La Parole immuable de Dieu (Dieu tient sa parole)

Date: 60-0724 | La durée est de: 2 hours | La traduction: Shp
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1 Vous pouvez vous asseoir. Nous sommes très reconnaissants que le Bon Seigneur nous ait accordé une soirée fraîche pour ce service. Le temps est nuageux, on annonce des orages pour ce soir, mais c’est une belle soirée où il fait frais. Nous remercions le Seigneur pour cela.
Je suis très reconnaissant pour ce que notre Seigneur a fait pendant cette petite série de réunions de cinq jours, ici à Lakeport, et pour la belle communion fraternelle que nous avons appréciée, mes amis, mes associés et moi-même, pour votre précieuse collaboration, votre amour, vos dons et votre soutien. Nous n’avons simplement pas de mots pour exprimer ce que nous pensons de cela.
A mon arrivée, j’ai posé la question aux garçons (les huissiers étaient là derrière, occupés à compter le – l’offrande du soir), et je leur ai simplement demandé, afin que je sache avec certitude s’il y avait suffisamment d’argent pour payer toutes les factures. Et ils ont dit que c’était suffisant. Alors, tous mes remerciements pour votre soutien. Et ils ont dit qu’il en restait suffisamment, de sorte qu’ils ont prévu une – une offrande d’amour pour les missions à l’étranger. Que Dieu vous bénisse pour cela. Un jour, il se peut que vous ne le voyiez pas ici, mais un jour, dans l’autre pays, si Dieu m’aide à retourner outre-mer, vous verrez que ces âmes qui auront été sauvées seront mises sur votre compte. Peut-être que vous, vous n’êtes pas appelés à y aller, mais vous pouvez aider quelqu’un qui est appelé à y aller. Et, ensemble, on va partager les récompenses dans la gloire.

2 Et quand vous verrez là-bas, comme j’en ai eu la vision... Et vous verrez ce – ces gens venir vers vous, là où toutes choses sont rendues parfaites, jeter leurs bras autour de vous et dire : « Précieux frère, si vous n’aviez pas apporté votre aide ce soir-là pendant la réunion, frère Branham n’aurait pas pu partir et je n’aurais pas été sauvé. Mais parce que vous avez aidé... » Eh bien, quel bien l’argent vous ferait là-bas ? Vous voyez ?
Je sais donc que c’est un sacrifice. C’est – c’en est vraiment un, parce que les temps ne sont pas favorables comme autrefois. Mais – mais je vous assure, mes amis, si seulement vous pouviez voir ce qu’il y a comme conditions outre-mer. Chaque Américain, même s’il est un mendiant dans la rue, il est un millionnaire par rapport à certains de ces gens-là. Vous ne vous rendez pas compte combien ces gens sont pauvres, en Inde et ailleurs. Ce sont les plus pauvres parmi les pauvres. Quand je vais là, le soir, j’en vois transportant ces gens sur ces… juste un truc blanc, un drap ou de la toile sur eux ; on les amène jusqu’à un grand four et on les déverse dedans. On ne sait pas qui ils sont. Ils sont morts juste dans la rue, des mendiants. Et il n’y a pas de Jean 14 de l’autre côté, ni de beaux cantiques chantés, ni de fleurs, ni de services funèbres. Non, pour eux c’est tout simplement la meilleure façon de faire, les incinérer, se débarrasser d’eux ; c’est tout. Et ces gens sont donc des personnes pour qui Jésus est mort. Et ils ont tout autant que nous le droit de connaître Dieu.

3 Quand, de retour chez moi, je regarde et vois les grandes et belles églises ainsi que – ainsi que les gens bien habillés, et – et nous... Et ensuite, je vais là-bas et je regarde et je vois ces pauvres petits gars étendus là, mourant de faim, sans même avoir jamais su qu’il y a un Dieu. Et quand vous dites : « Un Dieu... », ils disent : « Quel Dieu ? » Des milliers d’entre eux, vous savez. Ils ne savent donc pas. Et alors, leur remettre juste un pamphlet ou leur parler d’un autre Dieu, cela ne marchera pas. Les missionnaires s’en sont rendu compte. Cela ne marchera pas. Ils doivent voir quelque chose de visible, quelque chose qu’ils peuvent palper.
Je parlais récemment dans une réunion des Kiwanis où j’intervenais. Et il s’est fait que l’homme qui m’a ordonné dans l’Eglise missionnaire baptiste était présent. Je venais de rentrer d’Afrique. Et je lui parlais. J’ai dit... Je parlais des conditions en Afrique et de leur économie qui était équilibrée et – et… déséquilibrée plutôt, et de la façon dont les – les autochtones se démènent... Et je lui ai dit qu’il y aurait un soulèvement, aussi sûr que le monde… Le parti communiste est en train de s’introduire là et de susciter la chose, il y aura donc un soulèvement. Et, ainsi... Et je... le ressentiment que j’en ai eu, et je parlais des tribus, des tribus indigènes...

4 Et j’ai décrit le petit Bochiman, et les – les autres, et comment ils mangeaient tout ce qu’ils pouvaient trouver, peu importe si cela contenait des vers. Cela constituait simplement de la viande en plus, cela ne les dérangeait donc pas.
Ainsi donc... Et ces moustiques qui s’accrochaient à leurs jambes, ce sont des moustiques vecteurs de la malaria. Pas ce genre qui bourdonne tout autour et qui dit : « Tu es mon cousin », vous savez, et qui vous enfonce son stylet. Eux ne sont pas hypocrites ; ils se promènent simplement là et vous attrapez la malaria. Mais cela ne leur fait pas de mal ; ils ont développé une inoculation au fil des années.
Et j’ai dit : « Eh bien, si un seul tombait sur nous, nous mourrions. » Si on survivait, on aurait la malaria pendant au moins quinze ans. Et si jamais vous voyez quelqu’un qui fait la fièvre de la malaria, vous n’en voudrez certainement pas. Vous perdez connaissance pendant des jours et des jours, vous entrez dans le coma et tout, et puis… C’est très dur.

5 Puis j’ai alors dit, en mangeant... Et un médecin était assis là. Et il a dit : « Révérend Branham, a-t-il dit, ces gens ne sont pas des êtres humains, vous voyez ? »
J’ai dit : « Oh ! excusez-moi, docteur. » J’ai dit : « Ils sont des êtres humains tout autant que vous et moi. » Absolument. J’ai dit : « La seule chose est que nous, nous possédons tout et nous les privons de cela. » Et j’ai dit : « Donnez-moi... La tribu la plus sauvage d’Afrique, ce sont les bochimans. Eux-mêmes, ils ne savaient même pas que ces gens étaient des êtres humains. »
Le gouvernement anglais a découvert… Savez-vous comment ils ont découvert que c’étaient des êtres humains ? Ils ont couru à un petit endroit, comme un petit tas de buissons, vous savez, et ils ont commencé à le secouer comme cela, et il n’y avait rien. Ils ont regardé tout autour ; tout avait disparu. Ils ont regardé dans le sable, des petites têtes noires bougeaient comme ceci. Ils s’étaient enfouis dans le sable, surveillant pour voir quelle direction ils prenaient.
Et le seul moyen par lequel ils ont su que c’étaient des êtres humains, il y a beaucoup d’années... Le premier moyen par lequel ils ont compris que c’étaient des êtres humains... Voulez-vous savoir comment ils l’ont su ? Ces gens avaient des chiens. Le chien n’habite qu’avec l’homme. Il ne vit qu’avec un homme. Et c’est de cette manière que le gouvernement anglais a su qu’ils étaient des êtres humains.

