaux, ils ont coupé une plume, et ils la pointaient dans cette direction, comme ça. Et ils récitaient leurs, proféraient toutes leurs incantations, et ils prononçaient les trois mots saints, ils disaient : “Le Père, le Fils, le Saint-Esprit; leu-leu-leu-leu-leu-leu! Le Père, le Fils, le Saint-Esprit, leu-leu-leu!”

204 Ils faisaient comme ça, et effectivement la tempête s’est levée. Bien sûr. “Il est le prince des puissances de l’air”, Satan. Ils ont fait venir la tempête. Et voilà, même cette tente énorme qui était là, comme ça, oh! la la! d’une superficie d’environ un pâté de maisons; montée avec une armature de bois sur laquelle la toile était fixée. Le vent s’est engouffré dedans et l’a soulevée, comme ça. Le vent soufflait et les éclairs jaillissaient, et moi, je continuais à prêcher, tout simplement.

205 Et, oh, ils se sont lancés dans une grande incantation, sans arrêt, comme ça, ils prononçaient ces petits mots saints, qu’ils répétaient : “Les trois mots saints supérieurs : Père, Fils et Saint-Esprit”, des deux côtés, comme ça. Puis j’en ai vu s’incliner, entourés de démons, mais pas liés par eux.

206 Et j’ai dit à Frère Lowster : “N’interprétez pas ceci.”

207 J’ai dit : “Frère Arganbright, priez, c’est tout.”

208 J’ai dit : “Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, c’est Toi qui m’as envoyé ici. J’ai posé mon pied sur ce sol allemand au Nom de Jésus-Christ, parce que Tu m’as envoyé ici. Ce nuage n’a aucun pouvoir sur moi. Il n’en a aucun, parce que je suis oint et que j’ai été envoyé ici pour le salut de ces gens.”
“Je t’ordonne, au Nom de Jésus, de partir d’ici.”

209 Et le tonnerre qui faisait : “Bang! Bang! Bang!” Puis : “Grrrrrrrrr”, ça s’est éloigné, et juste au-dessus de la tente, le vent a soufflé en sens contraire; et le soleil s’est mis à briller.

210 Moins de dix minutes plus tard, il y avait environ dix mille personnes autour de l’autel, et tout ça, ils imploraient miséricorde à grands cris, après avoir vu la puissance de Dieu. Pourquoi? “Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.” Voyez?

211 “Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.” Vous voyez, les afflictions et tout ça, oh, frère, soeur, nous n’avons absolument aucune inquiétude. Celui qui est grand, c’est Dieu, et Il est en vous. Le croyez-vous? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]

212 Maintenant, j’ai largement dépassé l’heure. Il est environ vingt et une heures quinze. Et je sais que ces gens ont un long trajet à faire en voiture.
Inclinons la tête un instant.

213 Ô Dieu notre Père, Tu sais ce qui s’est passé dans le Colorado. Tu sais que ces choses sont vraies. Si je le dis, c’est pour Ta gloire, pour que ces gens soient au courant. Après toutes ces preuves scientifiques, les photos, et les oeuvres du Saint-Esprit. Et, Seigneur, Tu sais qu’Il... que j’ai déclaré clairement aux gens, chose que je fais toujours, que c’est parce que Tu l’avais promis. Et Tu es ici, cherchant quelqu’un à travers qui Tu pourras confirmer Ta personne, pour permettre à d’autres de voir que Tu es vivant, et que Tu es le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Je Te prie, Seigneur, d’être miséricordieux, de nous guider et de nous diriger dans nos pensées.

214 Il y en a ici qui sont malades et affligés. Il y en a qui mourront peut-être, s’ils ne reçoivent pas Ton secours. Peut-être que beaucoup d’entre eux sont au bout du chemin, que les médecins ne peuvent plus rien faire pour eux. Toi, Tu es Dieu, et Tu es le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Et Ta Présence est ici.

215 Seigneur, nous ne savons pas ce que sera ce Troisième Pull dont nous avons parlé. Je ne sais pas ce qu’il en sera. Mais nous savons une chose, c’est que le Premier Pull, c’était la perfection. Le Deuxième Pull, c’était le cinq, c’était la grâce.
Et, ô Dieu, je Te prie, ce soir, de Te révéler à nous, après ces choses qui ont été dites : “Celui qui est en vous!” Tu as aussi dit : “Vous ferez, vous aussi, les oeuvres que Je fais”, et Tu as dit que Tu ne faisais rien sans que le Père Te l’ait d’abord montré.

216 Et nous avons vu ce que Tu as fait quand Tu as pu dire à l’apôtre Pierre qui il était, quel était le nom de son père. Dire à Nathanaël quelle mission il s’était donnée, pourquoi il était là, où il était auparavant, ce qu’il avait fait. Tu as dit à la femme au puits quels étaient ses péchés, et quel était son état, qu’elle vivait dans l’adultère, avec ces six hommes; elle en avait eu cinq, et celui avec qui elle vivait à ce moment-là n’était pas son mari. Tu es encore le même Dieu. Tu as dit...

217 Bartimée était là, dans cet état : aveugle; par contre, dans son coeur, il avait un sens de la vue, qui lui permettait de voir que, si c’était là Jéhovah manifesté en tant que Fils, en Jésus-Christ, Il pourrait reconnaître son cri. Et il s’est écrié : “Fils de David, aie pitié de moi!” Et cela T’a arrêté, Tu t’es retourné et Tu l’as guéri, ô Père, en lui disant que sa foi l’avait sauvé.

218 Cette petite femme anémique, dans cet état à cause d’une perte de sang, de sa ménopause, et depuis de nombreuses années, ça ne s’arrêtait pas. Elle avait dépensé tout son argent chez les médecins, et aucun d’eux n’avait pu l’aider. Elle est venue à l’une de Tes réunions, alors que Tu parlais à un homme là-bas, en–en Galilée; pendant que Tu te rendais chez Jaïrus. Cette petite femme s’était dit, dans son coeur, sans aucune Écriture à l’appui : “Si je peux seulement toucher Son vêtement, je–je crois que je serai guérie.” Et elle a reçu ce qu’elle désirait, quand elle a touché Ton vêtement. Et Tu lui as dit que c’est sa foi qui avait accompli ceci, Tu as décrit son besoin, et elle a été guérie.

219 La Parole nous déclare que Tu es un Souverain Sacrificateur, qui est assis dans les Lieux très hauts, toujours vivant pour intercéder. Et–et aussi, puisque Tu es le Souverain Sacrificateur en ce moment, Tu peux compatir à nos infirmités. Seigneur Dieu, accorde à toutes les personnes qui sont ici, ce soir, de... le privilège de Te toucher ce soir, Toi, le grand Souverain Sacrificateur, et qu’elles soient guéries. C’est pour la Gloire de Dieu que je Te le demande, au Nom de Jésus. Amen.

220 Maintenant, je ne... Est-ce qu’il y a des cartes de prière? Je–j’ai dit à Billy de ne pas... est-ce que quelqu’un a une carte de prière? Très bien, c’est ça, je lui ai dit de ne pas en distribuer. Je pensais que je serais peut-être un peu long, comme je... oh, je parle tellement. Mais regardez, voyez, et vous m’avez dit, quand j’ai dit : “J’essaierai d’être sorti à vingt heures trente”, vous avez ri, et je–je savais que vous saviez ce que vous disiez. Je–je... mais je–je vous aime. Voyez?

221 Ce que, ce que je cherche à faire, voici ce que j’ai toujours cherché à faire, mon ami : qu’on ne puisse jamais dire : “Frère Branham a fait ceci.” Frère Branham ne peut rien faire. Voyez? C’est Jésus-Christ. Et Celui qui est en moi est en vous. Vous n’avez qu’à croire. Pas vrai? Voyez? Celui qui est en vous est plus grand que votre maladie.

222 Maintenant, combien y a-t-il de gens ici qui sont malades dans leur corps, qui ne me connaissent pas, mais qui croient qu’ils ont assez de foi pour toucher le Souverain Sacrificateur? Levez la main et dites : “Je le crois.” Très bien. Oh, il y a des mains pratiquement partout. Très bien. Combien y en a-t-il ici qui me connaissent, et qui savent que je ne sais rien du besoin qu’ils ont, et qui désirent que Dieu les touche? Levez la main. Voyez? Voyez? Très bien.

223 Franchement, il n’y a personne ici dont je sache qu’il est malade en ce moment. À part ce garçon, qui est assis là, lui, je le connais. J’ai souvent prié pour lui. Son nom m’échappe, mais il vient du Kentucky. Il m’écrit régulièrement, c’est un ami intime de Frère et Soeur Wood, et tout, il va chez eux. Ça fait très, très longtemps qu’il suit les réunions. C’est la seule personne, à ma connaissance.

224 Maintenant, Frère Dauch, pour autant que je sache, va bien, sinon il ne serait pas ici. Il était très malade l’autre jour, et le Seigneur l’a guéri.

225 Je ne connais pas cette personne-ci. Et je ne sais pas à qui appartiennent ces béquilles; peut-être à la personne qui est dans ce fauteuil. Je–je ne sais pas.
Je–je connais beaucoup d’entre vous. Mais Dieu, dans le Ciel, sait qu’en ce moment, je ne sais pas ce que vous voulez. Je n’en ai aucune idée. C’est assez difficile ici, au Tabernacle, parce que, vous voyez, je connais beaucoup de gens.

226 Or, voici ce qui arrive. Quand on va quelque part... Bon, parfois, je viens et je dis : “Très bien, nous allons donner une carte de prière à chacun et les mettre en ligne. Venez sur l’estrade.” Quelqu’un va repartir... Là vous ne pouvez pas...
Maintenant, mes amis, je vais ouvrir mon coeur, et vous dire quelque chose. Vous ne pouvez pas cacher ça. Je sais exactement ce que vous pensez. C’est vrai. Je sais ce que vous pensez. Voyez? Et parfois, vous dites : “Frère, je crois.” Eh bien, dans une certaine mesure, vous croyez. Voyez? Voyez? Je sais.

227 Et ici même, eh bien, en ce moment même, l’onction descend sur moi, vous voyez. Et je peux sentir cette vibration, c’est comme un battement, vous voyez, une pulsation qui vient de différents endroits. Voyez?
Mais maintenant, ne–ne soyez plus dans l’incrédulité. Croyez tout le Message. Croyez-Le. Si ce n’est pas, si ce n’est pas écrit dans la Bible, alors ne le croyez pas. Mais si Ça se trouve dans la Bible, alors le Saint-Esprit qui vit en nous est dans l’obligation de l’accomplir, si nous Le croyons. Pas vrai? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]
Je sais que c’est difficile. Vous voyez, rien ne se fait sans peine.

228 C’était difficile pour Lui de mourir, afin que ceci puisse vous être présenté. C’était difficile pour Lui d’aller au Calvaire; Il voulait rester, à tel point qu’Il a crié : “Que Ma volonté ne se fasse pas, mais la Tienne.” Voyez? Voyez? Il ne voulait pas partir; C’était un jeune Homme, et Il avait Ses frères. Il les aimait, tout comme je vous aime. Mais il n’était pas possible qu’Il–qu’Il vive, et qu’eux aussi vivent, c’est pourquoi Il est mort, pour que nous puissions vivre. Ce n’était pas facile. Il devait le faire. Regardez quelle mort L’attendait : “Père, l’heure est venue, prierai-Je que Tu éloignes de Moi cette coupe? Non.” Il ne voulait pas faire ça; Il voulait que la volonté de Dieu soit faite.

229 Maintenant regardez : si vous croyez la même chose! Or, ne–ne–ne jetez pas d’ombre Là-dessus, du tout. Croyez-le, tout simplement. Croyez-le d’une façon absolue. Ne doutez pas. Croyez-le.

230 Si je fais venir les gens dans une ligne de prière, et que je dis : “Très bien, maintenant, telle personne, vous savez que je ne vous connais pas.

231 – Non, c’est exact, Frère Branham.”

232 Alors là, dans l’auditoire, on va capter quelqu’un qui dit : “Ah oui, mais il lit ce qu’ils ont écrit sur leur carte de prière! C’est de la télépathie!” C’est vraiment ce qu’on retrouve.

233 Ensuite, je dirai : “Bon, eh bien, ce dimanche-ci, nous n’allons pas distribuer de cartes de prière. Je veux que tous les nouveaux venus, ceux qui n’ont jamais été ici auparavant, se lèvent.” Voyez? Et–et alors le Saint-Esprit, tout de suite, Il va discerner exactement ce qu’il y a en eux. Voyez? Pas vrai? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Vous avez vu ça, les deux façons.

234 “Oh, eh bien, il y a quelque chose qui cloche là-dedans.” Voyez? Voyez? Il, il n’y a pas moyen, vous–vous–vous ne pouvez pas... Vous voyez, du moment que Satan peut prendre possession, il va vous faire croire n’importe quoi.
Et il vous montrera tous mes défauts – ça, il peut vous en montrer, j’en ai beaucoup. Mais ne regardez surtout pas à ça! Ne regardez pas à ça. Je suis un homme. Voyez? Mais souvenez-vous, cette Parole de Dieu est la Vérité, et je m’efforce d’aligner ma vie sur Elle.

235 Si je vais quelque part et que je me mets à mal agir, à faire des choses qui ne sont pas bien, à pécher, à boire, et, ou à fumer, ou–ou, à faire des choses qui ne sont pas bien, alors vous–vous, venez me réprimander, parce que ce–ce n’est pas convenable, ça. Je–je voudrais alors quitter ce monde. Je ne... Je voudrais partir, plutôt que d’en arriver là. Voyez? Je ne veux pas faire ça.

236 Mais tant que je m’efforce de mener une vie droite et de faire ce qui est bien, vous voyez, que je m’efforce de mener une vie digne d’un Chrétien, et puis que je laisse Dieu se saisir de Sa Parole, et m’entendre prendre position pour Elle. Même si ça me coûte de nombreux amis ainsi que la popularité de ce monde et ce genre de chose là, d’être haï de beaucoup de gens, d’être mis à la porte des dénominations, peu importe, je veux être fidèle à cette Parole. C’est la Parole de Dieu, et moi, j’aime Dieu. Donc, c’est la Parole de Dieu, et ce que je–je vous déclare, c’est “qu’Il est le même hier, aujourd’hui, éternellement”, et qu’Il est en nous, maintenant. Et si...

237 Or, si la vie de Shakespeare était en moi, vivante en moi, si Shakespeare vivait en moi, n’est-ce pas que je ferais les oeuvres de Shakespeare? Si Beethoven était en moi, n’est-ce pas que je ferais les oeuvres de Beethoven? Si l’esprit de Dillinger était en moi, si John Dillinger vivait en moi, n’est-ce pas que je serais un John Dillinger? Si Beethoven était en moi, que je serais un Beethoven? Voyez? Si Castro était en moi, que je serais un Castro? Voyez?
Et si Jésus-Christ est en moi, je ferai Ses oeuvres, parce que c’est Lui. Et n’est-ce pas qu’Il a dit que c’est exactement ce qui arriverait? Voyez? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]

238 Maintenant, s’Il se tenait ici, qu’est-ce qu’Il ferait, s’Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement? Il dirait : “Je ne peux faire que ce que le Père Me montre.” Pas vrai? Eh bien, c’était Sa façon de procéder, hier.
Maintenant, est-ce qu’Il est le même? Qu’en est-il de la maladie? Le prix est déjà payé pour vous. Chacun de vous est déjà guéri de sa maladie. Pas vrai? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] En effet, là... Chacun de vous est pardonné, mais vous devez l’accepter. Chacun de vous est guéri, mais vous devez l’accepter.

