Le Roi rejeté

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Le Roi Rejeté - VGR
Date: 60-0515M | La durée est de: 2 hours and 7 minutes | La traduction: Shp
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1 ... pour que la gloire du Seigneur descende sur nous aujourd’hui par la prédication de la Parole. Et c’est un... La semaine passée, j’étais un peu mal en point. A vrai dire, ce n’est pas mal en point, mais il s’agit d’un examen qu’il m’a fallu subir, un examen médical; et c’est ce que vous avez appris, que j’étais à l’hôpital. C’est la raison pour laquelle je m’y suis rendu, c’était pour que je n’aie pas à faire des va-et-vient entre ici et là-bas, de l’autre côté de la rivière. Ils vous font subir un examen pour le tube digestif supérieur et un examen pour les intestins, et il leur faut... toutes les cinq minutes, il leur faut revenir pour faire une autre radiographie.

2 Mais le… On est censé subir ces examens-là (si on fait un travail missionnaire outre-mer) tous les six mois. Frère Roberts et les autres, je pense qu’ils subissent les leurs tous les six mois, mais moi, je n’en avais pas subi un depuis quatre ans.

3 Le problème, c’est que je n’aime vraiment pas l’huile de ricin. C’est tout ce qu’il y a. Et ils disent qu’ils ne peuvent rien donner à la place, alors je... Oh! Lorsqu’on m’a donné cette histoire-là, ça m’a rendu vraiment malade. Vous savez, je vous ai raconté dans l’histoire de ma vie à quel point cela me rend vraiment malade, et – et j’ai vraiment horreur de prendre ça. Et j’ai demandé à mon aimable ami, le médecin : «Si... N’y a-t-il pas quelque chose d’autre?»
Il a répondu : «Je ne pense pas, Frère Branham.»

4 Oh! quand cette dame est entrée avec, on dirait… J’exagère peut-être, mais on dirait qu’elle en avait un litre. Ce – c’était un... Je n’en avais jamais vu autant; je me suis pincé le nez et j’ai eu des nausées, mais j’ai fini par la faire descendre.

5 Mais maintenant, dans toute cette épreuve et tout ce que j’ai enduré, j’aimerais remercier le Seigneur pour un examen parfait. J’ai réussi avec cent pour cent; je peux aller partout où je veux au monde. J’ai demandé aux médecins, c’étaient trois des meilleurs spécialistes, je – je pense, de Louisville, je leur ai demandé, j’ai dit: «Est-ce que j’ai une incapacité d’au moins dix pour cent?»
Il a répondu : «Vous n’avez pas la moindre incapacité.» Il a dit – Il a dit: «Vous êtes en parfaite santé, sur tous les plans.» Et j’en suis vraiment reconnaissant à Dieu. De qui d’autre cela pouvait-il venir si ce n’est de notre Père céleste, voyez-vous, que je sois en si parfaite santé. Et il a dit: «Votre – toute votre diagramme montre très bien là que vous êtes jeune.» Il a dit: «Vos cellules de sang n’ont même pas encore commencé à se détériorer ni rien.» Il a dit : «Vous êtes en très bonne santé, Frère Branham.»
Et j’ai dit: «Eh bien, je suis vraiment content.»

6 Et j’ai eu le privilège de parler, de rendre témoignage du Royaume de Dieu à toutes les infirmières et à tous les médecins de cet hôpital-là. Et un certain médecin, je pense qu’il est censé être ici ce matin… Et je – je suis content de voir qu’il y a encore des braves hommes dans ce monde, des vrais hommes, des hommes qui pouvaient me faire subir des examens médicaux, pendant cinq jours, chaque examen aurait probablement coûté deux ou trois cents dollars, et à la fin des examens, ils m’ont dit: «C’est notre contribution à l’oeuvre que vous faites pour le Seigneur.» Pas même... Ils ont dit: «Eh bien, vous nous embarrassez rien qu’en nous demandant si vous nous devez quelque chose.» Ils ont dit: «Rien que vos prières pour nous.»

7 «Et, au-dedans de vous, ont-ils dit, nous voyons qu’il y a de l’émotion, quelque chose que nous n’arrivons pas à comprendre.» Ils ont dit: «Nous, ce – ce n’est pas apparent...» Il a dit: «Extérieurement, vous n’êtes pas agité, ni troublé, mais, ont-ils dit, intérieurement, il y a une émotion que nous n’arrivons pas à comprendre.»

8 J’ai dit: «Veuillez vous asseoir ici juste un petit instant et je vais vous expliquer.» Et je me suis mis à parler des visions. C’était pour eux un autre domaine. Ils n’y connaissaient rien. Je leur ai parlé de la Bible. Puis, je leur ai parlé de la vision que le Seigneur m’avait donnée l’autre jour, et ils ont pleuré comme des bébés, ils étaient assis là, à pleurer. Et je... Et ils ...

9 J’ai dit: «J’espère que vous ne me prenez pas pour un fanatique religieux, ou pour un...»
Il a dit: «Absolument pas, Frère Branham. Je crois ça de tout mon coeur.» Il a dit: «Mais j’aimerais seulement dire une chose, c’est qu’on ne va pas à l’école pour apprendre ces choses-là», a-t-il dit, je crois qu’elles viennent du Dieu Tout-Puissant.» Et il s’agissait là de trois médecins éminents de Louisville, les meilleurs qu’ils aient. Et ainsi, j’étais vraiment content de ça, et de savoir que le Seigneur m’avait peut-être permis de planter quelques semences là-bas.

10 Toutes les infirmières m’ont parlé... Un matin, alors que je sortais de la salle de radiographie, et j’ai dit à... Je regardais une pauvre vieille femme; elle avait l’air tellement malade. J’ai continué à avancer jusqu’à ce que je suis arrivé là où elle était. Je me disais qu’elle était peut-être mourante, alors j’ai dit: «Je voudrais vous poser une question, soeur.»
Elle a dit: «Oui, monsieur?»
J’ai dit: «Etes-vous chrétienne?»
Et elle a dit: «Je suis membre d’une certaine église.»

11 J’ai dit: «Je voudrais rendre cela un peu plus clair.» J’ai dit: «Je – je voudrais savoir si vous êtes chrétienne, réellement chrétienne. Et si vous deviez traverser cette mer de la vie pour passer dans l’autre pays, L’aimeriez-vous?» J’ai dit: «Seriez-vous réellement sauvée?»
Elle a dit: «Oui, oui.»
J’ai dit: «Que Dieu vous bénisse alors. Peu importe dans quel sens le vent souffle, vous n’avez donc aucun problème, pourvu qu’il en soit ainsi.» Et, si on fait un tour, on verra qu’il reste encore bien des braves gens dans ce monde.

12 Eh bien, aujourd’hui, je suis venu avec une vision, que je vais vous raconter un peu plus tard, mais j’aimerais d’abord parler sur une portion de la Parole, parce que je crois que la Parole est très indispensable, ce qu’il y a de plus indispensable en ce moment.

13 Et je suis content de voir Charlie Cox et Frère... mes amis qui sont tous debout, là-bas... Frère... Je n’arrive pas à me rappeler... Jefferies (Son nom m’échappe); beaucoup d’entre vous, les autres précieux frères de la Géorgie et de différentes régions du pays. Mon vieux copain Bill qui est assis ici, (je pense que c’est bien lui), ce matin, et – et beaucoup... le frère qui vient de la Géorgie, par là, les gens qui m’ont offert ce complet. Vous savez, c’est – c’est un des meilleurs complets que j’aie jamais portés. C’est si confortable. Il est vraiment très beau et... Vous représentez beaucoup pour moi. Quand je vais vous raconter ce qui m’est arrivé ces quelques derniers jours, vous verrez pourquoi je trouve que ça représente beaucoup pour moi.

14 Maintenant, je crois que, le Seigneur voulant, je veux continuer le combat avec plus d’acharnement que jamais auparavant dans ma vie, parce que je vois maintenant comme... Naturellement, je pourrais mourir aujourd’hui. C’est... On ne sait pas. Les électrocardiogrammes et tout, seize différentes sortes de radiographies, un examen médical complet a montré que j’étais aussi normal qu’une personne peut l’être, un être humain sur cette terre. J’en suis très reconnaissant. Mais dans toutes ces choses, même avec tout ça, je témoigne toute ma reconnaissance et ma gratitude à Dieu de ce qu’Il me garde (je le crois bien) encore à Son service; ce n’était pas ce qu’Il m’a montré quelque temps avant cela, vous voyez. J’en ai été très heureux.

15 Eh bien, ce soir, je pense que... Tout va bien, n’est-ce pas? [Frère Neville dit: «Oui, monsieur.» – N.D.E.] Notre – notre précieux frère est – est un homme sans aucun égoïsme, il s’agit de – il s’agit de frère Neville. Et si certains parmi vous étaient là dimanche passé et ont entendu ce merveilleux message qu’il a apporté, la Cruche d’Huile, c’était remar-… C’était l’un des messages les plus remarquables que j’aie jamais entendus, ce message que frère Neville a apporté, par le Saint-Esprit, dimanche passé, à ce petit troupeau de brebis que Dieu a rassemblées ici. Et, si cela vous arrange, si cela plaît au Seigneur, et que frère Neville et l’église soient d’accord, j’aimerais encore prêcher ce soir, et commencer une série de – de… disons lundi soir, je veux dire, dimanche soir, mercredi soir et dimanche prochain, une série de réunions sur ce que j’ai étudié...

16 Je n’aurais pas… Je n’aurais pas dû rester là, à l’hôpital, mais ils ont été tellement gentils envers moi. Ils m’ont offert une chambre pour environ le tiers du prix. J’ai donc pris mes Bibles, mes livres, et j’ai remonté le lit et je me suis installé bien confortablement, j’avais toutes mes Bibles et autres posés par là; et je passais vraiment des moments bénis, jusqu’à ce qu’ils sont arrivés avec l’huile de ricin. Les bons moments, pour moi, ça s’est arrêté là; je – j’étais alors fichu. Mais, Frère Pat, je – j’étais vraiment malade. Je n’arrive tout simplement pas à supporter cette histoire-là. Et… Mais je passais des moments merveilleux pendant les trois ou quatre premiers jours.

17 Je passais des moments merveilleux, j’étudiais l’Epître aux Ephésiens. Oh! l’église assise ensemble, je trouve ça magnifique. Et – et si vous...

18 Et – et si vous… Eh bien, si vous avez une église que vous fréquentez, continuez à y aller et soyez à votre poste du devoir, mais si vous n’avez pas d’église, et que vous aimiez revenir ce soir, mercredi soir et dimanche soir, j’aimerais prendre ce soir, le 1er chapitre de l’Epître aux Ephésiens, mercredi soir, le chapitre 2 des Ephésiens, et dimanche prochain, le chapitre 3 des Ephésiens, pour mettre l’église en ordre. Vous savez ce que je veux dire, il s’agit – il s’agit de la placer dans sa position, et je pense que cela édifiera l’église.

19 Eh bien, je ne suis pas... Je – je ne prêche ceci qu’à ceux qui fréquentent le Branham Tabernacle. Et si quelqu’un parmi vous, mes chers frères... Je sais que certains parmi vous, je pense, ont leurs réunions. Nos jeunes frères de Sellersburg et – et bien d’autres ont eu des réunions. Bon, écoutez, ça, ce sont des réunions de réveil. Assistez-y. Ce sont des serviteurs de Christ, des jeunes gens qui se tiennent à la brèche, qui sont sortis. Quand bien même leur propre église a rejeté la Vérité et tout, eux, ils en sont sortis, et Dieu les a appelés au ministère.

20 Oui, oui, il – il y a un homme que j’admire... Son nom m’échappe. Mais c’est un jeune homme, quelqu’un de bien, un bel homme, qui a une charmante épouse et des enfants.

21 Et – et Frère Junie Jackson a tenu des réunions par ici; lui aussi est un trophée merveilleux et remarquable de la grâce étonnante de Dieu.

22 Et quand on tient des réunions de réveil dans vos églises, allez-y, parce que c’est votre – c’est la chose à faire, parce que vous ne savez pas… Un pécheur pourrait s’avancer à l’autel, et il se pourrait que vous vous sentiez poussé à conduire cette personne-là à Christ, ce qui fera que vous receviez une grande récompense de l’autre côté. Ceci n’est qu’un enseignement, pour mettre l’église en ordre, ici au tabernacle, pour nous aider pendant notre marche.