6 Eh bien, donnez-moi un de ces petits garçons qui vient de naître, quand il n’a que deux jours ou six mois. Laissez-moi l’avoir, un petit bochiman. Il ne connaît pas son père, ni sa mère, ni personne de sa tribu, il ne sait rien d’autre que tuer et manger... Et à dix-huit ans, il sera intelligent, instruit, habile au possible. Voyez-vous ? Il a un esprit ; il peut réfléchir ; il a une âme. Mais vous pouvez injecter tout ce que vous voulez dans un animal, vous ne l’amènerez jamais à réfléchir. Il ne peut pas réfléchir ; il n’a pas d’âme. Mais lui est un être humain.
Alors, quand ils ont dit cela, ils m’ont en quelque sorte marché un peu sur les pieds, parce que Jésus est mort pour sauver ce petit bochiman, de même qu’Il est mort pour me sauver. Et c’est mon devoir, c’est notre devoir de veiller à ce qu’il reçoive l’Evangile. Dieu va nous en tenir responsables, si nous ne Le lui apportons pas. Oui, oui. Dieu nous le redemandera. Vous savez, si la sentinelle sur la muraille n’avertit pas, alors le sang lui sera redemandé.

7 Et alors, le docteur... Nous parlions un peu. Eh bien, et un ministre s’est levé, et il a commencé à parler de la… de ses missions là-bas. Et c’est lui qui avait dit que je finirais par devenir un saint exalté.
Et j’ai dit : « Docteur, vous savez qu’il y a quelques années, vous m’avez dit, le soir où j’ai vu cet Ange là-bas, vous m’avez demandé si je n’avais pas mangé du poivron rouge et si je n’avais pas fait un cauchemar. » Et j’avais dit : « Si c’est ça l’attitude de l’Eglise baptiste, je cesse de communier avec elle maintenant même. » Voyez-vous ? J’avais dit : « Puisque c’est Dieu qui a appelé, il en sera ainsi. »
Il avait dit : « Toi, avec ton instruction du niveau primaire, aller apporter l’Evangile outre-mer, alors qu’il y a des milliers de missionnaires qui connaissent la diplomatie ! »
Et – et j’avais dit : « Peu m’importe ce qu’ils ont, c’est Dieu qui m’envoie. »
Et il avait dit : « Comment vas-tu t’y prendre ? »
J’avais dit : « C’est à Dieu de le faire ; pas à moi. Cela Le concerne. Je vous dis simplement la vérité. »
Et j’ai dit : « Vous souvenez-vous de cela, monsieur ? » J’ai dit : « J’aimerais que vous le sachiez. J’ai rencontré nos missionnaires là-bas. Je vais vous dire ce qui en fait la force. Voici venir un autochtone portant une idole de boue sous son bras et il porte une étiquette : un chrétien. » J’ai dit : « C’est quoi ça ? »
Sidney Smith, le maire de Durban, a dit : « Je parle la langue de celui-là. » Il a dit : « Il porte une étiquette montrant qu’il est un chrétien, tout en portant une idole en boue, aspergée du sang d’un animal. » Il a dit : « Posons-lui la question. » Il a dit : « C’est un Shungi. Je parle la langue Shungi. »
J’ai dit… Il a dit : « Appelez-le par n’importe quel nom. » J’ai dit : « Thomas (Je pensais que ce serait un bon nom.)..., j’ai dit : ‘Thomas, es-tu chrétien?’ »
« Oh, ouais, ouais. » On a parlé dans sa langue, on a interprété... Il est un chrétien.
J’ai dit : « Pourquoi portes-tu cette idole ? »
« Oh, fit-il, si – si amoya (‘Amoya’ veut dire ‘une force invisible, comme le vent’.)... Si amoya faillit, le dieu invisible, celui-ci ne faillira pas. » Et c’est un chrétien, vous savez. « Celui-ci ne faillira pas. »
Et je – et j’ai dit : « Eh bien, comment le sais-tu ? »
Il a dit : « Eh bien... » Son papa portait la même idole. Et un jour, il était poursuivi par un lion. Et il s’est assis, il a fait un petit feu, et il a récité la prière que le sorcier lui avait apprise. Le lion s’est enfui.
Et je – j’ai dit : « Je chasse le lion. Et je sais une chose, c’est que tout animal a peur du feu. Ce n’est pas la prière du sorcier qui l’a fait fuir ; c’est le feu qui l’a fait fuir. Il a peur du feu. »
« Oh, soit! Il pourrait d’abord s’amuser sans risque tout en portant quand même cela. » Voyez ? C’est cela le christianisme.

8 Allez là-bas, et il y a tant de missionnaires, quand ils les amènent, ils les mettent dans la mine de diamant, à mille sept cent pieds [environ 518m. – N.D.T.] sous terre, pour liquider leurs impôts. Quand ils en sortent, il leur faut danser de temps en temps, vous savez. Quand ils exécutent une danse, les missionnaires descendent et distribuent des tracts à un homme qui ne sait pas distinguer la main droite de la main gauche. Ouais.
J’ai dit : « Que s’est-il passé ? Avec ce que vous appelez fanatisme, que vous avez traité de saint exalté, j’en ai vu trente mille briser leurs idoles par terre et recevoir Jésus-Christ, les femmes nues se couvrir de leurs bras et s’éloigner du lieu. » J’ai dit : « C’est ce qu’ils cherchent à voir. » Ils ne s’intéressent pas à une petite brochure. Leur dieu est aussi puissant que tout autre dieu dont vous parlez. » Voyez-vous ?
Mais quand il est question de quelque chose qu’ils peuvent voir, qui désarçonne leurs dieux, arrête leurs sorciers, et les paralyse sur le champ et, voyez-vous, ils croient alors qu’il y a un Dieu qui peut agir. Voilà l’Evangile que le païen doit avoir ; c’est tout. Notre – notre instruction et notre morale ne marcheront pas avec le païen. Il doit voir quelque chose. Il – il doit être sûr que c’est juste.

9 C’est la même chose en Inde... Nous avons trouvé... L’un des magazines a tout récemment publié un article quand notre honorable frère Billy Graham a été défié par ce mahométan. Et, Billy s’est esquivé… Eh bien, je – je ne le blâme pas. J’aurais fait la même chose.
Mais, en tant que chrétien, j’aurais pu dire ceci : « Cela ne rentre pas dans l’axe de ma prédication. Moi, je prêche le salut. Vous, vous croyez que Dieu… qu’Ismaël était le fils d’Abraham, il l’était en effet. Mais permettez-moi – permettez-moi de vous parler de ce que je sais. Je peux vous prouver que – qu’Isaac, que la bénédiction vient par Isaac et non par Ismaël. »
Si j’étais un docteur en théologie comme lui, j’aurais défié cet homme là-dessus.
Mais j’aurais dit : « Je n’ai pas les dons de guérison et tout, mais nous avons des frères dans la religion chrétienne, Oral Roberts et les autres, qu’on peut faire venir sur la scène à l’instant et qui peuvent manifester cela. » Et c’est la vérité. J’aurais gardé haut mon étendard de la religion chrétienne.
Mais ensuite, le – un nouveau – un journal a paru, et vous avez vu cela dans Le Héraut de la Foi. Il était dit : « Pourquoi n’a-t-il pas mis au défi la réunion... ? Qu’en est-il de ce qui s’est passé cet après-midi-là à Durban, en Afrique du Sud ? »