239 Maintenant, pour prouver qu’Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement. S’Il se tenait ici, Il ne pourrait pas vous guérir du tout, si vous avez de l’incrédulité. Il vous faudrait le croire, tout comme il vous faut le croire en ce moment. Ce serait la même chose, forcément, vous voyez. “En effet, il y a beaucoup de miracles qu’Il ne put accomplir, à Son époque, à cause de leur incrédulité.” Pas vrai? Il y a beaucoup de miracles qu’Il ne peut accomplir aujourd’hui, à cause de l’incrédulité.

240 Or, celui qui a pu prédire cela, c’était Qui? Dieu. Celui qui a dit ceci, c’était Qui? Dieu. Celui qui a fait cela, c’était Qui? Dieu. Celui qui a dit où il y aurait l’ours, le cerf, le caribou et toutes ces autres choses, et les sept... toutes–toutes ces choses qui sont arrivées, c’était Qui? Celui qui a dit ces choses, c’était Qui? Christ, Celui qui est en nous, qui prophétise Lui-même à travers nous, qui Se révèle, montrant qu’Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement.
Qui a arrêté les vents? Qui a créé les écureuils? Celui-là même qui avait créé un bélier pour Abraham, quand son... il L’a appelé “Jéhovah-Jiré”. Ces noms composés en rapport avec la rédemption s’appliquent toujours à Lui. Il est toujours Jéhovah-Jiré : “L’Éternel peut se pourvoir Lui-même du Sacrifice.”

241 Maintenant, chacun de vous, je–je vous demanderais d’être profondément sincère en ce moment. Si vous croyez vraiment de tout votre coeur, il n’y aura pas une seule personne de faible au milieu de nous d’ici le moment où cette horloge aura avancé de cinq minutes. Il n’y aura pas une seule personne ici qui ne sera sur pied, rétablie, si vous croyez, tout simplement. Pouvez-vous croire?

242 Maintenant, voyons s’Il va s’approcher de nous maintenant, et Se révéler, tandis que nous inclinons la tête.

243 Seigneur Jésus, aide-moi maintenant. Et je T’obéirai, Seigneur, de mon mieux. Pardonne mes péchés et mes offenses. Je fais cette prière au Nom de Jésus. Amen.

244 Maintenant, prenons ce côté, ici, quelqu’un dans cette section-ci. Croyez, ayez la foi, ne doutez pas! Quelqu’un qui ne me connaît pas, si possible. Je ne sais pas où va la vision. Il faut que je guette Cela, simplement. Et si C’est ce qui se produit, alors vous saurez si c’est vrai ou pas. Croyez seulement, et ne doutez pas. Et s’Il le fait, allez-vous croire, voyez, après tout ce qui a été accompli aujourd’hui? Voyez? Acceptez simplement votre guérison, vous voyez. Dites : “Seigneur, je touche maintenant Jésus-Christ. J’y crois.” Maintenant, puisse le Dieu du Ciel l’accorder.

245 “Celui qui est en vous, Christ, est plus grand que celui qui est dans le monde.” Or, à la réunion, au moment où nous Le touchons, Il réagit en exprimant Son Être; de même que la femme, à travers Christ, avait touché Dieu, qui a réagi en lui exprimant ses besoins.

246 Je vois maintenant, dans le coin, ici, d’après ce que je vois, c’est un homme, dans un état très grave. Non, ce n’est pas ça. C’est une femme qui prie pour un homme, et cet homme n’est pas ici. Mais c’est une femme. Et je vois que cette femme... Il s’agit de son–son père, et il se meurt du cancer. Et il est dans un état très grave. Cet homme n’est pas ici. Il est ailleurs. Ce n’est même pas dans cette région. C’est, il est en Géorgie.
Continuez à prier. Croyez-vous maintenant de tout votre coeur? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Continuez à prier, vous voyez.
Le nom de la dame qui est en train de prier, c’est Madame Jordan. Elle ne vient pas de la Géorgie. Elle vient de la Caroline du Nord. Si c’est exact, madame, levez-vous. Exact, absolument la vérité. [La soeur dit : “Merci, mon Dieu! Merci, mon Dieu!”–N.D.É.] Étiez-vous en train de prier pour ça? [“Oui, monsieur; pour mon papa.”] Très bien. Très bien. [La soeur ajoute quelques commentaires au sujet de son père.]
Croyez-vous que “Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde”? [La soeur dit : “Oui, je le crois.”–N.D.É.] Croyez-vous que Celui qui...

247 Regardez, voici quelque chose d’autre. Vous avez reçu une importante formation, ou quelque chose, dans vos jeunes années, parce que, d’après ce que je vois, vous êtes impliquée, ou bien vous faites partie de quelque chose en rapport avec le Christianisme... Votre père, ou quelqu’un comme ça, est ministre, n’est-ce pas, quelqu’un de votre famille, ou quelque chose comme ça? [La soeur dit : “Mon mari.”–N.D.É.] Votre mari, c’est ça. Je vois quelqu’un près de vous, en train de prêcher l’Évangile, et vous étiez dans une église. Il vous était apparenté. [“Gloire au Seigneur!”] Très bien, voilà.
Or cette dame, je ne la connais pas, mais Dieu connaît cette femme.

248 Maintenant, avez-vous quelque chose dans votre sac à main, un petit mouchoir ou quelque chose d’autre? Très bien, alors, pla-... Quand vous vous rassoirez, posez vos mains sur ce mouchoir, et ne doutez pas; Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est en train de faire mourir votre papa. Croyez de tout votre coeur, et il vous sera fait comme vous l’aurez cru.

249 Maintenant, je veux vous poser une question. Je ne connais pas cette femme. À ma connaissance, c’est la première fois que je la vois, je pense. Mais elle est assise là dans un état désespéré, et elle prie. Et le Dieu même qui a pu se retourner et dire à cette femme qu’elle avait une perte de sang, est le même Dieu qui est ici, démontrant que Celui qui est en vous a vaincu le monde. Vous croyez? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Il vous suffit d’avoir la foi, ne doutez pas.

250 En parlant de cancer, je vois de nouveau cette ombre noire. Elle est au-dessus d’une femme qui est assise juste ici. Elle a un cancer de la gorge, et elle est très mal en point. On a déjà prié pour elle, et elle essaie d’accepter sa guérison. Madame Burton, si vous croyez! Je ne connais pas cette femme. Mais si vous croyez de tout votre coeur... En fait, la chose...
Laissez-moi vous expliquer ceci, voici ce que vous essayez de faire. Vous avez perdu la voix à cause de ça, et vous essayez de prier pour que votre voix revienne. Pas vrai? Faites signe de la main, comme ceci. Or, cette femme m’est inconnue. Je ne la connais pas. La voyez-vous? C’est vrai. Là, la voilà. Voyez? “Celui qui est en vous, la foi qui peut Le toucher, est plus grand que celui qui est dans votre gorge.”
Vous croyez de tout votre coeur? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]

251 Soeur Larsen, vous, je vous connais. C’est ma propriétaire. Mais, Soeur Larsen, vous êtes allée chez le médecin, ou quelque chose, il y a quelque chose. Vous devez bientôt subir une opération. C’est exact. C’est exact, n’est-ce pas? Celui qui est en vous, Soeur Larsen, est plus grand que celui qui est dans le monde. Jésus a dit : “J’étais étranger, et vous M’avez recueilli. Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits d’entre les Miens, c’est à Moi que vous les avez faites.”
Ô Père Céleste, sois miséricordieux!

252 Vous, qu’est-ce que vous pensez? Vous aussi, vous devez bientôt subir une opération. Vous m’êtes inconnue. Pas vrai? [La soeur dit : “Oui.”–N.D.É.] Vous n’êtes pas d’ici. [“Je vous connais, mais vous ne me connaissez pas.”] Vous me connaissez, mais je ne vous connais pas. [“Vous ne me connaissez pas.”] Mais Dieu vous connaît. Le croyez-vous? [“Oui, je le crois.”] Vous devez bientôt subir une opération. Vous n’habitez pas ici. Vous habitez près de Bedford, Springville, quelque chose comme... C’est ça, Springville. Madame Burton... Non, non, je vous demande pardon, je ne voulais pas dire ça. Madame Parker, c’est comme ça que vous vous appelez. N’est-ce pas? Celui qui est en vous est plus grand que celui qui cherche à vous faire mourir. Pas vrai? Croyez-vous de tout votre coeur? Dans ce cas vous n’aurez pas besoin de cette opération, si vous croyez.

253 Qu’est-ce que vous pensez de tout ça, soeur? Je ne vous connais pas. Vous m’êtes inconnue. Croyez-vous que je suis Son prophète? [La soeur dit : “Je le crois.”–N.D.É.] Vous le croyez. Merci. Dieu honorera cela. Vous êtes Madame White. Vous venez de Fort Worth, au Texas. Vous avez une maladie musculaire, et de la nervosité. Vous êtes très mal en point. Il n’y a pas d’espoir pour vous, du point de vue médical. Votre mari, lui, a un besoin spirituel pour lequel il prie. Vous avez là un fils, qui souffre du dos et d’une maladie de coeur. Vous avez un petit garçon, qui est assis sur ses genoux. Ce petit garçon a un problème d’élocution pour lequel vous priez. Si c’est exact, levez la main. [Le mari dit : “C’est exact. Ce sont nos besoins.”]
“Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.” Le croyez-vous? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] De tout votre coeur? [“Amen.”] De votre coeur tout entier? [“Amen.”]
Maintenant inclinons la tête.

254 Maintenant, Il a traversé le bâtiment. Il vous a prouvé qu’Il est Dieu. “Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.” C’est le Seigneur Dieu. Maintenant, laissez Celui qui est en vous avoir la prééminence. Laissez-Le avoir le dernier mot sur–sur ce que vous...
Dans votre coeur, dites maintenant même, si vous le pouvez, de tout votre coeur, et croyez-le : “La maladie qui était dans mon corps a disparu.” Voyez? “Je ne suis plus affligé. Je n’ai plus de maladie. Celui qui est en moi est plus grand que celui qui est dans mon corps. Celui qui est dans mon coeur est plus grand que celui qui est dans ma chair. Donc, Celui qui est dans mon coeur a créé les cieux et la terre. Ma chair a été contaminée par Satan, et je suis un temple, une demeure pour le Saint-Esprit. C’est pourquoi, Satan, je t’ordonne de quitter mon corps. Au Nom de Jésus-Christ, sors de moi.” Voyez? Le croyez-vous? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]
Maintenant prions tous, chacun à sa façon, maintenant, chacun, pendant que je prie pour vous.

255 Dieu Tout-Puissant, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la vie, Toi qui révèles les secrets du coeur, Tu as dit : “La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants, et Elle discerne même les pensées de l’esprit.”

256 C’est pour cette raison que, quand la Parole a été faite chair, Celle-ci savait ce que les gens pensaient, alors qu’Il connaissait leurs pensées. Il était la Parole, et la Parole connaissait les secrets de leur coeur.
Et cette Parole est toujours la même Parole. Et ce soir, nous La voyons Se révéler en nous, après deux mille ans; en effet, Il L’a écrite sur papier, et Il est ici, en train de confirmer, de démontrer qu’Elle est vraie.

257 Il y a des mouchoirs qui ont été posés ici. Il y a des malades partout. Je prie que le grand Saint-Esprit qui est présent, qui montre ces choses, qui annonce ces choses et, sans jamais faillir, c’est toujours exact, Ça ne peut pas faillir, pas une seule fois, puisque C’est Dieu. Qu’Il oigne ces mouchoirs de Sa Présence, et guérisse tous les malades sur lesquels ils seront posés. Et le Dieu qui est toujours vivant après deux mille ans, qui peut se façonner dans le coeur de pécheurs rachetés par la grâce et par la foi, et qui peut prononcer Ses propres Paroles à travers les lèvres d’un être mortel, et regarder la chose arriver, exactement ce qu’Il avait promis.

258 Ô Seigneur Dieu, je Te demande d’être miséricordieux envers nous. Que tous les hommes et toutes les femmes qui sont ici présents, qui auraient quelque maladie ou quelque affliction; comme Moïse s’est jeté dans la brèche pour les gens, ce soir je répands mon coeur devant Toi, Seigneur. Et avec toute la foi que j’ai, ma foi en Toi, que Tu m’as donnée, je la leur donne. À l’exemple de Pierre qui a déclaré, à la porte appelée la Belle : “Ce que j’ai, je te le donne. Au Nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et marche.” Et l’homme est resté boiteux et–et faible quelques instants mais, pendant qu’ils le soutenaient, ses chevilles devinrent fermes. Et il est entré dans la Maison de Dieu, en sautant, et en louant et bénissant Dieu.

259 Tu es le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Et Son apôtre a déclaré : “Ce que j’ai, je te le donne.” C’était la foi. De même je déclare : ce que j’ai, je le donne à cet auditoire! Au Nom de Jésus-Christ de Nazareth, rejetez votre maladie, parce que Celui qui est en vous est plus grand que le diable, qui cherche à vous ôter la vie. Vous êtes des enfants de Dieu. Vous êtes les rachetés.

260 J’ordonne à Satan de quitter ces gens. Puisse le Dieu qui a fait reculer cette tempête l’autre jour, le Dieu qui a fait cesser les vents et les flots, puisse-t-Il veiller à ce que chaque maladie se retire de ces gens, et que la puissance de Christ se manifeste dans leur vie à l’heure même. Puisse chaque pécheur se repentir. Puisse chaque personne qui n’est pas proche de Toi se mettre en ordre à l’heure même. Qu’il en soit ainsi, au Nom de Jésus-Christ.

261 Moi, en tant que votre pasteur, que votre frère, avec la foi que j’ai, j’ai demandé à Dieu de la placer en vous. Je crois que je recevrai ce que j’ai demandé. Maintenant, si vous le croyez avec moi; avec la foi que j’ai, je vous la donne, pour cette heure.
Et maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, rejetez votre affliction, votre maladie, et dites-lui : “Tu dois partir”; en effet, vous avez votre foi, plus ma foi, de même que la puissance de Jésus-Christ, dont l’omniprésence est ici pour le confirmer et pour prouver qu’Il est ici – Il vous rétablira en ce moment.

262 Le croyez-vous, madame, vous qui êtes étendue sur ce lit de camp? [La soeur dit : “C’est exact.”–N.D.É.] Bien que vos muscles soient dans cet état-là, ce qu’ils appellent une sclérose, et tout ça, vous pouvez marcher, si vous essayez. Levez-vous, au Nom de Jésus-Christ. Aidez-la. La voilà qui marche. Vous croyez, n’est-ce pas? Tous les autres, levez-vous. Ses chevilles sont devenues fermes.
Maintenant, levons les mains et donnons-Lui la louange.