23 Eh bien, je n’ai pas apporté ma montre, il faudra donc que quelqu’un surveille l’heure pour moi. Voilà, Doc vient de me montrer qu’il en a une, alors... Mon frère... Ainsi donc… [Frère Branham s’entretient avec son frère, Edgar «Doc» Branham. – N.D.E.] Tu ne vas pas me taxer trop pour ça, n’est-ce pas? Ça va. Eh bien, maintenant, ça va. Eh bien maintenant, je… pour commencer, je ne pense pas que le truc fonctionne comme il faut; ainsi… Eh bien, oh! oh! sh! sh! sh! N’est-ce pas? Eh bien, c’est… Cette horloge a donc fonctionné beaucoup mieux, Doc. Il a dit qu’il a retenu dix cents le jour de son anniversaire pour que je me sente mieux. En effet, il y a un écart de deux ou trois ans entre lui et moi. Vous pouvez donc voir où j’en suis sur le chemin. Mais oh! ça m’importe peu.

24 Maintenant, je ne vais pas parler très longtemps. Eh bien, s’il y a des étrangers dans nos murs, nous aimerions certainement vous souhaiter la bienvenue, de tout notre coeur. Vous êtes vraiment les bienvenus ici, à ce petit tabernacle. Nous n’avons pas un grand bâtiment. En ce moment, nous projetons de construire un – pas un grand bâtiment, mais juste un... Celui-ci est pratiquement délabré; nous allons essayer de nous construire une belle petite église confortable, ici, dès que nous – que le Seigneur nous le permettra. Beaucoup parmi vous fournissent des efforts dans ce sens-là, et nous apprécions certainement cela.

25 Maintenant, j’aimerais que vous ouvriez avec moi, pour notre lecture de ce matin, dans I Samuel chapitre 8, et nous allons commencer à partir du... Commençons à partir du verset 19, les versets 19 et 20, peut-être, un court passage pour nous permettre d’avoir un contexte. Et maintenant, pendant que vous cherchez ça, et avant de... Nous voulons – nous allons le lire, et ensuite nous aimerons aller en prière; y aurait-il des requêtes ce matin, quelqu’un qui dirait: «Souvenez-vous de moi»?

26 Lors de notre dernière réu-... il y a deux semaines ou trois, quand j’ai tenu la réunion... Dites donc, à propos, pendant que vous ouvrez vos Bibles, la série de réunions du Chatauqua va donc commencer le six. Nous nous attendons à des moments merveilleux, à Middletown, dans l’Ohio. Vous qui prendrez vos vacances [à cette période-là], venez – il y a un grand terrain de camping à la rivière, où il y aura toutes les – toutes sortes de prédications que vous ayez jamais entendues. Il y a des prédicateurs là tout le long de la rivière, chaque matin, toute la journée et toute la soirée. Tout le monde se rassemble donc. C’est un grand terrain de camping, de loin plus grand que celui de Silver Hills, bien des fois plus grand. Et aussi, il y a là un grand bâtiment qui peut contenir huit à dix mille personnes, et c’est toujours bondé. Nous passons des moments merveilleux dans – dans l’Ohio.

27 Et ce vieux frère Kidd, pour qui je suis allé prier l’autre matin… Vous vous souvenez tous que je vous en ai parlé il y a trois semaines. Le médecin lui a donné vingt-quatre heures à vivre; le voilà sur pied et il marche. Il a cité une Ecriture, un chant qu’il n’arrivait pas à chanter. Et quand je suis allé là l’autre matin, et que je l’ai vu portant son petit châle… Je suis parti d’ici environ trois ou quatre heures avant le lever du jour, pour pouvoir arriver jusqu’à lui, on disait qu’il allait mourir ce jour-là d’un cancer de la prostate.

28 Et sa précieuse petite épouse âgée faisait la lessive pour cinquante cents par jour. Dès avant le lever du jour jusqu’au soir, pour cinquante cents, pour que son mari continue à oeuvrer comme prédicateur dans le champ missionnaire. Deux semaines durant, il a tenu une série de réunions de réveil où il a prêché; il a prélevé une offrande et a récolté quatre-vingts cents. Mais, je les ai vus assis là, l’autre matin, ces deux petits vieux couples... ou plutôt ce petit couple; ils étaient assis là, et lui avait son petit châle à l’épaule. Et il y avait une de ses converties, âgée de quatre-vingt-douze ans, tout aussi joyeuse et vivace, une pentecôtiste jusqu’à la moelle, assise là, vous savez…

29 Et j’ai dit: «Vous savez, vous les vieux, pourquoi êtes-vous assis là?»
– Nous attendons que le bateau vienne.

30 C’est tout. Leur travail, tout ce qu’ils ont accompli; leur but, ils l’ont atteint, et maintenant, ils sont prêts à partir vers leur récompense. Et j’ai dit à frère Chieve ce – à frère Kiddson – Kidd ce matin-là : «Vous serez à la réunion de Chatauqua.»
Il m’a téléphoné hier et a dit: «Je me porte très... J’y serai, Frère Branham. Je serais…» Eh bien, très bien.

31 Beaucoup de ceux qui assistent aux réunions sont le fruit de mon nouveau ministère. Il y a un frère – un frère baptiste qui se tient là; sa fille, une adolescente, était un peu rebelle; et l’autre matin, je lui ai dit: «Je vous donne votre fille pour le Seigneur Jésus», et quand il est rentré à la maison, elle était sauvée, et l’autre est ici ce matin, pour se faire baptiser, et ça continue.

32 Et il y a un homme, M. Sothmann, un de mes amis du Canada, dont la belle-mère était mourante, et à qui j’ai dit: «Quand vous arriverez là-bas, vous trouverez votre belle-mère bien portante, convalescente, rétablie.» Ça s’est passé exactement comme ça. Et juste... des gens qui viennent. C’en est seulement à ses débuts maintenant, ça agit déjà. Mais oh! nous nous attendons à des choses infiniment au-delà de toute mesure. Nous sommes dans les derniers jours, des jours mauvais, mais à une heure glorieuse.

33 Maintenant avez-vous votre Bible, pour la lecture? Samuel chapitre 8. Et j’ai demandé à Gene de rester là-derrière pour l’enregistrement de la suite de ce... On n’en était qu’au début de notre réunion. Le peuple refusa d’écouter la voix de Samuel. Non! dirent-ils, mais il y aura un roi sur nous, Et nous aussi nous serons comme la nation… toutes les nations; notre roi nous jugera, il marchera à notre tête et conduira nos guerres. Samuel, après avoir entendu toutes les paroles du peuple, les redit aux oreilles de l’Eternel. Et l’Eternel dit à Samuel: Ecoute leur voix, et établis un roi sur eux. Et Samuel dit aux hommes d’Israël: Allez-vous-en chacun dans sa ville.

34 Maintenant, ce matin, si je voulais choisir à partir de ceci ce que j’appellerais un sujet, pour les quelques prochaines minutes, je choisirais le sujet suivant: le Roi rejeté.

35 C’était une époque où, comme à toutes les époques, les gens ne voulaient pas du tout que Dieu les conduise. Les gens veulent être conduits à leur manière à eux. Cette histoire, ce matin... et quand vous rentrerez chez vous, ce serait bien pour vous de lire d’un bout à l’autre. Ça se passait à l’époque de… du temps de Samuel, l’homme de Dieu, le prophète. Il avait été un homme juste, et un brave homme, honorable, de bonne réputation, loyal et honnête envers les gens, il ne les avait jamais induits en erreur, il ne leur disait rien d’autre que l’«AINSI DIT LE SEIGNEUR».

36 Mais les gens en étaient arrivés au point où ils voulaient modifier ce programme-là. Ils avaient observé les Philistins, et les Amalécites, les Amoréens, les Héthiens et les autres nations du monde, et ils avaient vu qu’eux avaient des rois qui régnaient sur eux, qui les gouvernaient, qui les guidaient, qui conduisaient leurs combats et ainsi de suite. Et il semblait donc qu’Israël voulait suivre l’exemple de ces rois-là et de ces peuples-là.

37 Mais ça n’a jamais été l’intention de Dieu, à aucune époque, que Son peuple agisse comme les gens du monde, ou qu’il soit gouverné ou dirigé comme les gens du monde. Le peuple de Dieu a toujours été un – un peuple particulier, un peuple différent, appelé à sortir, séparé, des gens qui, dans leurs actions, dans leurs manières, dans leur façon de vivre, sont complètement différents des peuples de ce monde. Les choses auxquelles ils aspirent et leur nature tout entière ont toujours été contraires aux choses auxquelles aspirent les gens du monde.

38 Le peuple d’Israël vint auprès de Samuel et lui dit : «Maintenant, tu deviens vieux, et tes fils ne marchent point sur tes traces.» En effet, ils n’étaient pas loyaux comme Samuel; ils se faisaient corrompre et acceptaient de l’argent. Alors ils dirent: «Samuel, tes fils ne sont pas comme toi, ainsi nous voulons que tu ailles nous trouver un roi, que tu l’oignes, et que tu fasses de nous un peuple comme les autres peuples du monde.»

39 Samuel a essayé de leur expliquer que ça ne marcherait pas. Il a dit: «Si vous faites ça, très bientôt, vous verrez qu’il prendra tous vos fils de vos maisons, il en fera des soldats, afin qu’ils courent devant ses chars et portent les armes et les lances. Et ce n’est pas tout, il prendra vos filles pour en faire des boulangères, il vous les enlèvera pour nourrir l’armée.» Et il a ajouté: «En plus de tout ça, il vous fera payer des taxes sur le produit de vos semences et sur tout votre revenu. Il fera payer des taxes sur tout cela, ce qui créera des dettes gouvernementales et tout, qu’il faudra payer.» Il a dit: «Je pense vraiment que vous commettez une erreur.»
Mais, alors les gens ont dit: «Mais nous voulons quand même être comme les autres peuples.»

40 Il y a quelque chose dans les hommes et les femmes qui fait qu’ils veulent vraiment se ressembler les uns aux autres. Et il n’y a qu’un seul Homme qui ait jamais vécu sur terre qui a été notre Exemple, et c’est Celui qui est mort pour nous tous, notre Seigneur et Sauveur, Jésus-Christ. C’était Lui l’exemple parfait de ce que nous devrions être: des gens qui s’occupent toujours des affaires du Père et qui font ce qui est juste.

41 Peu importe combien Samuel a essayé de persuader les gens, ils allaient continuellement au près de lui, jour et nuit, disant : «Nous voulons un roi. Nous voulons un homme. Nous voulons un homme, de qui nous pourrons dire: ‘Voici notre guide.’»Et cela n’a jamais été la volonté de Dieu. Ça n’a jamais été la volonté de Dieu, et ce ne sera jamais la volonté de Dieu, que les hommes règnent les uns sur les autres. C’est Dieu qui règne sur l’homme. C’est Dieu qui est notre Chef, notre Roi. Et cela est vraiment comparable à ce qui se passe aujourd’hui, puisqu’il semble que l’homme a encore cette même idée-là. Il semble qu’il n’arrive pas à comprendre que c’est encore Dieu qui règne sur l’homme, plutôt que ce soit l’homme qui règne sur l’homme.

42 Ainsi, ils se sont choisis un homme du nom de Saül, qui était le fils de Kis. Et c’était un homme de bonne réputation, un homme honorable. Mais, il convenait très parfaitement aux gens, parce que c’était un homme imposant, grand de taille et d’une stature noble. Les Ecritures disent qu’il dépassait d’une tête tous les hommes d’Israël. Il avait une allure royale, et il était beau de figure. C’était un homme brillant et extraordinaire.

43 Or, c’est là le genre d’homme que les gens aiment choisir aujourd’hui. Il semble que les gens ne sont pas satisfaits de la façon dont Dieu a établi Son Eglise, pour qu’Elle soit gouvernée et dirigée par le Saint-Esprit. Ils veulent que ce soit quelqu’un, un homme, une dénomination, que certaines personnes gouvernent l’église, des gens qui ne sont pas capables de s’abandonner entièrement dans les mains de Dieu, pour qu’ils soient spirituels, pour qu’ils soient conduits par le Saint-Esprit. Ils veulent que quelqu’un pratique leur religion à leur place; quelqu’un qui leur dira exactement comment la pratiquer et tout à ce sujet. Donc, cet homme-là semblait convenir parfaitement à ce poste, parce que c’était un homme très intellectuel.

44 Et ça ressemble beaucoup à ce qui se passe aujourd’hui. Nous aimons choisir des gens pareils, nous aussi, pour qu’ils dirigent nos églises, pour qu’ils dirigent l’Eglise de Dieu. Je n’ai rien à redire à cela, mais je veux simplement faire remarquer quelque chose: ce n’est pas, ce n’était pas, et ce ne sera jamais la volonté de Dieu que les choses se fassent ainsi. C’est Dieu qui doit diriger Son peuple, gouverner chaque individu.