10 Quand les mahométan étaient assis là et qu’ils ont vu l’oeuvre... Quand cette mahométane est venue sur l’estrade, le Saint-Esprit lui a parlé, et a dit : « Vous êtes une mahométane, pourquoi êtes-vous venue vers moi ? »
Elle a dit : « J’ai pensé que vous pouviez m’aider. »
Et j’ai dit : « Avez-vous déjà lu dans la Bible ce que Jésus a fait, comment Il connaissait les secrets des coeurs des gens ? »
« Oui. »
J’ai dit : « Qu’en pensez-vous ? »
« Eh bien, a-t-elle dit, je crois que Jésus est monté sur un cheval et est monté dans la gloire, Il est parti dans la gloire. Il est un prophète. »
J’ai dit : « Non, Il a été crucifié, Il est mort, et Il est ressuscité, et Son Esprit est vivant ici aujourd’hui. »
« Oh ! ça, je l’ignore. »
J’ai dit : « Et s’Il revient et fait la même chose qu’Il a faite autrefois ? Serait-ce une preuve pour vous, s’Il agit juste ici à travers nous comme Il l’a fait quand Il était ici sur terre ? »
Elle a dit : « Oui. »
J’ai dit : « Avez-vous déjà lu le Nouveau Testament ? »
« Plusieurs fois. »
Et j’ai dit : « Bien alors, s’Il me révèle qui vous êtes, ce que vous êtes, le motif de votre présence ici, et ce que vous avez été, ce qui va vous arriver, allez-vous accepter cela ? »
Elle a dit : « Oui. »
Des milliers de mahométans étaient assis là. Et j’ai dit : « Combien d’entre vous mahométans accepteront cela ? » Et quand l’interprète a dit ça, des mains se sont levées. Et le Saint-Esprit a commencé à se mouvoir et a dit à la femme qui elle était, d’où elle venait, chez quel médecin elle était allée, le nom de celui-ci ; Il en a parlé comme cela. Et Il a dit qu’elle avait un kyste à l’ovaire. Et elle a été guérie à l’instant. La gloire de Dieu est descendue, et dix mille mahométans ont accepté Jésus-Christ comme leur Sauveur personnel. Oui.

11 Cet après-midi-là, je ne sais pas combien d’autres sont venus ; leur nombre a été estimé là à dix mille. Et quand cet après-midi… quand ce garçon qui n’était même pas dans son bon sens, traîné avec une chaîne au cou, quand le Saint-Esprit lui a dit comment il est né, et il était né comme cela, Il lui a dit qui étaient sa mère et son père, et ceux-ci étaient assis dans l’auditoire qui comptait environ cent cinquante, deux cents mille personnes.
Et Il a dit : « Ton frère, tu penses à lui ; il est là-bas dans l’auditoire. Il chevauchait soit une chèvre blanche, soit une chèvre blanche, ou plutôt une chèvre jaune ou un chien, il s’est blessé aux genoux. Il marchait à l’aide de deux béquilles. Mais AINSI DIT LE SEIGNEUR, il est guéri. »
Et à environ un pâté de maisons, à travers le champ de foire, le voici venir, portant ses béquilles, criant, sautillant aussi fort que possible, guéri. Il nous a fallu à peu près une demi-heure pour le calmer.

12 Puis, quand j’ai regardé en arrière et que, dans une vision, j’ai vu cet homme debout là, normal au possible... Il marchait à l’aide de ses mains et de ses pieds comme cela, n’étant même pas dans son bon sens. Quand je lui ai parlé, il voulait exécuter à mon intention une – une danse, une danse tribale. Et ensuite j’ai regardé, et je l’ai vu debout là. J’ai compris que c’était cela. Quand vous voyez cette vision, elle ne peut pas faillir.
Alors j’ai observé l’auditoire. J’ai dit : « Combien y a-t-il ici… ? Voici un homme ici, un pauvre estropié ; considérez dans quel état il se trouve. »

13 Il y avait là un médecin britannique, qui s’occupait du petit garçon qui louchait... Il a dit : « Monsieur Branham, qu’avez-vous fait à cet enfant ? »
J’ai dit : « Je n’ai rien fait du tout. » J’ai dit : « Je n’ai même pas prié pour lui. On l’a envoyé là sur l’estrade. »
Il a dit : « C’est moi qui l’ai mis sur l’estrade. » Il a dit : « Il louchait quand il est venu ici. Quand il est descendu de là, il ne louchait plus. » Il a dit : « Vous avez fait… Avez-vous hypnotisé cet enfant ? »
J’ai dit : « Docteur, l’Association Médicale Anglaise vous a-t-elle donné l’autorisation de pratiquer la médecine ? Qu’en est-il de vous les Britanniques qui pratiquez tout cet hypnotisme ? » J’ai dit : « Pourquoi n’avez-vous pas redressé ses yeux ? » J’ai dit : « Si l’hypnotisme redresse les yeux, vous feriez mieux de commencer à pratiquer l’hypnotisme. » J’ai dit : « Vous saviez bien qu’il louchait là. »
Et frère Baxter est monté et le faisait partir. Et j’ai dit : « Laissez-le. Qu’il parle. »
Et il a dit : « Vous allez simplement provoquer une émeute là-bas maintenant… en prenant trop de temps avec cet homme. »
Et j’ai dit : « Eh bien, juste une minute. »
Il a dit : « Je voudrais vous poser une question, a-t-il dit. Je crois qu’il existe un Dieu ; Il est dans ces lis. »

14 Et, oh ! vous les femmes vous auriez dû voir ces lis, ces lis callas de dix-huit pouces [environ 27 cm – N.D.T.] de large, comme cela, de beaux lis sauvages jaunes et blancs, poussant juste dans la jungle. Et il y en avait plein sur l’estrade. Et j’ai dit...
Il a dit : « Voilà Dieu, une sorte de vie, dans ce lis. Mais est-Il assez tangible pour faire que les yeux de ce garçon qui louchait se redressent ? »
J’ai dit : « C’est vous qui l’avez mis sur l’estrade ; c’est vous qui l’avez retiré d’ici. »
Il a dit : « Ce Dieu est-Il présent ? »
J’ai dit : « Oui, monsieur. Il est ici maintenant. » Il s’est approché directement du microphone, un très grand micro pendant comme cela ; en effet, nous devions parler pour deux ou trois pâtés de maisons de chaque côté, et en arrière, dans ce sens pour un pâté de maisons de plus, des milliers et de milliers de gens...
Il a dit : « J’accepte maintenant Jésus-Christ comme mon Sauveur personnel. »

15 Eh bien, je l’ai rencontré à Durb-… à Johannesburg, quand nous quittions. J’ai entendu quelqu’un crier : « Frère Branham! » avec, vous savez, cet accent de l’anglais londonien qu’ils ont. Il a accouru là sur la – la rampe, alors qu’ils avaient tracé des limites et que toute la police était alignée tout au long comme ceci pour que les gens ne puissent pas arriver là. Et ils m’ont fait entrer dans une voiture et m’ont évacué.
Et je suis sorti, alors il a dit : « Frère Branham! » Il a traversé et a accouru là, il a jeté ses bras autour de moi et s’est mis à parler en langues. Il était appelé dans le champ missionnaire.
Oh ! comme j’aime raconter cela à Dr Davis et aux autres !

16 J’ai dit : « Ce que vous appelez fanatisme a gagné plus d’âmes à Christ en une seule réunion que des millions et des millions de dollars que nous avons investis dans le champ missionnaire en Afrique pendant les cinquante dernières années. »
C’est juste. C’est ça. Faisons que cela compte, frère. Ces dollars appartiennent à Dieu, et faisons que cela compte pour le Royaume de Dieu, pour les gens qui en ont vraiment besoin.
Ce garçon, quand il s’est levé, je lui ai parlé, j’ai dit : « Lève-toi. Jésus-Christ t’a rétabli. » Il ne savait pas de quoi je parlais. Et l’interprète le lui a dit, il voulait malgré tout exécuter une danse. J’ai tenu la chaîne et j’ai relevé le garçon comme ceci ; il portait un collier au cou comme un animal. Et quand il s’est levé, il était si complètement... La première fois qu’il se tenait debout dans sa vie... De grosses larmes coulaient sur son ventre noir comme cela, et il s’est tenu là, étant dans son bon sens, et debout sur ses pieds.
Des milliers et des milliers sont tombés par terre. Et on a estimé – on a estimé à vingt-cinq mille les miracles extraordinaires qui se sont produits juste à ce moment-là. Les gens n’avaient plus besoin qu’on prie pour eux. Ils ont quitté les lits de camp, les civières, les fauteuils roulants et tout le reste.
Et le lendemain matin, il y avait sept grands camions chargés, ces très grands et longs camions africains étaient pleinement chargés de béquilles et de fauteuils roulants. Et ils descendaient la rue.

