Soyez Certains De Dieu

Date: 59-0125 | La durée est de: hour and 11 minutes | La traduction: VGR
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1 Voici ce que nous lisons dans ce passage : Élie, le Thischbite, l’un des habitants de Galaad, dit à Achab : L’Éternel est vivant, le Dieu d’Israël, dont je suis le serviteur! il n’y aura ces années-ci ni rosée ni pluie, sinon à ma parole. Et la parole de l’Éternel fut adressée à Élie, en ces mots : Pars d’ici, dirige-toi vers l’orient, et cache-toi près du torrent de Kérith, qui est en face du Jourdain. Tu boiras de l’eau du torrent, et j’ai ordonné aux corbeaux de te nourrir là. Il partit et fit selon la parole de l’Éternel, et il alla s’établir près du torrent de Kérith, qui est en face du Jourdain. Les corbeaux lui apportaient du pain et de la viande le matin, et du pain et de la viande le soir, et il buvait de l’eau du torrent. Mais au bout d’un certain temps le torrent fut à sec, car il n’était point tombé de pluie dans le pays. Alors la parole de l’Éternel lui fut adressée en ces mots : Lève-toi, va à Sarepta, qui appartient à Sidon, et demeure là. Voici, j’y ai ordonné à une femme veuve de te nourrir. Il se leva, et il alla à Sarepta. Comme il arrivait à l’entrée de la ville, voici, il y avait là une femme veuve qui ramassait du bois. Il l’appela, et dit : Va me chercher, je te prie, un peu d’eau dans un vase, afin que je boive. Et elle alla en chercher. Il l’appela de nouveau, et dit : Apporte-moi, je te prie, un morceau de pain dans ta main. Et elle répondit : L’Éternel, ton Dieu, est vivant! je n’ai rien de cuit, je n’ai qu’une poignée de farine dans un pot et un peu d’huile dans une cruche. Et voici, je ramasse deux morceaux de bois, puis je rentrerai et je préparerai cela pour moi et pour mon fils; nous mangerons, après quoi nous mourrons. Élie lui dit : Ne crains point, rentre, fais comme tu as dit. Seulement, prépare-moi d’abord avec cela un petit gâteau, et tu me l’apporteras; tu en feras ensuite pour toi et pour ton fils. Car ainsi parle l’Éternel, le Dieu d’Israël : La farine qui est dans le pot ne manquera point et l’huile qui est dans la cruche ne diminuera point, jusqu’au jour où l’Éternel fera tomber de la pluie sur la face du sol. Elle alla, et elle fit selon la parole d’Élie. Et pendant longtemps elle eut de quoi manger, elle et sa famille, aussi bien qu’Élie. La farine qui était dans le pot ne manqua point, et l’huile qui était dans la cruche ne diminua point, selon la parole que l’Éternel avait prononcée par Élie.

2 Pour l’exposé de ce matin, juste avant de partir outre-mer, j’ai choisi comme sujet à partir de ce texte : Soyez certains de Dieu.
Et maintenant, Seigneur, bénis Ta Parole alors qu’Elle est proclamée, et puisse le Saint-Esprit prendre possession de nos esprits et de nos pensées, et nous préparer pour Sa visite, puisque nous Lui avons demandé de venir. Car nous ne venons pas à la maison du Seigneur pour être vus ou pour voir, mais pour apprendre de Toi, et pour connaître Ta nature, et Tes voies, et Tes raisons, afin d’être capables d’affronter les problèmes de la vie avec une réelle assurance, étant certains de Dieu. Accorde-le, Seigneur. C’est dans le Nom de Jésus que nous le demandons. Amen.

3 Ce devait être une matinée affreuse : Le temps était tellement chaud et l’air si poussiéreux; les gens mouraient de faim dans la rue, et le sol était tellement chaud qu’il semblait prêt à s’embraser. Tout ceci était le reflet de leurs péchés et de leur déchéance morale.

4 Vous voyez, Achab régnait en... en Israël à l’époque... ou sur Israël, et il fut le plus méchant de tous les rois d’Israël. Aucun roi n’avait été aussi méchant qu’Achab. Il avait pourtant été enseigné, et il savait ce qu’il devait faire, mais il continua néanmoins de déplaire à Dieu dans toutes ses actions. Bien qu’il eût une grande armée et que le peuple fût devenu très prospère sous son règne... Mais sachez qu’on ne peut déplaire à Dieu et s’attendre à s’en tirer ainsi bien longtemps.

5 Et puis, lors de son mariage, au lieu d’épouser quelqu’un parmi son peuple, il alla épouser une pécheresse, une idolâtre qui adorait les idoles. Il épousa Jézabel. Et elle n’était pas une croyante.

6 Et jamais un croyant ne devrait épouser un incroyant; en aucun cas. On devrait toujours se marier entre croyants.

7 Mais Achab avait fait cette chose mauvaise. Et Jézabel était sans doute une belle femme. Et lui s’était laissé séduire par son apparence, plutôt que par ce qu’elle était vraiment. C’est... Tant de gens commettent cette même erreur encore aujourd’hui.

8 Et elle avait introduit l’idolâtrie dans la nation, parmi le peuple. Et le peuple... les prêtres, leurs ministres avaient succombé à cette grande revendication populaire.

9 Voilà bien le tableau de notre pays aujourd’hui. Nous avons cédé à la demande populaire. Sans doute les prêtres pensaient-ils que tout irait bien tant que leur gouvernement l’approuvait. Mais peu m’importe ce que le gouvernement approuve, ce doit être ce que Dieu approuve. Et les gens pensaient qu’il n’y aurait pas de mal à ce qu’ils se permettent quelques-unes de leurs choses mondaines.

10 On pourrait me demander d’expliquer ce que je viens de déclarer, disant qu’il s’agit là d’un tableau tout à fait comparable à aujourd’hui. Peut-être ne nous considérons-nous pas comme des adorateurs d’idoles, mais nous le sommes. Et le gouvernement souscrit à cela. Les gens aujourd’hui sont des adorateurs d’idoles, parce qu’ils... ils adorent des idoles. Certains d’entre eux adorent des vedettes de cinéma et en font leurs idoles. Certains adorent l’argent et en font leur idole. Et certains adorent des vedettes de télévision et en font leurs idoles. En fait, tout ce que vous faites passer avant Dieu est une idole, peu importe ce que c’est.

11 Même le... Satan, notre grand adversaire, est tellement astucieux qu’il place parfois même l’église avant Dieu. Vous pouvez avoir une grande église. Peut-être est-ce un grand édifice, ou peut-être une grande dénomination, et peut-être même est-ce une grande congrégation, mais ne laissez rien passer avant Dieu dans votre coeur. Tout ce qui passe avant Dieu est une idole.

12 Et ces gens savaient qu’ils n’étaient plus aussi spirituels qu’ils l’avaient été sous le règne d’autres rois. Et ils croyaient que, simplement parce qu’ils étaient une nation religieuse, tout irait bien. Et c’est là où nous en sommes arrivés également.

13 Je parlais, il y a quelques mois, à un de mes très chers amis. Et il dit : “Frère Branham, je trouve que vous êtes trop impitoyable pour les États-Unis.” Il dit : “Vous vociférez constamment contre le péché, et vous répétez que Dieu va punir cette nation.”

14 Je dis : “Il doit le faire, afin d’être juste.”
Il dit : “Mais, Frère Branham, vous oubliez que cette nation fut fondée sur les Écritures, que nos ancêtres s’installèrent ici, que Dieu nous a donné cet héritage, et que nous sommes une nation religieuse.”

15 Je dis : “C’est vrai; tout cela est vrai. Et personne ne sait combien j’apprécie cette nation. Mais regardez, mon frère, Israël fut lui aussi choisi par Dieu, et Il lui envoya des prophètes et de grands hommes. Mais Dieu ne peut pas tolérer le péché. Il a fait récolter à Israël chaque grain qu’il a semé. Et s’Il a fait récolter à Israël ce qu’il a semé, Il nous fera récolter ce que nous semons. Il ne fait pas acception de personnes.”

16 Et nous en sommes arrivés à croire que, parce que nous nous reposons sur ce que nos ancêtres ont fait, ou sur les grands fondateurs de nos églises, sur ces gros sacrifices qu’ils ont faits pour Dieu – tout cela est très bien et grandement apprécié – mais nous ne pouvons pas tirer notre salut de ce qu’eux ont fait! Le salut est une affaire individuelle entre chaque personne et Dieu. Ce n’est ni avec notre nation, ni avec notre église, mais c’est tout seuls devant Dieu que nous devons répondre de nous-mêmes.

17 Notre pays en est arrivé au point où, même chez les gens les plus spirituels que nous ayons... lorsqu’on s’adresse à ces hommes et femmes spirituels, on peut constater qu’il y a, dans leur coeur, un manque.

18 Nous avons... Ces dernières semaines, j’ai vérifié certaines de ces choses, et j’ai constaté que les hommes mêmes que je considérais comme le noyau, ces hommes-là mettent néanmoins l’accent sur les choses temporelles, déclarant à tous les vents : “Dieu m’a donné le plus grand ceci et cela; Dieu donne...” Vous êtes en train de bluffer!

19 La présence de grands biens matériels ne reflète pas toujours la volonté de Dieu. Dieu fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. Mais ce dont le monde a besoin aujourd’hui, ce n’est pas d’une foi illusoire, d’un bluff de spiritualité.

20 La foi accomplira parfois de grands miracles sans toutefois provenir d’un coeur spirituel. Notre Seigneur n’a-t-Il pas déclaré : “Plusieurs viendront à Moi en ce jour-là, disant : ‘N’ai-je pas fait ceci et cela par Ton Nom?’ Et Je leur dirai ouvertement : ‘Retirez-vous de Moi, vous qui commettez l’iniquité.’” Qu’est-ce que l’iniquité? C’est quand vous savez faire ce qui est bien, et que vous refusez de le faire. “Je ne vous ai jamais connus”, dira-t-Il. Et nous vivons en ce jour-là.

21 Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, ce n’est pas d’une foule de choses matérielles; nous possédons cela. Nous n’avons pas besoin de plus grandes églises; nous n’avons pas besoin de plus grosses congrégations. Nous n’avons pas besoin de plus d’émissions à la radio et à la télévision. Nous n’avons pas vraiment besoin de plus de ces choses. Mais ce qu’il nous faut aujourd’hui pour être spirituels, ce sont des gens qui s’humilieront devant Dieu (peu importe qu’ils soient sans le sou) et qui prieront jusqu’à ce que cet esprit en eux ait été satisfait par la bonté de Dieu, et que, dans leur coeur, se produise un réveil qui changera leurs attitudes et l’atmosphère dans laquelle ils vivent.

22 Peut-être n’aurez-vous pas même une paire de chaussures aux pieds. Peut-être serez-vous vêtu de haillons mais, là dans votre coeur, quelque chose chantera les mélodies de Dieu. Je préférerais avoir cela que tout l’or du monde.

23 On ne peut donc pas affirmer que les choses naturelles soient toujours le signe de la bénédiction de Dieu. David en parla au Seigneur, lui disant avoir vu le méchant s’étendre comme un gros arbre verdoyant. Mais Dieu lui demanda : “As-tu déjà considéré sa fin?” Peu importe que nous portions de bons vêtements, et que nous ayons beaucoup à manger, ce ne sont pas ces choses qui vont dans la présence de Dieu. Ce corps qui nous abrite se détériore peu importe comment il est traité; mais cette âme à l’intérieur de l’homme, cet état d’esprit, voilà ce qui s’introduit dans la présence du Dieu Vivant.

24 Nous considérons les choses comme allant de soi. Nous pensons que simplement parce que nous sommes une nation... C’est ce qu’Achab et tout Israël avaient fait ce jour-là : ils avaient présumé que tout allait bien. Leurs prêtres et leurs prédicateurs leur répétaient constamment : “Tout va bien; tout va très bien.” Mais il y en avait un qui, lui, criait contre ce qui était mal, parce qu’il savait qu’un Dieu saint ne peut se satisfaire d’une religion moderniste dépourvue de sainteté.

25 Et le Dieu du ciel est encore le même aujourd’hui. Tous nos efforts et ces grandes choses que nous essayons de faire... Dieu ne sera jamais satisfait par autre chose qu’une vie entièrement sanctifiée devant Lui.