45 Nous voyons donc que ce fils de Kis, cet homme imposant, et – et sa stature et son... Il semblait convenir aux gens qui se disaient que le manteau lui irait très bien ainsi que la couronne sur sa tête, et qu’en marchant, il dépasserait tout le monde, qu’il serait un – un véritable atout pour le royaume d’Israël. En effet, les autres rois allaient... des autres nations allaient se dire: «Regardez, quel homme!» Comme ils pouvaient le pointer du doigt, en disant: «Regardez quel grand roi nous avons! Regardez quel grand homme règne sur nous!»

46 Et c’est triste à dire, mais c’est vraiment le cas aujourd’hui avec l’église. Ils aiment dire: «Notre pasteur n’est pas un homme borné; c’est un grand homme. Il est diplômé de l’Université Harvard, ou d’une grande école de théologie. Il a quatre diplômes de telle et telle Université, et il est très sociable.» Tout ça, c’est peut-être très bien, et cela a sa place, mais la manière de Dieu, c’est que Son Eglise soit conduite par le Saint-Esprit et par Son Esprit. Mais les gens aiment dire: «Nous sommes membres d’une telle grande dénomination. Nous sommes les pionniers, c’est nous qui avons commencé là tout au début quand nous étions une minorité, juste un tout petit groupe de gens, un petit nombre. Et maintenant, le nombre s’est accru, au point que nous sommes parmi les dénominations les plus importantes qui soient. Nous avons les meilleures écoles et les prédicateurs les plus instruits. Nos gens sont les mieux habillés, et les plus grands intellectuels de la ville fréquentent notre dénomination. Nous faisons des oeuvres de bienfaisance, et nous faisons de bonnes oeuvres, et des choses semblables.» Il n’y a rien du tout à redire, que Dieu me préserve de dire un seul mot contre ces choses, car tout ça, c’est bon; mais néanmoins ce n’est pas la volonté de Dieu que l’homme règne sur l’homme.

47 Le jour de la Pentecôte Dieu a envoyé le Saint-Esprit pour qu’Il règne dans le coeur de l’homme et qu’Il règne dans sa vie. Il n’a pas été donné à l’homme de régner sur l’homme.

48 Mais nous aimons parler comme ça. C’est quelque chose de très remarquable pour nous de pouvoir dire que nous sommes membres d’une organisation si importante: «Etes-vous chrétien?» C’est ainsi que j’en suis arrivé à ce sujet. Quand j’étais à l’hôpital et que je demandais à quelqu’un: «Etes-vous chrétien?» La personne répondait : «Je suis membre de telle et telle église.»
– Etes-vous chrétienne?
– Je suis membre de telle et telle église.
Une petite infirmière est venue à la tête du lit, pendant que je lisais la Bible; elle venait de monter à l’étage, elle a dit: «Bonjour.» Elle a dit: «Révérend Branham, je pense que vous êtes ici pour un – un examen médical.»
J’ai dit: «C’est ça.»
Elle a dit: «Est-ce que je peux vous frictionner le dos, pour vous rafraîchir un peu, avec de l’alcool?»
Et j’ai dit: «Vous pouvez y aller.»
Et, pendant qu’elle me frictionnait le dos, elle a dit: «De quelle église dénominationnelle êtes-vous membre?»
Et j’ai dit: «Oh! je suis membre de la dénomination la plus ancienne qu’il y ait.»
Elle a dit: «De quelle dénomination s’agit-il?»
J’ai dit: «C’est celle qui a été fondée avant même que le monde ait été fondé.»
«Oh! a-t-il dit, de quelle... Je ne pense pas que je connaisse cette...» Elle a dit: «Moi, je suis membre de telle église. Est-ce cette organisation-là?»

49 J’ai dit: «Non, madame. Celle-là, cette organisation-là fut fondée depuis environ deux cents ans seulement. Mais l’organisation dont il est question a commencé lorsque les étoiles du matin chantaient ensemble et que les fils de Dieu poussaient des cris de joie, quand ils ont vu la venue d’un Sauveur pour racheter l’humanité».

50 Elle a arrêté de me frictionner le dos; je m’étais courbé un peu comme ceci, pour que la dame puisse me frictionner. Elle était de Corydon, non loin d’ici. Nous nous sommes mis à parler et elle a dit: «Monsieur, j’ai toujours cru que si Dieu a jamais été Dieu, Il est encore Dieu aujourd’hui, tout comme Il l’était autrefois.» Elle a dit: «Bien que mon église renie catégoriquement cela, mais moi, je crois que c’est la Vérité.»
Et j’ai dit: «Vous n’êtes pas loin du Royaume de Dieu, jeune femme.»
Elle a dit: «S’Il a jamais été un Guérisseur, ne L’est-il pas toujours?»
J’ai dit: «Il l’est très certainement, ma soeur.»

51 Mais l’homme veut régner, et régner sur l’homme; et l’homme veut que ce soit l’homme qui règne sur lui. Il ne veut pas que Dieu règne.

52 Ainsi, ce fils de Kis, du nom de Saül, était la réponse parfaite à leurs aspirations. Le grand homme imposant et le... oh! il pouvait vraiment être à la tête de leurs combats, et tout. Toutefois, ce n’était pas la façon de Dieu de faire les choses. Dieu voulait que Son vieux prophète fidèle les dirige et leur annonce Ses Paroles.

53 Or, aujourd’hui, dans ce grand âge de l’église où nous vivons, nous… Je pense et je crois de tout mon coeur que nous avons fait exactement le contraire de ce que Dieu nous avait ordonné de faire. Dans les dernières Paroles de notre Sauveur, qui sont dans Marc 16, il est dit: ...Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé; celui qui ne croira pas sera condamné. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: en mon nom, ils chasseront les démons; ils parleront la nouvelle langue; S’ils saisissent des serpents, ou boivent des breuvages mortels, ça ne leur fera point de mal; et s’ils imposent les mains aux malades... les malades seront guéris.

54 Aucun homme, aucun fils de Kis, personne d’autre, ne peut produire cela sans la conduite du Saint-Esprit. Mais nous avons fondé des écoles, nous avons fondé des séminaires et des organisations, pour – pour nous satisfaire et pour ressembler au reste du monde.

55 Eh bien, autrefois, c’était le Saint-Esprit qui conduisait cette nation. Avant, cette nation était gouvernée, quand, à l’époque où... à l’époque où on a rédigé la Déclaration d’indépendance, et il y avait là une chaise de plus là-bas. Il n’y a pas le moindre doute dans mon esprit que le Fils de Dieu était certainement assis à cette table-là, lorsque cette nation a été fondée sur les principes de la liberté de religion, et de la liberté sur tous les plans, et sur la base de la Parole Eternelle de Dieu. Mais on a corrompu ça; la politique. On a élu des hommes, en achetant et en vendant, et en faisant des promesses fallacieuses, si bien que notre nation, notre politique et notre démocratie sont tellement polluées que c’est – c’est tout mélangé avec le communisme et toutes sortes d’ismes.

56 Et très souvent, on ouvrait les séances par la prière, quand la Société des Nations se réunissait là-bas, ou qu’ils débattaient des choses. Et tout récemment, à un moment capital, on n’a même pas fait une seule fois mention de la prière! Comment allons-nous jamais régler nos différends sans la prière? Comment au monde pouvons-nous jamais nous attendre à accomplir quoi que ce soit sans la conduite du Saint-Esprit?

57 Mais permettez-moi de dire ceci, avec tout l’amour et le respect que j’ai pour notre nation, pour son drapeau et pour la république qu’il représente: nous avons rejeté notre Conducteur, le Saint-Esprit, et, par notre politique corrompue, nous avons choisi des hommes à l’esprit pervers. Et, si vous ne faites pas attention, très prochainement ils vont commettre maintenant même une des erreurs les plus fatales qu’ils aient jamais commises. Et cela, c’est parce que les gens veulent que ce soit l’homme qui règne.

58 Ce qu’il nous faut comme Président, ici, au Capitole des Etats-Unis ce qu’il nous faut au Congrès, ce qu’il nous faut dans nos tribunaux, ce sont des hommes qui ont consacré leur vie à Dieu, qui sont remplis du Saint-Esprit et qui sont conduits par Sa direction Divine. Mais au lieu de cela, nous élisons des hommes intellectuels, des hommes qui ont l’apparence de la piété mais qui renient la puissance de Dieu; des hommes qui sont des athées et parfois même pires que ça, voilà ceux que nous avons introduits dans les milieux politiques de notre nation, et pas seulement là, mais aussi dans nos églises.

59 Nos églises se sont corrompues parce que dans le choix des bergers qui doivent nous conduire, nous avons recouru aux séminaires et nous avons choisi des hommes qui sont de grands géants intellectuels, de grands cerveaux, des hommes qui ont beaucoup de savoir, et des hommes très sociables, importants dans le quartier; je n’ai rien à redire à cela. Ce sont des hommes courtois, qui veillent sur leur façon de vivre et sur leur comportement parmi les autres hommes et parmi les gens; de grands hommes dans leurs domaines… et je n’ai rien de mal à redire à cela. Que Dieu me préserve d’avoir l’esprit si malveillant. Mais néanmoins, ce n’est pas ce que Dieu a choisi pour nous. C’est la conduite du Saint-Esprit: Christ dans le coeur de l’homme.

60 Beaucoup de ces hommes intellectuels qui se tiennent en chaire parmi nous renient l’existence même du Saint-Esprit. Beaucoup d’entre eux renient l’existence de la guérison divine et de la puissance de l’Esprit.

61 Je lisais un article (c’était hier, je pense), une série de coupures de journaux sur Jack Coe, feu Jack Coe, un de mes convertis au Seigneur Jésus, qui a été un vaillant héros à son époque, et qui avait reçu un mandat de comparution, en Floride, pour avoir demandé à un jeune enfant d’enlever son appareil orthopédique qu’il portait aux jambes et de marcher sur l’estrade. En suivant cette recommandation, l’enfant a marché normalement sur l’estrade, puis il est tombé lorsqu’il est arrivé chez sa mère. Ce n’est qu’un coup monté de l’ennemi de Christ.

62 Cette jeune femme et son mari ont fait comparaître notre noble frère devant les tribunaux du pays. Et, alors que toutes les églises auraient dû soutenir Frère Jack, alors que tous les hommes d’églises qui citent le Nom de Jésus-Christ auraient dû se ranger bravement de son côté, que tout homme qui invoque le Nom du Seigneur Jésus aurait dû s’agenouiller pour prier, mais au lieu de cela, à la une des journaux, une de nos grandes dénominations déclarait qu’elle se joignait aux athées pour condamner et emprisonner Frère Jack Coe. Pouvez-vous imaginer qu’une église qui se donne le Nom de Christ se joigne à un athée pour condamner un homme pieux, qui essayait de tout son coeur de défendre la Bible? Mais ils l’ont fait.

63 Quand le Frère Gordon Lindsay est venu à la rescousse, alors le juge incrédule a dit: «Cet homme est un imposteur, parce qu’il a fait enlever l’appareil orthopédique de cet enfant, et qu’il l’a fait traverser l’estrade, en déclarant qu’il était guéri; il a menti et il est allé à l’encontre des ordres du médecin. Par conséquent, il est coupable de supercherie.»

64 M. Coe s’est levé et a dit: «Monsieur, je conteste cette déclaration. Dieu a guéri ce garçon.»

65 Et le juge a dit: «Je demanderais à tout homme qui se trouve dans ce tribunal s’il est possible que la déclaration ci-après soit vraie; comme quoi Dieu a pu guérir ce garçon à un bout de l’estrade, et qu’Il a permis qu’il soit malade à l’autre bout. Si cette déclaration peut être prouvée par la Bible, alors je dirai que M. Coe a raison dans sa déclaration.»

66 Un prédicateur a levé la main et a dit: «Votre Honneur, Monsieur, puis-je appuyer cette déclaration?»
Et le juge a dit: «Je vous en prie.»
Le prédicateur s’est levé et a dit: «Une nuit, sur une mer agitée, une petite barque était sur le point de couler; il n’y avait plus aucun espoir de survie. Ils ont vu Jésus, le Fils de Dieu, venir en marchant sur les eaux. Et un des apôtres, du nom de Pierre, a dit: ‘Si c’est Toi, Seigneur, ordonne que je vienne vers Toi sur les eaux.’ Il a dit... Le Seigneur a dit à l’apôtre Pierre: ‘Viens’. Alors il est sorti de la barque, monsieur, et il a marché sur les eaux comme Jésus. Mais quand il a eu peur, il a commencé à s’enfoncer avant d’arriver à Jésus.»
Le juge a dit: «L’affaire est classée.»