17 Sidney Smith, le maire de Durban, est allé à la fenêtre et a dit : « Regardez dans la rue. »
Ces gens étaient là, en paix les uns avec les autres, après avoir eu des guerres tribales ; ils marchaient dans les rues, en chantant Tout est possible, crois seulement. Oh !…
Nous ne pouvons pas avoir ce genre de réunion en Amérique. Nous en savons trop. Nous en savons plus que ça. Voyez-vous ? Nous sommes trop intelligents pour ça. Voyez-vous ? Allez de l’avant ; nous manquons tout simplement les bénédictions ; c’est tout. Nous...
Maintenant, vous pouvez avoir cela, assurément. Vous pouvez voir cela arriver ici. Mais, je veux dire la nation, comme c’est le cas là-bas. Que Dieu vous bénisse.

18 Frère Kopp, êtes-vous là ce soir ? Je… frère Kopp, frère Leroy Kopp, il était ici aux réunions. Je voulais le complimenter à propos de cet article qu’il a écrit : Les Juifs cherchent des signes. Il y a parlé de mon ministère. Et si vous êtes là, Frère Kopp, écoutant ma voix, assurément je… je vais en Israël. C’est ce que...
Les Juifs veulent voir le signe du prophète. Ils croient que le Messie sera un prophète. Ils croient toujours cela.

19 Combien ont déjà entendu parler de Lewi Pethrus ? Bien sûr que vous avez entendu parler de lui, le chef de l’église de Stockholm, l’église de Philadelphie, le plus grand mouvement pentecôtiste dans le monde. Et il a envoyé un million de Nouveaux Testaments là-bas.
Combien ont déjà vu les magazines Look et Life montrant ces avions qui venaient, transportant ces Juifs de l’Iran, de partout là-bas, il y a environ deux ou trois ans ? C’est à partir de cela qu’ils ont écrit l’article Minuit moins trois.
Eh bien, quand on leur a donné ces Testaments (Ils lisent en allant de droite à gauche, vous savez comment le yiddish est écrit.), et ils ont dit : « Si c’est le Messie, Il a promis ceci ; qu’Il accomplisse le signe d’un prophète devant nous. Le Messie sera un prophète. Qu’Il accomplisse le signe du prophète devant nous et nous Le recevrons. » Oh ! la la ! cela a remué mon coeur. Juste sur le même sol où le Saint-Esprit est tombé la première fois.

20 Vous ne pouvez pas y aller par l’intellect. Vous ne pouvez pas couper Dieu en quatre ou cinq morceaux et Le donner à un Juif. Il doit savoir qu’il a un Dieu. Ainsi donc... Donc il... Le – l’intellect ne marchera jamais avec lui. Certainement pas, il doit être sûr.
Et ainsi donc, je me suis dit : « Ne serait-ce pas merveilleux, si je réunissais environ cinq cents d’entre eux là-bas et disais : ‘Allez au milieu de votre peuple. Amenez quelques hommes ici. Voyez si le Messie est toujours le prophète ?’ Et juste sur cette même base qu’ils ont accepté le Sauveur, leur demander ensuite de lever leurs mains et de recevoir le Saint-Esprit. »
Quel temps ! Vous savez quoi ? Cela va mettre fin à la dispensation des Gentils. L’Evangile ira chez les Juifs. Ils vont évangéliser leur – leur peuple avec cela. Israël est une nation. Nous tous, nous sommes les nations, mais Israël est une nation. Et le Royaume reviendra un jour à Israël.
Comme Isaac l’a dit à Joseph : « Un jour, la vigne s’élèvera de nouveau au-dessus de la muraille. » C’est juste.

21 Maintenant, merci beaucoup, chacun de vous, pour votre gentillesse, pour toute votre précieuse collaboration. J’aimerais remercier le Chapitre des Hommes d’Affaires du Plein Evangile. Car je crois que ça fait trois, deux ou trois fois d’affilée qu’ils m’ont parrainé pour que je sois ici. Votre précieuse collaboration à vous ministres... Que Dieu soit à jamais avec vous tous. Que ce chapitre croisse, que vos églises croissent, que le Seigneur tire gloire de tout ce qui a été fait ou dit.
Je dois donc partir tôt le matin pour Tacoma, et puis de là, aller à Yakima. Et j’attends l’occasion pour aller outre-mer, dès que je serai en mesure de faire un tour du monde parmi les proscrits de l’Europe, de l’Asie, et de l’Est, et – et de l’Extrême-Orient, et ainsi de suite, pour prêcher l’Evangile.

22 S’il arrive que je ne revienne plus, je vous reverrai là-bas de l’autre côté. Si vous vous en allez et que je revienne encore pour vous voir (J’espère que je le ferai), mais si vous vous en allez avant que je revienne donc, j’aimerais cependant vous dire que je vous rencontrerai de l’autre côté avec le même témoignage que j’ai maintenant : Jésus sauve et guérit. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Que Dieu vous bénisse à jamais.
Si je peux vous être utile, vous aider, envoyez-moi une carte, une lettre, n’importe quoi. Si vous... Des linges sont posés ici pour la prière. Si vous n’en avez pas un ici ce soir et que vous vouliez en avoir un, écrivez-moi simplement à la boîte postale 325, Jeffersonville, Indiana. Gardez-en un dans votre Bible, dans Actes 19. En cas d’urgence, posez-le sur votre malade ou votre affligé. C’est gratuit, rien à payer. Quelquefois, les gens m’envoient un peu d’argent pour m’aider à acheter les timbres. Je dépense des centaines de dollars par semaine pour les timbres. Mais ils... Quelquefois, ils... Vous n’êtes pas obligé de le faire ; ce n’est pas nécessaire. Mais si vous le faites, c’est à cette fin qu’on destine cela.

23 Et tout est contrôlé par le Tabernacle. Rien ne me parvient. Tout passe par le Branham Tabernacle. Cela a toujours été ainsi. Bien des fois, j’ai toujours témoigné auprès de vous que toutes les rémunérations venant du... Je reçois un salaire, et toutes les rémunérations venant des réunions vont au Tabernacle, et c’est utilisé pour les missions à l’étranger (C’est juste.), pour aider à la diffusion de l’Evangile, pour rien d’autre que la diffusion de l’Evangile. C’est tout. Et que le Seigneur vous bénisse.
Et maintenant, je voudrais solliciter une faveur de votre part avant que je commence à vous prêcher, juste pour un petit moment. J’ai promis de prier pour tout celui qui a une – une carte ; et je pense que nous en avons plusieurs ici. Billy en a distribué tout un tas, il y a quelques instants, a-t-il dit. Je veux donc laisser passer ces gens dans la ligne et prier pour eux.
Et maintenant, nous voulons prendre un petit quelque chose pour élever un peu la foi. Combien parmi vous vont prier pour moi un homme qui en a vraiment besoin ? Merci. Comme j’avance, je suis juste en train de passer d’un ministère à un autre. Et cela commence toujours comme un petit quelque chose. Et maintenant, je – je – je m’attends au Seigneur. Et vous, n’oubliez pas de prier pour moi. J’en ai vraiment besoin.