26 Nous aurons beau construire des écoles, des lieux de pèlerinage et des tabernacles; nous aurons beau avoir des organisations; nous aurons beau faire de grandes choses, mais néanmoins Dieu ne sera pas satisfait tant que l’âme humaine ne deviendra pas sanctifiée, sur l’autel de Dieu, et consacrée aux oeuvres de Dieu. Et on ne trouve plus cela!

27 Nos réunions de prière sont si faibles : à peu près une minute de prière, et hop! au lit! Nous constatons que c’est ainsi, et ça, peut-être une fois ou deux par jour. Nous sommes tous coupables! Notre nation se dégrade moralement. Nous avons des Billy Graham et des Oral Roberts partout; mais, tant qu’une soif ne s’installera pas dans le coeur de l’Amérique pour la ramener à nouveau à un Dieu vivant, à une expérience vivante, à une foi immortelle dans le Dieu vivant, nous ne faisons, pour ainsi dire, que nous démener en vain.

28 Nous avons beau marcher le torse bombé, le faux col tourné vers l’arrière, et descendre la rue, cherchant à être appelé Docteur ou Révérend. Nous avons beau être les pasteurs des plus grandes églises du pays, et être pieux au possible, si bien que nul ne puisse nous accuser de quoi que ce soit. Mais tant que cette âme, qui se trouve à l’intérieur de nous, ne brûlera pas pour Dieu, tant qu’il n’y aura pas, à l’intérieur, quelque chose qui soupire après Lui, “comme une biche soupire après des courants d’eau, ainsi mon âme soupire après Toi, ô Dieu!”... tant que nous n’en viendrons pas à une expérience de cet ordre-là...

29 Par conséquent, le communisme, et tout ce qui s’ensuit, continuera à gagner du terrain, et toutes nos alliances ne pourront jamais l’arrêter. Il a été prédit que cela arriverait. Mais Dieu est en train d’appeler Son Église.

30 Combien cette petite femme devait être du calibre d’Élie, parce qu’habituellement vos actions témoignent de ce que vous êtes. Et d’ailleurs, elle avait été choisie pour loger le prophète de Dieu. Souvenez-vous, elle était une femme des nations, et non une Juive.

31 Et tout était en train de griller dans le pays. Et sans doute cette petite femme était-elle de ce calibre – une croyante – car Dieu n’aurait pas fait appel à elle si elle n’avait pas été digne de loger le prophète de Dieu. Il n’aurait jamais envoyé Son prophète vers une maison indigne.

32 Ce n’était pas son choix à lui, mais le choix de Dieu. Ce n’était pas elle qui l’avait invité, mais Dieu. Il avait été placé près d’un torrent; les corbeaux le nourrissaient. Mais, d’après le commandement de Dieu, quelque chose devait se produire. Et Dieu est sûrement allé vers une croyante de la même nature qu’Élie.

33 Elle était veuve. Et nous ne sommes pas sans savoir ce qu’une veuve peut traverser, avec son mari mort et un jeune garçon à élever.

34 Et, dans ces contrées-là, ils étaient dépendants de leurs récoltes. Ils n’avaient pas de programmes comme nous en avons aujourd’hui, et d’installations de défense. Leur survie dépendait de leurs récoltes. L’iniquité des gens et leur déchéance morale ayant entraîné une sécheresse sur le pays, ils étaient tous là affamés et mourants.

35 Il est probable qu’elle avait dû prier des nuits durant à plusieurs reprises, voyant la farine dans le pot qui descendait, descendait, descendait. Et, fatalement, vint le moment où il ne restait même plus une tasse de farine dans le pot. Elle n’en avait plus qu’une petite poignée. La mort approchait et allait bientôt frapper à sa porte. Car il n’y avait plus moyen d’en obtenir. La nation entière mourait de faim.

36 Et de l’huile, il n’en restait plus qu’une bonne cuillerée dans le petit récipient. Cette quantité d’huile et de farine était tout ce qui la séparait de la mort. Ses prières ont dû devenir vraiment sincères. Si pareille chose s’abattait sur votre foyer, il y aurait un peu plus de sincérité qu’il n’y en a parmi nous ce matin. Quand on sait que la mort se couche à la porte.

37 Et je pense qu’on pourrait se l’imaginer comme ceci : elle avait dû prier toute la nuit, car un jour de plus et son compte était réglé. Elle pouvait regarder les lèvres pâles de son petit garçon de trois ou quatre ans, et voir les os saillant de son propre corps décharné. Et cela avait dû être terrible pour cette mère de voir la tournure que prenaient les événements; et, malgré tout, les mains tendues vers Dieu, elle priait jour et nuit. “À présent, il ne nous reste plus qu’une poignée de farine et une cuillerée d’huile.”

38 Vous savez, c’est une chose étrange. Que Dieu permette que ceci pénètre chacun de vous, dussiez-vous ne jamais plus m’entendre prêcher. Que ceci soit un message. Il est étrange, des plus étrange, que parfois Dieu fasse les choses de cette façon-là.

39 Vous savez, après avoir confessé nos péchés et satisfait à chacune des exigences de Dieu... Nous avons cru en Dieu. Il y a des conditions à remplir, et c’est selon Sa volonté. Et nous avons confessé nos péchés, et nous avons redressé tous nos torts; tout ce que nous pouvions faire, nous l’avons fait, chacune des exigences que Dieu a indiquées, nous y avons satisfait, et Il reste malgré tout silencieux; Il refuse simplement de nous répondre...

40 Je suis sûr que je parle ce matin à certaines personnes qui sont en train de passer par là. J’y suis passé moi-même bien des fois. J’examinais alors ma vie passée, retournant chaque pierre, et, quand je découvrais que j’avais fait quelque chose de mal, je le confessais, disant : “Seigneur Dieu, je me mettrai en règle”, et je le faisais. Puis je revenais, disant : “Maintenant, Seigneur, Tu es Dieu; Tu me répondras. J’ai bel et bien satisfait à tout ce que Tu avais exigé de moi. Et, chaque condition, je l’ai remplie.” Et Il refuse toujours de bouger, Il semble rester silencieux; c’est là où vous devez être sûr qu’Il est Dieu. Ne soyez pas découragé; tout ce qu’il faut c’est que, dans votre coeur, vous soyez certain de Dieu.

41 Mon sujet, c’est : Soyez certain avant de faire quoi que ce soit; soyez certain dans votre coeur qu’il s’agit de Dieu. Et, quand vous avez satisfait à tout ce qu’Il a dit et que, de plus, vous êtes certain qu’Il est Dieu, c’est là que la foi entre en action, précisément là. La foi tient ferme, car elle sait que Dieu existe.

42 Et vous avez rempli chacune des conditions. Vous croyez qu’Il existe, et la foi tient ferme. Oh! béni soit Son Nom! La foi ne bougera pas, car elle est sûre que Dieu existe et qu’Il est le rémunérateur de ceux qui Le cherchent.

43 Puisse ceci pénétrer profondément en vous, Branham Tabernacle, et y demeurer à jamais. Si vous avez rempli les conditions requises par Dieu et que, dans votre coeur, vous croyez qu’Il existe, alors Dieu ne fait qu’éprouver votre foi, car Il aime faire cela. Si vous avez confessé vos péchés et satisfait à chacune des exigences de Dieu, et qu’Il reste malgré tout silencieux, souvenez-vous, la foi déclare qu’Il existe. Alors la foi s’y cramponne, elle ne sait pas de quoi il s’agit, mais elle sait qu’Il existe; elle est certaine qu’Il existe.

44 Et rappelez-vous que, s’Il existe, Ses Paroles doivent être vraies. Et s’Il a exigé de vous que vous vous pliiez à certaines conditions, et que vous l’avez fait, Il est alors tenu de veiller sur Sa Parole. Ne faites pas marche arrière, en disant : “Je n’ai pas été guéri. Je...” Ô toi, médiocre, faible foi! Ne croyez pas cela. Si vous avez tout confessé, si vous vous êtes déchargé de tout, et que vous avez satisfait aux exigences de Dieu, la foi tiendra bon. Rien ne l’ébranlera. Il existe, et vous en êtes sûr. “Ceux qui s’attendent à l’Éternel renouvelleront leur force; ils s’élèveront avec des ailes, comme des aigles; ils courront et ne se fatigueront pas; ils marcheront et ne se lasseront pas.”

45 Attendez. Lorsque vous avez satisfait à Ses exigences, votre foi est alors amenée à une confrontation. Si vous avez rempli... si les conditions requises par Dieu ont été remplies, que vous y avez accordé toute l’attention nécessaire, que vous avez fait tout ce que Dieu exigeait de vous, alors votre foi reposera sur ceci : Dieu existe. Soyez certain de Dieu!

46 Vous savez, Il aime nous mettre à l’épreuve. Il aime voir la réaction de votre foi. Saviez-vous cela? Dieu aime voir comment vous allez réagir. Quand vous dites : “Ô Seigneur, je Te crois; Tu es mon Sauveur. Je crois que Tu es le Guérisseur; je crois que Tu es Celui qui donne le Saint-Esprit; et ces choses dont j’ai besoin, Tu es le Dieu qui les donne!”... Alors vous confessez tous vos péchés, et faites une promesse à Dieu concernant ce que vous allez faire s’Il vous permet de vous rétablir. Et ensuite, parce que ça n’arrive pas, vous déguerpissez comme un lâche; Dieu ne peut pas utiliser cela. Il ne peut aucunement vous utiliser. Il ne peut absolument pas vous répondre, puisqu’Il ne répond que par la foi. Tout à coup, vous vous en allez, et alors Il ne peut pas répondre. Mais une foi réelle et véritable restera là, sûre que Dieu existe. Elle est certaine qu’Il existe.

47 Et si Dieu vous demande de faire ceci – de confesser vos péchés, et ainsi de suite – et que vous l’avez fait, la foi déclare qu’Il existe; elle est certaine que cela arrivera. Votre demande doit être exaucée. Oh! je... j’espère que cela ne vous échappera pas. Si vous êtes sûr de Dieu, Dieu est sûr de Sa Parole. Il attend, simplement pour vous mettre à l’épreuve.

48 Il l’a fait bien des fois. Revoyons une ou deux de ces occasions. Pensons aux enfants hébreux. Ils ne devaient pas se prosterner devant une idole. Dieu avait confiance en eux. Et lorsqu’ils apprirent qu’ils iraient à la fournaise ardente, ils dirent : “Notre Dieu peut nous délivrer de cette fournaise. Et, même s’Il ne le fait pas, nous ne nous prosternerons devant aucune de vos idoles.” Voyez-vous, ils étaient sûrs et certains de Dieu.

49 Ils savaient qu’Il est Jéhovah. Ils savaient qu’Il exauce les prières. Mais, qu’Il le fasse ou non dans leur cas, de toute manière ça serait pour leur bien, ils ont donc simplement fait leur déclaration, confessé leurs péchés, et se sont avancés vers la mort.

50 Lorsqu’ils se rendaient à la fournaise ardente, sachant que, si Dieu les laissait brûler, ils étaient certains qu’Il les ressusciterait à la résurrection... Ils étaient certains de Dieu, parce qu’ils savaient que Dieu ferait concourir toutes choses à leur bien. Et lorsque nous sommes certains de Dieu, nous savons que Dieu fait concourir toutes choses à notre bien.

51 Ils firent donc une seule déclaration. Ils étaient certains. Et ils s’avancèrent tout droit vers la fournaise ardente, et Dieu les laissa y entrer, se tenant là à les observer. Il voulait voir leur réaction.

52 Lorsque le roi dit : “Vous êtes-vous prosternés au son de la trompette?” Ils dirent : “Non, nous ne nous sommes pas prosternés.” Voilà votre foi, tenant ferme!
“Mais, si vous ne vous êtes pas prosternés, savez-vous ce que j’ai décrété?
– Oui, nous savons ce que tu as décrété.
– Je décrète que la fournaise soit chauffée sept fois plus qu’elle ne l’a jamais été, et je vous y jetterai. Acceptez-vous de vous prosterner à présent?
– Non, nous ne nous prosternerons pas.” Regardez cette foi!

53 Dieu dit : “Eh bien, je vais voir ce qu’ils vont faire. Je vais voir comment réagira leur foi.”

54 Alors le roi dit : “Liez-leur les mains et les pieds, et conduisez-les à la fournaise.” Ils approchèrent donc de la fournaise, le feu éclairant leurs visages, et Dieu se tenait toujours là à regarder. Mais ils étaient certains qu’Il était Dieu. Ils avaient confessé leurs fautes. Ils avaient rectifié tout ce qui, à leur connaissance, devait être rectifié. Ils étaient certains qu’Il était Dieu.