67 Il nous faut la conduite du Saint-Esprit, pas celle des hommes intellectuels.

68 Saül, le fils de Kis, a donc été établi comme chef sur le peuple. Il a pris avec lui deux mille hommes et Jonathan en a pris mille; et Jonathan est descendu à une garnison, et il a battu tout un groupe d’Amoréens, ou plutôt d’Ammonites. Et après – après qu’il les a eu battus, Saül a sonné de la trompette, et a dit: «Voyez ce que Saül a fait.» Il a commencé à s’enfler d’orgueil.

69 Aussitôt qu’un homme devient un grand docteur en théologie, ou qu’il a un petit quelque chose d’accrocher au bout de son nom, il devient plus ou moins un je-sais-tout. Les hommes de Dieu sont des hommes humbles. Le peuple de Dieu est constitué des hommes humbles.

70 Quand vous voyez une personne qui prétend avoir reçu le Saint-Esprit et qui commence à se séparer des autres, qu’elle semble ne pas avoir la Foi, qu’elle cherche à se faire passer pour ce qu’elle n’est pas, souvenez-vous bien que cette personne n’a pas reçu le Seigneur Jésus.

71 Ensuite, nous voyons que l’ennemi est entré, qu’il cherchait à entrer dans un petit groupe parmi le peuple de Dieu, et qu’il cherchait à arracher l’oeil droit de tous les hommes. C’est toujours ce que l’ennemi cherche à faire, à leur arracher les deux yeux si possible, pour que les gens ne puissent pas voir ce qu’ils font. C’est ce que Satan cherche à faire aujourd’hui, à chaque chrétien: lui arracher ses yeux spirituels, pour que ce dernier ne puisse suivre que ses sens intellectuels de choses et non le sens du Saint-Esprit qui le conduit.

72 Ainsi, donc, quand ils ont fait cela, quand ils ont essuyé cette grande défaite, alors Saül a coupé deux grands boeufs en morceaux et il en a envoyé à tout le peuple. Et j’aimerais vous faire remarquer ici que lorsque Saül a envoyé ces morceaux de boeufs à travers tout Israël, il a dit: «Quiconque ne marchera pas à la suite de Samuel et de Saül, aura... traité de la même manière.» Voyez-vous combien il a, de façon sournoise, essayé de s’identifier à l’homme de Dieu? Ce n’était vraiment – vraiment pas chrétien. Les gens éprouvaient de la crainte à cause de Samuel. Mais Saül les a tous fait marcher à sa suite, parce que les gens craignaient Samuel. «Qu’ils marchent à la suite de Samuel et de Saül.»

73 Et, aujourd’hui, combien de fois n’avons-nous pas entendu ça : «Nous sommes la grande église», «nous sommes l’église de Christ», «nous sommes l’Eglise de Dieu.» «Nous sommes le – le ceci ou cela.» C’est ce qui inspire de la crainte aux gens, du fait qu’on leur fait croire que c’est vraiment là que Dieu est à l’oeuvre. Et ils ne veulent pas de la conduite du Saint-Esprit; ils préfèrent suivre des hommes comme ça, parce qu’ils aiment mener leur propre vie individuelle. Ils aiment croire ce qu’ils veulent croire.

74 Voyez-vous que c’est le Saint-Esprit qui est notre Juge? Dieu ne nous a jamais donné un pape, ni un évêque, ni qui que ce soit, pour être juge. C’est le Saint-Esprit, la Personne de Dieu sous la forme du Saint-Esprit, qui est notre Juge et notre Guide.

75 Alors, pourquoi cela? Veuillez me pardonner pour cette déclaration tranchante, et même très tranchante. Je ne le dis pas par méchanceté, je le dis par amour. Mais le Saint-Esprit dit que c’est mal pour nos femmes de se couper les cheveux, que ce n’est pas correct pour nos femmes de porter des petits shorts, et des pantalons, de se mettre du rouge aux lèvres et de se farder le visage; le Saint-Esprit dit que ce n’est pas correct. Mais nous, nous voulons des hommes qui nous disent qu’il n’y a pas de mal à ça!

76 Tant que nous marcherons à la suite de «Samuel et moi...» Ils aiment vivre comme bon leur semble pendant six jours, et aller à l’église le dimanche matin, pour qu’un intellectuel raffiné, un universitaire qui a beaucoup de diplômes, leur prêche un petit sermon qui va... quelques plaisanteries qui soient agréables à leur oreille et qui les divertissent comme le ferait un film ou une émission de télévision, qui offrira une petite prière pour eux, et qui les renverra chez eux avec une espèce de – de sécurité de satisfaction personnelle, comme quoi ils ont pratiqué leur religion.

77 Ça, ce n’est pas la volonté du Saint-Esprit. Le Saint-Esprit veut que vous viviez pieusement tous les jours de la semaine et toutes les nuits en vous séparant des choses du monde. Mais 1’église n’en veut pas. Les gens veulent un homme qui puisse – qui puisse interpréter la Bible de la façon dont ils veulent L’entendre. Ils ne veulent pas écouter la Voix du Saint-Esprit qui parle par la Bible.

78 Beaucoup d’entre eux veulent dire que le temps des miracles est passé. Ils veulent dire que le baptême du Saint-Esprit n’existe pas. Les gens ne veulent pas se conduire différemment du reste du monde. Ils ne veulent pas sortir dans la rue avec le visage lavé, et – et les hommes ayant un aspect pur, sans cigarette à la bouche, ni – ni cigare, ni pipe, ni – ni aucune de ces choses que font les hommes; et les femmes, elles veulent avoir les cheveux coupés très courts, et – et porter des petites robes qui montrent leurs formes, et toutes ces choses qu’elles aiment. Elles – elles veulent des hommes qui leur diront qu’il n’y a pas de mal à ça.

79 L’autre soir, un homme est venu donc me dire que, parce que j’avais prêché contre ces choses, une grande dénomination, environ cinq d’entre elles avaient dit: «Nous allons laisser tomber Frère Branham, et nous n’aurons plus rien à voir avec lui. Ou bien il vous faudra retirer ces bandes de la circulation et demander pardon pour ça, ou bien nous vous abandonnerons.»
J’ai dit: «Je resterai fidèle à la Parole de Dieu, même si ça me coûte tout ce que j’ai dans cette vie. Je m’en tiendrai à la Parole, et je...»
Il a dit: «Eh bien, ne devriez-vous pas retirer telle et telle bande de la circulation?»
J’ai dit: «Jamais de ma vie, je n’ai prêché quoi que ce soit dont j’aie eu à avoir honte. Je ne retirerai aucune bande ni aucun disque. Je resterai fidèle à ce que dit le Saint-Esprit. Pour moi-même, c’est une question de vie ou de mort.» Je ne cherche donc pas à parler de moi-même, là, mais j’essaie simplement de vous illustrer ce qui se passe, afin que vous puissiez voir et comprendre. Ce qu’il y a, c’est que les gens veulent être conduits par l’homme.

80 Ils ne voulaient pas de Samuel. Et puis, avant qu’ils oignent Samuel comme roi, ou plutôt Saül comme roi, excusez-moi, Samuel est venu encore auprès d’eux. Et je vais m’exprimer dans un langage comme celui qu’il aurait utilisé aujourd’hui. Vous pourrez le lire.
Il a dit: «Qu’avez-vous contre le fait d’avoir Dieu pour votre Roi?
– Eh bien, nous ne voyons pas Dieu.
– Eh bien, je suis Son représentant. Samuel a dit: «Vous ai-je déjà dit quelque chose de faux? Ai-je déjà prophétisé quelque chose qui ne se soit pas accompli exactement comme je l’avais annoncé? Ne vous ai-je pas annoncé la Parole du Seigneur? Et je vous demanderai ceci: Suis-je déjà venu auprès de vous quémander votre argent? Vous ai-je déjà soutiré quoi que ce soit? Vous ai-je déjà apporté autre chose si ce n’est carrément l’AINSI DIT LE SEIGNEUR? Et Dieu l’a confirmé chaque fois que c’était la Vérité.» Et Dieu a envoyé des orages et de la pluie. Vous connaissez le passage de l’Ecriture là-dessus, vous... pour prouver que Samuel était le porte-parole de Dieu.

81 Et comme Samuel représentait parfaitement le Saint-Esprit, aujourd’hui! Le Saint-Esprit est le porte-parole de Dieu. Il dit exactement ce que dit la Bible. Il croit exactement ce que dit la Bible, et Il n’en déviera pas du tout. Mais les gens voulaient quelqu’un qui pourrait leur dire autre chose.

82 Et les gens ne pouvaient pas dire que la prophétie de Samuel n’était pas parfaite. Ils ont répondu en disant : «Samuel, tout ce que tu as annoncé au Nom du Seigneur, le Seigneur l’a accompli exactement comme tu l’avais annoncé. Il n’y a pas une seule faute. Tu n’es jamais venu auprès de nous pour nous quémander notre argent. Tu as subvenu à tes besoins. Tu ne nous as jamais demandé de faire quoi que ce soit d’extraordinaire pour toi. Tu t’es confié en ton Dieu, et Il t’a délivré de toutes choses. Et tes paroles sont vraies; tout ce que tu as annoncé au Nom du Seigneur, s’est accompli exactement comme tu l’avais dit, mais nous voulons quand même un roi!»

83 Pouvez-vous voir la discorde? Pouvez-vous – vous voir la – la ruse du diable, comment il peut agir sur un être humain? Au lieu qu’un homme ou qu’une femme s’abandonne au Saint-Esprit pour écouter l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, pour avoir une vie pure, un caractère pur, pour avoir une vie différente, être un peuple à part, une nation sainte, un peuple d’un comportement particulier, les gens préféreraient ressembler au monde, agir comme le monde et fréquenter une église qui dit: «Il n’y a pas de mal à ça; agissez comme ça, allez de l’avant.»

84 Pouvez-vous voir ce qu’il en est? Ils disent: «La guérison n’existe pas. Oh! le baptême du Saint-Esprit a été la charpente de l’église.» En d’autres termes, Dieu a ensuite pris des hommes, Il a enlevé le Saint-Esprit de l’église et Il a laissé la dénomination la bâtir.» Jamais, jamais. Une telle chose n’existe pas. C’est le Saint-Esprit, la Parole de la Vérité, qui devait vous conduire jusqu’à ce que Jésus vienne. Mais c’est comme ça que ça – c’est parti.

85 Saül est arrivé au pouvoir. Il gran… Il a eu de nombreux partisans. Oh! il avait de très belles armures, il avait des chanteurs, il avait des boucliers et des lances. Oh! ils dépassaient toutes les autres nations. Et il les a introduits dans une démocratie qui dépassait tout ce dont on avait déjà entendu parler.

86 C’est exactement ce que nos dénominations et nos églises ont fait aujourd’hui. Nous avons les plus grandes églises du monde. Nous avons les gens les mieux vêtus du monde. Nous avons les plus grands diplômes qui puisent être décernés. C’est exactement comme les hommes de Saül qui avaient été entraînés, qui pouvaient prendre une lance, la brandir et la manoeuvrer, si bien que les nations les craignaient. C’étaient des gens entraînés et tout.

87 Mais un jour, le moment était venu où quelqu’un s’était présenté pour les défier. Et cela avait tellement agité toute l’armée d’Israël, qu’ils se sont tenus là tremblant dans leurs petits souliers. Goliath leur a lancé un défi: «Si votre Dieu est ce que vous prétendez, vous êtes les mieux formés», et il les a défiés. Ils ne savaient que faire. Leurs belles armures bien polies ne feraient pas l’affaire. Leurs lances ne feraient pas l’affaire. Il se passait quelque chose dont ils n’avaient pas encore entendu parler. Et c’est avec révérence, et respect sacré, honneur, dignité, amour et dans la communion fraternelle et chrétienne que je dis ceci: L’autre jour, j’ai lu dans un journal d’Afrique que lorsque notre fils de Kis, notre challenger de l’évangélisation, Billy Graham, a été défié par un musulman qui lui a dit: «Si votre Dieu est Dieu, qu’Il guérisse les malades comme Il a dit qu’Il le ferait!», le fils de Kis, et le reste de l’armée se sont tus et ils ont quitté le pays, vaincus. C’est une honte. Notre Dieu est Dieu!