263 Grand Dieu Jéhovah, au Nom de Jésus-Christ, nous nous en remettons à Toi pour la guérison. Amen.

1 Thank you. The Lord bless you. Let's just remain standing, just a moment while we pray. Let's bow our heads now, and all that'd like to be remembered in this prayer, raise your hands and say, "God, it's me."

2 Most holy and gracious God, we bring this people before You with the requests that they have. They asked to be remembered; and, Lord, my hand up also. I pray Thee to be merciful to us. Thou knowest our needs, and we would pray as You have taught us to pray: Thy Kingdom come. Thine will be done on earth, as it is in heaven." And, Father, we would ask tonight for mercy, and for liberty of spirit, that we might be able to bring to the people the Gospel truth, and the--what we believe to be the message of this hour for Your Church; Lord, praying that we are a portion of that Church that's to be called out in the last day. And, Father, if we are not that portion, then reveal to us what we must do to be that portion, and give us grace, power, in this trying hour that's upon the earth to try all them that dwell here. Give us of Thy Holy Spirit to lead us and guide us, that we might finally, at the end, come to Thee in peace for that Eternal Life that all believers has looked forward to since the beginning of time. Help us, Lord. We ask in Jesus' Name. Amen. (You may be seated.)

3 I am indeed grateful for the privilege of being out here tonight--tonight and for the grace of God that's been given to us through Jesus.
And then, about the--the message this morning... And now, I want everyone to thoroughly understand. Now, I am trusting to God that it isn't that time. See? But the message is true. The message is true. It will--it will be sometime, if this isn't that time. And it looks so much like the time, till I felt like Paul of old, who said, "I haven't shunned to declare to you the whole counsel" (See?), everything that's to be done.

5 There was one thing that I did, this morning, that I'm sorry that I said it. I--I called a brother's name that I think is in error. I shouldn't have done that. I never call a person's name. And if the tape would happen to fall in his hands, and I--I want to see him and talk to him, because I think the brother, a great man, a good man, that's preached right here from the pulpit, Brother David duPlessis. And I didn't mean to call his name; I was worried about the message and so forth, about whether "what if it is this time?" and I called the brother's name. I don't do that. I'm sorry I did it. I love Brother David duPlessis. He is our brother, and I--I do think that a smart man like that should be more instructed in the Scripture.

6 I tell you what it is. It's... The talk that David and I had, he once spoke for me in the meetings. He preached right from this pulpit, or in the old church, right here from the pulpit. And his brother, Justus, was my interpreter in South Africa, where I'm returning. And they're out of a fine family, a Pentecostal home, a real fine person. David was, I believe, the chairman, at one time, of the World Pentecostal Assemblies, and at the Pentecostal World Conference. He was one of the chairmen. And later he come to the United States and settled in--out in Texas with Brother Gordon Lindsay, and then just started preaching around different places.

7 But what it was, where I think that our precious Brother made the error, just like I'm subject or anyone else, he started dealing with the ups-and-ups. He kept talking about the Princeton University and the places that was inviting him, thinking that he was doing what was right, and was feeding fodder right into the machine. See? And such rejoicing... And not only that, but the Full Gospel Business Men which sponsors my meeting worldwide--wide... See? I--I love those man (See?), but I certainly don't agree with them upon the principles that they--they are--they're... They have--they have left from where their principles they started, and now becoming just like any other organization or anything. See? And what it is, they're not trying to remain Pentecostal, but they're trying to mix Pentecost and the rest of it together.

8 And looks to me like that Brother duPlessis, a wonderful, fine man like that, would know enough about the Scripture that when he sees the sleeping virgin trying to buy oil, the time is passed. See? Remember, when she came to buy oil, there was no oil left. That's the Scripture. And she said, "Give us of your oil," to the church, but she did not receive it. She might jump up and down, speak in tongues, and whatevermore, but according to God's own Word, she did not receive it. See? And she was out into outer darkness, and there was weeping, wailing, and gnashing of teeth, when the elected Bride had done gone in; the--the wise Virgins had oil in their lamp.

9 Now, I--I know another man, something that happened just the other day... What it is, it's these fine people (See?), getting a little, you know what I mean, a little hold among the people. And the first thing you know, they feel that that's God doing that. And many times, that's the Devil doing that. See?
Jesus had a chance to come before Herod; He had a chance before many, and they wanted to use Him for showmanship. See? That's all they're trying to do with Pentecost. Pentecost come out of those things, to be different, and like a hog to its wallow and a dog to its vomit, turns right back again, and now in the Ecumenical Council. See? It's too bad. It's a shame.

11 God, keep me little and humble so that He can reveal His truth. See, I never want to do that. No bright lights, no flare and flash of the world; let me take the way with the Lord's despised few. Let me stay with the Word.

12 Now, talking about the Ecumenical Council consolidating with the Vatican... Do you believe that they could consolidate on the Word? They might in organization, but they can't on the Word. See? That's right. So there's nothing to compromise. See? A organization, it's all the same (See?), everything the same. It's perfectly in line: mother and daughter. But when it comes to this Word, I'm just as firmly against Methodist, and Baptist, and Presbyterian, as I am against Catholicism, 'cause it's mother and daughter according to this Word. It's this Word that I stand by (See?), This, every Word of It.

13 Now, this precious brother, he and his wife are my close friends. Many of you seen the magazine where how that that precious, God-sent brother could ever let his wife... Somebody told her she looked like Jacqueline Kennedy, and she bushed up a--one of them great big haircuts, and then... What is it? She associates with them kind of people, all the time, and finally... A good man taking a bad woman, she'll either become a good woman... Or, I mean, a good man taking a bad woman, she'll either become a good woman or he will become a bad man. Show me your company; I will tell you who you are. See? Birds of a feather, flock together. Keep away from shiny stuff.

14 I climbed down in a mine, the other day, way in the top of the mountains on the Arizona and--and Mexico line; Brother Sothmann and I (setting here) was up there together. And I got in there and dug out a bunch of what... It looks just exactly like gold. But the only way you can tell it isn't gold, it shines better than gold. It shines; and gold does not shine; it glows. See? And what it's called, it's fool's gold. It's not even worth as much as the rock that it's in. It's called iron pyrite. I think in the--the--the scientists claim that the waters and the leaking acids and things never got there quite enough to harden it and bringing it into a place to make it gold; so it--it shines better, but it don't have the chemical in it. And that's just the way a lot of make-believe Christianity is. See? It'll shine, and like Hollywood; but the Church glows with the Gospel. See?

15 Now, some sister here, Billy just showed me, was nice enough to go get this Life magazine, this picture, and blow it up, of that... of this--of the seven Angels, and had it taken and sent to me. That is the picture. And now, if you'll notice here, as it was a-leaving, ascending back, when the Angels had brought their message, it was in the form of a pyramid, just exactly what I told you three months before it happened, the way it would be. Is that right? And the notable Angel, with His wings back on the side, back, laying back, you remember me, said, "He had His head... coming to speak." Don't you even see the wings there? And there's the Angel there, just exactly the way it was said.

16 Now, only God can do that. They have a photograph laying here too, of a woman that said... Many times, people say... In the discernment, say, "This person is shadowed to death, a dark shadow."
They say, "Well, he just said that." See, that's the people that can't go all the way; they can't see that. They can shout with you; they can--they can talk with you; but when it comes to really believing all whole soul and body, they can't do it. So, but you see, if God is in it and telling the Truth, this is the last time of history. This is the last of the world's history. It's closing. There'll be time no more, someday. God is confirming everything both spiritually and scientifically.
When I said, a little boy, "A Pillar of Light, looked like a star..."

20 How many remembers, old times, they used to can it "Star"? When It appeared down here on the river, when He said, "As John the Baptist was sent..."
Now, finally, That come down and the picture was taken of It at... We used to have one here somewhere. Yeah, they say it's over on the corner, I can't see it. Scientifically proves that's the truth.
And now, and saying the people were shadowed. Now, here was a woman, a photograph. There it is, regular, just like any other photograph, like one taking this one, a machine. I said... (a person was wondering about that)... and said to the woman, "You are shadowed to death with cancer. There's a dark shadow." She turned and took the picture. The woman's been here to testify, and may be here yet tonight for all I know. See? Now, there is the woman with like a black hood over her. All right, now, there is the scientific proof that that is the truth. And immediately after the woman was pronounced well, they took the picture, and it wasn't there. What struck the lens then? And what left that didn't--wasn't on the lens when it was pronounced that she was healed? See?

23 Now, standing here, told you that the Angels was coming. Brother Fred, being one... (I seen Brother Fred awhile ago. I thought he was right over here, but I've missed him somewhere. Oh, back here, that's right.) He was standing within a--a two mile, or a mile and a half, or two mile of where I was, heard the explosion, felt the rock and everything else, when it went off. That right, Brother Fred? And there went the Angel that sent back with them message. And here it even is in the pyramid form, as I showed you what it would be in here, told you how they'd be standing before I left. Photograph after photograph across the country took it, plumb into Mexico, be thirty miles high and twenty-seven miles across it. And it's so high that even moisture or nothing can... Moisture don't travel over about eight or nine miles high. Then you's out to a place where there's nothing to make moisture. See? And this was, I think it was either twenty-seven miles high and thirty miles across it, or either it was--it was twenty--thirty miles high and twenty-seven miles across it, one or the other. The "Life" magazine packed it, or "Look." Which was it, "Look" or "Life"? "Life, Life" magazine. I think, May the 17th, issue. That's it.

24 Now there it is, scientifically, proof that it is the truth. So therefore we--we don't worry about whether it's truth. Both scientifically and spiritually, and what was said come to pass. So the message of the Seven Seals, in their closing, that's the message of the entire Bible. The Seven Seals closes the New Testament and sealed it up, that is true. Now, we know that that is by prophetic utterance, by scientific, and by the Word. Three has give the witness to it, that it's the truth.

25 Therefore, we know that we're at the end time; we're here. I don't know how far away; I--He--I... He will never let us know that, because His coming will be as a thief in the night. But, friend, my brother, sister, let's us be ready regardless. Let's just chaste ourselves. See, because the world will go right on. They'll never even know it's happened. When the doors of mercy's closed, preachers will be preaching salvation, be (See?), causing people to repent, going right on just like it always did. It did in other ages and it did in--it will in this age. And the rapture will be so sudden and so quick that the world will never even miss them, that they're gone. That's right. They'll know nothing about it. He comes and slips Her away. It'll be gone; they know nothing about it. So be in prayer. Pray for me. I pray for you. We don't know when that hour will be, but we believe it'll be soon. And stay away from shiny things. Stay with the Gospel. See? Stay right there now and pray.

26 Now, Billy wrote me a letter here, or a note rather, and said someone wanted to dedicate a baby. If that's right... Is it? Raise up your hand, if some... Yeah, two babies. All right, bring them up that way. And Brother Neville... And I wonder if our sister at the piano would come over here just a moment for baby dedication. We don't want to leave out any...
Now, remember, by this time tomorrow night, the Lord willing, I'll be in New York City and we're going there on the battlegrounds to fight the good fight of faith.
So just right here, sister, if you will, right here in front. I'll pick them up. Now, you are... Thank you.
And now, we are... How many will pray for me? Now, if God is willing, which I hope He is, Sunday, a week (if it's all right with Brother Neville)... Sunday, a week, I'll be back again on my road to Louisiana, and stop over for a meeting here at the church.

30 I want to thank you all for your kindness. That lady that sent me that candy up there, I--I appreciate that. Don't know who the lady was, someone sent me a box of candy and some little puffballs like that. It was really, really delicious. I'm filled up on it right now, and I--I thank you. And you think them little things don't mean much? It sure does; little token. And different ones handing me their little love gifts, and showing Billy Paul; and giving them, and things. I--I get it (See?); you don't know how I appreciate it. God bless you. I'll remember it (See?); how much more does He remember it. "Insomuch as you have done unto the least of these, My little ones, you have done it to Me." See? Now, mercy will be shown when mercy is given.

31 Now, we have some fine little fellows here. Would you... I want you stay there and sing "Bring Them In," afterwards. All right, you brothers come up here just a minute.
My, here's a fresh one: a little pair of brown eyes looking at me with a big cute smile. Little girl? What's it's... Sharon Rose. That's a great name to name her, after my little girl that's gone on. Named it before she was born; if it's to be a little girl, you was going to name it Sharon Rose. [We was sure she was going to be a girl. She had to be--Ed.] Had to be... You know what? I don't know that you know it or not. If my wife was standing here, she'd probably almost faint. This is the same kind of a dress that my little girl had at the dedication, little Sharon Rose. This one maybe... May this one live, where God taken mine out of... What's your last name. Mrs...?... Are you from here in the city? Chicago. Brother and Sister Goodman, God bless you.

31a You know, my little Sharon looked like that. I don't guess there's anybody here remembers her by how she looked. She had little a--brown eyes like that, like her mother, real sweet, little girl with dark hair, just about... How old is the baby? Five months. She was eight months when God called her up. I seen her a little after that. You know the story. You have it at home on a tape.
Sharon Rose comes from the Word. I turned it around from the Rose of Sharon. And He needed a little one of them on His altar, so He took her. See? And I'll be with her again. May your little Sharon live to fulfill the life that she would've lived here on earth. And may she be with you in glory as I feel that my Sharon would be with me.

31b How do you do...?... You talk about a friendly little thing, look at this. She's just all smile. Let us bow our heads.
Dear God, as I hold this little treasure, a little Sharon Rose, You know in my heart, Lord, what I'm thinking, so I don't have to express it. Blessed be the Lord God Who gives these little jewels to our heart. Bless this Goodman home. May the parents be honored, which they are, to have such a jewel in home. May it remain in their home, Lord. And if there is a tomorrow, may it get a honorable woman for tomorrow.
And now, Lord God, in obedience to what You commissioned us by Your example to do, You took little children in Your arms and blessed them, and said, "Suffer little children to come to Me." When they bring the baby to me, being Your servant, as You have said Your servants to carry on Your work... And here stands Your servants, Brother Neville, and Brother Capps, and myself...
And now, Lord God, from the arms of the father and mother we give to You little Sharon Rose Goodman, who we dedicate for a life of service, in the Name of Jesus Christ. Amen. God bless you. Five little ones besides this, how sweet. God bless you Brother Goodman. God bless you Sister Goodman, and may the Lord bless the little Sharon.

31c How do you do, brother. Now, let's see. I--I... Arnette, Arnette... That's right. Is that right? William? William Arnette, James William Arnette, that's a fine boy. You know, some things we have in common, he and I already: names, and then we part our hair alike, just as plain...?... He's a fine boy, Jimmy? Guess that's what you call him, James? James, James. All right. Wonder if I could hold him. I don't know now; I...?... Remember we're real buddies. You know that, don't you? Well, let us bow our head.
Lord God, Thou has blessed this home of the Arnette home, with this fine little boy. And I pray that You'll bless his father, his mother, his loved ones. They are Christians. How that his father fought so hard, them cigarettes and different things. From one day it come through, "THUS SAITH THE LORD..." He was like the woman that was persistent that she was going to get there. Although his business failing him; everything seemed to be failing, he still taken a portion of his money and waited for interview after interview till one morning it happened. He believed that it would.
Now, he brings this little boy that You have blessed him with, O God, the fruit of their union. I bless this little James William Arnette in the Name of Jesus Christ. Give him a long life. Make him a worthy man of Your Gospel for tomorrow, if there is a tomorrow. And finally, in the Kingdom that is to come, may we be there together. I, as Your servants, we lay our hands upon him and dedicate him to Jesus Christ for this life of service. Amen.