55 Ils s’avancèrent donc tout droit dans la fournaise ardente. Et, au tout dernier moment, voilà qu’Il descend des cieux, porté par un char de vent, et les évente pour les débarrasser des cendres, pendant qu’Il les console et leur parle.

56 Dieu laisse votre foi parvenir au point où elle devra réagir.

57 Il y a eu Job de l’Ancien Testament, que Satan, notre accusateur, a accusé d’être un pécheur secret. Mais Job savait qu’il n’avait pas péché. Il savait qu’il avait confessé tout ce qu’il avait fait, et qu’il avait offert son holocauste. C’était là l’exigence de Dieu. C’était tout ce que Dieu exigeait : un holocauste et une confession. Et cela, Job l’avait fait.

58 Et Satan dit : “Je prendrai ses chameaux, car il est riche; je prendrai ses brebis.” Et, en dernier lieu, il prit ce qui était le plus près du coeur de Job : ses enfants.

59 Job demeura néanmoins inflexible, car il savait que Dieu... il était certain qu’Il était Dieu, car il Lui avait parlé, et il avait satisfait à Ses exigences. Il passa tout au peigne fin, et conclut : “J’ai offert tous les holocaustes voulus. Je me suis dit : ‘Peut-être que lors d’un festin donné par mes fils, auquel mes filles auraient assisté... peut-être ont-ils péché en secret, dans leur coeur, je vais donc offrir un holocauste pour eux, et confesser leurs torts.’”

60 Ô Dieu! Quand un homme est fidèle à ce que Dieu lui a dicté, et qu’il est certain qu’Il est Dieu, Celui-ci doit répondre! La foi déclenche chaque fois Son entrée en scène.

61 Quand vous avez fait ce que vous savez être juste, quand vous avez satisfait à Ses exigences, quand vous avez confessé, rectifié et fait des restitutions, et que vous avez déposé cela devant Dieu, peu importe combien Il est silencieux, Il n’en est pas moins Dieu, attendant que cette foi entre en action. Vos oeuvres, vous les avez faites; maintenant Il veut voir votre foi par vos oeuvres. Il veut voir ce que vous allez faire.

62 Si on vous a oint et qu’on a prié pour vous, Dieu attend de voir ce que vous allez croire à ce sujet, et si vous n’allez pas ensuite revenir en trombe le dimanche suivant, et puis, le lendemain, vous précipiter au-devant du prochain guérisseur de passage en ville; Il attend de voir la réaction de votre foi, de voir si vous n’allez pas revenir le lendemain, disant : “Je me sens si malade; je ne pense pas avoir été guéri.” Primo, vous n’êtes même pas digne de la ligne de prière. Vous n’êtes... vous n’êtes... vous n’êtes pas encore prêt. Vous ne croyez pas qu’Il est Dieu. Je ne...

63 Peut-être direz-vous : “Frère Branham, je ne suis pas d’accord avec vous.” Votre conduite même démontre ce que vous êtes! “Vous les reconnaîtrez à leurs fruits.” Si un homme se dit Chrétien, et que néanmoins il boive, fume, s’adonne aux jeux d’argent, et fasse des plaisanteries grossières, et dise qu’une partie de la Bible est juste et qu’une autre ne l’est pas... Il aura beau prêcher l’Évangile : s’il rejette une partie de la Bible, il n’en est pas moins un pécheur. Il n’est pas encore en règle.

64 Mais, quand vous confessez ouvertement que Dieu est le même Dieu, et que vous remettez votre vie entre Ses mains, disant : “Seigneur, je suis l’argile; Tu es le Potier”, alors demandez ce que vous voulez. La foi ne bougera jamais; elle ne quittera pas sa place.

65 Même si la situation semble se désagréger de tous côtés, néanmoins cette foi ne bouge jamais, parce que vous êtes certain qu’Il est Dieu. Et, s’Il est Dieu, Il tient Sa promesse. Il ne peut pas faire une promesse, et la rompre. S’Il est Dieu, Il doit tenir Sa promesse. Oh! combien j’aime cela! Il doit y rester fidèle.

66 Job avait présenté ses offrandes, il avait tout fait. Il savait qu’il était en règle. Et voici que se présentent les membres d’église, d’églises d’autres dénominations, lui disant : “Job, tu ferais aussi bien d’admettre que tu es un pécheur, car Dieu ne permettrait pas que tu sois puni de la sorte si tu n’étais pas un pécheur.”

67 Mais Job dit : “J’ai fait mes confessions. J’ai présenté l’holocauste à Dieu, et je ne suis pas un pécheur.” Il connaissait sa position. Et puis les événements suivirent leur cours funeste, essayant de terrasser Job et d’amener Job à renier Dieu et à renier cet holocauste. Dès l’instant où vous intervenez après une confession, cela montre votre faiblesse, cela montre que vous doutez de Dieu. Si vous demandez quoi que ce soit à Dieu et que vous passez votre temps à en douter, alors vous êtes un douteur, pas un croyant.

68 Job savait où il en était, et il s’accrocha fermement à ce fondement-là.

69 Pas étonnant que Perronet, à l’heure de sa mort, ait dit : Sur Christ, le Roc solide, je me tiens,
Tout autre terrain n’est que sables mouvants.

70 Sur ce roc solide de la confession de Job... Même son épouse bien-aimée l’abandonna. Lorsqu’il avait perdu la santé, qu’il était couvert d’ulcères et qu’il se grattait avec un tesson, maudissant le jour de sa naissance et disant : “Puisse même le soleil ne pas briller, et la lune ne pas paraître la nuit”...
Sa femme dit : “Job, tu es tellement misérable; tu ferais aussi bien de maudire Dieu et mourir.”

71 Il dit : “Tu parles comme les femmes insensées.” Il était certain qu’il y avait un Dieu, et qu’il avait satisfait aux exigences. Oh! je me sens religieux! Il savait qu’il avait satisfait aux exigences de Dieu, et cela tranchait la question. Dieu éprouvait sa foi. Il éprouvera la vôtre; Il éprouvera la mienne.

72 Mais lorsque nous avons satisfait à Ses exigences : “Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit”, c’est Sa promesse. “Quelqu’un parmi vous est-il malade? Qu’il appelle les anciens de l’Église; qu’ils l’oignent d’huile et prient... La prière de la foi sauvera le malade, et Dieu le relèvera.” Voilà qui règle la question. “Confessez donc vos fautes les uns aux autres, et priez les uns pour les autres.”

73 Vous avez satisfait aux exigences de Dieu : “Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru : en Mon Nom ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; ils saisiront des serpents; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.” Voilà qui règle la question.

74 Soyez certain de Dieu. Soyez sûr que, dans votre coeur, vous croyez bien qu’il s’agit là de la Parole de Dieu. Job l’était.
Sa femme dit : “Pourquoi ne pas Le maudire, et mourir? Ton état empire continuellement.”

75 Combien Satan aime vous lancer ces mots-là. “Mais voyons, tu ne vas pas mieux depuis que tu as été oint d’huile. Tu ne vas pas mieux depuis que ces prédicateurs ont prié pour toi. Ces prédicateurs sont dans l’erreur pour commencer.” Cela n’a rien à voir avec le prédicateur; c’est votre foi dans le Dieu vivant qui compte... Ce n’est pas ce que le prédicateur est, c’est ce que Dieu est. Ce n’est pas le prédicateur qui a fait la promesse; c’est Dieu qui a fait la promesse. Ce n’est pas l’affaire du prédicateur; c’est l’affaire de Dieu, et de votre foi pour croire qu’il s’agit bien de Dieu. Donc, soyez certain de Dieu. Soyez certain qu’il s’agit de Dieu, que c’est la Parole de Dieu, et Dieu est dans Sa Parole.

76 Et Job dit : “Tu parles comme une femme insensée.” Il dit : “L’Éternel a donné, et l’Éternel a ôté; que le Nom de l’Éternel soit béni!” Il était certain que Dieu était là.

77 Et lorsqu’il eut laissé échapper ces mots, le tonnerre se mit à gronder et les éclairs à briller; Dieu entra en scène; cela déclenche toujours Son entrée en scène. Il demeure longtemps silencieux.

78 C’est ce qu’Il fait, les yeux fixés sur cette bande d’Américains voués à l’enfer, ces hypocrites membres d’église. Je ne suis pas en colère, mais le péché irrite quiconque est en règle avec Dieu. Je ne suis pas en colère contre la nation, ni contre les gens, mais je suis en colère contre le diable qui a suscité ces choses dans le but d’aveugler les gens.

79 Ces pasteurs et prédicateurs aveugles les laissent s’en tirer avec une espèce de petite théologie faite de main d’homme. Vous devez naître de nouveau, et Dieu garde Sa Parole. Voyez comme il est en train de les...?... Vous feriez mieux d’être sûr que Dieu s’y trouve. “Ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force...”

80 Cette pauvre petite femme, elle savait qu’Il était Dieu. Tandis que le contenu de ce pot continuait de descendre, descendre, descendre, descendre, la situation continuait d’empirer. Mais Dieu permettait qu’il en soit ainsi. Combien Il aime faire cela! Il aime mettre votre foi à l’épreuve pour voir comment vous l’exploiterez; Il permettra qu’on vous oigne et qu’on prie pour vous, et qu’ensuite votre état empire, disant : “Vas-y, Satan, mets-le à l’épreuve; je sais qu’il Me croit.” Que Dieu soit béni à jamais! Oh! la la! “Mets-le à l’épreuve maintenant! Je sais qu’il M’a cru sur Parole.” Pourrait-Il en dire autant de vous?

81 Il l’a dit au sujet de Job : “Fais-lui tout ce que tu veux, mais ne prends pas sa vie, car Je sais qu’il M’aime. Il a présenté l’holocauste; il a rempli les conditions exigées; il a fait ce que Je lui ai dit, et il le croit. Maintenant, fais-lui en voir de toutes les couleurs si tu veux.” Il lui a tout enlevé; Dieu, quand Il le rétablit, lui donna le double de tout. Assurément qu’Il le fera!

82 Il met notre foi à l’épreuve, pour voir si nous croyons vraiment qu’Il est Dieu.

83 Sans doute cette petite femme a-t-elle dit : “J’ai prié; j’ai prié; je sais que je suis une indigne femme des nations.”

84 Souvenez-vous, Jésus a parlé d’elle dans la Bible; Il a dit : “N’y avait-il pas plusieurs veuves du temps d’Élie? Et cependant il fut envoyé vers une seule, et elle était une païenne.”

85 “Oh, dit-il, j’ai prié.” Et peut-être que lorsqu’elle a vu ce dernier petit gâteau, la mort avait déjà passé le portail et se présentait à la porte. Une dernière bouchée chacun, et puis elle et son fils mourraient. Je peux me l’imaginer, priant toute la nuit, tandis que les vents brûlants soufflaient, desséchant la terre, et que les gens pleuraient et poussaient des cris dans les rues. Elle se promena dans la maison. Elle regarda son petit garçon. Elle regarda son petit pyjama tout troué, et ses petits pieds qui en sortaient; elle regarda ses propres mains toutes ridées. Elle faisait les cent pas tout en se disant : “Je sais qu’Il est Dieu. J’ai tout confessé; j’ai fait tout ce qu’Il exigeait; et je réclame nos vies pour Sa gloire.” Dieu l’a vue.

86 Pendant que les autres allaient au bal quelque part, et se faisaient une beauté pour participer à ce qui correspondrait aujourd’hui à un spectacle de télévision ou quelque chose ainsi, s’adonnant aux plaisirs du monde, cette femme-là, elle, était seule avec Dieu.

87 Le jour se leva. Elle dit : “Le pauvre petit a pleuré toute la nuit, réclamant quelque chose à manger; qu’est-ce que je vais pouvoir faire d’une petite poignée de farine?”

88 Vous savez, cette farine, c’était Christ. Toute personne qui étudie la Bible sait que Christ était l’Offrande de farine. De plus, il fallait broyer cette offrande de farine avec une meule spéciale, jusqu’à ce que tous les petits morceaux de maïs soient pareils, parce que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui, et pour toujours. Et chaque croyant croit cela et se repose là-dessus. Alléluia! Vous pouvez vous offrir toute la religion froide et formaliste qui vous plaira. Quant à moi, je crois que Christ est le même hier, aujourd’hui, et pour toujours. Je prends position dans ce monde d’impies. Je crois toujours qu’Il est le même hier, aujourd’hui, et pour toujours.