24 Frère Rhodes, avez-vous donné votre témoignage ici, comment Dieu vous a guéri et tout ? Vous auriez dû le faire. Et c’est un grand témoignage. Nous aimons ce frère. Il est... Ma femme a terriblement peur de lui. Le seul homme qui est arrivé à la faire venir à l’estrade. Elle était assise là, un peu réservée, timide. Elle ne veut même pas que je mentionne qu’elle est dans la réunion, vous savez. Et elle est donc très timide, et frère Rhodes a dit : « Ce soir, nous avons soeur Branham ici, qu’elle monte à l’estrade. »
Elle a dit : « J’ai terriblement peur de cet homme. »
S’il y a des éloges à faire à la famille Branham, c’est à elle qu’ils doivent revenir. C’est elle qui les mérite, ma femme, l’une des chrétiennes les plus merveilleuses que je connaisse au monde. Elle fait partie des élus, j’en suis sûr. Que Dieu bénisse à jamais sa vaillante âme. Sa récompense est grande de l’autre côté.

25 Maintenant, avant de nous approcher de la Parole, approchons-nous de l’Auteur par la prière. Combien veulent qu’on se souvienne d’eux ce soir ? Levez la main.
Notre Père céleste, notre temps s’écoule ; nous ne savons pas ce qui arrivera entre aujourd’hui et la prochaine fois que nous nous rencontrerons. Il se pourrait que nous nous retrouvions de l’autre côté de la rivière, dans l’autre pays. Si c’est notre sort, Seigneur, puissions-nous alors être tous présents ce jour-là. Je Te prie, ô Dieu très miséricordieux, que ce jour-là personne ne manque. Que tout le monde soit là, chaque personne qui est ici ce soir, que chaque pécheur soit sauvé, que chaque saint aille de l’avant, tenant bon jusqu’à ce que la fin vienne. Que le rétrograde revienne encore dans la communion. Qu’il sache qu’il n’est pas perdu, qu’il s’est simplement éloigné à cause de ses péchés, que le dépôt visqueux des propos du diable lui a fait quitter la grande route. Dieu veut bien le ramener ce soir.
Amène le feu dans l’Eglise, Seigneur, le Feu du Saint-Esprit. Guéris les malades et les affligés. Bénis ceux qui sont dans le besoin, chaque main qui s’est levée. Dieu Tout-Puissant, Tu connais chaque besoin qu’ils ont. Ils sont précieux à mon coeur. Et s’ils sont précieux à mon coeur, combien plus le sont-ils à Ton coeur, car Tu as donné Ta Vie pour eux ! Et en retour, Seigneur, Tu m’as oint et m’as envoyé leur prêcher la Bonne Nouvelle de ce bon Message du Seigneur Jésus, en opérant des miracles et des prodiges de Sa résurrection et de Sa prochaine apparition. Nous T’en remercions, Père.

26 Et nous prions que ce soir, quand le service sera terminé, il n’y ait aucune personne malade ou faible parmi nous. Nous sommes si heureux ce soir, Seigneur. Alors qu’il y avait beaucoup de fauteuils roulants ici, quatre ou cinq au début, nous ne les voyons pas ce soir. Nous savons que certains marchent. D’autres ont témoigné de leur guérison. Des gens qui étaient sur des béquilles, ceux qui étaient malades et affligés, qui souffraient de la gastrite, qui étaient cardiaques, jouissent maintenant de la bonne santé. Cela représente beaucoup pour moi, Seigneur, et beaucoup pour eux, de savoir que nous voyons les signes du Roi dans le camp. Accorde, Seigneur, qu’Il reste toujours avec nous. Et nous L’aimerons et Le servirons jusqu’à ce que nous Le verrons face à face.
Bénis maintenant les Paroles que nous allons lire, et que ce soit une lampe, une lumière sur notre sentier, pour nous conduire plus près de Lui. Nous le demandons en Son précieux Nom. Amen.

27 Allons ce soir dans deux Ecritures que j’ai choisies pour le service de clôture. Et l’une, c’est Luc chapitre 1 ; et l’autre c’est Matthieu 24.35. Et commençons la lecture par Luc, le chapitre 1 de Luc, à partir du verset 26. Maintenant suivez attentivement pendant que nous lisons : Au sixième mois, l’ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, Auprès d’une vierge fiancée à un homme de la maison de David, nommé Joseph. Le nom de la vierge était Marie. L’ange entra chez elle, et dit: Je te salue, toi à qui une grâce a été faite ; le Seigneur est avec toi. Troublée par cette parole, Marie se demandait ce que pouvait signifier une telle salutation. L’ange lui dit: Ne crains point, Marie ; car tu as trouvé grâce devant Dieu.[ Gloire à Dieu.] Et voici, tu deviendras enceinte, et tu enfanteras un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand et sera appelé Fils du Très Haut, et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son père. Il règnera sur la maison de Jacob éternellement, et son règne n’aura point de fin. Marie dit à l’ange: Comment cela se fera-t-il, puisque je ne connais point d’homme ? L’ange lui répondit: Le Saint-Esprit viendra sur toi, et la puissance du Très Haut te couvrira de son ombre. C’est pourquoi le saint enfant qui naîtra de toi sera appelé Fils de Dieu. Voici, Elisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils en sa vieillesse, et celle qui était appelée stérile est dans son sixième mois. Car rien n’est impossible à Dieu. Marie dit: Je suis la servante du Seigneur ; qu’il me soit fait selon ta parole! Et l’ange la quitta. Matthieu 24.35: Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront jamais. Maintenant, le Seigneur voulant, je veux prêcher ce soir sur La Parole immuable de Dieu.

28 Je me demande si Miner Arganbright est dans la salle, frère Arganbright. Je l’ai vu à quelques réunions, et j’avais un message pour lui. Mais je – je crois... Oh, oui, je veux être sûr de vous voir, Frère Arganbright. Je veux vous rencontrer le 20 octobre. Il comprend ce langage. Pourquoi appelle-t-on cet homme Miner [En français « Mineur » – N.D.T.], je ne sais pas. Je suis en désaccord avec son père et sa mère, à moins qu’il ne s’agisse que de sa stature. En effet, il a un coeur de géant.
Combien connaissent frère Arganbright ? Je ne dis pas ceci parce qu’il est présent ; j’allais le dire s’il n’était pas ici. C’est un brave frère, avec sa douce petite femme irlandaise. J’ai été chez eux ; j’ai été avec lui dans des moments sombres et à des endroits. Un très doux et merveilleux couple chrétien. Je crois qu’elle vient de quelque part ici dans les environs. Elle était aussi dans la réunion. Je ne sais pas si oui ou non elle est ici ce soir. Pour tous ceux qui la connaissent, elle est une bien-aimée pour tout le monde ; pour son gendre, ou ses enfants, tous les voisins, pour tout le monde qui est sur ce que nous appelons la colline de Sion, par-là, elle est la bien-aimée sur le coteau. Nous sommes donc heureux que frère Arganbright soit du nombre de ceux qui sont rachetés, ainsi que notre soeur Arganbright. Que le Seigneur les bénisse richement.