31d Bless you...?... Got two more? Oh, these are the same ones. All right. I believe you could almost take me instead of me take you. Now, this is Alvin, and Al, and Martha. Just let the congregation... I like for you to see children. I think when they're little and young, they're sweet. Now, let's lay our hands upon them. Likewise, Almighty God, we, Your servants, lay our hands upon these children, the little brother and sister of this little boy that's just dedicated here. We lay our hand upon them for a--a dedication from the mother and father to the arms of Jesus Christ for a life of service, in the Name of Jesus Christ. Amen.
God bless you...?... It's been nice seeing you again now. Lord be with you...?...

31e Is this young fellow, my, he's a good boy. I used to be able to part my hair like that. What's his name? Terrell Keith Walker. What a fine boy. I wonder. I just don't know. He looks at me kinda like he might... Wonder if I could hold him. Is that right, Keith? Oh, he's a fine boy. Isn't that a darling little boy? Harrell? Terrell--Terrell Keith Walker.
Almighty God, from the arms of the parents to the arms of Jesus Christ, little Terrell Keith Walker, we lay our hands upon him in dedication to Almighty God, as the father and mother so desires that this baby shall be raised in the admonition of God. If there is a tomorrow, make him a servant worthy of this dedication, for we, Your servants, lay our hands upon this baby and dedicate him to the Lord Jesus Christ. Amen.
Bless you, brother and sister. Is this Sister Walker? It's really fine. You got a fine boy and may God bless him.

31f All right, sir. [The brother has a conversation with Brother Branham--Ed.] Yeah. This little girl is... Brother Grimsley, our... Grimby. I--I get that mixed up. I got a Brother Grimsley; I can't think... Brother Grimby brings this little girl. And when she was born, she had a big knot in her face. And I prayed for her and the knot healed. And now... They want to pray because... Is the parents Christians? They're not Christians, and they're afraid that a evil spirit is taking the child over. And they want it moved.
Let us pray. Lord Jesus, upon this little child, as it leans over the altar, which You've showed grace to remove a tumor knot in it's mouth... Now a evil spirit tries to take the child's life. No doubt but what You could use this girl and planning on doing, and Satan is trying to beset the plan. Therefore, we charge Satan, in Jesus Christ's Name, to take his--his hands and hisself away from this child. We give her to the Lord Jesus Christ for the glory of God. Amen...?... then would you believe in the...?... The child's too little to hardly have faith, but it'll be...

32 I love Him. Don't you? He is wonderful. Now, everybody, I promised tonight that I would be out by eight-thirty, so that gives me a half hour. I don't know now, about that; I may be just a little bit later than that. But let us now...

33 I'm glad to see Brother Dauch here this morning. And I don't know where the other man went; but this morning, if he ever had a second, there was a man setting right back there, was a perfect second to him. I said, "Which is Brother Dauch?" I looked back and forth, and I was going to name him; I was so wrapped up in the message. You know, Brother Dauch, you look just like you always did. I'm so glad to see him in that condition.
Just recently, I had a long distance call from Tucson, to pray for him again, that something else had happened to him. Brother Dauch is, I think, ninety or either ninety-one. He's ninety years old, I believe, or ninety-one. And your body gets run down, but "Many are the afflictions of the righteous, but God delivereth him out of them all." And sometime when the body gets to a place to where it will not anymore hold together, I know he's holding to a hand. Though a clod of dirt, God promised to raise it up again in the last day. And I'm so thankful.

35 I remember Brother Dauch, when he come into the pool here to be baptized in the Name of Jesus Christ, and he didn't even have any clothes here to be baptized in, but wanted to go anyhow. And God has been gracious to that man. Just think, he's twenty years over the time that God promised. See? If that isn't grace... And still laying, the other day, with a complete heart failure, and a heart attack (See?) on top of that. And if God didn't heal that man and bring him up again. I believe...?... And I believe since then his physician has died. Is that right? I under... Yes, they... Even the physician, a Jewish physician that--that was doctoring him and things, and stood in the hall and talked to me about him, he's done gone on. See? My, how much... How deep is Thy love, O Lord. How great is Thy love.

36 Now, we have some handkerchiefs here that we're going to pray over just in a few moments, but I'm going to speak to you a little bit on faith. And then we'll see what the Lord leads, what we're going to do from then on. Well, let's just leave it up to Him; that's the best way.
Oh, to be setting together in heavenly places. I spoke to some of my friends today after I come out of the Blue Boar over there. And I said, "You going to stay for the service?".
"Yeah."
I said, "You'll probably have to drive till twelve or one o'clock." They expect to get home around six in the morning, long ways away. Remember, they're human, and get tired just like you. Way down in Tennessee and around, they're going. The Lord bless them.

40 There's so many things I could say, I'd just take up all the time, but I--I don't get to see you so often, and I--I--I just love to talk to you somehow. But if I don't get to tell you, all I think about you, here... See? I want to tell them brothers; some of them dismissed their churches.
Brother Jackson here this morning give that beautiful interpretation of the--of an unknown tongue that some brother spoke in, and confirming or backing up that it was God. Did you notice, He never said it wasn't wrong; He never said it wasn't so; He just give warning to listen. See, see? So Brother Junior was here this morning and dismissed his church; and I understand that other of the brothers from down in the other churches from here at Sellersburg.
And--and Brother Ruddell, he was here this morning. I don't know whether they're here tonight or not, or... Here again tonight... Well, the Lord bless you, Brother Ruddell, and I just can't express it, just what I think. But maybe... When we get over on the other side, I want to set down with you for just ten thousand years apiece. See? So we can... See, we'll talk it all over.

43 And while the harvest is ripe and the laborers are few, let's dig right into it, by chance there might be a sinner setting by. There might be someone that tonight might change the whole course. And if it wasn't the time this morning, tonight might close the books. Remember, there will not be one more come in when them names are redeemed. Before...
Now, everybody listen real close, 'fore I read the Scripture. All that ever would be redeemed, God put their name on the Lamb's Book of Life before the world ever come into creation. How many know that? That's the Scripture. And the antichrist in the last days, is going to be so close like the real thing, real Church, everything just like Judas was, until it would deceive that very elected if it was possible. Is that right? But no man can come to Jesus except God sends him. And all that God did give to Him, will come to Him. And when He takes that Book, the last name...

45 See, all in the Lutheran age, He pulled them out. All in the Wesley age, He pulled them out. All in the different ages, the Pentecostal age, He pulls them out. They're over here, won't be judged with them, they're rapturing. And then, when the last name comes out, that was put on the Lamb's Book of Life, that was slain before the foundation of the world; when that last name has been redeemed, His work is finished. He comes forth to claim what He has redeemed. That makes our heart bleed. But if it went on a thousand years later, there would not be one redeemed. And no one can be redeemed unless they were put on the Lamb's Book of Life before the foundation of the world. Who are they? I don't know. Nobody else knows (See?), just God alone. I'm trusting that every one of us, our names are on that Book. If mine was on there, I'm sure to be there. If it wasn't, I won't be there; that's all. See, it's just--that's just up to God. "It's not him that willeth, him that runneth, but God that showeth mercy." See?

46 Now, let us now approach the Word with all reverence and sincerity. And I think that's one thing we must do. See? Let's stop so much nonsense. Be reverent, sincere. I noticed those confessions sometimes when they--on television, when they had that Billy Graham's meeting, not nothing against Billy Graham. But out there in California, the man preached a wonderful message, that last night, preached the very same thing that I preached here not long ago on Daniel, "Thou are weighed in the balance and found wanting." How many saw it? Many of you, I guess.

47 Look, did you notice those people coming from the aisles, chewing chewing gum, laughing, punching one another? That's not walking up between death and Life. That's not sorry for sin and repentance. See? It's just what Billy said, "Making a decision." And a cold, dry-eyed decision is nothing (See?), not a thing. You've got to be sorry for sin and turn from it. And Billy himself said, "Proves that out of thirty thousand, you can't find thirty in a year." Said other day, "What's the matter with New York? I had that great meeting there and what happened? Sin's worse than it ever was." And it will continue to get worse.

48 There will be no national repentance; the nation is gone; just you individuals, and soon that'll be over if it isn't already. Now, you just mark that down, you young children. See how far Brother Branham (It ain't Brother Branham), that what I've said is right or wrong. Sin will get worse and worse until one day the skies will catch on fire; she'll fall to the earth and the earth will burn with fervent heat. But the redeemed won't be here then; they'll be gone.

49 Now, in the Book of St. Mark the 11th chapter, I John 4:4, and Matthew 28:20, I wish to read.
Now, first I wish to read from St. Mark the 11th chapter and the 12th verse to the 24th. Listen real close now as we read. And now, this is going to back up for a little testimony and a few words of exhortation, and then we'll see what the Lord will have us to do. Everybody just remain seated and be prayerful now as we read. Mark 11:12:
And on the morrow, when they... came from Bethany, he was hungry:
And seeing a fig tree far off having leaves, he came, if happily he might find any thing thereon: and when he come to it, he found nothing but leaves; for the time of figs was not yet.
And Jesus answered and said unto it, No man eat fruit of thee from henceforth for ever. And his disciples heard it.
And they came to Jerusalem: and Jesus went into the temple, and begin to cast out them that sold and bought in the temple, and overthrew the tables of the money-changers, and the seats of them that sold doves;
And would not suffer that any man should carry any vessel through the temple.
And he taught, saying unto them, It is... written, My Father's house shall be called the... of all nations the house of prayer? but you have made it a den of thieves.
And the scribes and the chief priests heard it, and sought how they might destroy him: for they... for they feared him, because all the people was astonished at his doctrine.
And when evening was come, he went out of the city.
And in the morning,... (Now, that's another day.)... as they passed by, they saw the fig tree dried up from the roots. (Within twenty-four hours, the miracle had taken place, after He said to it, "No man eat." Nothing, looked like, happened then; but by the next day, it was dried up.)
And Peter calling to remembrance said unto him, Master, behold, the fig tree which thou did curse is withered away.
... Jesus answering him said unto them, Have faith in God.
For verily I say unto you, That whosoever shall say unto this mountain, Be thou removed, and be thou cast into the sea; and shall not doubt in his heart, but shall believe that those things which he said shall come to pass; he shall have whatsoever he saith.
Therefore I say unto you, What things soever you desire, when you pray, believe that you receive them, and you shall have them.
And when you stand praying, forgive, if you have ought against any: that your Father also which is in heaven may forgive you your trespasses.
But if you do not forgive, neither will your Father which is in heaven forgive your trespasses. (It's on condition.)

52 Now, I would like to read I John 4:4.
Ye are of God, little children, and have overcome them: because... (Listen close.)... greater is he that is in you, than he that is in the world.
May I read it again now.
Ye are of God, little children, and have overcome them:... (talking of the antichrist)... because greater is he that's in you, than he that is in the world. (Two pronouns... See? He, personal pronoun, and he that's in the world, and He that's in you; He that's in you is greater than he that's in the world.)

54 Now, and the--the 28th chapter of St. Matthew and the 20th verse:
Teaching them to observe all things whatsoever I have commanded you:... lo, I am with you always, even to the end of the world...
Now, a text from that tonight, I would like to use this as a text: "He That Is In You." And on this I wish to build faith, of course, for a prayer service. And...?... just as quick...

56 Now, it is as I have told you, I like to post you on events that has taken place, and I usually wait until I come to the--the church here to say the events; and then if others likes to hear it, they can pick it up through the tapes, but I wait till I'm here. And there is at least, to this event that I'm going to tell you about just now, there's several men here that's witness of these, Christian brothers. One that was present was Brother Banks Wood. Another that was present was Brother David Wood. Another that's present here was Brother Evans and his son, Ronald. Another one was present is our noble deacon Brother Wheeler. And another present was Brother Mann. Is Brother Mann here from New Albany, a Methodist preacher that I baptized in the Name of Jesus Christ just recently? He was there also when this happened.

57 It's been for some time, for a few years, that I have had a deep burden on my chest that I--in my heart. It felt to me as if I had done something wrong. And I searched my life over and over and over to see what was wrong: "Lord, if--if I've done anything wrong, then You just reveal it to me what's wrong, and I'll go and make it right." But nothing would be revealed to me. I'd say, "Did I hurt somebody? Did I leave something undone? Have I... Do I read enough? Do I pray enough?" And I'd read and pray and--and I'd--I'd think, "Reveal it to me. Did I harm somebody somewhere? If I did, I'll make it right. Just show me; I don't want this burden." And for the last five years since I come off the field, there's been a burden hanging in my heart.

58 I've went to the mountain. I've went to the seaside. I've went everywhere and prayed and prayed and prayed, and it just wouldn't let up. And I've thought of everything, if I done anything. But it still, it wouldn't let up; I was just in bondage like. And it's very strange that this would be lifted just at the time this message come forth (See?), of this morning. Now, was it God holding back for this? I don't know. See, I... These things is all in my mind. You can imagine what's in a man's heart when you put up with that. See? To think of what is taking place, and know to tell the people, knowing that some will get the wrong slant, and some will go this a-way, and that way, and you know how it is; some will believe, and some won't, and... But that's what you have to put up with.

59 How can you say it without hurting? How can you say it, that it'll take effect? How can you say it to show the people that you're not--not picking on them, that you love them? How can you be strict and firm, and yet be loving and... Oh, how you going to present it? And then woe unto me if I don't present it. See? And there you are. See? It... No wonder it keeps you nervous and tore up.

60 I had come down from--from--come up from Arizona to meet a bunch of brethren here, that goes hunting with me up in Colorado each year. Now, some people has wondered, "Why do you go hunting? What makes you?" See, here you are filling up; I'm emptying out. There I'm filling up so I can empty out. See? Now, I don't go just to shoot game. Why, people, anyone here that goes with me, knows that I passed by hundreds of head of game and never even touch them. I don't.

61 Now, here not long ago, I begin to shoot game for the Christian business Men. When they go and say, "Billy, get me a bull, get me a cow, get a elk, get me this, or that, the other." I'd go out and just shoot game from right and left. The Lord helped me so I could see, and find game, and pretty fair shooting, and hit them. And--and they just set around and talk about their business.
Then the Lord told me not to do that no more. And I--I felt bad about it, so I promised Him I wouldn't do it no more. You know, I said, "If it's emergency and somebody needs it, I'll do it. But if they don't need it, I won't do it." Just them men, they got plenty of money to buy beef and stuff. So why should I do that? Let the animal live if you're not going to use him.

63 So I just go to be alone. And any man that ever goes hunting with me, knows I don't hunt with anybody. I go out to myself to get alone. I go with them to have fellowship at night, and stand around and pray and so forth, but there was many other ministers there. There was, up in the mountains this year, was our Brother Palmer. I believe I saw him somewhere awhile... Here he is setting here, Brother Palmer. And a Brother Bob Lambert, he was here this morning; I heard him shouting somewhere. I guess he's still here. And then there was a Brother--the two Martin boys; I guess they're here, are you, Martin boys? Brother--the Brother Martin. You called me the other day, that was good; that boy was healed, that brother minister.