89 Ces meules coupaient chacun des grains de la même façon, parce qu’Il est le même. Il est le même Dieu qu’Il était alors; Il l’est ce matin même. Il sera toujours le même. C’est ce que représentait la farine.

90 Et l’huile représente l’Esprit, comme nous le savons, conformément à Ézéchiel 4 et ainsi de suite. C’est pourquoi nous oignons d’huile; c’est l’Esprit. Qu’est-ce? Comme le déclare Jean 4 : “Le Père cherche des adorateurs qui L’adorent en Esprit et en Vérité.” Jésus était la Vérité. Il était l’Offrande de farine, et l’Huile était l’Esprit. Et l’Esprit joint à la Vérité produira immanquablement quelque chose. Mettez-les ensemble, et cela produit un gâteau.

91 Oh, où est votre foi? Lorsque la Parole de Dieu est prêchée dans Sa simplicité, et pourtant dans Sa puissance, – Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui, et pour toujours, – lorsque la Parole est proclamée, la Farine, vous possédez l’Huile pour l’y mélanger. Peut-être n’en avez-vous qu’une petite poignée ou une cuillerée mais, quoi qu’il en soit, c’est réel.

92 Maintenant, à quoi va servir ce mélange? Il est prêt pour la croix; il est prêt pour le sacrifice de soi. C’est ce qu’il vous faut faire. Si la Parole a été prêchée et que vous y avez mêlé l’Esprit, le sacrifice de soi consiste à nier chaque douleur, à nier chaque maladie, à nier tout ce qui est contraire à la Parole de Dieu, puis à rester sur vos positions.

93 Que le médecin dise une chose ou une autre; cela ne fait pas la moindre différence. Vous tenez ferme parce que Dieu l’a dit. La Farine est venue; vous avez pris l’Huile, et les avez mélangées.

94 Maintenant, j’entends une voix. Le jour vient de se lever. Une voix se fait entendre, disant : “Va au jardin chercher deux morceaux de bois.” Avez-vous remarqué que l’Écriture a dit “deux morceaux de bois”? La croix. Elle a la farine et l’huile, mais on va lui demander d’agir à présent. Agissez avec cela; peu importe la quantité que vous en avez; que vous ayez toute la Farine et l’Huile qu’il vous faut, il vous faudra néanmoins agir : le sacrifice de soi, deux morceaux de bois.

95 Jadis... On n’a pas encore trouvé de meilleur moyen pour faire un feu que celui-ci : prenez une bûche, posez-la en travers d’une autre, et allumez-les par le milieu, vous n’aurez ensuite qu’à faire avancer les deux bouts. C’est ainsi que les Indiens font leurs feux. Bien des fois, des nuits durant, j’ai maintenu le feu ainsi : je posais simplement une bûche comme ceci et une autre comme cela, et puis, à mesure qu’elles brûlaient, je les poussais dans le feu.

96 Ce morceau de bois, c’était la croix. La Bible dit : deux morceaux de bois. La voix dit : “Va dans le jardin chercher deux morceaux de bois.” Au même moment, du haut de la montagne retentit une voix de tonnerre, disant au prophète : “Va à la ville; j’ai ordonné...” Oh! la la! Tous deux obéirent. Quelque chose doit se produire. Tous deux obéissent.

97 Si le prédicateur prêche la Parole, et que l’homme qui La reçoit y croit et s’y conforme, quelque chose doit arriver. Si vous êtes un pécheur, vous serez sauvé. Si vous êtes malade, vous serez guéri; parce que Dieu l’a promis... si nous sommes certains de Dieu.

98 Aussi certain qu’Il est Dieu, Il doit tenir Sa Parole. Certainement! L’ordre était donc : “Va à la ville, j’y ai ordonné à une femme veuve...” Une vision surgit devant le prophète. Et le voilà qui se met à marcher. Il ne sait pas où il va; cela ne fait aucune différence. Il ne fait qu’obéir.

99 Elle ne sait pas où se trouveront ces morceaux de bois, mais il y a, quelque part dans le jardin, deux morceaux de bois. Elle se met en route; elle va au jardin. Elle regarde autour d’elle : “Oh, comme il fait chaud!”; et ces hurlements qui proviennent de la ville, et les rôdeurs de nuit qui, titubant, rentrent en buvant du vin et ainsi de suite... Elle jette un coup d’oeil dans la rue; elle ne voit rien. Elle trouve un morceau de bois, une partie de la croix, le sacrifice de soi. Elle trouve un autre morceau de bois et, comme elle ramasse ce second morceau de bois...

100 Oh! quelle heure lugubre cela devait être : la mort était sur le seuil de sa porte. Une petite bouchée de gâteau de maïs, et elle et son fils mourraient. C’était tout. C’est parfois au beau milieu des ténèbres qu’on entend la voix.

101 Repartant vers la maison après avoir ramassé ce second morceau de bois, elle entend une voix de l’autre côté du portail : “Va me chercher un peu d’eau dans un vase!”

102 Elle se retourne pour voir, les deux morceaux de bois dans sa main, la farine et l’huile mélangées et prêtes. Elle dit les avoir préparées, mélangées. C’est cela : la Parole et l’Esprit doivent se mélanger, et être placés sur la croix du sacrifice de soi, afin de nier tout ce qui est contraire à ce que vous avez demandé. C’est exact. “J’ai fait le mélange; je vais maintenant aller chercher ces morceaux de bois.” Et cette voix déclare : “Apporte-moi un peu d’eau dans un vase!”

103 Elle regarde et voit un homme se tenant là, appuyé contre le portail; un homme aux joues creuses, barbu, chauve, qui, depuis l’autre côté du portail, la regarde, enveloppé d’une vieille peau de mouton. Il avait l’air d’être un aimable vieillard. Elle se dit : “Je vais partager mon eau avec lui.”

104 Les eaux de la Vie : vous êtes prêt à en donner à tout le monde, à en parler à tout le monde, à aller n’importe où. “Un instant, monsieur.”

105 Elle s’en retourne, avec les morceaux de bois dans sa main. Et la voix tonne à nouveau : “Non seulement partageras-tu ton eau, mais apporte-moi aussi un petit morceau de pain dans ta main!” Le pain de la Vie, l’eau de la Vie : “de la Vie”? Elle mourrait aussitôt qu’ils seraient épuisés.

106 “Apporte-moi ton eau, et apporte-moi ton pain!” Que trouvons-nous ici? Quelle leçon pouvons-nous en tirer? “Cherchez premièrement le Royaume de Dieu et toute Sa justice; les autres choses vous seront données par-dessus.” “Apporte-moi un peu d’eau et un morceau de pain.”

107 Encore tout abattue, elle se retourne alors; je peux l’entendre dire : “Monsieur!” – quelque chose comme ceci – “Vous êtes différent des hommes que j’ai vus, des hommes que j’ai entendus parler, vous semblez si sûr de ce que vous avancez. Mais j’ai tout juste assez de farine, juste une poignée, et juste une cuillerée d’huile. J’avais préparé cela, et je vais le cuire avec ces deux morceaux de bois. Et puis je le mangerai avec mon fils, après quoi nous mourrons. C’est tout ce que j’ai!”

108 Qu’entendons-nous ensuite? “Mais apporte-moi d’abord le petit gâteau!” Dieu d’abord! Peu importe ce qu’on peut dire, ou quoi que ce soit d’autre, une quelconque évidence, et combien sombre cela peut paraître, quoi qu’il en soit, prenez Dieu d’abord, Sa Parole d’abord!

109 “Le médecin a dit que je ne peux me rétablir”; mais Sa Parole passe d’abord! “Je suis un trop grand pécheur!”, “Je suis une prostituée!”, “Je joue à l’argent!”, “Je suis un ivrogne!”; la Parole de Dieu d’abord! “Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige; s’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront blancs comme la laine.” Dieu d’abord.

110 “Va me chercher un petit gâteau d’abord! Tout ce que tu as, apporte-le-moi!” Êtes-vous prêts à remettre cela entre Ses mains?

111 Ma vie, tout ce que j’ai, j’ai cinquante ans. “Es-tu prêt, William Branham, à Me remettre cela? Êtes-vous prêts, vous les petits enfants, à Me remettre votre vie? Le voulez-vous? Le pouvez-vous? Vous qui êtes malades, pouvez-vous Me faire confiance? Donnez-Moi la première place.”

112 “Apporte-moi un morceau de pain dans ta main, et va me chercher un peu d’eau.” Elle l’a regardé. Quelque chose lui disait que cet homme-là savait de quoi il parlait. Dieu connaît les Siens. Les brebis... “Mes brebis connaissent Ma Voix. Elles savent si oui ou non c’est scripturaire, si c’est juste ou pas.”

113 Obéissante, elle s’en retourne. C’est ce que vous devez faire. Et lorsqu’elle fit demi-tour pour obéir au prophète, alors ce tonnerre du ciel, que tout homme cherche à entendre, a retenti. Car la voix du prophète résonna comme un tonnerre qui fit entendre ce qu’attend chaque pécheur, chaque personne malade : “AINSI DIT LE SEIGNEUR!” Ô combien nous désirons entendre ça!

114 Pensez à ces gens qui se tiennent dans l’allée de ma maison, et disent : “Venez à cet endroit, ma fille est..., mon bébé, mon tel et tel... vous n’avez qu’un mot à dire!” Le prononcer avant que ça soit dans votre bouche? Ce serait le dire soi-même. Mais ils brûlent d’entendre ce AINSI DIT LE SEIGNEUR.

115 Et voilà que, depuis l’autre côté du portail, il s’est fait entendre, parce qu’elle obéissait; et le voile de tristesse s’est levé : “AINSI DIT LE SEIGNEUR, le pot ne se videra pas complètement, et la cruche non plus, jusqu’au jour où l’Éternel fera tomber de la pluie sur la terre.” Oh! quelle consolation!

116 Elle a fait ce gâteau et l’a donné au prophète. Elle est retournée en préparer pour elle et son fils, et ils ont mangé et bu à satiété. D’où cela est-il venu? Comment cela s’est-il trouvé là? Expliquez-moi scientifiquement la provenance de cette farine. D’où venait cette huile? Comment a-t-elle fait pour se retrouver dans cette cruche?

117 Chaque matin, elle versait l’huile jusqu’à la dernière goutte; chaque matin, elle vidait le pot de farine. Plus rien... mais, quand elle retournait en chercher, il y en avait! D’où cela venait-il? Prenez Dieu au mot! Soyez certain de Dieu! Il est le Créateur.

118 Il se peut que vous ayez perdu la santé. Il se peut que vous ayez perdu votre communion. Prenez-Le au mot! Soyez certain qu’Il est Dieu. Cette période sombre que vous traversez ne paraîtrait peut-être pas aussi sombre, si vous acceptiez simplement Sa Parole et étiez certain qu’Il est Dieu.

119 J’ai vu une fois, en Allemagne, un tableau que je n’ai jamais oublié. Un peintre allemand a peint le... un tableau intitulé “le Pays des nuages”. De loin, cela vous apparaît comme une image horriblement triste et sombre représentant un amoncellement de nuages; c’est ce qu’on remarque de loin. Mais, lorsqu’on s’en approche, cela se transforme : ce sont des ailes d’Anges qui battent ensemble, chantant des alléluias au Seigneur. Et voilà ce qu’est l’obscurité, parfois. Si vous regardez de loin, cela semble triste et noir; mais prenez Dieu au mot, et soyez certain qu’Il est Dieu; approchez-vous ensuite tout près : vous découvrirez que ce ne sont que des ailes d’Anges qui battent ensemble.

120 Elle était un peu comme Abraham, appelée à donner tout ce qu’elle possédait, et à poser cela sur l’autel du sacrifice. Peut-être recevez-vous ce même appel ce matin : renoncez à vos voies, renoncez à votre incrédulité, abandonnez tout ce que vous avez, pour ensuite prendre l’Huile et la Parole, les mélanger, et poser cela sur l’autel du sacrifice de soi. Vous constaterez que cela déclenchera l’entrée en scène de Dieu, aussi sûr que je me tiens à cette chaire.

121 Pensez-y tandis que nous prions. Avez-vous un besoin aujourd’hui? Avez-vous un besoin qui dépasse vos capacités physiques? Êtes-vous tellement à court d’argent que vous ne pouvez pas payer votre loyer? Les enfants ont-ils besoin de chaussures neuves, et vous n’avez pas l’argent pour les leur acheter? Le pot est-il vide chez vous, et la cruche à peu près sèche? Vous ne pouvez pas acheter de fourrage pour votre bétail et... quelque chose ne va pas; souvenez-vous : Il a fait une promesse.