29 Bien, c’était au lever du soleil. Je suppose que c’était un – un beau matin. Cela a dû être à cette période de l’année, vers juillet. Le Bébé est né en avril. Je sais que la tradition parle de décembre, mais c’est tout à fait impossible. Ça, c’est un credo. Il ne pouvait pas être né en décembre et les bergers ne pouvaient pas se trouver sur les coteaux. Il y a six ou huit pieds [environ 1,83 à 2,44 m – N.D.T.] de neige là pendant cette période. Il est donc né en avril, quand généralement toute la nouvelle vie paraît, pendant cette période.
Elle était en route vers le puits. Et la jeune dame, qui longeait nonchalamment la rue, la – la petite cruche à deux anses sous le bras, allait puiser l’eau du matin. Et ça devait être très tôt, et c’était un lundi, je suppose. Et elle devait peut-être faire plusieurs tours ; en effet, généralement, lundi est le jour de la lessive. Est-ce juste, vous les soeurs ? C’est comme ça chez moi à la maison, et chaque jour. Donc quand on a une ribambelle d’enfants...
Mais, généralement, on appelle cela « lundi bleu » parce que les femmes font la lessive le lundi. Je l’appelais « lundi bleu », parce que je devais transporter de l’eau sur un demi mile [environ 800 m – N.D.T.], de la source pour aller la verser dans une vieille et grosse bouilloire, et ensuite, couper du bois pour le mettre sous... Oh, la la ! je suis content qu’on ait aujourd’hui des robinets.

30 Et alors, pendant qu’elle descendait la rue, elle pensait à la veille, au – au sujet sur lequel son futur époux (ou fiancé) et elle s’étaient entretenus la veille, alors qu’ils étaient assis à la véranda, comme ils en avaient l’habitude, après la réunion du matin ; en effet, ils fréquentaient cette église-là de Nazareth. Et ils sont allés s’asseoir à la véranda après le repas de midi, et Joseph, son futur époux, était charpentier. Et il construisait des belles maisons. Mais cette fois-ci, il en construisait une qui devait bénéficier d’un soin particulier, parce qu’il allait y amener sa jolie petite épouse.
Et nous disons que de la véranda… la véranda du devant où ils étaient assis regardait peut-être vers le sud. Et le soleil frappait de l’autre côté, et la splendeur du matin faisait une ombre autour de la petite véranda. Et ils pouvaient observer par-dessus la vallée le flanc de la colline où cette petite maison était en construction. Et toutes les portes devaient recevoir une touche spéciale afin que Marie n’ait pas à pousser fort ; elle la pousserait simplement et elle se refermerait facilement. Joseph voulait veiller à ça. Il fallait qu’elle reçoive cette petite touche spéciale.

31 Et chaque dimanche, ils avaient l’habitude de s’asseoir là, de regarder par-dessus la vallée, et de parler du petit portail qui devait avoir la forme d’un coeur, parce qu’ils étaient amoureux. Et l’aspect que devrait avoir la petite table, et la disposition de leur mobilier dans la maison...
Et pendant qu’ils étaient assis là ce jour-là, après le repas, Anne, la veuve et mère de Marie, était… a dit : « Mes enfants, allez à la véranda. Je vais faire la vaisselle aujourd’hui. »
Et pendant qu’elle faisait la vaisselle, Joseph s’est assis confortablement et se vantait d’être un excellent cuisinier, bien sûr... Et – et ils regardaient par-dessus... Ils faisaient des commentaires sur le sermon qu’ils avaient entendu ce matin-là.

32 « Oh ! a dit Marie, Joseph, cela n’a-t-il pas fait tressaillir ton coeur quand le Rabbin a parlé du Grand Dieu qui est au-dessus de notre peuple ? Cela ne t’a-t-il pas fait tressaillir, quand le Rabbin a pris son texte dans la Genèse ou plutôt dans Exode chapitre 13, où il a dit que la Colonne de Feu de l’Ange de Dieu allait devant eux ? Et que Dieu a rencontré Moïse, le grand prophète, dans cette Colonne de Feu, et lui a parlé derrière le désert. Et Jéhovah était tellement préoccupé au sujet de Son ancien peuple, Israël, qu’Il ne pouvait pas les oublier. Et Il a dit : ‘J’ai vu leurs labeurs et leurs douleurs. Je me suis souvenu de Ma Parole. Et Je suis descendu les délivrer.’ »
« Oh, a-t-elle dit, Joseph, cela n’a-t-il pas fait tressaillir ton coeur, quand le – le Rabbin a dit que Dieu avait dit : ‘Je me suis souvenu de Ma Parole, de Ma promesse.’ »

33 « Oh ! si, Marie. Cela a fait tressaillir mon coeur. Et il est descendu là en Egypte, ce grand prophète, et il a opéré de grands miracles et prodiges, et il les a amenés jusqu’à la mer Rouge, et Jéhovah a tout simplement ouvert la mer Rouge. Quand ils ont eu faim, Dieu a fait souffler un vent qui amena des cailles, et les en a nourris. Quand ils ont eu soif, ils ont parlé à un rocher, et de là ils ont obtenu de l’eau. Et tout ce dont ils avaient besoin, Jéhovah veillait à ce qu’il y soit pourvu. Quand ils sont tombés malades et qu’ils ont été mordus par des serpents après avoir péché, Jéhovah a fait faire par Moïse un serpent d’airain qui fut placé sur une perche. »
« Quelle a été ton interprétation de cela, Joseph, mon chéri ? »
« Eh bien, Marie, je crois que cela voulait dire qu’un jour il y aura un sacrifice pour le péché ; que ce serpent d’airain, l’airain voulait dire que le serpent lui-même représentait le péché déjà jugé. Et cet airain représentait le jugement divin, et le jugement divin tombera un jour sur quelqu’un et il y aura une expiation perpétuelle pour la guérison. C’est ce que signifiait ce serpent d’airain, je crois. »

34 Et pendant qu’ils étaient assis là et qu’ils parlaient, cependant tout à coup elle a dit : « Mais as-tu remarqué qu’il a gâché son sermon ? Juste à la fin de son sermon, après avoir déclaré combien Jéhovah est grand, il a dit : ‘Maintenant, tous ces jours sont passés. Jéhovah n’accomplit plus de miracles. Dieu guérissant les malades ou faisant quoi que ce soit du genre, cela n’existe pas. Jéhovah s’attend simplement à ce que nous soyons de bons pharisiens, que nous allions à l’église, que nous apportions nos dîmes et nos offrandes à l’église, et que nous Lui construisions une belle maison, que nous allions là Lui chanter des cantiques chaque matin du sabbat et L’adorer. Et c’est ce que Jéhovah attend ces jours.’ Tu sais, Joseph, il m’est difficile de m’accorder avec le brave Rabbin là-dessus. Je crois que si jamais Il a été Jéhovah, Il est toujours Jéhovah. Si jamais Il a été Tout-Puissant, Il est toujours Tout-Puissant. »
Vous savez, Dieu a toujours quelque part un reste de gens qui croira en Lui. Il a toujours un reste, quelqu’un sur qui Il peut mettre Sa main. Il en a toujours un et en aura toujours.