88 Nous avons nos bonnes églises, nous avons notre bonne évangélisation. Nous avons nos chanteurs payés, nous avons les meilleures chorales, les cloches les plus hautes du pays. Nous avons les meilleurs hommes, parmi les plus fortunés. Nous avons les intellectuels, nous sommes à la fine pointe de la théologie. Nous pouvons la prêcher, nous pouvons l’annoncer, nous pouvons évangéliser et faire entrer des gens, des millions de convertis chaque année dans l’église. Nos chanteurs payés, notre évangélisation intellectuelle ne sait pas comment relever un défi comme celui-là. Ils ne connaissent rien à ce sujet. Ils ne connaissent rien de Sa puissance de guérison, du baptême du Saint-Esprit, d’une puissance qui peut s’emparer d’un homme qui se meurt du cancer, qui n’est plus que l’ombre de lui-même, et le libérer. Ils ne connaissent rien à ce sujet. Ils n’ont pas été entraînés dans ce domaine-là, tout comme Saül et son groupe formé par les hommes.

89 Mais permettez-moi de dire ceci au peuple de Dieu et à vous, Ses enfants, pour que vous sachiez que Dieu ne vous laisse jamais sans témoin. Saül n’était pas au courant; Saül n’en savait rien. Mais Dieu avait un petit David quelque part derrière la colline, qui ne paissait pas les brebis de mauvaises herbes ecclésiastiques. Il les dirigeait près des eaux paisibles et dans de verts pâturages. Il se souciait des brebis de son père, et si quelque chose, un ennemi, entrait brusquement pour attraper une des brebis de son père, il connaissait la puissance de Dieu pour délivrer cette brebis!

90 Dieu a encore un David quelque part, qui sait ce que c’est que de délivrer une des brebis de Dieu, par la puissance de Dieu. Il s’y connaît toujours. Il s’était confié... Il ne connaissait rien de l’armure de Saül, et il n’en voulait pas non plus. Il ne voulait rien avoir affaire avec leurs dénominations, il ne voulait pas de cette vieille armure sur lui. Il a dit: «Je n’y connais rien! Mais laissez-moi y aller avec la puissance que je connais.»

91 Il avait fait paître les brebis de son père. Il s’était occupé des pâturages. Il leur avait donné la nourriture qu’il leur fallait, et elles vivaient, elles se développaient bien. «L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.» Le vrai berger les nourrit de «Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement». Et si l’ennemi s’empare de l’une d’entre elles par la maladie, il connaît la puissance de Dieu.

92 Regardez le petit David, il s’est tenu là. On lui a dit: «Ce type-là, c’est un guerrier de naissance. Et dès sa jeunesse, il ne connaît rien d’autre que la lance et l’armure. Il est bien formé. C’est un théologien. Et toi, tu n’y connais rien.»

93 Il a dit: «C’est vrai, monsieur. Je ne sais rien de sa formation théologique, mais je sais une chose, c’est que quand un ennemi est venu pour s’emparer d’une des brebis de mon père, je suis allé [à sa rescousse] avec la puissance de Dieu. Je l’ai délivrée! Je l’ai ramenée en sûreté, elle a recouvré la santé. Je l’ai ramenée aux verts pâturages ombragés et aux eaux paisibles. Le Dieu qui a livré le lion entre mes mains (je l’ai tué après qu’il a attrapé une des agneaux), m’a aussi permis de tuer l’ours; le Dieu du Ciel ira aussi avec moi pour tuer cet incirconcis de philistin!» Il nous faut la conduite du Saint-Esprit.

94 Je ne connais pas le nombre de mes jours. Personne non plus ne connaît le sien.

95 L’autre matin, j’étais au lit. Et j’étais – J’étais endormi, et j’avais rêvé que Joseph était malade et que je l’avais pris pour prier pour lui. Et quand je me suis réveillé, j’étais tout bouleversé. Je me suis dit: «Eh bien, peut-être que Joseph va tomber malade.» Alors j’ai vu passer devant moi une petite ombre sombre, ou plutôt d’une couleur brunâtre, et il semblait que c’était moi. Je la regardais, et quelqu’un en blanc venait derrière elle, c’était Lui. J’ai regardé ma femme pour voir si elle était éveillée, pour que je lui montre cela et qu’elle voie la vision; mais elle était endormie. J’ai dit: «Oh! je suis désolé, Seigneur, mais il s’agissait là de ma vie. Il a fallu que Tu me pousses, dans tout ce que j’ai fait. Toutes les fois qu’il se passait quelque chose, je pensais que c’était Toi qui faisait cela, mais je me rends compte que c’était Satan qui essayait de me garder loin de la chose.» J’ai dit: «Si seulement Tu pouvais me conduire.» Et, en regardant, j’ai vu le plus beau visage que j’aie jamais vu d’un homme. Il était devant moi et regardait derrière. Il a levé la main et a pris la mienne, et Il s’est mis à marcher dans cette direction-ci. La vision m’a quitté.

96 Dimanche passé, le matin, j’étais... je m’étais réveillé très tôt. Cette vision, c’était samedi. Je m’étais toujours inquiété; j’avais toujours pensé à la mort. J’ai cinquante ans, c’est… mon temps n’est pas... A mon avis, je n’en avais plus pour longtemps. Je me demandais ce que je serais dans cette théophanie, ce corps céleste. Est-ce que je verrais mes précieux amis, où est-ce que je verrais un petit nuage blanc passer, et que je dirais: «Voilà passer frère Neville», ou... et qu’il ne pourrait pas dire: «Bonjour, Frère Branham? Et quand Jésus viendrait, alors je redeviendrais un homme»? C’est ce que je pensais souvent.

97 J’ai rêvé que j’étais à l’Ouest, et que je – je traversais un petit champ d’armoises, mon épouse était avec moi, nous faisions la pêche à la truite. Je me suis arrêté et j’ai ouvert le portail, et le Ciel était tellement beau. Il n’avait pas le même aspect qu’ici dans la vallée. Il était bleu avec de jolis nuages blancs. Et j’ai dit à mon épouse, j’ai dit: «Nous aurions dû venir ici longtemps, chérie.»

98 Elle a dit: «Nous aurions dû venir, Billy, à cause des enfants.»

99 J’ai dit: «C’est vrai.» Et je me suis réveillé. Je me suis dit : «Je rêve tellement! Je me demande pourquoi.» J’ai baissé les yeux, et elle était couchée près de moi. Je me suis levé, en m’adossant à mon oreiller, comme vous l’avez déjà fait, beaucoup d’entre vous. J’ai appuyé la tête contre la tête du lit, les mains derrière moi. Et j’étais couché là, comme ça, et je me disais : «Eh bien, je me demande comment ce sera de l’autre côté. J’ai déjà cinquante ans, et je n’ai encore rien fait. Si seulement je pouvais faire quelque chose pour aider le Seigneur. Car je sais que je ne serai plus mortel... La moitié de mon temps est passée, au moins, ou plus de la moitié. Même si je vis aussi longtemps que les miens, néanmoins la moitié de mon temps est passée.» Je regardais autour de moi, j’étais couché là et je m’apprêtais à me lever. On était aux environs de 7 h. Je me suis dit: «Je crois que je vais aller à l’église ce matin même si je suis enroué, j’aimerais entendre prêcher frère Neville.»

100 Ainsi, je – j’ai dit: «Chérie, es-tu réveillée?» Elle dormait très profondément.

101 Je ne veux pas que vous manquiez ceci. Cela m’a transformé. Je ne peux plus être le même frère Branham que j’étais.

102 Et j’ai regardé, et j’entendais quelque chose qui ne cessait de dire: «Tu ne fais que commencer. Continue le combat. Continue seulement à courir.»
J’ai secoué la tête un instant. Et alors, je me suis dit: «Eh bien, c’est probable que ça soit moi qui pense à ça, vous savez, il peut arriver qu’une personne s’imagine des choses.» Et je me suis dit : «C’est probable que je me sois juste imaginé ça.»
Ça disait: «Continue le combat! Continue à avancer! Continue à avancer!»
Et je me suis dit: «C’est peut-être moi qui ai dit cela.»

103 Je me suis mordu les lèvres et j’ai placé ma main sur la bouche; et cela est encore revenu. Ça disait: «Continue simplement à courir vers le but. Si seulement tu savais ce qu’il y a à la fin de la route.» Et c’était comme si j’entendais Graham Snelling ou quelqu’un chanter ce cantique, comme ceci; on le chante ici, Anna Mae et vous tous : J’ai le mal du pays, le cafard, et je veux voir Jésus;
J’aimerais entendre des cloches du port, le doux carillonnement;
Cela éclairerait mon sentier et dissiperait toutes mes craintes,
Seigneur, laisse-moi regarder au-delà du rideau du temps.
Vous avez entendu chanter ce cantique ici à l’église.

104 Et, j’ai entendu Quelque Chose dire: «Aimerais-tu voir juste au-delà du rideau?»
J’ai dit: «Ça m’aiderait beaucoup.» J’ai regardé, et en un instant, je... d’un souffle, je me suis retrouvé dans un petit endroit en pente. J’ai regardé derrière moi et j’étais là, étendu sur le lit. Je me suis dit: «Ça, c’est étrange.»

105 Bon, je n’aimerais pas que vous racontiez ceci. Je suis devant mon église, ou mes brebis dont je suis le pasteur. Si j’étais dans ce corps ou hors de ce corps, ou si c’était une translation... Ce n’était pas comme n’importe quelle [autre] vision que j’aie déjà eue. Je pouvais regarder là-bas, et je pouvais regarder ici. Et quand je suis arrivé dans ce petit endroit, jamais je n’ai vu autant de gens, ils accouraient vers moi en criant: «Oh! notre précieux frère.» Je regardais, et des jeunes femmes, peut-être au début de la vingtaine (de dix-huit à vingt ans), m’enlaçaient en criant: «Notre précieux frère!»

106 Et voilà de jeunes gens qui venaient, dans toute la splendeur virile de la jeunesse, leurs yeux étincelants, semblables à des étoiles au plus sombre de la nuit, leurs dents blanches comme des perles, et ils criaient et m’étreignaient en criant: «Oh! notre précieux frère!» Je me suis arrêté, j’ai regardé, et j’étais jeune. Je me suis retourné pour regarder mon vieux corps qui était étendu là, les mains derrière la tête. J’ai dit: «Je ne comprends pas ceci.» Et ces jeunes femmes m’enlaçaient.

107 Or, je me rends bien compte qu’on est ici dans un auditoire mixte, et je dis ceci, avec gentillesse et la douceur de l’Esprit. Un homme ne peut pas entourer une femme de ses bras sans qu’il y ait une sensation humaine. Mais là-bas, il n’y en avait pas. Il n’y avait pas d’hier ni de demain. Ils ne se fatiguaient pas. Ils étaient... Je n’avais jamais vu d’aussi jolies femmes de toute ma vie. Elles avaient de longs cheveux qui leur descendaient jusqu’à la taille, de longues jupes qui leur descendaient jusqu’aux pieds, et elles étaient là à m’étreindre. Elles ne m’étreignaient pas comme le ferait même ma propre soeur qui est assise là. Elles ne m’embrassaient pas, et je ne les embrassais pas. C’était quelque chose pour lequel je – je n’ai pas de – de vocabulaire; je n’ai pas de mots pour l’exprimer. Le mot perfection, n’est pas à la hauteur. Le mot superbe n’est même pas à la hauteur, pas du tout. C’était quelque chose que je n’ai jamais... Il faut simplement être là.

108 Je regardais dans cette direction-ci et dans cette direction-là, et ils venaient par milliers. Et j’ai dit: «Je – je ne comprends pas ceci.» J’ai dit: «Eh bien, ils...» Et voilà venir Hope; c’est elle qui était ma première femme. Elle a accouru, et elle n’a pas du tout dit: «Mon mari», Elle a dit: «Mon précieux frère.» Après qu’elle m’a serré dans ses bras, une autre femme qui se tenait là m’a aussi serré dans ses bras, et Hope a serré cette femme-là dans ses bras, et chacune… Et je me suis dit: «Oh! ça, c’est certainement quelque chose de différent; c’est – c’est impossible. Il y a quelque chose...» Je me suis dit: «Oh! faudra-t-il que je retourne encore à cette vieille carcasse?» Je regardais de tous côtés, et je me demandais: «C’est quoi ça?» Je regardais très attentivement, et je – je me suis dit: «Je – je n’y comprends rien.» Mais Hope était, on dirait une... oh! une invitée d’honneur. Elle n’était pas différente, mais elle était simplement comme une invitée d’honneur.

109 Et alors j’ai entendu une voix (celle qui m’avait parlé dans la chambre) dire: «Ceci, c’est ce que tu as prêché, c’est ça le Saint-Esprit. Ceci, c’est l’amour parfait. Et nul ne peut entrer sans cela.»