122 Êtes-vous malade : le médecin dit qu’il vous faut subir une opération, et vous n’avez pas l’argent nécessaire? Êtes-vous dans le besoin?

123 Êtes-vous un pécheur? Votre besoin est-il grand, sachant que si Dieu appelait aujourd’hui, vous seriez perdu? Êtes-vous un rétrograde, fuyant Dieu? Vous savez que vous êtes membre d’une église, et pourtant vous savez bien que vous n’êtes pas en règle, votre propre conscience vous dit que vous n’êtes pas en règle selon la Parole : vous avez un besoin. Ne laissez pas ces paroles tomber parmi les épines ou sur des pierres, des coeurs de pierre; puissent-elles tomber dans une bonne terre fertile.

124 Vous qui êtes malade et condamné par la médecine, si vous promettez à Dieu de Le servir tous les jours de votre vie et que vous êtes certain qu’Il est Dieu, venez donc satisfaire à Son exigence. Si vous avez un besoin, voulez-vous commencer par lever la main pour dire à Dieu que vous avez besoin de quelque chose? Que Dieu vous bénisse! Prions.

125 Ô Seigneur, aussi sûr que je me tiens à cette chaire ce matin, je sais que pas une seule de ces mains ne peut se lever sans que Tu le saches, car Tu es Dieu. Tu as dit : “Ne vend-on pas tant de passereaux pour deux sous? Combien plus valez-vous qu’un passereau!” À combien plus forte raison as-Tu vu les mains de ces êtres mortels pour lesquels Ton Fils Jésus est mort! Combien plus as-Tu vu leurs mains que Tu n’aurais vu tomber un passereau ce matin. Je pense que... qu’une douzaine de passereaux ne se vendrait pas pour un sou ce matin, parce que personne n’en veut; il y aurait le problème de s’en occuper. Mais Tu connais chacun d’eux; Tu connais chacune des plumes qui recouvrent leur corps. Tu connais chacun des cheveux de notre tête.

126 Ô Seigneur, exauce notre prière; fais en sorte qu’ils soient certains que Tu es Dieu ce matin, et que c’est Ton Esprit. Puissent l’engourdissement et le prestige caractérisant cette religion des temps modernes se détacher d’eux; “Oh, je suis membre de telle église”, disent-ils. Ô Dieu, puisse cela s’effacer de leurs pensées à l’instant même. Puissent-ils maintenant entrevoir, un bref instant, la Vie Éternelle. Et alors, ils La rechercheront et auront soif d’Elle, désirant savoir ce que Dieu est, puisqu’ils sont certains qu’Il existe et qu’Il tient Sa Parole.

127 Quant aux pécheurs, puissent-ils rapidement se repentir et se préparer à être baptisés au Nom de Jésus-Christ. Tu as alors promis de leur donner le Saint-Esprit. Tu l’as dit, Seigneur; Tu tiens Ta promesse.

128 S’il y a ici un rétrograde qui est certain que Tu es Dieu, mais qui se soit égaré, puisse-t-il venir aujourd’hui, parce que Tu as dit : “Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige; s’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront blancs comme la laine.”

129 Et puissent ceux qui sont malades prendre conscience que Tu es Dieu, que Tu tiens Ta Parole; Tu dois tenir Ta Parole. Et, alors qu’ils viennent se placer là avec leur Huile – l’Esprit qui est en eux confessant qu’ils croient – et aussi avec la Parole, – le Pain de Vie qui a été distribué, Christ, qui a été broyé pour eux au fil de l’Ancien et du Nouveau Testament, pour montrer qu’Il est le même hier, aujourd’hui, et pour toujours, – puissent-ils donc mélanger cette Parole et l’Huile, l’Esprit, qu’ils possèdent, et se relever de l’autel en disant : “C’est tout ce que je possède, Seigneur; je Te l’apporte.” Oh, combien Tu le multiplieras, combien cela déclenchera l’entrée en scène du Dieu de l’histoire; combien Jéhovah, le coeur ému, pourra dire : “J’ai un enfant qui est prêt à M’obéir. Je l’ai mis à l’épreuve, et il a montré qu’il M’aime et qu’il Me croit. Il est certain que J’existe.” Car il est déclaré : “Celui qui s’approche de Dieu doit croire qu’Il existe, et qu’Il est le rémunérateur de ceux qui Le cherchent.” Accorde-le en cette heure, tandis que nous nous en remettons à Toi.

130 Et maintenant, alors que nos têtes sont inclinées, vous qui avez un besoin, de quelque nature qu’il soit, voulez-vous vous lever si vous désirez le placer... Maintenant, si vous n’êtes pas certains qu’Il est Dieu... Si vous êtes certains qu’Il est Dieu et qu’Il va tenir Sa promesse, – le salut, la guérison, ou quoi que ce soit d’autre, – si vous êtes certains qu’Il est Dieu, levez-vous. S’il y a quelqu’un d’autre pour qui vous désirez prier, levez-vous si vous êtes... si vous êtes certain qu’Il est Dieu. “Faites connaître votre requête au milieu de l’assemblée des saints.” C’est ce que vous faites alors que vous vous levez... [espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] Je suis certain qu’Il est Dieu. Je crois qu’Il tient Sa Parole et je suis sûr que j’ai bien déposé ma requête sous le Sang en ce moment. Si vous faites cela, que vous déposez chaque péché, chaque... Le péché, c’est l’incrédulité. Vous êtes peut-être un membre d’église, mais je parle maintenant du péché, de votre incrédulité. Vous la déposez en tant que sacrifice; vous allez la sacrifier, vous vous approchez de la croix. Vous allez maintenant sacrifier toute votre incrédulité, et la Lui remettre, sachant qu’Il existe et que vous êtes certain qu’Il va répondre. Si c’est votre cas, levez la main. Demeurez ainsi.

131 Seigneur, Tu es Dieu! Voici leur Huile et leur Maïs qui ont été mélangés; ils les apportent à la croix où le Feu de Dieu tombera dans leurs coeurs (s’ils sont vraiment sincères) et consumera leur sacrifice. Tu entreras en scène, et “feras monter le niveau des eaux qui cachent” [traduction littérale]. Descendant du ciel sur un char de feu, Tu ébranleras les cieux et la terre pour les récompenser.

132 Alors qu’ils se tiennent là, les mains levées, démontrant qu’ils croient et qu’ils se sont placés eux-mêmes, avec chacune de leurs requêtes, sur Ton autel... Ô Dieu du ciel et de la terre, Juge des cieux et de la terre, certainement que le Juge du ciel et de la terre fera justice, certainement qu’Il tiendra parole. Tu connais le coeur des hommes, le coeur des femmes, le coeur de ces gens.

133 Seigneur Dieu, je lève aussi mes mains, car je sais que je suis sur le point d’avoir un changement de ministère. Et je crois que Tu existes; je T’ai vu te tenir là-bas dans cette Colonne de Feu. Je T’ai vu sonder les secrets du coeur des hommes sans jamais une seule fois faillir. Tu l’as promis là-bas de l’autre côté de la rue, lorsque Tu as commencé à traiter... à faire ces choses. Et Tu m’as protégé dans le monde entier, partout, partout. Je suis sûr que Tu es Dieu; je suis certain de cela.

134 Je m’offre moi-même avec ces gens, et je sacrifie tout ce que je possède, Seigneur, pour Te servir. Je recommence, Seigneur, à voyager de par le monde. Aide-moi, ô Dieu. Si jamais j’ai douté de Toi, pardonne-moi ces péchés, pardonne mon incrédulité. Je sais que Tu existes, et que Tu es le rémunérateur de ceux qui Te cherchent.

135 Je confesse de même les péchés des miens ce matin, leurs faiblesses et leurs doutes, comme ils se tiennent debout, avec leurs mains levées. Je confesse leurs péchés, Seigneur, et toutes nos faiblesses. Envoie le Saint-Esprit sur nous avec le sceau de Ton approbation; Tu es Dieu, et Tu es ici maintenant pour nous recevoir, pour nous prendre dans Tes bras, et pour nous racheter de tout ce que nous avons perdu. S’il s’agit de notre santé, puisse-t-elle nous être redonnée au centuple. S’il s’agit de notre âme, puisse-t-elle revenir à nous florissante et rayonnante, remplie du Saint-Esprit en vue d’être présentée à Dieu. S’il s’agit d’incrédulité, Seigneur, puisse-t-elle revenir à nous transformée en une foi capable de déplacer les montagnes. Accorde-le, Seigneur!

136 Nous croyons que Tu es en train d’agir, – le Saint-Esprit saturant ce bâtiment, passant au-dessus de ces gens, – d’agir dans leur coeur, les poussant à accepter le Dieu vivant. Nous faisons ceci au Nom de Jésus-Christ. Ma foi regarde à Toi,
Toi, Agneau du Calvaire,
Sauveur divin!
Écoute maintenant ma prière,
Enlève tous mes péchés,
Que je ne m’égare plus jamais
Loin de Toi.

137 Êtes-vous vraiment sérieux? Si vous le recevez, levez les mains et dites : “Je le reçois maintenant de Lui.” Comme je marche dans le sombre labyrinthe de la vie,
Et que les chagrins autour de moi se multiplient,
Toi, sois mon Guide.
Ordonne que les ténèbres se changent en jour,
Enlève toutes mes craintes,
Que je ne m’égare plus jamais
Loin de Toi.

138 Inclinons nos têtes. Après ce message sévère, dur, rude, qui a été apporté un peu brutalement... seulement, c’est la Vérité. Et si vous croyez humblement que vous recevez ce que vous avez demandé, ne laissez jamais rien vous écarter de ce droit chemin. Ne bougez pas de là. Peu importe tout ce que je pourrais prêcher, ce que je pourrais bien faire, ou n’importe quel autre homme, cela ne produira jamais l’effet voulu, tant que vous ne l’accepterez pas comme votre propriété.

139 Si vous le croyez de tout votre coeur, tout ce que vous avez désiré... Si vous avez confessé vos péchés, Dieu vous a pardonné. N’en doutez plus jamais! Si vous êtes rétrograde, vous avez été ramené ce matin. Si vous avez besoin du Saint-Esprit, soyez donc baptisé au Nom de Jésus-Christ pour la rémission de vos péchés. C’est la Parole de Dieu. Il ne La modifiera pour aucune église, pour aucune dénomination, pour personne. Il doit en être ainsi. Nous devons satisfaire à Ses exigences, non pas aux exigences de l’église, mais aux Siennes. C’est ce que nous devons faire.

140 S’Il a déclaré que la prière de la foi sauverait le malade... si vous êtes malade, j’ai fait cette prière de la foi pour vous. Vous l’avez faite dans votre coeur, et vous y croyez; acceptez-la, et ne bougez plus d’un pouce; il devra en être ainsi. Rien ne peut vous l’enlever.

141 Peu importe combien cela peut paraître sombre... Vous direz : “Eh bien, on dirait que je suis encore malade.” Cela n’a... Ce ne sont que des ailes d’Anges rassemblées. C’est tout. C’est Dieu, sous une forme de bénédiction. Cela vous paraît sombre; approchez-vous davantage, et regardez-le à nouveau. Voyez s’il ne s’agit pas de Dieu, qui est justement là en train de tenir Sa Parole.

142 Maintenant, avec nos têtes inclinées, je vais remettre le service à Frère Neville, notre pasteur.

1 And it reads like this:
And Elijah the Tishbite, who was an inhabitant of Gilead said unto Ahab, As the LORD God of Israel liveth, before whom I stand, there shall not be dew nor rain these three years, but according to My word.
And the word of the LORD came unto him, saying,
Get thee hence, and turn thee eastward, and hide thyself by the brook Cedrith--Cherith,... (I meant to say)... that is before Jordan.
And it shall be, that thou shall drink of the brook; and I have commanded the ravens to feed thee...
So he went and did according to the word of the LORD: for he went and dwelt by the brook Cherith, that is before Jordan.
And the ravens brought him bread and flesh in the morning, and bread and flesh in the evening; and he drank of the brook.
And it came to pass after... while, that the brook dried up, because there had been no rain in the land.
And the word of the LORD came unto him, saying,
Rise, and get thee to Zarephath, which belongeth to Zidon, and dwell there: behold, I have commanded a widow woman there to sustain thee.
So he rose and went to Zarephath. And when he came to the gate of the city, behold, the widow woman was there gathering of sticks: and he called to her, and said, Fetch me, I pray thee, a little water in a vessel, that I may drink.
And as she was going to fetch it, he called to her, and said, Bring me, I pray thee, a morsel of bread in thine hand.
And she said, As the LORD thy God liveth, I have not a cake, but a handful of meal in a barrel, and a little oil in a cruse: and, behold, I am gathering two sticks, that I may go in and dress it for me and for my son, that we may eat it, and die.
And Elijah said unto her, Fear not; go and do as thou has said: but make me thereof a little cake first, and bring it to me, and after make for thee and... thy son.
For thus saith the LORD God of Israel, the barrel of meal shall not waste, neither shall the cruse of oil fail, until the day that the LORD sendeth rain upon the earth.
And she went in and did according to the saying of Elijah: and she, and he, and her house, did eat many days.
And the barrel of meal wasted not, neither did the cruse of oil fail, according to the word of the LORD which was spoken by Elijah.