35 Et un peu plus loin sur son chemin, elle s’est aussi souvenue que pendant qu’ils étaient assis là à la – la véranda où ils s’entretenaient, Ils avaient l’habitude de lire les Ecritures le dimanche après-midi, Elle entrait donc dans la maison et prenait le petit panier, puis faisait sortir les rouleaux. En ce temps-là, ce n’était pas dans un livre comme ceci ; c’était un rouleau, un chapitre d’Esaïe, de Jérémie, et le tout était sur un rouleau de cuir et on le roulait et on le mettait dans un panier. Ils n’avaient pas de papier en ce temps-là. On écrivait donc cela sur du cuir tanné.
Elle a donc dit : « Joseph, choisis le rouleau pour la lecture de cet après-midi, de ce dimanche après-midi. »
Et il a dit : « Oh ! Marie, plonge ta main et prends-le, ma chérie ».
Et elle y a plongé ses jolies petites mains, pendant que ses yeux s’illuminaient. Elle a pris le rouleau et le lui a tendu.
Il a dit : « Tu sais, Marie, j’aimerais t’entendre lire. »

36 Et elle avait pris Esaïe. Et elle a lu dans Esaïe, et elle a commencé à lire jusqu’à ce qu’elle est arrivée à Esaïe 9.6: « Un Enfant nous est né, un Fils nous est donné, et la domination reposera sur Son épaule ; on L’appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Prince de la paix. » Puis, elle s’est arrêtée.
Et elle a dit : « Joseph, tu es bien versé dans les Ecritures. De quoi le prophète parlait-il, quand il a dit ceci : ‘Un Fils nous est né’ ? »
« Eh bien, a dit Joseph, Marie, je crois qu’il parlait du Messie, le Messie qui doit venir et dont Moïse a parlé. »
« Eh bien, a-t-elle dit, Joseph, comment sera le Messie ? Sera-t-Il un autre Dieu ? Ou sera-t-Il... Quel rapport y aura-t-Il entre Lui et Dieu ? »
Joseph a dit : « Il sera Dieu manifesté dans la chair. Dieu sera rendu manifeste dans ce Fils qu’Il créera. »
« Eh bien, comment va-t-Il créer ce Fils ? »
« Oh ! ma chère Marie, a certainement – a certainement dit Joseph, tu sais, Esaïe a aussi dit là dans 7.14 qu’une vierge concevra et enfantera un fils. Et Il sera Emmanuel, Dieu avec nous. »
Oh ! ses jolis yeux ont dû s’illuminer. Et comme le soir approchait et qu’il commençait à faire noir, ils se sont apprêtés pour aller à l’église entendre un autre message du rabbin. Et le rouleau a été rangé.

37 Et pendant qu’elle marchait ce matin-là, elle pensait à ces choses. Et elle a pris le tournant. Et alors, je crois qu’une Lumière a dû briller. Et elle a levé les yeux et le beau soleil de Galilée se levait. Il y avait... Elle a certainement pensé que c’était une lueur venant d’une pierre brillante ou d’un morceau de métal bien poli. Ils n’avaient pas de miroir en ce temps-là, je ne pense pas. Donc elle a certainement pensé que quelque chose... Mais c’est comme si une Lumière a brillé devant elle. Elle a regardé tout autour, et n’ayant rien vu, elle a continué son chemin.
Vous savez, c’est quand nous pensons à Lui qu’Il s’approche de nous. « Approchez-vous de Moi, et Je m’approcherai de vous », dit l’Eternel. Si nous pouvions éloigner notre esprit des choses du monde, et de tant de folies auxquelles nous ne devons pas penser ; « que la méditation de mon coeur soit agréable devant toi, ô Eternel ».
C’était à la première Pâque que les deux apôtres (Cléopas et son ami) étaient en route vers Emmaüs. Comme ils parlaient de Lui, Il est sorti du buisson et a commencé à s’entretenir avec eux. Et alors Il s’est révélé à eux en accomplissant un miracle, exactement comme ce qu’Il avait fait avant Sa crucifixion. Et ils sont retournés en courant et ont dit : « En vérité, le Seigneur est ressuscité et Il nous est apparu. »

38 Or, Marie pensait à Lui. Et comme elle avançait, tout à coup, elle a encore levé la tête. Elle était certaine à ce moment-là. Juste devant elle, il y avait une grande Lumière, peut-être la même Colonne de Feu qui a conduit Moïse et les enfants d’Israël à travers le désert. Le grand archange Gabriel est sorti de cette Lumière, peut-être plus éclatante que le soleil. Il a dit : « Je te salue, Marie (en d’autres termes : « Arrête-toi. »), tu es bénie entre les femmes, car tu as trouvé grâce devant Dieu. »
Oh ! quelle salutation ! Cela a effrayé la petite vierge. Cela vous effrayera, quand un Ange...
Quelqu’un m’a dit : « Frère Branham, quand vous voyez cet Ange-là apparaître, Qui est-ce ? »
J’ai dit : « Je ne sais pas, je n’ai jamais demandé Son Nom. J’ai très peur quand Il parle. »
Vous dites : « Eh bien, moi, je le Lui aurais demandé. » Non, vous ne saurez pas. Vous ne pouvez penser à rien, vous vous tiendrez simplement tranquille.

39 Oh, comment elle a dû se sentir avec son seau, alors qu’elle allait au puits puiser de l’eau ? Et là, sur son sentier, se tenait cet Ange, lui disant qu’elle avait trouvé grâce aux yeux de Dieu.
Et Il a commencé à lui raconter une histoire. Il a dit : « Marie, te souviens-tu de ta cousine ? Elle s’appelle Elisabeth. Elle est la femme de Zacharie, le sacrificateur. Et quand… Et Zacharie, le sacrificateur, était âgé, et sa femme était âgée, mais ils étaient de vrais serviteurs du Seigneur. Ils attendaient la consolation d’Israël, la Venue du Messie. »
Voyez-vous, Dieu a un reste quelque part ; il y a quelqu’un qui veille et qui attend. Il en a toujours été et il en sera toujours ainsi.
Ils veillaient jour après jour. Et ils observaient tous les commandements de l’Eternel. Mais Elisabeth était stérile. Elle n’avait pas d’enfants. En ce temps-là, c’était une disgrâce que de ne pas avoir d’enfants ; aujourd’hui, c’est une disgrâce que d’en avoir.
Cela a changé, on préfère acheter un petit chien et lui prodiguer l’amour que mérite un enfant, et le promener, et le mettre dans la voiture, et oh ! la la ! Cette chose qui pue… ! On le tapote et on joue avec, et ensuite on lui fait une poêle de biscuits. Je ne crois pas à ça ; je vais vous le dire maintenant même. Un chien, c’est très bien, mais sa place est dehors dans la grange, pas dans la maison. Ainsi donc, de toute façon, je vais blesser vos sentiments maintenant si je ne fais pas attention, ainsi... Très bien, de toute façon, laissons cela. Tant de… C’est peut-être mon opinion personnelle.

40 Mais elle voulait un bébé, et son mari était vieux ; et elle avait dépassé l’âge d’en avoir. Et au temple, c’était le tour de Zacharie de brûler l’encens pendant que le peuple priait. Et pendant qu’il brûlait l’encens, l’Ange Gabriel est venu à droite de l’autel. Avez-vous remarqué, dans les Ecritures, là dans Luc, qu’il est dit : « A sa droite », à droite de l’autel ?
Avez-vous déjà remarqué que pendant mes services de guérison, je fais passer les gens d’abord par ma droite ? C’est parce que l’Ange du Seigneur vient toujours à ma droite. Je veux qu’Il rencontre les gens, afin qu’ils reçoivent l’onction quand ils montent ici pour qu’Il leur parle et les bénisse.
L’Ange du Seigneur se tenait debout à droite de l’autel. Et Il a dit : « Zacharie, Dieu a répondu à tes prières. »
Voyez-vous vers quel genre de foyer vient un Ange ? Un foyer qui observe les commandements de Dieu, un foyer des gens qui marchent correctement devant Dieu. Si vous voulez avoir l’honneur d’être visités par un Ange dans votre foyer, ayez un foyer prêt pour recevoir Sa visite, préparé et apprêté sous le Sang de l’Agneau. C’est à de telles maisons que les Anges du Seigneur viennent.