110 Je suis plus convaincu que je l’ai jamais été toute ma vie, qu’il faut l’amour parfait pour entrer là-bas. Il n’y avait pas de jalousie. Il n’y avait pas de fatigue. Il n’y avait pas de mort. La maladie ne pourrait jamais y entrer. La mortalité ne pourrait jamais vous faire vieillir; et eux, ils ne pouvaient pas pleurer. Il n’y avait que la joie… «Oh! précieux frère.»

111 Et ils mont pris et m’ont placé à un endroit large et très élevé. Et je me suis dit: «Je ne rêve pas. En me retournant, je peux voir mon corps étendu là sur le lit.» Et ils m’ont fait asseoir là-haut, et j’ai dit: «Oh! je ne devrais pas m’asseoir ici haut.»

112 Et voilà que des femmes et des hommes dans la fleur de leur jeunesse arrivaient de deux côtés, en criant. Et une femme qui était debout là s’est écriée: «Oh! mon précieux frère! Oh! nous sommes tellement heureux de te voir ici.»
Je me suis dit: «Je ne comprends pas ceci.»

113 Et alors, cette voix qui parlait au-dessus de moi, a dit: «Tu sais, il est écrit dans la Bible que les prophètes étaient recueillis auprès des leurs.»
Et j’ai dit: «Oui, je me souviens que c’est dans les Ecritures.»
La voix a dit : «Eh bien, c’est ce qui se passera lorsque tu seras recueilli auprès des tiens.»
J’ai dit: «Alors, ils seront réels, et je pourrai les toucher.»
Oh! oui.
J’ai dit: «Mais je... Il y en a des millions. Il n’y a pas autant de Branham que ça.»

114 Et cette voix a dit: «Ce ne sont pas des Branham; ce sont tes convertis. Ce sont ceux que tu as conduits au Seigneur.» Elle a continué, disant: «Certaines de ces femmes que tu trouves si jolies avaient plus de quatre-vingt-dix ans quand tu les as conduites au Seigneur. Ce n’est pas étonnant qu’elles crient: ‘Notre précieux frère.’»

115 Et tous se sont écriés ensemble, disant: «Si tu n’étais pas allé, nous ne serions pas ici.»

116 J’ai regardé tout autour et je me suis dit: «Eh bien, je ne comprends pas ceci.» J’ai dit: «Oh! où est Jésus? J’ai tellement envie de Le voir.»
Ils ont dit: «Maintenant, Il est juste un peu plus haut, dans cette direction.» Ils ont dit: «Un jour Il viendra à toi, voyez, ont-ils dit, tu as été envoyé comme leader; et Dieu viendra, et quand Il viendra, d’abord il te jugera selon ce que tu leur auras enseigné; s’ils entreront ou pas. Nous entrerons selon ce que tu aura enseigné.»
J’ai dit: «Oh! je suis très content! Est-ce que Paul… Devra-t-il être jugé comme ça? Pierre devra-t-il être jugé comme ça?
«Oui.»

117 J’ai dit: «J’ai donc prêché la Parole en tous points comme eux. Je n’en ai jamais dévié, ni d’un côté ni de l’autre. Ils baptisaient au Nom de Jésus-Christ, et j’ai fait de même. Ils enseignaient le baptême du Saint-Esprit, et j’ai fait de même. Tout ce qu’ils ont enseigné, moi aussi je l’ai enseigné.»
Et ces gens-là se sont écriés, disant: «Nous le savons, et nous savons qu’un jour nous retournerons sur terre avec toi.» Ils ont dit: «Jésus viendra, et tu seras jugé selon la Parole que tu nous as prêchée. Et puis, si tu es accepté à ce moment-là (et tu le seras), ont-ils dit, alors, tu nous présenteras à Lui comme les trophées de ton ministère.» Ils ont dit: «Tu nous conduiras vers Lui et, tous ensemble, nous retournerons sur terre pour y vivre éternellement.»
J’ai demandé: «Est-ce que je dois retourner maintenant?»
«Oui, mais continue à courir.»

118 Je regardais et je voyais les gens jusqu’à perte de vue, ils continuaient à venir, ils voulaient me serrer dans leurs bras en criant: «Notre précieux frère!»

119 Juste à ce moment-là, une voix a dit: «Tous ceux que tu as aimés, et tous ceux qui t’ont aimé, Dieu te les a donnés ici.» J’ai regardé, et j’ai vu venir mon brave chien, Mon cheval est venu, il a appuyé sa tête contre mon épaule, a poussé un hennissement. La voix a dit : «Tous ceux que tu as aimés, et tous ceux qui t’ont aimé, Dieu les a remis entre tes mains, par ton ministère.»

120 Alors, j’ai senti que je quittais cet endroit magnifique. J’ai regardé autour de moi. J’ai dit: «Es-tu réveillée, chérie?» Elle dormait toujours. J’ai pensé: «Ô Dieu! Oh! aide-moi, ô Dieu. Ne permets jamais que je fasse des compromis sur une seule Parole. Que je m’en tienne strictement à cette Parole, et que je La prêche. Peu m’importe ce qu’il peut advenir, ce que qui que ce soit peut faire, combien de Saül, de fils de Kis peuvent s’élever, combien de ceci et de cela ou autre chose, Seigneur, que je coure vers cet endroit-là.

121 Toute peur de la mort... Je dis ceci avec ma Bible devant moi ce matin. J’ai un petit garçon de quatre ans, là, à élever. J’ai une fille de neuf ans et une adolescente, et je suis reconnaissant qu’elles suivent la voie du Seigneur. Ô Dieu, laisse-moi vivre assez longtemps pour les élever en les instruisant selon Dieu. Et en plus de ça, les cris du monde entier semblent être dirigés vers moi. Des femmes et des hommes de quatre-vingt-dix ans, et tous qui disaient: «Si tu n’étais pas allé là, nous ne serions pas ici.» Que Dieu me permette de continuer le combat. Mais pour ce qui est de la mort, je n’ai plus... Ce serait une joie, ce serait un plaisir de quitter cette corruption et cette honte pour entrer là.

122 Si je pouvais former là-bas, un bloc carré de cent milliards de miles de haut, et ça, ce serait l’amour parfait. Et si à chaque pas dans cette direction-ci ça se rétrécissait, jusqu’à ce que nous arrivions là où nous sommes en ce moment, ça ne serait qu’une simple ombre de corruption. Ce petit quelque chose qui nous fait sentir et percevoir qu’il y a quelque chose quelque part; nous ne savons pas ce que c’est.
Oh! mes précieux amis, mes bien-aimés, mes chéris de l’Evangile, mes enfants que j’ai engendrés pour Dieu, écoutez-moi, moi, votre pasteur. Vous... J’aurais aimé avoir le moyen de vous expliquer cela. Il n’y a pas de mots. Je ne pourrais les trouver. Ils ne se trouvent nulle part. Mais juste au-delà de ce dernier souffle se trouve la chose la plus glorieuse que vous ayez jamais... Il n’y a pas moyen de l’expliquer. Il n’y a pas moyen, je ne le saurais vraiment pas. Mais quoi que vous fassiez, mes amis, mettez tout le reste de côté jusqu’à ce que vous ayez l’amour parfait. Arrivez-en au point où vous pouvez aimer tout le monde, tout ennemi, et tout le reste. Une seule visite là-bas a fait de moi un homme changé. Je ne pourrai plus jamais, jamais, jamais être le même frère Branham que j’étais.

123 Que les avions tanguent, qu’il y ait des éclairs, que les espions braquent leurs armes sur moi, peu importe ce que c’est, ça importe peu. Je vais continuer le combat, par la grâce de Dieu, pendant que je prêcherai l’Evangile à toute créature et à toute personne que je pourrai, en les persuadant pour qu’ils entrent, dans ce beau pays là-bas. Ça peut sembler dur; ça peut demander beaucoup d’efforts.

124 Je ne sais pas combien de temps il nous reste encore. Nous ne savons pas. Physiquement parlant le… d’après mon examen [médical] de l’autre jour, on m’a dit : «Il vous reste vingt-cinq bonnes années de vie rude. Vous êtes robuste.» Ça m’a réconforté. Mais, oh, ce n’était pas ça. Ce n’est pas ça. C’est quelque chose ici à l’intérieur. Il faut que ce corps corruptible revête l’incorruptibilité, que ce corps mortel revête l’immortalité.

125 Des fils de Kis peuvent s’élever. J’ai... Toutes les bonnes choses qu’ils font, je n’ai rien de mal à dire contre cela; ils donnent aux pauvres et aux oeuvres de bienfaisance. Et, souvenez-vous, eh bien, Samuel a dit à Saül: «Toi aussi, tu prophétiseras.» Et beaucoup de ces hommes-là sont de très puissants prédicateurs, qui peuvent prêcher la Parole comme des archanges. Mais cependant, ce n’était pas la volonté de Dieu. C’est Dieu qui devait être leur Roi. Frère, soeur, laissez le Saint-Esprit vous conduire. Courbons la tête un instant. J’ai vraiment le mal du pays, le cafard, et je veux voir Jésus;
J’aimerais entendre des cloches du port, le doux carillonnement;
Cela éclairerait mon sentier et dissiperait toutes les craintes;
Seigneur, laisse-moi regarder au-delà du rideau du temps.
Seigneur, laisse-moi regarder au-delà du rideau des chagrins et de la crainte;
Laisse-moi voir ce pays radieux où brille le soleil.
Cela affermirait notre foi et dissiperait toute crainte;
Seigneur, laisse-les regarder au-delà du rideau du temps.

126 Je suis convaincu, Seigneur, que si cette petite église, ce matin, pouvait seulement regarder au-delà du rideau… Il n’y avait aucune affliction parmi eux, il ne pourrait jamais y en avoir. Il n’y avait aucune maladie, il n’y avait rien d’autre que la perfection. Et il n’y a qu’un souffle entre ici et là, de la vieillesse à la jeunesse, du temps à l’Eternité, des soucis du lendemain et du chagrin d’hier jusqu’au temps présent de l’Eternité, à la perfection.

127 Je Te prie, ô Dieu, de bénir toutes les personnes qui sont ici. S’il y en a ici, Seigneur, qui ne Te connaissent pas de cette façon-là, dans l’amour... Et, en vérité, Père, nul ne peut entrer dans ce lieu saint sans ce genre d’amour-là: la nouvelle Naissance, après être né de nouveau. Le Saint-Esprit, Dieu, est amour. Et nous savons que c’est vrai. Même si nous transportons des montagnes par notre foi, si nous accomplissons de grandes oeuvres, mais sans cette chose, nous ne pourrons jamais monter sur cette grande échelle là, qui nous mène là de l’autre côté. Mais si nous l’avons, ça nous élèvera au-delà des soucis de ce monde.

128 Je Te prie, ô Père, de bénir les gens qui sont ici, et que chaque personne qui m’a entendu raconter cette Vérité, ce matin… et Tu m’en es témoin, Seigneur, comme Samuel autrefois: «Leur ai-je déjà dit quelque chose en Ton Nom qui n’ait pas été vrai?» Ils en sont les juges. Et je leur dis maintenant, Seigneur, que Tu m’as emmené dans ce Pays-là. Tu sais que c’est vrai. Et maintenant, Père, s’il y en a qui ne Te connaissent pas, que ce soit maintenant l’heure où ils diront : «Seigneur, place en moi le désir d’être selon Ta volonté.» Accorde-le, Père.

129 Et maintenant, avec vos têtes inclinées, voulez-vous lever la main pour dire: «Priez pour moi, Frère Branham afin que la volonté de Dieu s’accomplisse en moi.»

130 Maintenant, à l’endroit où vous êtes, avec beaucoup de douceur, pourquoi ne dites-vous pas au Père: «Ô Dieu, dans mon coeur, aujourd’hui, je renonce à toutes les choses du monde. Je renonce à tout pour T’aimer et Te servir toute ma vie. Et, à partir d’aujourd’hui, je Te suivrai, en me conformant à chaque passage de Ta Bible.» Si vous n’avez pas été baptisé selon le baptême chrétien: «Je le ferai, Seigneur. Si je n’ai pas encore reçu le Saint-Esprit...» Vous le saurez quand vous L’aurez reçu. Il vous donnera – Il vous donnera l’assurance et l’amour qu’il vous faut. Oh! vous avez peut-être fait plusieurs... eu des sensations, par exemple, vous avez peut-être crié ou parlé en langues, ce qui est très bien, mais si cet amour divin n’est pas là... Croyez-moi maintenant.