2 For this morning's talk just before going overseas, I have chosen a text of this: "Be Certain of God."
And now, Lord, bless Thy Word as It goes forth, and may the Holy Spirit capture our minds and our thoughts and prepare us for His visitation, as we have asked Him to come. For we do not come to the house of the Lord to be seen or to see, but to learn of Thee, and to know of Thy nature, and Thy way, and Thy causes, that we might be able to face the problems of life with a real assurance, being certain of God. Grant it, Lord. In Jesus' Name we ask it. Amen.

3 It must have been a dreadful morning. It was so hot and dusty, and people was in the street starving, and the earth was so hot it was ready to burn. All this was the reflection of their sins and their moral decay.
You see, Ahab was reigning in--in Israel at the time--or over Israel, and he was the wickedest of all the kings of Israel. There had been no king as wicked as Ahab. For he, being taught and knowed better, he failed not to continue to displease God in everything that he did. Although he had a great military system, and the people had become very prosperous under his reign. But yet, you cannot displease God and expect to get by very long.

5 And then in his wedding, instead of marrying among his own people, he went over and married a sinner, an idolater, worship of idols. He married Jezebel. And she was not a believer.
And no believer should ever marry an unbeliever, under no circumstances: should always marry believers.
But Ahab had done this evil thing. And no doubt but what Jezebel was a beautiful woman. And he'd fell for what she looked like in the stead of what she was. That's... So many people make that same mistake to this day.
And she had brought idolatry in the nation, among the people. And the people, the priests, their ministers, had fell victim to this great popular demand.

9 And it's a very picture of our country today. We have fallen under the popular demand. No doubt that the priests thought it would be all right as long as their government okayed it. But I don't care what the government okays; it's got to be what God okays. And the people thought that it would be all right if they anticipated in some of their worldly things.
And one might ask me to retrace what I have just said, that it was a very likely picture of today. We may not think that we are idol worshippers, but we are. And the government endorses it. People today are idol worshippers, because they--they worship idols. Some of them worship movie stars for idols. Some worship money for idols. And some worship television stars as idols. But all that you put before God is an idol, let it be whatever it may be.

11 Even to Satan, our great adversary is such a smart one, until he even puts sometimes the church before God. You might have a great church. It may be a great building, or it may be a great denomination; and again, it may be a great congregation, but let nothing come before God in your heart. Anything in--before God is an idol.
And these people knew that they wasn't spiritual like they used to be under the reigns of other kings. And they thought just because they was a religious nation that everything would be all right. And that's the way we have come to that place also.

13 Some months ago I was talking to a very fine friend of mine. And he said, "Brother Branham, I believe that you pin this United States down too close." He said, "You're always roaring out the sin and how God is going to punish this nation."
I said, "He's got to do it in order to be just." He said, "But Brother Branham, you forget that this nation was founded upon the Scriptures, and our forefathers came here and God gave us this heritage, and we are a religious nation."
I said, "That is true, all of it. And no one knows how I appreciate this nation. But look, my brother, Israel also was chosen of God, and He sent her prophets and great men. But God cannot stand sin. He made Israel reap every grain they sowed. And if He made Israel reap what she sowed, He'll make us reap what we sow. He is no respecter of person."

16 And we've got to the place to think that because we're resting upon what our forefathers did, or what upon our great founders of our churches, what their great sacrifice was to God, which is all right and so much appreciated. But we cannot draw salvation from what they did. Salvation is an individual affair between every person and God. Not with our nation, with our church, but with ourselves before God we answer.
It's come to the place in our country until in the midst of the most spiritual people that we have... You go to spiritual men and women, and you find in their heart that there's something lacking.

18 We have been... In the last few weeks I've been going over some of these things and finding that in the men that I thought was the kernel, yet I found that they're putting emphasis upon temporal things, going around and saying, "God gives me the biggest so-and-so; God gives..." You're bluffing.
Great material things don't always rest in God's will. God makes the rain to fall on the just and the unjust. But what the world needs today is not a bluff of faith, to try to bluff yourself into something and call it spiritual.

20 Sometimes faith will do great miracles and still doesn't come from a spiritual heart. Did not our Lord say, "Many will come to Me that day and say, 'Have not I did this and that in Your Name?' and I will confess to them, "Depart from Me, you workers of iniquity." What is iniquity? It's something that you know to do right and don't do it. "I never knew you," He will say. And we're living in that day.
What we need today is not a lot of material things; we have that. We don't need greater churches; we don't need greater congregations. We don't need more on radio and on television. We don't need so many more of these things. But what we need today to be spiritual, is a person that will humble themselves before God if they haven't got a penny, and will pray till that spirit within them is satisfied with the goodness of God, and a revival takes place on the inside of their heart that changes their attitudes and atmosphere that they live in.

22 You might not have a pair of shoes on your feet. You might be dressed in rags, but something in your heart singing the melodies of God. I'd rather have it than all the money in the world.
So you can't say that natural things is always the sign of God's blessing. David spoke that to the Lord, that he'd seen the wicked spread forth his--like a great bay tree. But God asked him, "Did you ever consider him at the end?" No matter how good of clothes we wear, how much we have to eat, that isn't what goes in the Presence of God. This body that we dwell in perishes regardless of how it's taken care of. But it's the soul that's in man; it's a condition of the spirit that moves into the Presence of the living God.

24 But we take things for granted. We think that just because that we are a nation... So had Ahab and all of Israel in that day had taken things for granted that everything was all right. Their priests and preachers had tried to tell them, "All is well; everything's just fine." But they had one; he cried out against the wrong thing, because this one knowed that a holy God could not be satisfied with modern trends of an unholy religion.
So does the God of heaven remain the same today. And all of our efforts and big things that we're trying to do, God will never be pleased outside of an entire sanctified life before Him.

26 We might build schools, and shrines, and tabernacles; we might have organizations; we might do great things, but yet God won't be satisfied until the human soul becomes a sanctified on the altar of God, consecrated for the works of God. And you don't find that no more.
You find our prayer meetings are so weak, just about a minute of prayer, jump in the bed. We find out that happens about once or twice a day. When all of us are guilty... Our nation morally is decaying. We've got Billy Grahams and Oral Robertses everywhere, but until there comes a thirsting in the heart of America to bring it back to a living God again, to a living experience, till a undying faith in the living God, we're only beating our brains, as it would say, out.

28 We might walk with our chest out, with our collars turned in the back, and walk down the street and desire to be called doctor or reverend. We might pastor the greatest churches there is in the land, and we might be as pious as we could be, that no man can put a finger on our lives. But until that soul that's on the inside of us is on fire for God, until something in there that's yearning after Him, "Like the hart panteth for the waterbrook, my soul thirst after Thee, oh God."... Until we get to that type of an experience...
Therefore, Communism and so forth will gain the grounds as they're doing, and all the joining that we can do will never stop it. It's predicted to come. But God is calling to His church.

30 How that this little woman must have been of the caliber of Elijah, because usually your action shows what you are. And again, she had been chosen to entertain God's prophet. Remember, she was a Gentile, not a Jew.
And the land was burning up. And no doubt that this little woman, being of that caliber, being of the believer type... For we see that God would not have called to her, if she hadn't have been a worthy one to entertain God's prophet. For He would've never sent His prophet to a house that was unworthy.
It was not his choosing; it was God's choosing. It wasn't her bidding him; it was God bidding him. He had been placed by a brook; the ravens were feeding him. But it was God's command for something to take place. And God surely went to a believer of the same nature of Elijah.

33 She was a widow woman. And we all know what she--a widow woman would've went through with, her husband dead and a young boy to raise.
And in the lands there they depended on their crops. They didn't have projects as we have today and--and defense plants. They depended on their crops. And because the iniquity of the people and their moral decaying had brought a drought on the land, here they was all starving and dying.
And then we find that no doubt she'd prayed night after night all night, as she begins to see that meal barrel going down, down, down. And it must got to a place till there was not even another cupful of meal in the barrel. All she had was just a little handful. Death was coming right into the gate, at her door. For there was no way of getting any more. The whole nation was starving.
And the oil was, just a good spoonful left in the little container. Just that much oil and that much meal lay between her and death. She must've got real sincere about her prayers. You let that strike your home; it'll be a little more sincere than we are this morning. When we know that death lays at the door.

37 And I believe maybe we'd think perhaps this: that she'd prayed all night long, for one more day settled it. She could look at the pale lips of her little boy of about three or four years old, and she could see her own bones dwindling away as the flesh was going from them. And it must've been a terrible thing as this mother, seeing these things going, and yet with her hands before God praying day and night. "Now, we're down to one handful of meal and a spoonful of oil."
You know, it's a strange thing. May God let this soak into every one of you if you never hear me preach again. Let this be a message. It's strange, most strange, that sometimes that God does things that way.

39 You know, when we have confessed our sins and met every requirement that God requires... We believed on God. There's a circumstances has to be met, and it's according to His will. And we've confessed our sins, and we've made all the wrongs that we have did right, done everything that we know how to do, every requirement that God had made or asked, we have met that requirement, and yet He lays silent; He just won't answer us...
I'm sure that I'm speaking to peoples this morning who's come to that place. I've been there many times myself. When I've went back and traced my life and turned over every stone, and I'd find that I did something wrong, I'd go confess it and say, "Lord God, I'll make it right," and go do so. Then come back again and say, "Now, Lord, Thou art God; You'll answer me. Surely I've met every request that You required me to do. And every requirement, I have met it." And still He won't move, seems to set silent; that's when you've got to be sure that He is God. Don't be discouraged; the only thing is, that in your heart to be certain of God.

41 My text, be certain first before you do anything; be certain in your heart that it's God. And when you've met everything that He said, then you're sure that He's God, that's when faith goes to work right there. Faith stands steady, for it knows that He is. And you met every requirement. You believe that He is, and faith holds steady. Oh, blessed be His Name. Faith won't move, for it's sure that God is and a rewarder of those that diligently seek Him.
May this go way down deep and never move from you, Branham Tabernacle. If you've met God's requirement, and in your heart you believe that He is, God's only testing your faith, for He loves to do that. You've confessed your sin and you've met every requirement that God requires, and still He lays silent, remember, faith says that He is. Then faith holds onto it, not knowing what it's all about, but it knows that He is, and it's certain that He is.

44 Then remember, if He is, His Word has to be true. And if He required you to meet these circumstances and you did, He's obligated to take care of His Word. Don't back off and say, "Oh, I never got healed. I..." Oh, you poor, weak faith. Don't believe that. If everything's confessed, and everything's out, and you met God's requirement, faith holds right there. There's nothing will move it. He is, and you're sure. "They that wait upon the Lord shall renew their strength; they shall mount up with the wings of an eagle. They shall run and not be weary; if they walk, they shall not faint."
Wait, when you've met His requirements; that brings your faith to a showdown. If you have met... God's requirements has been made--or met, and you have fully considered it, and you have done everything that God required you to do, then your faith rests right there that He is. Be certain of God.

46 You know, He loves to test us. He loves to see the reaction of your faith. Did you know that? God likes to see how you'll react. When you say, "Oh, Lord, I believe You; Thou art my Saviour. I believe that You are the Healer; I believe that You are the One Who gives the Holy Spirit; and the things that I am requiring, You are the God Who gives that." And then when you confess all your sins and promise God what you'll do if He'll let you get well, and then because it don't happen, you run off like a coward somewhere, God can't use that. There's no way for Him to use you. There's no way for Him to answer you, because He only answers by faith. Then all of a sudden you go away and He can't answer. But real true faith stands there, being sure that God is. Be certain that He is.
And if God asks this thing to be done, to confess your sins and so forth, and you've done it, faith says that He is; it's certain that it's going to happen. Your request has to be granted. Oh, I--I hope you don't miss that. If you're sure of God, God's sure of His Word. He's only waiting to test you.