64 Are you here, the one that I prayed for on the phone the other day? I forget his name from down in Arkansas there. His wife called me; the man was all swelled up in his side, and high fever, dying. The same man that was called out, down at the--the Little Rock--or the Hot Springs meeting, setting in the meeting, and it's a fine looking fellow. If he's here, I guess he won't raise up now at all. But I forget his name. I can't think of his name. Blair, Brother Blair, somebody... Well, now, setting in the meeting at Little Rock... How many was at... I mean at the Hot Springs. How many was at the meeting? And the Holy Spirit called that young fellow and told him that the Devil was trying to get him to renounce me, to say I was a false prophet. And the man witnessed it was the truth. You see what the Devil was doing? The man don't go to doctors. He don't believe in going to doctors. But the Satan knew this disease was going to strike him, and he could kill him right there. See? So he was trying to get him to renounce me. And the Holy Spirit, in grace, called him out and told him not to do that (the man being a stranger) called him not to do that.

65 And the other night his wife called me and said, "Brother Branham, I believe he's dying." He's is all swelled out, and his fever... He's out of his head nearly." And said, "The last thing he said, 'Call Brother Branham.'"
I said, "Have you got anything, your purse with a handkerchief?"
"No." (I was in Tucson; she was in Arkansas)
And I said, "You got any?"
She said, I believe, her scarf."
I said, "Now, put your hand on the scarf. And now, hold it up, receiver in the other hand." And I prayed and asked God to be merciful and to renounce that enemy. And she went and laid the scarf on the man; and the next morning he called me. See, see?

67 Now, and about twenty four hours, or less than that, our precious brother, I haven't seen him tonight yet, Brother Roy Roberson... And at once, you know, Brother Roy was kind of a military man. If He's here I--I hope he understands, because I--I--I'm not condemning that. But everything is strict; he was a sergeant in the army, you know, and you have to kinda get in used to handling men like they do in the army. "Well, these spiritual things for somebody else," not him. But the Lord spared him. He would've been dead; they laid him out for dead for a long time. The Lord healed him; he's followed ever since. But all this spiritual stuff, he didn't know about, and visions.

68 And here, not long ago, many know the vision that was give to Brother Roy even 'fore I went out there, about him seeing me standing up on the mountain there; and that Light, and a Voice coming from It. That took all doubt from Brother Roy.
And the other night he was stricken in such a place until he was so sick and he got so high in fever and stuff, and the doctor had give him medicine and everything, and then it didn't do no good, and he even become to a place till he couldn't even move hisself anymore; his legs and things was like paralyzed.
And the poor little brother has been shot to pieces with shrapnel from a 88, German 88, and is a--he was just the... and I think all of his whole crew was killed but him, and there he was blowed to pieces.
And you know what happened? I told his noble wife, Sister Roberson, to... She said... I... Have got anything there?"
She said, "I got a handkerchief you once prayed over."
"Go get it." And I was in Tucson (and laid her hand upon that), and prayed, and rebuked, and said, "Sister Roberson, it's going to be gone."
Just Something told me there, "It's going to be gone, say it." And within a half hour, the fever was gone; he was in the kitchen hunting something to eat. See, see?
What I'm trying to say, "Don't never lose your confidence." Don't let Satan tell you evil about me, 'cause there's much. But you keep that confidence; 'cause if you don't, it won't happen. Don't look to me as a man; I'm a man; I'm full of mistakes. But look to what I'm saying about Him. It's Him; He's the One.

76 As we were in Colorado (See?), as we were up there, we went back, and it'd been rear dry. Game was scarce. Brother Wheeler, the Lord blessed him and gave him a--a fine trophy, and we was so happy about that, is the first time he's ever in the woods hunting. And the Lord blessed him. And then I had shot a big trophy that I had looked for for twenty years, been watching him, Brother Banks and I been after him for a long time. And when I did, shooting my rifle in down in the hot country, bringing it up into a cold, it swelled the stock although it was glass bedded, and it shot it several inches off. And hit the animal, standing between trees, where it oughtn't to hit him; lower than that which would've humanely killed the animal in a second. But it hit him so high, it... He jumped and like he fell like that.

77 And Billy was with me, and he said, "That got him." And I thought it did too; but when we went over there, it wasn't. So he said, "You hit a tree." I looked up and down, there was no mark on a tree. And then I went to searching for it. And then, there come a warning sign. There was practically a hundred men, just above us. And Brother Palmer and them is a witness of that. And Brother Evans, that's right, he was there; Brother Welch Evans and his boy Ronnie (I believe I called them awhile ago.). And great loads of men had went up above us, what they call the "cow camp" up there, where the cowboy stays and rides, keeps the cows separated. I used to stay in that camp myself and herd those cattle and keep them apart.

78 And then... So in there there was about a hundred men. But anyone knows in that country, when a blizzard is forecast, you'd better get away right now. That's why Brother Palmer and them left early, because they only had a three-speed transmission in their car, and they had to get out of there, 'cause weather... You're there, and you might stay for weeks. So they said, "There is a blizzard coming," the forecast, the papers, the radio. Load after load, practically everything from up around in there left out. They'd gone, right now, 'cause they knowed to get out of there.

79 But my brethren had two deer license, and they--they didn't want to go. So I--I said, "Well, we'll stay." But I had a meeting coming up in about six days, and I had to go back to Tucson.
So my little wife... Now, we been married twenty-two years. And twenty years on our anniversary, I'd been up there every time; just happened to hit there. So I--I got a little place I always walk out and pray, and it looked like the place where I took her.
You know, I made kind of a little thing, you know; I didn't have enough money to take the hunting trip and my honeymoon, so I--I--I kinda took my wife on a hunting trip for the honeymoon. So we was in New York, and I remember helping her up over logs and things, a-getting to a place. And I got a little place out there, I always think of her when I go there on our anniversary. October twenty-third is when season's open there, and twenty years I haven't been home, always up there.

82 So that day was our anniversary. And Brother Mann... I said, "Now, if you brethren..." I stood to the fire that morning, "Now, if..." that night, rather, "If you an want to stay now, remember, we may be in here for a month." 'Cause I've seen twenty foot of snow fall just in a little, just overnight, just... You'd go out there and you--just as dry and nice, and the next morning, snow is this deep, over--maybe over top of your tent. So then I said... And then you stay there till that melts off. So you're about fifteen to twenty miles back in the wilderness. And so then I said... And if it gets emergency, 'course they send in helicopters and get you out, but usually they just, nobody perishing, they just have to wait there.

83 So everybody scats just as soon as they hear that broadcast, and or forecast, rather. So we were back there, and I said, "Now, you make up your mind. If you want to stay, I'm here to hunt with you, and I'll call my wife and tell her 'Happy Anniversary!'" But I said, "Then in that, I will also... I'll... We well--we'll get some groceries, 'cause we might have to stay in here." We was out of bread then. And I don't want to see anymore flapjacks for a long time, them pancakes. So then... I'd been eating them in Canada for about twenty-one days, and I sure had a fill of them things. And so then, I wanted to get some bread.

84 So they just said they wanted to stay. So there wasn't nothing to do to stay. But Brother Mann and I went out, and we went down there, and I got the groceries. And I called the wife, and the phone wouldn't answer. No one answered; so I waited about a hour till we got the groceries shopped, went back, called; she didn't answer. And I had to call Sister Evans. I believe Sister Evans is here. And I told... Yeah, Brother Evans and Sister Evans is here.
So I called Sister Evans for Brother Evans and told him; she said, "I'll call Sister Branham and tell her a 'Happy Anniversary,' of course, you know. So... But she'd gone shopping to get some groceries for the children.
And then we come back; and the next morning, what was in the skies but clouds. It hadn't rained up there all fall, and it was really dry. And they had to prolong the hunting season a few days extra on account of the dryness.

86 Well, I said to the brethren that morning, "Now, the first drop of rain starts to fall, the first snow, the first sleet, anything, take for the camp just as hard as you can, 'cause within fifteen minutes you can't see your hand before you. See? And it'll just twist and blow, and I don't care how well you know the country, you--you're going to stay right there, and you'll perish. 'Cause sometimes you can't even breathe, the sleet blowing so, you die right there." And I said, "As soon as it starts with that sleet, you take for the camp just at hard as you can; I don't care where you are."

87 Well, I said, "Go up here and set in these gulches, and I'll climb way high and roll rocks over the hill and so forth, scare the deers off the top and run them down; you pick out what you want."
So I started climbing high, and about time I got up to where we call the saddle, a little place there that I always cross over to go to a place called Quaker Knob, right on the continental divide there, way high. And when I got to almost this little saddle, the clouds was getting blacker and blacker. Wasn't a car left, just us up there as far--and a cowboy on the camp. So it got--it got worse and worse, so it... In a few minutes it started to raining. Well, I took my gun and put it under my coat, keep the scope from smoking up and--and the stock getting wet; whether run into a bear or something, coming back, so I--I held my scope like that and set down under a tree a little bit. And I set there and prayed. I said, "Lord, God, You're the great Jehovah, and I love You."

89 How many experiences have I had. I pointed out to the brethren, Brother Palmer and them, the places where the eagle, you know,... I seen him rise up that day, you know, and how... That's the places where it all taken place in there. It's a temperamental thing to me in there. I've had so many great experiences with my Lord up in them mountains. So you just can't go there without seeing Him; He's just everywhere.
So then, as I--I set there, then the sleet started, and the wind twisting, like that. And I said, "Well, I know the way down, but I better get off of here right now."
So I said, "It--it..." Looked down, and I couldn't even see the bottoms no more, them clouds just whirling and twisting, and sleet a-blowing. And there it was, the blizzard, forecast for several days, a big blizzard coming.

92 Brother Tom is here. Brother Tom Simpson, coming down from Canada, heard the forecast, and he was advised not to go through that part of the country, 'cause this forecast said. "It'll be blizzard." Where are you, Brother Tom? I think that... Yeah, right here. And he... The blizzard was coming. Everybody had done set in for it.

93 Well, I put my gun back under my shirt, like this, my red shirt, started walking down the mountain. And as I started, got about half a mile from the saddle; and oh, my, those big drops of snow like that, and the wind twisting up on that mountain and blowing. I couldn't see the bottom no more. I could see about twenty feet in front of me, or thirty, and I knowed to come right down this little, what we call a little hogback, little ridge, and I'd come off to the creek, and then I knowed to follow the creek, and where to go to if it got real bad.

94 And so then I started down, and got about half way down there, and Something said to me, just as plain as you hear me, "Stop and go back."
Well, I thought, "What was I thinking about? Maybe it's just my mind." And I just couldn't make another step forward.
David had fixed me a sandwich that morning, and I think he tried to get even with me for fixing his daddy one, one time, of onion and honey; that's all we had. So he fixed me a baloney and, oh, I don't know what all it was, wrapped in there. And I had it in my shirt, and it done got wet through my shirt, I thought, "I'll just stop and eat this, and maybe I'll--it'll be all right then." So I pulled out the sandwich, about ten o'clock, and I started eating the sandwich. And as I eat the sandwich, I thought, "Now, I'll be all right." And I started to move on, but something said, "Go back where you come from."

97 "Go back through that storm, a half a mile or more back up the mountain into that dark timber where you..." Can then hardly see as far as that organ... But I'm getting to be an old man, and I been a Christian now for thirty-three years; and I know no matter what, how ridiculous it seems, mind the Lord. Do what the Lord says.
And I turned and went back to the saddle, feeling my way back, oh, sleet getting harder and harder, getting darker and darker. And I set down there, and just put my coat up like this, or my shirt over the scope again; set down. I thought, "What am I doing here? Why would I come back up here?"

99 And I just waited a few minutes. And I started to get up again, and just as plain as I've ever want to hear, a voice said, "I am the Creator of heavens and earth. I make the wind and the rain."
I took off my hat; I said, "Great Jehovah, is that You?"
He said, "I was the One Who made the winds to cease upon the sea. I was the One Who made the waves to go down. I created heavens and earth. Was not I--I not the One that told you to speak to those--for squirrels and they come into existence? I am God."
Now, when a voice speaks to you, watch the Scripture. If it's not Scriptural, you leave it alone; I don't care how plain it is; you stay away from it.
I said, "Yes, Lord."
He said, "Speak to those winds and that storm, and it'll go away." Now, this Bible lays before me, which my life is in That.
I raised up; I said, "I do not doubt Your voice, Lord." I said, "Clouds, snow, rain, sleet, I resent your coming. In the Name of Jesus Christ, go to your places. I say that the sun must come out immediately and shine for four days till our hunting trip is over and I leave with my brethren."

106 It was just gushing, just going "Whooosssh," like that. And it started go--going, "Whoosh"; and then went "whew, whew, whew, whew." Stopped... I stood real still. My brethren up there, wondering what was happening. And the sleet and rain stopped. There came a wind whirling down through the mountain, lifted up the clouds, and one went this way: east, north, west, and south. And within a few minutes, the sun was shining nice and warm. That's truth. God knows that's truth. I just stood there, just looking around with my hat off, looking.
"Are..." You say... I got numb all over. I thought, "The very God of creation, it's all in His hand. What's He telling me?"
And I picked up my gun, wiped off the scope, started walk back, go down the hill. And Something said to me, "Why don't you stroll with Me through this wilderness, walk with Me?"
I said, "Yes, Lord, with all my heart, would be one of the greatest things I could do was walk with You." So I put my gun over my shoulder, and I started walking down through that (never a axe laid in it, virgin timber), walking through there.

112 And as I did, walked along, down along these game trails, I felt like, "I believe I will go up to the place where... yesterday was our anniversary, and I will stand there just a few minutes, just as a little salute to Meda, at where there's a little bunch of quaking asp upon a little knob." And I said, "I believe I'll walk up there, just as a salute to our anniversary. Then I'll go back down on this other side in these dark timbers, and walk around, and go right over by--towards Corral Peaks, and come back down that way."
Just walking and rejoicing, I was saying, "Father, I know You are walking with me, and what a privilege. There's nobody greater I could be walking with; the very God." And that warm sunshine...

114 Even to when I come out of the mountains, I stopped at filling stations, and I said, "Beautiful day," three days later. It never rained in that part of the country until the four days was over. The sun shined every day. Is that right, brethren? See? And not a cloud in the sky...
And I come out to the filling station; I said, "Sure a beautiful day."
"Yes, it is."
I said, "Been awful dry?"
Said, "It's a strange thing," this attendant said--said, "You know, they told us we was going to get a big blizzard, but all of a sudden it stopped."