131 Dites: «Seigneur, place dans mon coeur et dans mon âme la portée de Ton Esprit, afin que je puisse aimer, honorer et avoir aujourd’hui dans mon coeur cet amour divin, qui m’emportera dans ce pays quand mon dernier souffle me quittera.» Pendant que nous prions, priez donc vous aussi. Priez à votre propre manière. Demandez à Dieu de le faire pour vous. Je vous aime. Je vous aime, vous les précieux hommes aux cheveux gris qui êtes assis ici, vous qui avez travaillé dur pour nourrir des petits enfants. Vous, les braves vieilles mamans, qui avez essuyé les larmes de leurs yeux. Laissez-moi vous rassurer, chère soeur, ce n’est pas comme ça avec cet autre souffle, de l’autre côté. Je crois que ça se trouve dans cette salle, absolument. Ce n’est qu’une dimension dans laquelle nous vivons; ça ce n’est que la corruption dans laquelle nous vivons maintenant. «Mets en Moi, Seigneur, le désir d’être selon Ta volonté.» Priez pendant que nous prions ensemble.

132 Respectueusement, Seigneur, sur base de Ta Parole et de Ton Saint-Esprit, nous sommes si heureux de connaître la provenance de notre Naissance. Nous sommes heureux d’être nés, non par la volonté de l’homme, ni par la volonté de la chair, mais par la volonté de Dieu. Et nous prions aujourd’hui, Père, pour ceux qui demandent maintenant la grâce de Ton pardon, que Ton Esprit fasse cette oeuvre, Seigneur. Moi, je n’ai aucun moyen de le faire. Je ne suis qu’un homme, un autre fils de Kis. Mais nous avons besoin de Toi, le Saint-Esprit. Ô Dieu, que je sois comme Samuel, quelqu’un qui annonce la Vérité de la Parole. Et jusqu’ici Tu as confirmé qu’il en était ainsi, et je crois que Tu continueras à le faire tant que je Te resterai fidèle.

133 Qu’ils reçoivent tous la Vie Eternelle maintenant, Père. Qu’ils n’oublient jamais ce jour. Et quand viendra leur heure de quitter ce monde, que ce que je viens de leur raconter devienne réalité. Et pendant que nous sommes assis ici, en tant que mortels aujourd’hui, nous regardons notre montre, nous pensons à notre dîner, au travail de demain, aux soucis et aux labeurs de cette vie; mais il n’en sera plus ainsi à ce moment-là. Tout cela disparaîtra. Il n’y aura plus de soucis, mais une grande joie pour l’Eternité. Donne-leur ce genre de Vie, Père. Et que... Je Te demande ceci, Père : que chaque personne qui est ici ce matin qui m’a entendu raconter cette vision, que je puisse rencontrer chacune d’elles de l’autre côté. Bien qu’il y ait peut-être des hommes ici qui ne soient pas d’accord avec moi, et des femmes aussi, mais, Père, que cela ne nous fasse jamais obstacle. Puissions-nous les rencontrer là-bas, alors qu’ils courront, eux aussi, et que nous nous étreindrons en criant: «Notre précieux frère!» Qu’il en soit tel que ç’a été montré là, Seigneur, pour chacun. Tous ceux que j’ai aimés et tous ceux qui m’ont aimé. Je prie qu’il en soit ainsi, Seigneur. Et je les aime tous. Qu’ils soient présents, Père. Je leur offre maintenant la Vie Eternelle. Puissent-ils faire leur part de l’accepter. Car je le demande au Nom de Jésus. Amen.

134 Il nous reste seulement quelques instants pour prier pour les malades. Je vois qu’il y a parmi nous une petite fille malade ici, et une dame dans un fauteuil roulant. Maintenant, à vous mes très précieux frères et soeurs. Je vous en prie, ne me comprenez pas mal. Je – je ne sais pas ce qui s’est passé. Je ne sais pas ce qui s’est passé. Mais, ô Dieu, quand je mourrai, permets-moi de retourner là…? … Laisse-moi simplement retourner à cet endroit-là, c’est là que je veux être, peu importe où c’était. Je ne cherche pas à être un Paul, qui a été ravi jusqu’au troisième Ciel. Ce n’est pas ce que je dis. Je crois qu’Il cherchait seulement à m’encourager, Il cherchait à me donner un petit quelque chose pour me pousser à continuer à avancer dans mon nouveau ministère qui vient.

135 Est-ce que vous trouverez discourtois que je lise quelque chose ici un – un petit instant? Serait-ce en ordre? L’un des magazines importants du pays… Billy Graham: «Les musulmans invitent le Dr Billy Graham.» A la une de l'Afrikaans Times du 15 février 1960. L’auteur de cet article, qui était un – un mahométan, est d’avis que les miracles devraient accompagner la prédication de l’Evangile de Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Nous citons:
C’est ce que Christ a promis à Ses disciples, quand il a dit: «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais; il en fera même de plus grandes.» L’église a-t-elle déjà fait les oeuvres que... les – les attributs de Christ, de la Bible; le peut-elle aujourd’hui? Y a-t-il une parmi ces églises de marque qui puisse accomplir même la moitié des miracles accomplis par Christ? Sans parler des oeuvres plus grandes. Vous, en tant qu’une personnalité réputée, un défenseur du christianisme, pouvez-vous ressusciter... ramener les morts à la vie physique? Pouvez-vous marcher sur les eaux? Pouvez-vous guérir les malades et redonner la vue aux aveugles? Ces choses ne sont-elles pas conformes à l’erreur mentionnée plus haut et exposée par les mahométans? Ou expo-... ou par ce test que Christ a donné, qui suit selon les affirmations qu’on peut trouver dans votre croyance?
Il est clair que la plupart des déclarations de l’article de ce musulman sont inexactes l’une après l’autre. Elles discréditent ce musulman, mais il avait raison. Voici ce qu’il fallait dire:
Voici la meilleure réponse, pour ceux qui lisent la Bible et qui connaissent le Coran: Le Coran soutient que le... a soutenu la comparaison. La prétention selon laquelle le mahométisme surpasserait et devancerait le christianisme, est absolument a-m-p-o-u-l-é-e (ampoulée, je suppose), imaginaire. L’auteur a toutefois touché un point capital, selon lequel les miracles appartiennent à l’église. Mais encore là, nous doutons de la sincérité de l’auteur, en effet, qui pourrait montrer du doigt, qui pourrait contester les miracles qui ont été faits par le révérend William Branham devant les musulmans en Afrique du Sud, lorsque dix mille d’entre eux ont reçu Christ comme leur Sauveur, sous le ministère de William Branham, à Durban, en Afrique du Sud, et ailleurs à travers le monde; ou de T. L. Osborn, en Afrique orientale. Evidemment, nous soutenons Billy Graham à cent pour cent. Nous avons discuté le sujet dont il est question, il est sans va-... Ce sujet dont il est question est sans valeur.

136 Mais malgré tout ça, il m’a dit… Il disait que nous étions des fanatiques, que nous ne savions pas ce que nous faisions. Ils ont dû en témoigner dans leur propre journal, que Dieu l’a fait de toute façon. Dieu est Dieu aujourd’hui, tout autant qu’Il l’a toujours été. Vous ne pensez peut-être pas qu’ils n’y croient pas, qu’ils ne le voient pas. Ce n’est pas caché; ce n’est pas fait dans un coin. Des centaines de milliers de gens étaient assis là et ont regardé. Quand ils ont vu ce garçon infirme et estropié s’avancer et le Saint-Esprit lui révéler les choses sur sa vie et tout, et ce qui est arrivé là; on a vu dix mille musulmans se prosterner, la face contre terre, et accepter Jésus-Christ comme leur Sauveur personnel.

137 Nous avons encore des T. L. Osborn et d’autres personnes, qui donnent encore de la nourriture aux brebis. Je pense que Frère Osborn n’est pas encore allé parmi les musulmans. Ils prétendent être très prédominant. Mais nous avons encore un Dieu qui peut délivrer la brebis des griffes du lion, qui peut délivrer la brebis des griffes de l’ours. Et ça m’a fait du bien de voir qu’ils ont été forcés de l’écrire et de le reconnaître, alors qu’ils pensent qu’ils ne le font pas. Ils s’éloignent, ils y tournent le dos en disant: «Oh, ces jours-là, c’est du passé.» Les musulmans disent: «Ah! ils... toute la Bible est donc du passé. Vous êtes complètement dans l’erreur. Vous adorez un Homme. Un Homme qui est mort, dont le Nom était Jésus, et qui est mort il y a bien des années; et Il n’est pas ressuscité.» Absolument pas. Mais ils ne pouvaient pas dire ça à la réunion de Durban.

138 Il était là, faisant les mêmes choses qu’Il avait faites et Il le leur a prouvé. Maintenant, même les – les dénominations sont forcées de revenir... La personne même qui m’avait écrit pour me dire qu’il me faudrait me rétracter sur mon enseignement de la Bible, c’est la même personne qui a dû écrire ça dans leur journal. Dieu va les obliger à Le louer quand même, de toute façon. C’est exact. Il va les obliger à Le louer de toute façon.

139 Il y a une petite fille malade assise la. C’est votre enfant? Quel est son problème, soeur? Ma dame? [La soeur dit: «Une hémorragie cérébrale.» – N.D.E.] Une hémorragie cérébrale. [Frère Branham converse avec la mère de l’enfant malade.] Non, ils sont… En tout, quatre ans? Oh! il vient de Maringo ou de quelque part là-bas? De Peoria. Est-ce la fille que vous…?... Il n’y a qu’une chose, maman, qui peut... qui va sauver cette petite fille, c’est Dieu. Vous le savez. [La maman dit: «Elle va beaucoup mieux maintenant.»] Je suis vraiment content de ça. Etes-vous allé prier pour elle, Frère Neville? [Frère Neville dit: «Oui, monsieur.»] Depuis que frère Neville est allé prier pour elle, elle va mieux. Il y a encore des bergers qui savent ce qu’est la nourriture de brebis.

140 Quel est votre problème, ma chère soeur, assise dans le fauteuil roulant là-bas? Le vôtre? Le cancer. Eh bien, si je vous demandais simplement quelque chose, peut-être qu’ici même... Combien de gens ici ont été guéris par… du cancer? Levez la main. Regardez, soeur. [La soeur dit quelque chose. – N.D.E.]

141 C’est Dieu qui est le Guérisseur. Ça, nous le savons. Si je vous disais que je peux descendre là et débarrasser cette petite fille de cette hémorragie et la guérir, je vous dirais quelque chose de faux; ou que je peux débarrasser cette femme du cancer. Mais je sais une chose: un jour, il y avait un ours, un cancer, une tumeur, une cécité, et même la mort, qui s’était saisi de quelques-unes des brebis de Dieu. Je me suis avancé avec la puissance de Dieu, et je l’ai tué, et j’ai ramené cette brebis. C’est exact. Aujourd’hui nous nous avançons, non pas avec telle et telle grande chose, je m’avance avec une simple petite fronde de la prière. C’est elle qui va la ramener. Vous croyez ça, n’est-ce pas, soeur? Vous aussi, vous le croyez, n’est-ce pas, soeur? Combien d’entre vous le croient, de tout leur coeur maintenant? Maintenant, inclinez la tête pendant que je vais aller prier. [Frère Branham descend de l’estrade pour prier pour les malades. – N.D.E.] Très bien.
Bien-aimé Père, il y a une belle jeune femme qui est couchée ici qui ne pourra plus jamais marcher ni se déplacer, à moins que Tu lui viennes en aide. L’ennemi l’a attrapée, elle est au-delà de la portée de tout médecin. L’ennemi l’a tirée d’un coup sec au point où elle s’est retrouvée loin là-bas dans un sphère où même le médecin ne pouvait rien faire. Mais elle n’est pas hors de ta portée, Seigneur. Elle est juste à l’endroit où Tu peux l’atteindre de Ta main. Sur base de la Parole de Dieu, j’impose mes mains à la – la jeune femme et je condamne cette hémorragie cérébrale; au Nom de Jésus-Christ, ramène-la de nouveau à l’état d’une femme normale. Elle vivra pour la gloire de Dieu. Qu’elle soit guérie, qu’elle entre dans cette église et en ressorte comme le font les autres après T’avoir connu. Rendez gloire à Dieu. Qu’il en soit au… de Jésus-Christ.