48 He did it many times. Let's rehearse one or two cases. Let's think of the Hebrew children. They wasn't to bow to an idol. God had confidence in them. And when they heard they had to go to the fiery furnace, they said, "Our God is able to deliver us from this furnace. But if He doesn't do it, we're not bowing to any of your idols." See, they were sure and certain of God.
They knowed that He was Jehovah. They knowed that He answered prayer. But whether He did in their case or not, it would have to be for the good, so they just made their statement, confessed their sins, and walked into death.
When they were going to the fiery furnace, knowing that they were certain that if God let them burn up, He'd raise them up again in the resurrection, they were certain of God; because they knowed that God would work everything for their good. And when we are certain of God, we know that God works everything for our good.

51 So they made one statement. They were certain. And they walked right into the fiery furnace, and God let them walk there, setting looking at them. He wanted to see their reaction.
When the king said, "Did you bow when the trumpet sounded?" they said, "No, we did not bow." There's your faith, holding tight.
"Well, then if you did not bow, do you know my decree?"
"Yes, we know your decree."
"My decree is that the furnace will be het seven times hotter than it ever was, and I'll throw you in there. Do you now want to bow?"
"No, we will not bow." There's their faith.
God said, "Well, I'll see what they'll do about it. I'll see what reaction their faith has."
So he said, "Bind their hands, and bind their feet, and start them to the furnace." And they walked up that furnace with the fire in their faces, God still standing looking at it. But they were certain that He was God. They had made their confession. They had made everything right that they knowed of. They were certain that He was God.
So they walked right up that fiery furnace. And right at the last moment, there He come riding out of the heavens on a chariot of wind, fanned the breezes off of them while He consoled them and talked to them. God lets your faith come to the spot to where it'll react.

57 There was Job of the Old Testament, when Satan, our accuser, accused him of being a secret sinner. But Job knowed that he had not sinned. He knowed that he'd confessed everything that he'd done and put a burnt offering out there. That was God's requirement. That's all God required, was that burnt offering and a confession. And Job done those things.
And Satan said, "I'll take his camels, for he's a rich man; I'll take his sheep." And finally he taken his children, the closest to his heart. But still Job stood pat, for he knew that God... Well, he was certain He was God, for he'd talked to Him, and he'd met His requirements. He searched down and found out, "I've made every burnt offering. I said in my heart, 'Perhaps when my sons gave a--a feast and my daughters attended, perhaps maybe they did secretly sin in their heart, so I'll offer a burnt offering from them and confess their wrong."

60 Oh, God, when a man keeps what God said do, he's certain He's God; He has to answer. Faith calls Him on the scene every time.
When you've done what you know is right, when you've met His requirement, when you've confessed and made right and done restitutions, and laid it before God, I don't care how silent He is, He's still God, waiting to put that faith there. You done your works, now He wants to see your faith by your works. He wants to see what you'll do.
If you've been anointed and prayed for, God's waiting to see what you'll believe about it, not run up next Sunday, and run the next day unto the next healer comes through the city; He's waiting to see your reaction on your faith, not walk back next day and say, "I feel so bad; I don't guess I got healed." You're not fit for the prayer line in the first place. You're not--you're not--you're not ready yet. You don't believe that He is God. I don't...

63 You might say, "Brother Branham, I disagree with you." Your own action proves what you are. "By their fruits you shall know them." If a man says that he is a Christian, and he still drinks, and smokes, and gambles, and tells dirty jokes, and says part of the Bible's right and part's not... He might preach the Gospel and deny part of the Bible; he's still a sinner. He's not right yet.
But when you openly confess that God is the same God and your life applied in His hands to be, "Lord, I am the clay; Thou art the Potter," then ask what you will. Faith will never move; it'll stand right there.
Though circumstances will seem to fall from right and left, but that faith never moves, because you're certain that He's God. And if He's God, He keeps His promise. He can't make a promise and break it. If He's God, He's got to keep His promise. Oh, I love that. He's got to stay with it.

66 Job made his offerings; he done everything. He knowed that he was right. And here come the church members by, some of the churches of other denominations, said, "Job, you might as well confess that you're a sinner, for God wouldn't let you be punished like this unless you was a sinner."
But Job said, "I've made my confession. I've put the burnt offering out before God, and I'm not a sinner." He knowed where he was standing. Then everything went on, just on and on and on, just as hard as it could go, trying to down Job and to bring Job to a place that he would deny God and deny that burnt offering. The very minute you take action upon anything that you confess, it shows your weakness, your doubt of God. You ask God for anything and walk around doubting it, then you are a doubter and not a believer. Job knowed where he stood, and he stood firm on that foundation.

69 No wonder Perronett said in his dying hour,
On Christ, the solid Rock, I stand;
All other grounds is sinking sand.
On that solid rock of Job's confession... Even his beloved wife walked out. When his health was gone, and the boils was all over him, and he scraped himself, and cursed the day that he was borned, said, "May the sun not even shine; may the moon stay down at night."
His wife said, "Job, you're so miserable; why don't you curse God and die."
He said, "Thou speakest like the foolish women." He was certain there was a God, and he'd met the requirement. Oh, I feel religious. He knowed that he'd met God's requirements, and that settles it. God was testing his faith. He'll test yours; He'll test mine.

72 But when we've met His requirements, "Repent every one of you and be baptized in the Name of Jesus Christ for the remission of your sins, and you shall receive the gift of the Holy Ghost," that's His promise. "Any among you sick, call the elders of the church; let them anoint in oil and prayer. The prayer of faith shall save the sick and God shall raise him up." That settles it. "Confess your faults one to another and pray one for another."
You've met God's requirements, "These signs shall follow them that believe: In My Name they shall cast out devils; they'll speak with new tongues; if they take up serpents or drink deadly things, it shall not harm them; if they lay their hands on the sick, they shall recover." That settles it.
Be certain of God. Be sure that in your heart that you believe that that's God's Word. Job was.
His wife said, "Why don't you curse Him and die. Why, you're getting worse all the time."

75 How Satan likes to throw that at you. "Why, you're no better than you was when you was anointed. You're no better than you was when them preachers prayed for you. Them preachers ain't right in the first place." It doesn't matter about that preacher; it's your faith in the living God what mounts. It's not what the preacher is; it's what God is. The preacher never made the promise; God made the promise. It's not up to the preacher; it's up to God and your faith to believe that that is God. So be certain of God. Be certain that it's God, and that's God's Word, and God is in His Word.
And Job said, "Thou speakest like a foolish woman." Said, "The Lord gave, and the Lord taken away; blessed be the Name of the Lord." He was certain that there was God. And when he got that out of his mouth, the thunders begin to roar and the lightnings begin to flash; God moved on the scene; it always calls Him on the scene. He sets silent for a long time.

78 That's what He's doing, looking at this bunch of hell-bound Americans, church-going hypocrites. I'm not angry, but sin angers anybody that's right with God. I'm not angry with the nation, not angry with the people, but I'm angry with the devil who has caused these things to blind the people.
These blind pastors and preachers let them get by with some kind of a little manmade theology. You've got to be born again, and God keeps His Word. Seen Him as He's...?... them. Better be sure that there's God. "Having a form of godliness, then denying the power thereof."...

80 This poor, little woman, she knew that He was God. As that barrel went down, down, down, down, circumstances got worse and worse all the time. But God was letting it get that way. He just loves to do that. He loves to put your faith to a test to see how you act on it, let you be anointed and prayed for, then make you worse, say, "Come on, Satan, put him to the test; I know he believes Me." Bless God forever. Oh, my. "Put him to a test now; I know he took My Word for it." Could He say that about you?
He said that about Job, said, "Do anything to him you want to, but don't you take his life, for I know he loves Me. He's made the burnt offering; he's made the requirements; he did what I told him to do, and he believes it. Now, roll him over the coals if you want to." He took everything away from him; God doubled it when He give it back to him. Sure He will.

82 He puts our faith to a test to see if we really believe that He is God.
That little woman no doubt said, "I prayed; I prayed; I know I'm an unworthy Gentile."
You remember, Jesus spoke of her in the Bible; He said, "Wasn't there many widows in the days of Elijah? But he was only sent to one, and she was a Gentile."
Oh, he said, "I prayed." And maybe when she seen that last little cake, death had done entered the gate and come into the door. One more bite apiece and she and her son died. I can see her all night praying, the hot winds a-blowing, and the earth parched, and the people crying and screaming in the streets. She walked around through the house. She looked at her little boy, looked at his little pajamas, they were all out, and his little feet sticking out, looked at her own hands, wrinkled. She walked back and forth, but she said, "I know that He's God. I've made all of my confession; I've done everything that He required; and I'm asking for our lives for His glory." God seen her.

86 Rest of them was going out and having a big dance somewhere, prettying themselves up, having a modern television show or something, carrying on with the world. But that woman was alone with God.
Daylight broke. She said, "The little fellow had cried all night for something to eat; what'll I do with one little handful of meal?"
You know, that meal was Christ. Any Bible student knows that Christ was the Meal-offering. And that meal offering had to be ground with a special burr too, till it cut every little piece of corn the same, because Jesus Christ is the same, yesterday, today, and forever. And every believer believes that and rests upon it. Hallelujah. You can have all your old, cold formal religion you want to. For me I believe Christ is the same yesterday, today, and forever. I make my stand in the world of infidels. I still believe that He's the same yesterday, today, and forever.
Them burrs cut every bit of it just the same, because He is the same. He's the same God that He was then, He is right now this morning. He always will be the same. That's what the meal meant.

90 And the oil means the Spirit, as we know according to Ezekiel 4 and so forth. That's the reason we anoint with oil; it's the Spirit. What is it? As St. John 4: "The Father seeketh such to worship Him in Spirit and in Truth." Jesus was the Truth. He was the Meal-offering, and this Oil was the Spirit. And the Spirit mixed with the Truth has got to bring something. Put it together; it makes a cake.
Oh, where's your faith? When God's Word's preached in Its simplicity, though in Its power that Jesus Christ is the same yesterday, today, and forever, and the Word goes forth for the Meal, you've got the Oil to mix with It. It may be just a little handful or a spoonful, but whatever it is, it's real.

92 Now, what's it ready for? It's ready for the cross. It's ready for self-sacrifice. That's what you have to do. If the Word's been preached, and you've got the Spirit in It mixed together, it's self-sacrifice to deny every pain, to deny every sickness, to deny everything that's contrary to God's Word and stand on it.
The doctor says this, that, or the other; that don't make a bit of difference. You stand on it, because God said so. The Meal comes; you got the Oil; you mix it together.

94 Now, I hear a voice. It's a little after daylight. A voice speaks and said, "Go out in the yard and get two sticks." Did you notice the Scripture said two sticks? The cross. She's got the meal and the oil, but she's going to be called on to act now, act with it. Ever much you got, much Meal or Oil as you need, but you've got to act--self-sacrifice, two sticks.
In the old times they never found a better way to make a fire. When you take a stick and lay it across a stick, and light it in the middle, you scoot both ends. The Indians burn their fire. I've burned a many time all night long, just take a log and lay it this way and one that way, and just keep pushing it into the fire as it burns.
That stick was a cross. Two sticks the Bible said. The voice said, "Go through the yard and get two sticks." The same time up on the mountain there's a voice thundered down to the prophet and said, "Go to the city; I have commanded..." Oh, my. Both of them obeyed. Something has to happen. Both of them are obeying.

97 If the preacher preaches the Word, and the man that receives It believes It and acts upon It, something's got to happen. If you're a sinner, you'll have to be saved. If you're sick, you'll have to be healed, because God promised it if we are certain of God.
As certain as He's God, He has to keep His Word. Certainly. Then the command was, "Go to the city, for I have commanded a widow woman..." A vision broke before the prophet. Here he comes, walking. He doesn't know where he's going; don't make any difference. He's just obeying.

99 She don't know where the sticks will be laying, but there's two sticks in the yard somewhere. She starts off; she goes out in the yard. She looks around, "Oh, how hot." The screams from the city, the night prowlers coming in, scrambling along drinking their wines and so forth. She looks down the street; she sees nothing. She finds one stick, part of the cross, self-sacrifice. She gets another piece of stick, and when she picked up that second stick...
Oh, how gloomy it must have been, death laying at the door. Her and her son had to eat one little piece of the hoe cake and die. That was all of it. And sometimes right in the midst of gloom that we hear the voice.
When she picked up that second stick and started back, there was a voice come over the gate, said, "Fetch me a little water in a vessel."