117 I come on down, on the New Mexico line. Billy and I, my son, we went into a little place there to get some--the morning we left, and I said, "Sure a pretty day."
"Yes, it is."
I said, "Look like it's been pretty dry."
"Yes, it has been."
I said, "Are you from here?"
Said, "No, I'm from Wisconsin," or somewhere. Said, "I been out here about twenty years, so I guess you could call it home."
I said, "You're a native then, I guess." So I said, "Yes, sir," I said, "looks like it's been awful dusty."
Said, "You know, the strangest thing happened." Said, "We had a forecast that we was going to get to blizzard, a lot of snow; and it actually started and then quit."
I said, "You don't say so."
And I come home. And Brother Tom said that he was told not to go that way, a blizzard was due. And he come right through the country without even a sprinkle of rain or anything. He's still God (See?), just as much as He ever was to me.

123 Walking up there, I was going along... Now, this part, I hope my wife don't get this tape. See? But I'm going to tell you something. And now, I--I don't tell you... I just tell you the truth. See, and that's the only way to do it. I've often wondered why she didn't complain about me going on these trips on an anniversary. You know what I had made up in my mind? I said, "There's so many people around the house. And then I'm always, you know how I am, nervous, and everything I talk, I want to talk about is God, the Bible, or something. Maybe she just thinks it's a little rest for her. She'd get me away for a few days, go hunting." I, half thinking that, going along there.

124 Now, that I'm... I--I apologize to her, and I'm--I'm ask God to forgive me for such thoughts," 'cause I was going away. I thought, "Well, she thinks... Well, my goodness, she--she's a worker, you know, and--and all the time when she's out in the kitchen or somewhere out in the..."
And any of you knows her, that washing machine's going all the time. And so, I'd go out, I'd pull her... I said, "Don't be washing like that. Talk to me. (See?) I--I love you. I want you to tell me something: tell me you do too."
She said, "Well, you know I do," then right on washing just as hard as she...?...
"I don't want you to do that; I want you to come in here and set down by me."
"O Bill, I got so much work to do."
And I thought, "Well, see, go on up here, she gets time to do her work." Go along there thinking that.
Now, remember, I laid this Bible up here so you'd see that I'm before the Word.

130 As I was walking along, something happened to me. As I started, first I was thinking about when I taken her on the honeymoon up there, she was a pretty, little, black-headed, brown-eyed girl, and I was lifting her over these logs, you know, and everything, and trying to get her up there in this place where I'd kill some bear. And I wanted to show her, you know, and so where I got these bear. And she had on my cowboy boots. And that's about twenty-two years, or twenty-one years before that, twenty-two years, I believe it was, ago. We were married on 1941. And I was picking her up, you know, over these logs.
And I thought, "Now, poor little fellow, putting up with me, she's done turned gray." And I thought, "Well..." I went... [Brother Branham clears his throat--Ed.]. And I hadn't shaved for a few days, and I found out I was gray too. And I seen my beard sticking out of here, gray, and I thought, "Old boy, you just about finished now. See, you--you going to do anything, you better hurry up. You're getting old too." See?

132 And so, as I went along like that, something taken place. All of a sudden, in every motion, principle, I was a boy; I thought as a boy. I had my head down, and I looked up and just as plain as I ever saw her, there she stood before me with her arms out. And I stopped, rubbed my face; I looked. Said, "Meda, is that you, honey?"
I looked here; I thought, "Now, what's happened?" And I thought, "Yes, I'm walking with Him." And it changed then, I was back an old man again; and the vision was gone from front of me.
And I stopped; I took my hat off again, put it over my heart. I said, "Jesus, my heart has been so burdened for years. I don't have to tell You that I'm burdened. I've repented; I've repented; I've done everything I know. And why has it this burden don't leave me?"

135 And I just started walking on. And as I climbed this little knoll, just about thirty forty yards in front of me; I started up this little knoll, I begin to feel real weak. And there was a little quaking asp about ten inches through, come up and made like a "L," and then went up again. And just as I got there, I felt so weak I was staggery. So I just... I had my cap back on again. And I just laid my head up against this; fit me just right to lay my head right here against that little quaking asp, like this. It's really a poplar; it's like--looks like a birch. You see? And it's--it's a... I was laying against there. And I was just standing there with my head down, that warm sun hitting me in the back, and I think, "The very God that departed that rain and that wind..."
And I heard something going, "pat, pat, pat."
I thought, "What's that? The water's all blowed off. The sun is out. What's that splat?" I looked down; it was water from my own eyes, cutting down through the gray beard and dropping off on the dry leaves that God had dried up, laying before me. And I just stood there like this, just against the tree. And my hands--this hand down, my head laying against the tree, my hand on the rifle sling, like this, a-standing there, crying.

138 I said, "God, I'm not worthy to be Your servant." I said, "I--I'm sorry; I--I made a... I've made many mistakes. I didn't mean to make mistakes, Lord. You've been so good to me."
My eyes closed; and I heard something going, "stomp, stomp; stomp, stomp." I raised my eyes, and standing right in front of me come three deer. And I thought, "There's Brother Evans' one, Brother Wood's, and there's the three deer. (See?) Just what I'm looking for, and I ranged right up. I reached to get my rifle, as "I can't do that. I promised God that I wouldn't do that. (See?) I promised Him I wouldn't do it."
And something said to me, "But there it is."
And I thought, "Yeah, that's what a--a man told David, one time, 'God delivered him.' (I said...) 'into your hands.'" You know, king Saul.
And Joab told him, said, "Kill him. There he lays."
He said, "God forbid I touch His anointed."

145 And those deer stood there and looked at me. And I thought, "They can't get away. There's no way for them to get away. They're not thirty yards from me, and I got this rifle. Standing here, and there's three deer. Aw, I can't do it. I--I just can't do it." It was a doe and two big fawns. So I--I--I just couldn't take the rifle. I said, "I can't." I--I never moved. I just stayed there. I said, "I can't do it, 'cause I promised God I wouldn't do it. Though them brethren, they--they don't need them deer. (See?) Now, I can't do this. I just can't do it."

146 And that doe come, walked... Now, listen, there'd been a hundred men shooting at them up there for four or five days. Scary? The first sign of red (and I had a red shirt, red cap), the first sign, they're gone; but they were standing there, all three of them, looking right at me.
I said, "Mother, take your babies and go on out in the woods. You're in my hand. Your life is in my hands; I ain't going to hurt you. I promised God that I wouldn't." See? And she walked closer. She looked at me. All of them walked closer, till they come so close they could eat out of my hands nearly. They don't... And the wind blowing right on them. So she turned around, walked back a little piece, all three of them.
And here she come back again, walked right up to me. I never moved, just stood there. I said, "Go on out into the woods; I love it too. Live. (See?) Your life is in my hand, but I'll spare you. You couldn't get away; you know you couldn't." I can kill all three of them in--in just about one second, three seconds anyhow, just as fast as I could fire; and they couldn't get away, standing right by me. See? I said, "I spare you. Go on; live." I stood there. They went walking on, went on into the woods.

149 I wiped my face like that, and just then something happened. A voice spoke out just as clear, right out of them blue skies, not a cloud. It all been within just about--just a little bit of time. And a voice spoke out, and said, "You remembered your promise, didn't you?"
I said, "Yes, Lord."
He said, "I'll remember Mine too. I'll never leave you nor forsake you." The burden left my heart. It hasn't been there since. May it never again.
Then I come to Tucson. Strange thing, I have never had so much happening since I've come down. I--I believe it was God holding for that hour. I believe the time is now at hand where something must take place.

153 If we only could receive this truth. Now, just a moment. If we only could realize what this Scripture means, "He that is in you is greater than he that's in the world." We can't understand that, yet we say we believe it. And we know it's true, but we really don't understand it. "Greater is He that's in you, than he that's in the world." What is in you that's greater? It's Christ, the anointed; God that was in Christ is in you. "Greater is He that's in you, than he that's in the world."
Then if He is in you, it's not you any more living; it's Him living in you. See? It's not your thinking and what you would think about this; it's what He said about this. See? Then if He is in you, He absolutely would not deny what He said. He couldn't do it. But He would keep what He has said, and He's trying to find that person that He can vindicate Himself through.

155 Now, that doesn't mean He has to do it to everybody. In the time that Moses led the children of Israel, there was one: that was Moses. The rest of them just followed the message. See? Some of them tried to rise up to impersonate it. And God said, "Separate yourself," and just swallowed them up. See, see?

156 Now... But He that's in you is greater than he that's in the world. God in you, like He was in Jesus Christ, because what all God was, He poured into Christ; and all Christ was. He poured into the Church. See? That's God in you. "He that's in you..."
No wonder winds and waves obeyed Him, obeyed His Words, obeyed His Words, because It was God's Word through Him. He was a man, but He was the Word made flesh. See? And when He spoke, it was God speaking through human lips. See? No wonder the winds and the waves... The very Creator that created the winds and the waves was in Him. Now, think of it. Think deep now, 'fore I come to this moment of closing. No wonder demons paralyzed at His Word. It was God in Him. It was God in Christ. The demons was paralyzed. No wonder the dead, that was turning back to the dust, could not lay there at His Word, for He was the Word. He said to Lazarus, after being dead and stinking four days (His face, nose, had fell in, in that much time.), "Lazarus, come forth." And a man, dead, raised up on his feet. Why? It was God. He that was in Christ was God. The dead could not stand in His Presence. It was God in Christ.

158 The wind... Now, remember, God created the winds; it's air. God created the waves; it's water. But when the Devil got into it, he got it tumbling to bring destruction. God created men to be sons of God, but when the Devil gets into them (See?), it's trouble. Now, that was the Devil that got into the winds that sent that storm. Couldn't the Creator that created the wind, say, "Go back, where I created you"? Isn't that the same Creator was standing on Colorado hill the other day? See? Isn't that the same One that could take a piece of fish and break it, and another piece grow on? He didn't actually have to have that. He could've said it. Isn't that the same Creator that created squirrels? Then He that was in Christ is in us. See? For It does the same works He did, the same thing. The dead could not stand in His Presence at His Word.

159 Look, we have five bonafide statements of people dead, and the Lord giving vision, and going to them and raising them back. Here sets one right here now, that died right where he's setting right there. And here he is alive. Now, he fell in a heart attack. There's his wife, a nurse. We went down; and everything was gone, his eyes was set and gone. Here he is alive. See? For greater is He that's in here, in us, than he that's in the world. See?

160 Greater is He. It's God the Creator. The winds and the waves had to obey Him. Demons become paralyzed. All nature obeyed Him, because He was the Creator of nature. Oh, when we think that, it takes the bite out. Then we understand these things. You see? What is it? It isn't man. Man cannot do that; man's part of the creation. See? But it's the winds and the waves that obeys the Creator. See? And it takes the Creator to do it, "For He that's in you is greater than he that's in the world." He that can cause the turmoil, that's he that's in the world. He that's in you is the Creator Who made the wind; He can rebuke the Devil out of the winds, and there's a calm. He can rebuke the Devil out of the storm, and there's no storm. He's the Creator; "and greater is He that's in you, than he that's in the world."

161 See, the Devil is of the world. The world belonged to him. It's always been his. "Why art thou fallen, O Lucifer, the son of the morning?" See, this world belonged to him. That's when he kicked out of heaven, he come back to it. See?
He was the one who said to Christ, "These kingdoms are mine; I'll do with them as I will." They belonged to him, and he's the one that's in the world.
John had just told the disciples, "You've heard of antichrist who is to come, and is already here working in the children of disobedience; but little children, you're not of this world. You're of God; and greater is He that's in you, than he that's in the world." That's Christ in you.

164 He that--that created the heavens and earth, was made manifest in the Person of Jesus Christ: God in Christ, reconciling the world to Himself. That say... You say, "That wasn't the Son of God though, Brother Branham." All right, let's find out if He's the eternal everlasting God.
Greater was He that was in Joshua than the sun. And Joshua was a man, sin-born like you and I. And greater was He that was in Joshua than in the sun that was running by the commandment of God. God commanded that sun to shine and turn itself around, and it's governed and controlled by the laws of God. But greater was He that was in Joshua than the laws of God was; because the Creator Himself was in Joshua when Joshua looked up to the sun and said, "You stand there where you're at. And moon, you hang there where you're at till I finish this battle." And the sun and the moon obeyed him, for He that was in Joshua was greater than the--the sun and the moon: He that was in Joshua.

166 He that was in Moses was greater than Egypt. Egypt was the mighty armies of the world; they had the world conquered at that time. But greater was He that was in Moses than Egypt was, because Moses overcome Egypt. Greater was He that was in Moses than even nature itself. Did you ever think that God took His Word and give It to Moses, and said, "Go out there and command that the sun don't shine." And the sun was pitch dark. Is that right? He can make the sun to shine and the clouds to go back, or He can make the sun to be black. He's God; He can do whatever He wishes to, and He is in the believing child. Amen. That's it.

167 There wasn't a flea in sight. It might've been wintertime; there's no flies, but God said to Moses, "Go, speak My Word. Now, I'll put in your mind what to say. And you go out there and pick up some dirt off the ground, and throw it up into the air, the dust, and said, 'Let there be fleas.'" And fleas was crawling, probably several inches deep all over the ground in a few hours. Is that right? The Creator...
There wasn't any frogs, so he stretched out his rod, and said, "Let there be frogs." And they were everywhere, piled up, till the whole land was stinking. Is that right?

170 When he come to the Red Sea and it was in his way, God said, "Speak to the sea." And Moses spoke to the sea; and greater is He that was in Moses than the sea was itself. Is that right? Oh, my. Now, you see, greater was He that was in Moses than he that's in the world. Greater is He that was in Moses than any nature there is in the world. He commanded nature at... Whatever God told him to say, he said it, and that's the way it was.
That same God is with us tonight, not only with us, but in us. He's proved He was in us. "Greater is He that's in you than he that's in the world." What are we afraid of the world?

172 Here the other day they had found a--a--some kind of a dinosaur tooth up here around... of... I guess you all heard about it, up here at the Niagara Falls. Said, "It weighed six pound." I thought they was going to say it come out of a man, but I--I think they finally defined it as some kind of a prehistoric animal. Those animals probably lived one time on the earth. Where are they now? Do you know, God Almighty could command dinosaurs to come upon this earth; in the next hour, they'd be forty miles deep. You know, God could destroy this world with fleas? He could call for fleas. Where do they go when they die? What happens to the housefly? Whatever happens to the grasshopper? Wintertime comes and goes forty below zero; and go out the next spring, grasshoppers all over everywhere. Where did they come from? He's the Creator that speaks it into existence. He's God. Nature obeys His Word.

173 Where many of our brethren gets excited, they get impressed that God says do a certain thing, and they say it's THUS SAITH THE LORD when it isn't. That's the reason it don't happen. But when it's God really telling you, it's got to happen; it's got to be that way. When God speaks it, it has to be.
Greater is He that was in Moses than he that was in Egypt. Greater is He that was in Moses than anything Pharaoh could do (all of his enchantments). Greater was He that was in Moses than the he that was in the magicians. See? Greater was He that was in Moses than all nature.

175 Greater... He that was in Daniel, was greater than the lions. He could stop them hungry lions. So anything you can stop anything is greater than what he stopped. So the lions rushed out, hungry, to eat Daniel; and greater was He that was in Daniel than he that was in the lion.
Now, when the lion was first created, he was a friend of man. It's the Devil that makes him do that. That's right. In the millennium, the wolf and the lamb shall feed together, and the lion shall eat straw like the bullock and shall lay down with the bullock. They'll not hurt or destroy in the millennium. The Devil will be gone. It's the Devil that makes wild beasts tear, and rip and eat, and things like that, the way they do. It's Satan that does that. But greater was He that was in Daniel, than he that was in the lion. See? Greater was He in that prophet, than he that was in the lion.