142 Comme l’assouplissement de ses cheveux, quelques tours en plus, et elle se retrouverait là dans ce pays où j’ai vu…?... pour ne plus vieillir mais jeune, alors que ses bien-aimés seraient assis là à pleurer, et ils l’aiment. Un grand ennemi, un lion épouvantable de cancer, s’est saisi d’elle et l’a tirée d’un coup sec hors de la portée du médecin. Ô Dieu, je viens à sa rescousse. Et je – et je viens pour la ramener. Je tue le lion…?... au Nom de Christ invisible dont je suis l’ambassadeur. Que cela la quitte, qu’elle soit guérie et qu’elle vive encore pendant plusieurs années pour l’honneur et la gloire de Dieu en Jésus-Christ notre Seigneur. Amen.
Notre Père céleste, non pas maintenant comme avec une grande armure, non pas avec une lance polie, comme Tu l’as dit…?... Je m’avance-là. Mais avec cette petite fronde ordinaire de la foi, je viens pour cette âme et ce corps dont l’ennemi, ce cancer s’est saisi et qu’il a emmené hors de la portée des médecins, mais je m’avance ce matin, Seigneur, pour la ramener aux verts pâturages ombragés et aux eaux paisibles. Au Nom du Triomphateur Jésus dont je suis l’ambassadeur, avec la foi infaillible, je crois qu’elle sera ramenée par la puissance de cette prière. Et qu’il en soit ainsi au Nom de Jésus…?... Je pense qu’il y a un service de baptême juste en ce moment.
Je vous prie de lever la tête juste un instant. Le pasteur vient de me dire que ces gens sont très, très malades. Ils se rétabliront. Seulement, ne... Ça va bien. La promesse de Dieu ne faillit jamais. Nous allons à leur rescousse.

143 Ils ont un service de baptême ce… Certaines personnes doivent partir. Nous aurons une autre réunion ce soir. Y a-t-il quelqu’un ici qui ne pourra pas venir ce soir, et qui voudrait qu’on prie pour lui maintenant? Quelqu’un qui ne pourra pas être là ce soir. Alors, voulez-vous venir ici? Vous qui ne pourrez pas revenir ce soir. J’aurai plus de temps pour faire une ligne de prière ce soir. Il faut qu’on baptise ces gens. [Frère Branham parle avec quelqu’un. – N.D.E.] Vous avez un petit garçon, là... Oui, frère. Merci beaucoup. Est-ce que ce serait bien que je lise ça un peu plus tard, ou…? Merci, monsieur.

144 Maintenant, si vous voulez nous accorder encore ne fût-ce qu’une ou deux minutes, nous... Ensuite, nous aurons le – le service de – de baptême. Je sais que vous voudrez voir ça. Et pour ceux qui désirent être baptisés ce matin, eh bien, vous... Que les dames aillent se changer de ce côté-ci, et les hommes de ce côté-là. Et puis, pendant que je prierai pour ces gens qui sont malades, vous pourrez alors vous préparer pour le service de baptême. Et maintenant, pour ceux qui...

145 Maintenant, ce soir, je vais m’efforcer de faire une – une petite ligne de prière, ce soir, sans tarder aussi tôt que j’arriverai. Et nous allons commencer par le 1er chapitre de l’Epître aux Ephésiens ce soir. Nous serons donc très heureux de vous avoir avec nous, si vous n’avez pas d’église où aller. Mais si vous avez votre pasteur et votre église à vous, alors allez – allez à votre chère église, celle que vous soutenez. Si vous qui devez partir, vous allez partir maintenant, que Dieu vous bénisse. Revenez parmi nous quand vous le pourrez. Nous serons heureux de vous avoir parmi nous. [Frère Branham parle à quelqu’un. – N.D.E.] Doit-on prier pour vous ici?…?... Maintenant, les autres, veuillez incliner la tête un instant, nous voulons prier.

146 Père, je Te remercie aujourd’hui pour la petite fronde du berger, la prière, qui a fait tomber le lion à genoux, et le petit agneau lui a été arraché et a été ramené à sa maman et à son papa. Je prie pour notre frère. Je Te demande de le ramener, lui aussi, en sûreté, Seigneur. Que la tension artérielle et ses problèmes physiques disparaissent. Je vais à sa rescousse, Seigneur, pour le ramener. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il en soit ainsi. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère.

147 En descendant, je vois un autre petit garçon aveugle. J’aimerais dire une autre chose. J’étais très malade. Je vomissais. Et j’ai pensé... Je ne voudrais pas que vous manquiez ceci, si vous pouvez. J’ai pensé: «Ô Dieu, que donnerais-je si l’on m’apprenait qu’il y a quelqu’un qui t’attend dehors.»

148 Mon épouse dirait: «Billy, il y a un monsieur âgé qui veut te voir.» Et un petit homme chauve, avec une barbe grise recouvrant son visage, arriverait.
Il entrerait et dirait: «Etes-vous Frère Branham?»
Je dirais: «Oui, monsieur, c’est moi.»
– Je m’appelle Simon.
– Il poserait sa main sur moi, il me regarderait pendant un instant et dirait:
«Etes-vous un croyant, Frère Branham?»
– Oui.
– Tout ira bien.
Le Simon Pierre de la Bible... Combien j’apprécierais cela! Il n’aurait pas à dire grand-chose, il n’aurait qu’à poser sa main sur moi, et tout irait bien.

149 Et alors, voici ce qui m’est venu à l’esprit: Avec l’aide de Dieu, et par la grâce de Dieu, il y a des dizaines de milliers de gens qui croiraient la même chose si j’allais vers eux. Alors je me suis dit: «Seigneur, permets-moi donc d’aller vers tous ceux que je peux. Permets-moi seulement – seulement...» Je me disais que si Simon pouvait seulement... si Paul, si certains d’entre eux, pouvaient seulement entrer, et dire : «Est-ce vous Frère Branham?»
– Oui.

150 Ils m’imposeraient leurs mains, ils me regarderaient et diraient: «Très bien, Frère Branham», et ils repartiraient, tout simplement et je serais guéri. Je me porterai bien. Certainement. Je me suis dit: «Mon gars, je reprendrai courage tout de suite.» Je dirais: «Je me porterai bien.» Oui, oui. Et il y a des gens qui croient cette même chose aujourd’hui. Et je descends maintenant ici pour faire cela: pour vous imposer les mains, et implorer Dieu. [Frère Branham continue à prier pour les malades. – N.D.E.]

152 J’aimerais aller vers ce petit garçon, soeur, juste dans un instant, ce petit garçon aveugle. Depuis quand est-il aveugle, soeur? Depuis sa naissance. Bonjour, petit garçon. Oh! tu n’es pas…?... Eh bien, juste une minute.
Ô Dieu bienveillant, au-delà de la portée des médecins, à la naissance de ce petit garçon, étant né aveugle, il ne voit pas, ce beau et charmant petit garçon… Et avant que le petit ami ait une chance dans la vie, l’ennemi l’a tiré d’un coup sec au-delà de la portée des médecins. Mais je vais immédiatement à sa rescousse ce matin, Seigneur. Cette petite fronde de la prière…?... Permets que je le ramène, ô Dieu. Et j’affronte l’ennemi, le démon, au Nom de Jésus-Christ, et je réclame ce garçon pour Dieu. Je réclame sa vue pour Dieu, je lui rends ce que Satan lui avait arraché. Puisse-t-il la recouvrer au Nom de Jésus-Christ, il en sera ainsi. Eh bien, qu’il en soit ainsi.
Eh bien, ma chère soeur, maintenant n’aie pas le moindre doute, car ce petit garçon se portera bien. J’aimerais que tu le ramènes ici à l’église pour montrer aux gens qu’il voit…?... je lui rends sa vue au Nom de Jésus-Christ…?...

153 Oui…?... Seigneur Jésus…?... ce petit enfant pour qui nous avons offert beaucoup de prières, mais ce matin, je viens encore au Nom de Jésus-Christ, portant cette petite fronde que Tu m’as donnée; Tu m’as aidé avec ça, Seigneur, par Ta puissance à arracher le… de la gueule de…?... de la gueule de la mort elle-même, Tu as ressuscité des gens qui étaient raides morts et froids après qu’ils ont été déclarés morts. Je poursuis cet ennemi au Nom de Jésus-Christ. Ainsi, redonne-lui encore la bonne santé. Accorde-le; qu’il en soit ainsi pour la gloire de Dieu.
Et on doit prier pour vous… Etes-vous une croyante? Seigneur, je l’amène à la portée de cette petite fronde, au Nom de Jésus-Christ que cette maladie la quitte et qu’elle ne revienne plus jamais. Amen…?...
Eh bien, cette même petite fronde qui est partie et a atteint ce coeur-là, et pour ta fille, et…?... Bien-aimé Père céleste, je poursuis l’ennemi en utilisant cette petite fronde que Tu m’as donnée, car Tu as dit: «Si tu amènes les gens à te croire et si tu es sincère quand tu pries…?...» Va maintenant alors que je l’envoie vers sa requête. Qu’il en soit ainsi au Nom de Jésus-Christ. Amen…?...

154 Très bien, soeur. Eh bien, nous sommes… Les nerfs sont au-delà de la portée des médecins. Ils pourraient te donner quelque chose pour vous calmer un peu, mais cela ferait empirer votre cas après…?... Maintenant écoutez, nous allons sortir après ceci ce matin. Nous allons sortir, en ramenant cela. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]
Seigneur Jésus…?... Je…?... Cinq…?... petites pierres, la f-o-i, dans la fronde de la prière, et je ramène ma soeur en l’arrachant des griffes de cette nervosité…?... des médecins…?... Je la ramène à la paix, aux pâturages ombragés et aux eaux paisibles; et je fais ceci au Nom de Jésus-Christ. Amen…?...
Très bien. Il ne s’agit pas d’une dystrophie musculaire. Dieu notre Père, cette petite fille, nous sommes si heureux que ce ne soit pas une dystrophie musculaire; mais peu importe ce que c’est, c’est toujours à Ta portée, Seigneur, et je viens avec cette petite pierre de la foi, dans cette fronde…?... Et je presse cette pierre de toutes mes forces pour la lancer; au Nom de Jésus-Christ, qu’elle atteigne la cible. Que notre petite soeur soit guérie. Je fais ceci au Nom de Jésus-Christ…?...

155 Comme cette jeune mère et son petit enfant, un petit enfant qu’elle veut rencontrer là-bas de l’autre côté dans ce glorieux pays dont je viens de parler. Et ils… La mère ne vivra pas assez longtemps pour élever ce petit enfant. Et le petit enfant ne peut non plus vivre longtemps sans Ton secours, mais je viens avec cette fronde, avec toute la force possible pour frapper l’ennemi. Au Nom de Jésus-Christ, je lui lance ceci. Ils se porteront bien pour la gloire de Dieu, au Nom de Jésus. Amen…?...
Oh! eh bien, c’est vraiment agréable. Je suis vraiment dans la joie, car ce ministère en ce temps-là, c’était un grand ministère qui leur indiquait…?... Son cas va-t-il s’empirer? Notre Père céleste, Satan a tiré d’un coup sec cette petite mère-là au-delà de la portée des médecins. Ils peuvent simplement administrer un médicament comme cela, Seigneur, un médicament qui ira simplement dans tout son corps, mais qui fera qu’elle sache à peine où elle se trouve; et puis, quand elle aura terminé, son état sera pire. Mais, je viens avec cette fronde de la foi, avec une pierre dirigée tout droit vers la cible. Au Nom de Jésus-Christ, j’enlève d’elle cette nervosité pour la gloire de Dieu.

156 Dieu bien-aimé, Frère George qui était étendu là mourant, il n’y a pas longtemps, a vu ce que la foi a fait pour lui. Maintenant, il a le rhumatisme, Seigneur. Il réalise qu’on pourrait lui donner la cortisone ou un produit qui pourrait un peu calmer la douleur, mais cela n’ôtera pas la chose; ainsi nous offrons cette prière au Nom de Jésus-Christ; que le rhumatisme s’en aille. Qu’il rentre chez lui et qu’il soit guéri. Merci beaucoup…?...
Bonjour. Oh! la la! Oui, madame. Avez-vous entendu tout cela? Juste au-delà de la portée des mortels. Croyez-vous au Seigneur Jésus? Je vois une belle femme là-bas…?.... Vous redeviendrez jeune pour toujours. Je sais que vous voulez vivre maintenant pour Sa gloire. Allez vite vers le – l’autre…?... Votre fils… Ne pouvez-vous pas le retrouver? Oh! il ne peut être…?... accablée de chagrin, je vois.
Chère soeur, j’aimerais que vous compreniez…?... ici. Est-elle ici pour…?... Très bien, dites-le lui. Eh bien, elle vous dira ce qui arrive juste au-delà de votre souffle; ce précieux garçon vous attend. Vous serez jeune comme lui…?... juste…?...
Bien-aimé Père céleste, la course de la vie a été effectuée. Il ne reste plus grand-chose; et son petit garçon est simplement de l’autre côté de la rivière. Il peut seulement regarder derrière…?... Juste…?... Elle attend que le bateau…

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