102 She turned to look with these two sticks in her hand, with the meal and oil mixed and ready. She said she'd dressed it, mixed it together. That's what, the Word and the Spirit has to mix together, lay it upon the cross of self-sacrifice to deny anything that's contrary to what you've asked. That's right. "I mixed it; now I'm going get these sticks."
And that voice said, "Bring me a little drink of water in a vessel."
She looks, and she sees a man standing, leaning across the gate, thin-cheeked, bearded, baldheaded, looking across the gate with an old piece of sheepskin wrapped around him. Looked like he was a kind of a kind looking old gentleman. She said, "I'll share my water with him."
Waters of Life, you're willing to give it to anybody, to tell anyone, to go anywhere.

105 "Just a moment, sir."
She starts back with the sticks in her hand. And the voice thundered again. "Not only do you share your water, but bring me a little morsel of bread in your hand." Bread of Life, water of Life, was it of Life? She'd die as soon as that perished.
"Bring me your water and bring me your bread." What do we find here? What lesson can we find? "Seek ye first the Kingdom of God and all His righteousness; other things will be added." Bring me a little water and a morsel of bread."
Then she turns in her gloom; I can hear her say, "Sir (something like this), you're different from men that I've seen. And men that I can hear speak, you seem to be so positive of what you're saying. But I've only got enough meal, just a handful, and just a spoonful of oil. I've dressed it, and I'm going to cook it with these two sticks. And I'm going to eat it, me and my son, and die. That's all I got."

108 What we hear then next? "But fetch me the little cake first." God first. No matter what anybody else says, what anything else, what any evidence, how gloomy it looks, whatever it may be, take God first, His Word first.
"Doctor said I can't get well," but His Word first. "I'm too much of a sinner." "I'm a prostitute." "I'm a gambler." "I'm a drunkard." God's Word first. "Though your sins be as scarlet, they shall be as white as snow; red like crimson, they'll be white like wool." First God...
"Go bring me a little cake first. All that you've got bring it to me." Are you willing to give it into His hands?
My life, all that I am, I'm fifty years old. "Are you willing, William Branham, to lay it to Me? Are you willing, you little children to lay your life to Me? Are you willing? Can you do it? Sick people, can you trust Me? Put Me first."

112 "Bring a morsel of bread in your hand and fetch me a little water." She looked at him. There was something told her that that man knowed what he was talking about. God knows His own. Sheep... "My sheep know My Voice. They know whether it's Scripture or not, whether it's right or not."
She turns in obedience. That's what you've got to do. And when she turned to obey what the prophet said do, then come the thunder from heaven that every man looks to hear. For there come a thunder out of the voice of the prophet that every sinner and every sick person longs to hear, "THUS SAITH THE LORD." How we long to hear it.

114 How that people set in my driveway and say, "Come to this door; my daughter's in such, my baby, my so-and-so, just say the word." How can you say it before it's in your mouth? You'd be saying it yourself. But they long to hear that THUS SAITH THE LORD.
There it come across the fence, because she was obeying, and the gloom broke: "THUS SAITH THE LORD, the barrel will not go empty or the cruse run dry until the day that the Lord God sends rain on the earth." Oh, what a consolation.

116 She made the cake; she give it to the prophet. She went back and made some for her son and herself, and they eat and drank with plenty upon the earth. Where did it come from? How did it get there? Scientifically tell me where that meal come from. Where did that oil come from? How did it get in that cruse?
She'd poured it dry every morning; she'd emptied the meal barrel every morning. And it was dry, but when she went back for more, it was there. Where did it come from? Take God at His Word. Be certain of God. He's the Creator.
You might've lost your health. You might've lost your fellowship. Take Him at His Word. Be certain that He's God. The gloomy times that's looking now may not look so gloomy if you'll just take His Word and be certain that He's God.

119 In Germany once I saw a picture, and it always stuck with me. A German painter has painted the--a picture that's--that's called "The Cloud Land." And when you see it off at a distance, it's the horriblest looking gloom you ever seen, just clouds matted together when you're looking at it from a long distance. But when you get real close to it, it changes; it's angels' wings beating together, singing hallelujahs to the Lord. So that's what gloom is sometime. If you look at it at a long distance, it looks gloomy and dark; but take God at His Word and be certain that He's God, and move up close to it; you'll find out it's just angels' wings a-beating together.

120 She was somewhat like Abraham was, called on to give everything she had, lay it on the altar of sacrifice. Maybe you're called like that this morning: Give up your ways; give up your unbelief; give up everything you've got, and then take the Oil and the Word and mix it together, and put it on a altar of self-sacrifice. You'll find out it'll call God on the scene as certain as I'm standing in this pulpit.

121 Think of it while we pray. Have you a need today? Have you a need greater than you're physically able to obtain? Is the money so low that you can't pay your rent? Is the children wanting new shoes, and you ain't got the money to buy them? Is the barrel empty at your house and the cruse about run dry? You can't buy feed for your stock, and there's something wrong, remember, He made a promise.
Are you sick and the doctor says that you need an operation, and you haven't got the money to do it? You have need.

123 Are you a sinner? Is your need great, knowing if God should call today you'd be lost? Are you a backslider running from God and you know you belong to some church, but you know you're not right; your own conscience tells you according to the Word that you're not right, and you have a need? Don't let these words fall in thorny grounds or on rocks, stony hearts; may they fall in good, fertile soil.
If you're sick and you--the doctor says you can't get well and you promise God that you'll serve Him all the days of your life, and you're certain that He's God, come meet His requirement. If you have a need, will you first do as much as to raise your hand to God that you have a need of something? God bless you. Let us pray.

125 O Lord, just as certain as I'm in this pulpit this morning, I know that there could not be one of those hands go up without You knowing it, for Thou art God. You said, "Is not so many sparrows sold for two farthings? How much more are you than a sparrow?" How much more did You see the hands of those mortal beings in which Your Son Jesus died for. How more did You see their hands than You would a sparrow if it fell this morning. I suppose for--a dozen sparrows wouldn't sell for a penny this morning, 'cause no one wants them; there'd be the trouble of burying them. But You know every one of them; You know every feather that's in their body. You know every hair that's on our head.
O Lord, answer prayer; let them be certain this morning that You are God, and It's Your Spirit. May the dullness and glamor of this modern day religion drop away from them, saying, "Oh, I belong to certain-such church." God, may that fade from their minds right now. In this one moment may they catch a glimpse of Eternal Life. And then they'll seek and hunger for it, to know what God is, and they're certain that He is; He keeps His Word.

127 To the sinner, may they repent quickly, make ready for baptism in the Name of Jesus Christ. And You promised You'd give them the Holy Ghost. You said it, Lord; You keep Your promise.
There's a backslider that's certain that You are God, and they've wandered away, may they come today because You said, "Though your sins be as scarlet, they shall be white like snow; red like crimson, they'll be white like wool."
And if there's those who are sick, may they realize that You're God; You keep Your Word; You must keep Your Word. And as they lay theirself with their Oil, the Spirit that's in them that's confessing they believe, and then also with the Word, the Bread of Life that's went forth, Christ ground up to them in the Old Testament and in the New Testament to show that He's the same yesterday, today, and forever. May they mix that Word with the Oil, Spirit, that they've got, then stand to their feet at the altar, saying, "This is all I got, Lord; I bring it." Oh, how You'll multiply it, how it'll call the God of history on at the scene; how it'll make Jehovah rise with a heart swelling that, "I got a child that'll obey Me. I've put him through the test, and he proves that he loves Me and he believes Me. He's certain that I am." For it is said, "He that cometh to God must believe that He is, and a rewarder of those that diligently seek after Him." Grant it this hour, as we commit it to You.

130 And now, while we have our heads bowed, and those that are in need of anything, would you stand to your feet that wants to place... Now, if you're not certain that He is God... If you're certain He is God, and is going to keep His promise, salvation, healing, whatever it is; if you're certain that He's God, stand to your feet. If you got someone else you want to pray for, stand to your feet if you're--if you're certain that He's God. "Make your request known in the assemblies of the saints. You're doing it as you stand to your... [Blank.spot.on.tape--Ed.]...
I'm certain He's God. I believe that He keeps His Word. And I'm sure that my request... I'll lay it under the Blood right now. If you do that, lay every sin, every... Sin is unbelief. You might be a church member, but I'm meaning sin, your unbelief. You're laying it down as a sacrifice; you're going to sacrifice it; you're coming to the cross. You're going to sacrifice now all your unbelief and give it over to Him and know that He is, and you're certain He's going to answer. If you're that, raise up your hand. Remain that way.

131 Lord, Thou are God. Here is their Oil and their Corn mixed together; they're bringing it to the cross where the fire of God shall fall into their hearts, if they really mean that, and consume that sacrifice. You'll move on the scene, rise the hide waters. Coming from heaven in a chariot of fire You'll shake the whole heavens and earth to reward them.
As they stand with their hands up in the air, signifying that they believe and have laid themselves and every request that they got right on Thy altar... O God of heaven and earth, the Judge of the heavens and earth, surely the Judge of heaven and earth will commit righteousness; surely He'll keep His Word, You Who know the hearts of men, the hearts of women, the hearts of these people.

133 Lord God, I put my own hands up, for I know that I've got a change of ministry now. And I believe that You are; I've seen You standing yonder in a Pillar of Fire. I've seen You search the secrets of men's hearts, and not one time have You failed. You promised it when You made it yonder across the street here, when You first started dealing to do these things. And You protected me around the world and around and around. I'm sure You're God; I'm certain of that.
I offer myself with these people and a sacrifice of all that I have, Lord, to You for service. I'm starting again, Lord, moving around the world. Help me, O God. If I've disbelieved You at any time, forgive me of my sin, forgive me of my unbelief. I know that You are and a Rewarder of those that seek You.

135 Likewise, I confess the sins of my people this morning, their weaknesses and their doubtings, as they're standing with their arms in the air. I confess their sins, Lord, and all of our weaknesses. Send the Holy Ghost upon us with the seal of Your approval, that You are God, and You're here now to receive us, and to take us into Thy arms, and to redeem us of everything that we've lost. If it's our health, may it be restored a hundredfold. If it's our soul, may it come to us as a blooming, shining article, filled with the Holy Ghost to be presented before God. If it's unbelief, may it become to us again, Lord, with faith to move mountains. Grant it, Lord.
We believe that You're moving, the Holy Spirit, saturating through this building, over these people, and in their hearts, moving them to accept the living God. This we do in the Name of Jesus Christ.

137 My faith looks up to Thee,
Thou Lamb of Calvary,
Saviour Divine!
Now hear me while I pray,
Take all my sins away,
Nor let me ever stray
From Thee aside.
Do you mean it? Do you receive it, raise your hands, say, "I now receive it of Him."
While life's dark maze I tread,
And griefs around me spread,
Be Thou my Guide;
Bid darkness turn to day,
Wipe sorrow's fears away,
Nor let me ever stray
From Thee aside.

138 Let us bow our heads. After this stern, hard-cut message, rude and brought out in a rough way, but it's the truth... And if you'd humbly believe what you have asked for that you receive, don't you never let nothing push you from that straight road. Stand right there. No matter how much I'd preach, whatever I'd do, or whatever any man would do, it'll never take effect till you accept it as your own personal property.
If you believe that with all your heart, everything that you have desired... If you've confessed your sins, God has forgive you. Don't you never doubt it no more. If you're a backslider, you've been taken back this morning. If you need the Holy Spirit, then be baptized in the Name of Jesus Christ for the remission of your sins. That's God's Word. He will not alter It for no church, no denomination, for nobody else. It must be that way. We got to meet His requirements, not the church's requirements, His requirements. That's what we must do.

140 If He said the prayer of faith shall save the sick... If you're sick, I've prayed the prayer for faith for you. You've prayed it in your own heart and believe it, accept it, stand pat on it, it'll have to be that way. Nothing can take it.
No matter how gloomy it looks... You say, "Well, it might look like I'm still sick." That doesn't... It's just angels' wings gathered together. That's all. It's God in a form of blessing. It's looks gloomy to you. Draw a little closer to it and look at it again. See if it ain't God standing there keeping His Word.
Now, as we have our heads bowed, I'm going to turn the service to Brother Neville, our pastor.

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