177 Greater was He that was in the Hebrew children, greater was He that was in them than he that was in the fire. For they was throwed into the fire; and He that was in them, was with them and kept the fire from burning them, when the furnace was het seven times hotter than it ever was het, heated. That right? Greater was He that was with the Hebrew children than he that was in the world.
There set Nebuchadnezzar, or Belteshazzar, Nebuchadnezzar, I believe it was, that had the furnace het seven times hotter than it ever was. Inspired by the Devil to take these people because they were standing for the Word of God, and throwed them into this furnace (seven times hotter than it ever was), and it couldn't even burn them. For greater was He that was with Shadrach, Meshach, and Abednego than he that's in the world. Absolutely. Oh, my.

179 Greater was He that was in Elijah than the brassy skies was, 'cause he could bring the rain out of a brassy skies that hadn't rained for three years and six months. Greater is He that was in Elijah than death, for when it come time for him to die... God seen that old, tired prophet, he'd been rebuking Jezebel and all of her paint and modern things, and he was kinda tired, so He didn't even let him walk home like He did Enoch; He sent a chariot and picked him up and took him up home. Greater is He that was in Elijah, than he that was in Jerusalem, in Judaea, and in the mountains; greater was He, is in Elijah than death itself. Greater is He that was in Elijah than the grave; 'cause he escaped the grave; he escaped death; and he just went up home in a chariot. See? Greater was He, and He was in Elijah.
You say, "Oh, well, that was a great man." Wait a minute. The Bible said he was a man that had like passions like you and I. That's right. But when he prayed, he believed he got what he prayed for; what Jesus said to us, "When you pray, believe that you receive what you ask for; it shall be done." He prayed, earnestly that it wouldn't rain, and it didn't rain for three years and six months. See? Greater was He that was in Elijah than nature.

182 Then what about healing the sick? See? Greater is He that's in you than the sickness. See? Because that's a interruption, interrupting the very laws of God, sickness is. Where greater is He that's in you, that's the Healer and Creator, than the--than the Devil that's interrupted the very program of your life. "Greater is He that's in you than he that's in the world." See? Greater was He that was in Elijah. Greater was He in Isaiah than time was; or any of those prophets, because they seen apast the time. See?
Greater is He that was in Job than even the skin worms, and death and the grave, because by vision he saw the coming of the Lord, and said, "My Redeemer liveth, and at the last day, He'll stand upon the earth; and though after my skin worms destroys this body, yet in my flesh shall I see God." See? Greater is He that was in Job, than death. Great... 'Cause death tried to take him and it couldn't do it. It couldn't do it because he said, "I'll rise up again." And he did. He did.

184 Listen, wish we had time to go further on this. But I'd like to ask a question, that I heard remarked the other day, about Christ in you. Now, don't--don't go rest upon something that you've done, say, "I felt a little shiver. I--I--I spoke in tongues. I--I danced in the Spirit." Nothing against that now; that's all right (See?); but--but don't rest upon that. See? Your life's got to be This. This is It. You and This has to become one. See? And then This manifests Itself. See?

185 Now, what if--what if tonight that you could say with all your heart, that the spirit of Shakespeare lived in you, that Shakespeare lived in you? You know what you'd do? You'd do the works of Shakespeare. You'd--you would--you would create poems, and--and plays, and so forth, because Shakespeare was that type of an artist (a great writer, a poem writer). Now, if Shakespeare lived in you, the works of Shakespeare you would do. Is that right?
What if Beethoven lived in you? What if Beethoven lived in you? You know what you'd do? You'd write songs like Beethoven, the great composer. You'd write songs like Beethoven, because Beethoven would be your life. You would be a Beethoven reincarnated again. If Beethoven lived in you, the works of Beethoven you would do, 'cause Beethoven lived in you. Is that right?

187 But He that is in you is Christ. And if Christ is in you, the works of Christ you'll do, if Christ lives in you. He said so, St. John 14:12, "He that believeth in Me, the works that I do shall he do also." If you was in Christ, or if--if Christ lived in you... Then Christ is the Word. Is that right? And the Word come to His prophets. See? And if you--Christ lived in you, the works of Christ would be done through you, the Life of Christ would be lived through you. The works He did, the life He lived, and everything, it would live in you, just like if Shakespeare, Beethoven, or--or whoever it was, lived in you.
If His Life... But if you still living your own life, then your own works you'll do. See? But if you're living the Life of Christ, if Christ is in you, "He that's in you is greater than he that's in the world." If your doubts and flusterations about God's promise is in you, then Christ isn't there. See, you're only worked up. But if the Life... If Christ is living in you, His Word He will recognize and His promise He'll do. See? He'll do.

189 "When thou prayeth, believe that you receive what you asked for, and it shall be given to you. If you say to this mountain, 'Be moved,' and don't doubt in your heart, but believe that what you say will come to pass, you can have what you say. The Father worketh, and I worketh hitherto. Verily, verily, I say unto you, the Son can do nothing in Himself; but what He sees the Father doing, that doeth the Son likewise." See? And when the Father showed Him what to do, walked out there without a failure of anything, and said, "Let it be," and it was. And that same Christ lives in you and lives in us. Then His works we'll do, because Christ is the Word. And a promise of the Word brings healing to you. Do you believe that? Sure.

190 He said, "I will not leave you comfortless," as I pray--asked awhile ago there in Matthew 24 (See?), or Matthew 28:20. See? He said, "I will come to you, be in you. I (the Person, Christ in the form of the Holy Ghost) will come and live in you. Then you won't be your... You won't be yourself no more; I'll be in you. And greater is He that's in you than he that's in the world." See? Hebrews 13:8 says He's the same yesterday and forever.

191 He that was in Noah was greater than the judgment of water. And He that's in you is greater than the judgments of fire. See? He that's in you is greater, because He paid the judgment and conquered the judgment for you. See? There's no fear about it. See, you're in there. Yes. Greater is He that was in Noah, than he that was in the judgments of the water that destroyed the world which believed not, because Noah believed. And greater was He in him that believed Him that spoke to him, than he that was in the world. That Noah escaped all the judgment because of the Word of God was greater than that, and he lifted above the judgment. Greater; how we could hang on that for a while. See?

192 Greater is He that was in David than the bear that stole his sheep. Greater was He that was in David than the lion that come in and took one of his lambs. Greater is He that was in David than the enemy Goliath, the great Philistine that stood there some twelve, fourteen feet tall, with fourteen-inch fingers on him, with a spear like a weaver's needle, and covered all over with two or three inches thick of steel, or metal, brass. But what was in David was greater than what it was in him. He was power and muscles. He was a warrior. He could just--said he'd pick up David by the end of his spear and hang him up, and let the birds eat him.
And David said, "You meet me as a Philistine in the name of a Philistine. You curse me in the name of the Philistine god." And said, "You made your brag what you'll do. You meet me with an armor and a spear. But I meet you in the Name of the Lord God, and today I'll take your head from your shoulders." And he did it, because greater was He that was inspiring David for that courage.

194 Greater is He that's in you than that wheelchair. Greater is he that's in you than that stretcher. Greater is He that's in you than that cancer. Greater is He that's in you than that affliction. Greater is He than anything that there is the Devil could put on you. "Greater is He that's in you than he that's in the world." Greater is He. Yes.
Greater was David--what was in David, God in David. He is in us; that's the Christ. He was the Conqueror of every enemy for us. When He was here on earth, He conquered sin, He conquered sickness, He conquered death, He conquered hell, He conquered the grave; and now He lives in us as a Conqueror. He conquered sickness, hell, death, grave, and come to us to set us free from all of those things. And greater is He that's in you than he that can put these bluffs over on you. Yes. "Greater is He that's in you, than he that's in the world."

196 That's how these miracles happen. That's how that wind ceased, the other day. Could a human being do that? No, sir, it's impossible. When I stood there crying, and them waves a-ripping and... How many's in here, was up there? Let's see you raise your hands. Raise your hands up, everybody was up there that--up--up in Colorado then there at that time. All right, Brother Fred, I guess, is the only one that was present then. I thought maybe Brother Mann was here, but he... Brother--Brother Evans, wasn't he? Brother Evans was up there that time. Yeah. All right. And... Yeah.
Notice. Isn't that the truth? Isn't that the way it happened, the rains just ceased and the winds ceased to blow? What was it? At my word? No. Because He told me to do it. And greater is He that's in us than any nature. Isn't that the same God that could still the waves on the sea to make the winds go back to their place? Isn't He the same One that could darken the sun, could make the sun shine? "For greater is He that's in you than he that's in the world." See? All right.

198 Now, that's why these true miracles can be done, because it's a promise of God: "The things that I do, shall you do also," St. John 14:12. He, Christ, that stilled the winds and the waves, is the Creator of them. He's still just as much Creator as He was then; He's the same yesterday, today, and forever. He healed the sick, and destroyed sin, and changed it all for you, and come to you that He might dwell with you. He conquered all these to come and live in us. He is that Conqueror that's already conquered these things, proved it in the Scriptures, come back and conquered everything, and proved to you that He is the same God; and after nineteen hundred years, here He's still doing the same thing among us that He did then. He conquered death, hell, sickness, and the grave.

199 This Christ, this He, He is... He that's in you; He is Christ. As John said, "He that's in you is greater than he that's in the world." That was Christ. He is greater than all of the world because He conquered the world, and is the greater than all those things because He conquered it for us; and we are more than conquerors through Him that loved us and gave Hisself for us, that He might come back and do His works through us to prove to us that He is the same yesterday, today, and forever.
When He was on earth He proved, when He stood among the people, He was Messiah. He could discern the thoughts that's in their heart. And the Bible said, Moses said that He'd be a prophet. Is that right? He knew the secrets of the heart. He knew who the people were. He knowed what was wrong with them. Have we seen that done? Time after time.

200 We know that the dead has been raised, right from the dead. Some of them's been dead for a day and a half, or died one morning and they brought it back that night, and traveled all night and the next day about noon, or a little after noon that come in to where the tent was, a little dead baby, cold, and laying in the mother's arms. See? And the Lord God spoke the Word of life, and that baby warmed up and started crying, and hand it back to its mother's arm.
Mrs. Stadsklev standing there to see that done, that's the reason she cried so for her baby, wanted me to fly to Germany. But the Lord said, "That's My hand; don't you rebuke that." See, He knowed better. When He told Moses, said, "Speak to the rock; don't smite it." That meant speak; don't smite it. See? You got to obey what He says do. But no man can do nothing in himself. He's got to hear it first from God.

202 Now, the Word of God promised that He lives; and because He lives, you live. He promised that "The works that I do, shall you also; the same things, only more of it, will you do, because I go to the Father." He conquered all things. He's the One that stopped... He's the One that made those squirrels. That happened two times. Happened once down at your place, Charlie. And it happened; it happened up here, when brethren, Brother Fred and Brother Banks, and them up there with us.
It's happened in Germany when them fifteen witch doctors, on each side of me, said... Because Billy and Brother Arganbright wouldn't let them--let them see me, they said, "Well, we'll cause that tent to blow away." And they set down there with their enchantments, and called on their god the Devil, and here he come with a storm. About thirty thousand, forty thousand Germans out there, and that tent just raising up and down like this... Them... And then cut a--took a scissor and cut a feather, and pointed it back like that. And setting there, going through all of their enchantments and saying the three holy words, they say, "The Father, the Son, the Holy Ghost; wo-loo-loo-loo-loo-loo. The Father, the Son, the Holy Ghost; uhhhh," going like that, and actually the storm come up, sure. "He's the prince of the powers of the air," Satan.

204 And they called the storm, and I... Even that great big tent, setting out like that... Oh, my, cover about a city block; and it built up, built out of two-by-four's, and just canvas tacked over it. The wind got under there and just raised it, like that. That wind and lightening a-flying like that, I just continually preached.
And oh, they just going into a big enchantment, going on and on like that, saying those little holy words. They said, "The three high holy, words: Father, Son, and Holy Ghost," on both sides like that. Then I seen him bound, surrounded by devils there, but not bound.
And I said to Brother Lowster, "Don't interpret this."
I said, "Brother Arganbright, just pray."
I said, "Lord God, Creator of heavens and earth, You sent me here; I set my foot on this German soil in the Name of Jesus Christ because You sent me here. And that cloud has no power over me. It does not, because I'm anointed and sent here for the salvation of this people. I command you in Jesus' Name to depart from here."

209 And the thunders going, "Bang, bang, bang, went grrrrrr," and rolled away; and right straight over the tent, blowed back, and the sun shined out.
And within ten minutes, there was about ten thousand around the altars and things, screaming for mercy to see the power of God. Why? "Greater is He that's in you than he that's in the world." See, see?
"Greater is He that's in you than he that's in the world." See the afflictions and the thing... Oh, brother, sister, we have not one worry at all. The greatness is God, and He is in you. Do you believe that?

212 Now, I've went way overtime. It's fifteen minutes about after nine. And I know there's people, a long way to drive. Let's bow our heads just a moment.
O Father God, Thou knowest about Colorado. You know those things are true, and I say it for Your glory, that these people might know after all the scientific proving of the pictures and of the works of the Holy Ghost. And, Lord, Thou knowest that it--that I plainly stated to the people, and always do, that it's because You promised it. And You're here, trying to find someone that You can confirm Yourself through, to let others see that You live and You are the same yesterday, today, and forever. I pray Thee, Lord, to be merciful and to guide and direct us in our thoughts.
There are those setting here who are sick and afflicted. There are those who perhaps may die if they don't get help from You. Many of them, perhaps, is at the end of the road where the doctors cannot help no more. Thou art God, and You're the same yesterday, today, and forever, and Your Presence is here.

215 And, Lord, we don't know what this Third Pull, as we have referred to it, will be. I don't know what. But we know one thing, that the First Pull was perfection. The Second Pull, being the five, was grace. And, God, I pray tonight that You will reveal Yourself to us, that after these things, saying, "He that's in you..." And You said, "The works that I do, shall you do also," and said You did nothing till the Father showed You.
And we seen what You did when You was able to tell Apostle Peter who he was, what his father's name was, and tell the--Nathanael what his mission was, how he come to be there, where he was beforehands, what he had done; told the woman at the well of her sin and what she had--living in this adultery with these six men, five she had had, and one she was living with now was not her husband. Thou art still the same God.

217 You told... It was Bartimaeus' blind condition as he stood there; but yet, in his heart he had a sight that he could see that if that was Jehovah manifested in the Sonship of Jesus Christ, that He was able to know his cry. And he cried out, "Thou Son of David, have mercy on me." And it stopped You, and You turned and healed him, O Father, telling him that his faith had saved him.
That little anemia woman, that through this blood issue and the change of life... And for many years it could not stop. She had spent all of her money for doctors, and none of them could help her. She came to one of Your meetings as You was talking to the men there at--at Galilee, as You was on Your road to Jairus' house. This little woman had said within her heart, without a Scripture behind it, "If I can only touch His garment, I--I believe that I'll be made whole." And she got her desire when she touched Your garment. And You told her that her faith had did this, described her wants, and she was made whole.
We're told in the Word that You're a High Priest, that's setting on high, ever living to make intercessions. And--and also that You, being the High Priest at this time, that could be touched by the feeling of our infirmities. Lord God, grant that every person here tonight may be--have the privilege of touching You tonight, the great High Priest, and be made well. For the glory of God, I ask it in Jesus' Name. Amen.

220 Now, I don't... Is there prayer cards? I--I told Billy not... Is anybody got a prayer card? All right, that's right; I told him not to give them out. I thought maybe I'd get a little long, as I... Oh, I just talk so much. But look... See? And you told me, when I said, "I'll try to be out eight-thirty," you laughed, and I--I knew you knew what you were talking about. And I--I... But I--I love you.
See, what it... What I'm trying to do, I've always tried this, friend; never for somebody to say, "Brother Branham did this." Brother Branham can't do nothing. See? It's Jesus Christ. And He that's in me is in you. You just have to believe. Isn't that right? See? He that's in you is greater than your disease.

222 Now, how many people in here is sick in their body, don't know me, but you believe that you have faith enough to touch the High Priest, raise up your hand, say, "I believe it." All right. Oh, there's practically everywhere, hands. All right. How many in here that knows me and knows I know nothing about what you have need of, and you want God to touch you, raise up your hand. See, see? All right.
Frankly, there's nobody in here that I know anything about, right at this present time, of being sick, but this boy setting here, I know him. I've prayed for him many times. I can't think of his name, but he's from down in Kentucky. He writes to me all the time, personal friend of Brother and Sister Wood and them, and comes up there. And he's attended the meeting for a long, long time. That's the only person that I know.
Now, Brother Dauch, as far as I know is all right or he wouldn't be setting here. He was very sick the other day, and the Lord healed him.
I don't know this person. I don't know who it is has these crutches here, maybe that person in the chair. But I--I don't know. And I--I know lots of you, but God in heaven knows; at this time I don't know what you want. I have no idea.

226 It's kinda hard here in the Tabernacle, 'cause (See?), I know a lot of people. Now, here's what it is. When you come to a place... Now, I come here sometime and I say, "All right, we'll give everybody a prayer card and line them up. Come up on the platform." Somebody will go away... Now, you can't... You... Now, friends, I'm going to open up my heart and tell you something. You can't hide that. Just what you're thinking, I know it. That's right. I know what you're thinking. See?
And sometimes you say, "Brother, I believe." Why, why, you believe to an extent. See, see? I know. And you're right here, when I... Just right now, the anointing's just coming upon me (You see?), and I can just feel that pulse, like a-beating (See?), a throb from different places. See? But now, don't--don't no more disbelieve. Believe the--all the message. Believe that it... If it isn't--if it isn't written in the Bible, then don't you believe it. But if it is in the Bible, then the Holy Spirit that's living in us is duty bound to perform that, if we believe it. Is that right? I know it's hard. See? Nothing comes easy.

228 It was hard for Him to die that this might be produced to you. It was hard for Him to go to Calvary. He wanted to stay, even so much till He cried, "Not My will, but Thine be done." See, see? He don't want to leave; He was a young Man, and He had His brethren. He loved them just like I love you. But He--He couldn't live and them live also; so He died that we might live. That wasn't easy. He had to do it. Look what a death laid before Him. "Father, the hour has come. And shall I pray that You take this cup away from Me?" No, He didn't want to do that; He wanted God's will to be done.

229 Now, look, if you believe that same thing... Now, don't--don't--don't shadow it at all. Just believe it; just absolutely believe it. Don't doubt; and believe it.
If I bring the people up in a prayer line, and I say, "All right, now this person, you know I don't know you."
"No, that's right, Brother Branham."
Then right out there you'll catch somebody that says, "Uh-huh, but he's reading what they put on that prayer card: telepathy." He just verily will do it.
Then I say, "All right, now this Sunday we're not going to give out any prayer cards. I want everybody here that's a stranger, never was in here before, you stand up." See? And--and then the Holy Spirit will turn right around and discern what was all in them. See? Is that right. You see it both ways.
"Oh, well, there's something wrong with that." See? See, there--there's no way, you--you--you can't... See, as long as Satan can get possession, he'll just make you believe anything. See? And he'll show you every fault that I've got, and I got plenty of them he can show you. Don't you look at that. Don't you look at that; I'm a man. See? But remember, this Word of God is the Truth and I'm trying to live by It.

235 If I go out here and start doing things wrong, that's not right, sinning, and drinking, and--or smoking, or--or doing things that's not right, you--you come, call me down, 'cause that--that ain't becoming. I--I want then to leave the world. I don't... I want to leave before that happens. See?--I don't want to do that.
But as long as I'm trying to live what's right and do what's right (See?), and try to live like a Christian ought to, and then let God take His Word and hearing me stand by It... Though It cost me so many friends and popularity of the world, and things like that, and hated by many, and denomination's kicked out, yet I want to be true to this Word. It's God's Word. And I love God. So it's God's Word. And I--I tell you that He is the same yesterday, today, and forever. And He is in us now.

237 And if the... Now, if the life of Shakespeare was in me, living in me, if Shakespeare lived in me, wouldn't I do the works of Shakespeare? If Beethoven is in me, wouldn't I do the works of Beethoven? If the spirit of Dillinger was in me, if John Dillinger live in me, wouldn't I be a John Dillinger? If Beethoven was in me, I'd be a Beethoven? See? If Castro was in me, I'd be a Castro? See? And if Jesus Christ is in me, His works I'll do, because it's Him. And didn't he say that same thing would take place? See?

238 Now, what would He do if He was standing here, if He is the same yesterday, today, and forever? He'd say, "I can only do what the Father shows Me to do." Is that right? Well, that's the way He did it yesterday. Now, is He the same? What about the sickness? Your price is already paid. Every one of you is already healed of your sickness. Is that right? For that... Every one of you is forgiven, but you have to accept it. Every one of you is healed, but you have to accept it.
Now, to prove that He is the same yesterday, today, and forever, if He was standing here, He could not heal you at all with your unbelief. You'd have to believe it, just the same as you have to believe it right now. It'd have to be the same (See?), 'cause many mighty works He could not do in His day because of their unbelief. Is that right? Many mighty works He can't do today because of the unbelief.

240 Now, who was it could foretell that? God. Who was it that said this? God. Who was it that did that? God. Who is it that said where the bear, deer, and caribou, all these other things, and the seven--oh, all these things that's happened? Who was it said that? He, Christ, that's in us, prophesying Himself through us, revealing Himself that He is the same yesterday, today, and forever. Who stopped the winds? Who created the squirrels? The same One that created a ram for Abraham, when he called Him "Jehovah-jireh." Them compound redemptive Names still apply to Him. He's still Jehovah-jireh, "the Lord can provide for Himself a Sacrifice."

241 Now, each one of you, I--I want your deepest of sincerity now. If you will actually believe with all your heart, there won't be a feeble person in the midst of us by the time that clock turns five more minutes. There won't be a person here but what'll be on their feet well, if you'll just believe it. Can you believe?
Now, let's just see now if He will come to us and reveal Hisself, while we bow our heads.
Lord Jesus, now You help me now. And I'll obey You, Lord, all I know how. Forgive my sins and trespasses...?... I pray in Jesus' Name. Amen.

244 Now, let's take this side here, someone in here. Believe; have faith; don't doubt. Somebody that doesn't know me, if possible, I can't say where the vision's going. I just have to watch for it. And if It does do that, then you know it, whether it's true or not. You just believe and don't doubt. And if He'll do it, will you believe (See?), after all this that's been done today? See? Just accept your healing. See? Say, "Lord, I am now touching Jesus Christ. I'm believing." Now, may the God of heaven grant it.
"Greater is He that's in you, Christ, than he that's in the world." Now, in the meeting where we touch Him, He reflects Hisself back, as the woman touched God through Christ and reflected back her need.

246 I see now over in a corner here, it looks like it's a man; he's very seriously. No, it isn't; it's a woman praying for a man, and the man is not here. But it's a woman. I see that that woman... It--it's her--her father, and he's dying with cancer, very seriously. The man's not here. He is in another place; it isn't this country even; it's... He's in Georgia. Keep praying. You believe with all your heart now? Just keep praying for me. The woman's name that's praying is Mrs. Jordan. She's not from Georgia; she's from North Carolina. If that's right, lady, stand up on your feet, all the truth. Was you praying for such? All right. [The woman speaks to Brother Branham--Ed.] You believe that He that's in you is greater than he that's in the world? You believe that He that...

247 Look, here's something else, you've had a great training in your early days, or something another, because looks like you're mixed up or in some kind of a creed. Isn't your father a minister or somebody like that, some of your people, or something? Your husband, that's who it is. I can see someone standing by you preaching the Gospel, and you was in a church; he was connected with you. All right, there you are.
Now, the lady I don't know, but God knows the woman. Now, have you got something in your pocketbook, a little handkerchief or something there? All right, then you pla--when you set down, put your hands on that handkerchief and don't doubt, and He that's in you is greater than he that's killing your daddy. Believe with all your heart, so shall it be as you believe.

249 Now, I want to ask you something. I don't know that woman. As far as I know, that's the first time, I guess, I ever saw her. But she's setting there in a desperate condition, praying. And the very God that could turn and tell the woman about her blood issue, is the same God that's here; showing that He that's in you has conquered the world. You believe? If you just have faith, don't doubt...

250 Talking of cancer, I see that black shadow again. It's over a woman setting right here. She has cancer of the throat, and she's in a bad shape. And she has been prayed for, and trying to accept her healing. Mrs. Burton, if you will believe... I don't know the woman, but if you'll believe with all your heart... Really, the thing... Let me explain this to you. What you're trying to do, you've lost your voice from it, and you're trying to pray for your voice to come back. Is that right? Wave your hand like this. Now, the woman's a stranger to me. I don't know her. See? See, that's right. There--there she is. See? Greater is He that's in you, the faith that can touch Him, than he that's in your throat. You believe with all your heart?

251 Sister Larsen, I do know you. She's my landlord. But Sister Larsen, you've been to a doctor or something--something another. You're up for an operation. That's right. Isn't that right? Greater is He that's in you, Sister Larsen, than he that's in the world. Jesus said, "I was a stranger, and you took Me in. Insomuch as you have done unto least of these, My little ones, you have done it unto Me." O heavenly Father, be merciful.
What do you think? You're up for an operation too. You're a stranger to me. Is that right? You're not from here. You know me, but I don't know you. But God knows you. You believe that? You're up for an operation. You don't live here. You're near Bedford, Springville, something like. That's where it's at, Springville. Mrs. Burton... not... I beg your pardon; I didn't mean it. Mrs. Parker, that's your name, isn't it? Greater is He that's in you than he that's trying to kill you. Is that right? Do you believe with all your heart? Then you won't need your operation, if you do.

253 What do you think of all this, sister? I don't know you. You're a stranger to me. You believe me to be His prophet? Oh, you do. Thank you. God will honor that. You're Mrs. White. You come from Fort Worth, Texas. You got a muscular disease, a nervous condition. You've very bad; there's no hopes for you as far as medical science is concerned. Your husband, he has a spiritual need that he's praying over. You got a son there; he has trouble with his back and heart trouble. You got a little boy in his lap; that little boy has some kind of a speech that you're praying over. If that's right, raise up your hand. "Greater is He that's in you than he that's in the world." Do you believe that? With all your heart? With all of it?

254 Now, let's bow our head. Now, He's went through the building. He's proved to you that He's God. "Greater is He that's in you than he that's in the world." It's the Lord God. Now, He that's in you, let Him have preeminences. Let Him have the over-saying of--of what you... You say in your heart right now, if you can with all your heart, and believe it, "The disease that was in my body is gone. (See?) I am no more afflicted. I have no more disease. He that's in me is greater than he that's in my body. He that's in my heart is greater than he that's in my flesh. Therefore, He that's in my heart created the heavens and earth. My flesh has been contaminated by Satan, and I am a temple for the Holy Spirit to live in. Therefore, Satan, I command you to leave my body. In the Name of Jesus Christ, come out of me." See? You believe it?
Now, let us all pray in our own way now, each one, while I pray for you.

255 Almighty God, the Creator of heavens and earth, the Author of Life, the Revealer of the secrets of the heart, You said, "The Word of God is sharper than a two-edged sword, It even is a Discerner of the thoughts of the mind."
That's the reason when the Word was made flesh, It knowed what they were thinking about as He perceived their thoughts; He was the Word, and the Word knowed the secrets of their hearts. And that Word is still the same Word. And tonight we see It revealing Itself in us after two thousand years, because He wrote It on the paper and is here confirming it, showing it, that it's right.
Here lays handkerchiefs, laying here. Sick people are everywhere. I pray that the great Holy Spirit that's present, that shows these things, that tells these things, and never fails till what It's right; not one time can It fail, because It's God. Let Him anoint these handkerchiefs with His Presence, and heal every sick person that they're laid upon. And the God, Who can be alive after two thousand years and can form Himself into sinners' hearts that's been redeemed by grace and faith, and can speak His Own Words through mortal lips, and watch it happen just exactly what He promised...

258 O Lord God, I ask Thee to be merciful to us. And may every man and woman that's setting present, that has any kind of a sickness or affliction; as Moses throwed hisself in the breach for the people, tonight I lay my heart out before You, Lord. With all the faith that I have, that's in You, that You have given me, I give to them. As Peter said at the gate called Beautiful, "Such as I have, give I thee: In the Name of Jesus Christ of Nazareth, rise up and walk." And the man was lame and--and weak for a few moments, but while they held him, his anklebones received strength. And he entered into the house of God, leaping and praising and blessing God.
Thou art the same, yesterday, today, and forever. And His apostles said, "Such as I have, give I thee," was faith. And I say, "Such as I have, give I to this audience: In the Name of Jesus Christ of Nazareth, renounce your sickness, 'cause greater is He that's in you than the Devil that's trying to take your life. You are children of God. You are the redeemed. I command that Satan leave this people."
May the God Who rolled back that storm the other day, the God Who made the winds and the waves to cease, may He see to it that every disease is taken from these people and the power of Christ is made manifest in their life at this hour. May every sinner repent. May every person that's not close to You, get right at this hour. And may it be so in the Name of Jesus Christ.

261 I, as your Pastor, your brother, with what faith I have, I've asked God to place it on you. I believe that I receive what I have asked. Now, if you will believe it with me, with what faith that I have, I give to you for this hour. And now, in the Name of Jesus Christ, the Son of God, renounce your affliction, your sickness, and say to it, "You have to go." 'Cause you have your faith, plus my faith, with the power of Jesus Christ Whose omnipresence is here to vindicate it and prove that He is here, will make you well at this time.
Do you believe that, lady, laying on this cot? Though your muscles be all that, because of sclerosis and things, you can walk if you'll try. And...?... There she goes. Don't you believe? The rest of you, stand up and renounce. Her anklebones received strength.
Now, let's raise our hands and give Him praise. Praise Jehovah God. In the Name of Jesus Christ, we commit ourselves to You for the healing.

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