41 Remarquez, vous ne pouvez pas marcher avec le monde et vous attendre à ce que Dieu marche avec vous. Les anges ne vous visiteront pas, ni rien d’autre, si ce n’est le monde, car vous ne pouvez pas mélanger Dieu et le monde. Ils ne se mélangeront pas. Dieu est saint, et Il est séparé du monde. Et le seul moyen pour qu’Il vous voie, c’est quand Il regarde à travers le Sang. Comme j’ai dit l’autre matin, le rouge vu à travers le rouge paraît blanc. Il ne peut pas regarder à travers un credo ; Il ne peut pas regarder à travers une dénomination ; Il ne peut pas regarder à travers une poignée de main ou à travers l’eau. Il doit regarder à travers le Sang. Et quand Il regarde à travers le Sang, vos péchés rouges Lui paraissent blancs. Le Sang de Jésus-Christ purifie de tout péché. C’est… Oh! précieux est le flot
Qui me rend blanc comme neige ;
Je ne connais aucune autre source,
Rien que le Sang de Jésus. Comme Eddie Perronett l’a écrit: Acclamez tous la puissance du Nom de Jésus!
Que les anges se prosternent ;
Apportez le diadème royal,
Et couronnez-Le Seigneur de tous. En effet, Il était le Seul, le seul Potentat, le seul Médiateur entre Dieu et l’homme ; rien d’autre ne remplacera cela. Son Sang est la seule chose qui fera l’expiation, c’est la seule voie de Dieu ; Il est le seul Médiateur, l’unique – l’unique voie, c’est par Jésus-Christ.

42 Eh bien, pendant que Zacharie, sous le sang versé de l’agneau, se tenait là… je parle de Zacharie se tenant là sous l’aspersion du sang de l’agneau...
Et Il a dit : « Après ce jour-ci… Je suis Gabriel, je me tiens devant Dieu. » Et Il a dit : « Rentre chez toi. Et ta femme concevra et enfantera un fils ; tu l’appelleras du nom de Jean. Il sera grand, et il ramènera les coeurs des enfants d’Israël aux commandements de Dieu. »
Et puis, alors que Zacharie, pensez-y donc, étant prédicateur, sacrificateur au temple, lisait les Ecritures, où il y a beaucoup d’exemples de cas semblables qui s’étaient produits avant… Il y avait Anne qui était une femme qui ne pouvait pas avoir d’enfants, et Dieu lui avait donné un enfant. Il y avait Sara, à qui Dieu avait donné un enfant à quatre-vingt-dix ans. Ça s’était déjà produit dans le passé. Mais il a douté de la chose.
Il a dit : « Comment cela se fera-t-il ? Ma femme est âgée, moi aussi je suis âgé, et comment cela se fera-t-il ? »
L’Ange a parlé rapidement et a dit : « Mes paroles s’accompliront en leur jour. Mais parce que tu as douté de Moi, tu as douté de Ma Parole, tu seras muet jusqu’au jour où le bébé naîtra. Mais Mes paroles s’accompliront. » Alléluia!

43 Dieu tient Sa Parole ; Elle est immuable. Si cette église pentecôtiste refuse de louer Dieu, Dieu est capable de susciter les méthodistes, les baptistes, ou quelque chose d’autre pour Le louer. Si l’Eglise pentecôtiste rejette le Message de Dieu, Dieu est capable de prendre des catholiques, des athées, des infidèles, ou qui que ce soit d’autre, et de les susciter pour sa propre gloire. Et la Parole de Dieu s’accomplira.
Des temps viendront où l’Esprit sera déversé d’En Haut. « Il y aura... Les jeunes gens auront des visions ; les vieillards auront des songes. Je répandrai Mon esprit sur Mes servantes et Mes serviteurs, Je ferai paraître des prodiges en haut dans les cieux. » Et toutes ces choses qui ont été annoncées arriveront. C’est Dieu qui l’a dit. Amen.

44 Vous voulez avoir la forme de piété tout en reniant ce qui en fait la force, allez de l’avant, cela accomplit les Ecritures. Mais Dieu a dit : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en Mon Nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues ; ils saisiront des serpents ou boiront des breuvages mortels, et cela ne leur fera point de mal ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. » Quelqu’un – quelqu’un va le faire. La Parole de Dieu est immuable. C’est juste.
« Ma Parole s’accomplira, parce que Moi, Gabriel, Je me tiens devant Dieu ; mais tu seras muet et tu ne parleras plus, parce que tu as douté. Et tu ne parleras plus jusqu’au jour de la naissance du bébé. »

45 Et alors, cet Ange savait cela ; six mois plus tard, le même Ange a été envoyé vers la petite Marie et lui en a parlé. Six mois plus tard… Eh bien, la petite Marie a dit... Eh bien, elle n’a jamais dit… douté de lui ; elle a simplement dit : « Comment cela se fera-t-il, puisque je ne connais point d’homme ? »
Il a dit : « Le Saint-Esprit te couvrira de Son ombre. (Oh ! j’aime cela.) Le Saint-Esprit viendra sur toi, et tu deviendras enceinte et enfanteras un Fils sans connaître d’homme. Mais ce Fils sera le Fils de Dieu. Et Il sauvera Son peuple de son péché. Et Il recevra le trône de Son Père David, et Il régnera éternellement, et il y aura une paix sans fin. »
On parle de la paix, les gens disent : « Eh bien, Il était le Prince de la Paix. » Oui, et chaque homme qui Le reçoit a la paix éternelle dans son coeur.

46 Le monde peut être en guerre, et il peut y avoir des guerres au moment où nous disons ceci ; Il n’a jamais dit que le monde serait en paix. Les royaumes de ce monde appartiennent au diable. Chacun d’eux est contrôlé par le diable.
La Bible dit que ces Etats-Unis et tout le reste du monde sont contrôlés par le diable. C’est la raison pour laquelle on se combat sans cesse. Mais quand Jésus reviendra et qu’Il s’assiéra sur le trône de Son Père David, la paix parfaite régnera dans chaque coeur. Ô Dieu ! pour que ce jour vienne...
Quand Satan L’a amené là-haut, il a dit : « Si Tu es le Fils de Dieu, fais ceci. Et si Tu... » Il L’a amené pour Lui montrer les royaumes du monde, tous les royaumes qui aient jamais existé, et il a dit : « Ils m’appartiennent ; j’en fais ce que je veux. Je te les donnerai si Tu Te prosternes et m’adores. »
Jésus savait que dans le Millénium, Il hériterait cela. Il a dit : « Arrière de Moi, Satan. Car il est écrit : ‘ Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu ; tu Le serviras Lui seul.’ »

47 Oh ! la la ! je me demande pourquoi des conflits. « Que Dieu bénisse notre pays. » Bien sûr que je croirai en cela, nos conducteurs et autres comme cela, mais malgré tout il est dominé par Satan ; c’est ce que la Bible dit. Toutes ces nudités dont vous entendez parler, rappelez-vous, frère, nous cherchons une cité à venir, celle dont Dieu est l’Architecte et le Constructeur. C’est juste. Nous cherchons un Royaume à venir. Ce n’est pas l’Allemagne ; ce n’est pas la Suisse ; ce ne sont pas les Etats-Unis ; c’est Christ et le Royaume d’En Haut.
Jésus a dit : « Si Mon Royaume était de ce monde, Je demanderais alors à Mes gens de combattre pour Moi. Mais Mon Royaume est d’En Haut. Et Je pourrais appeler Mon Père et immédiatement Il Me donnerait vingt légions d’Anges. » Amen! Alors qu’un seul Ange est capable de détruire le monde entier. Ne convoite pas les richesses vaines de ce monde
Qui pourrissent si rapidement.
Fonde tes espoirs sur les choses éternelles ;
Elles ne passeront jamais.

48 Ces guerres, on amène ces petits gamins, juste l’élite ; en effet, c’est tout ce qu’ils savent de mieux, connaissant la discipline, la discipline militaire. « Dressez la tête par-dessus la colline et que par un coup de balle quelqu’un la fasse sauter. Mourez en héros. » Ils le font avec plaisir. Ils montent là en courant, et l’un est abattu, un autre est abattu, un autre encore est abattu. Et la nation les oublie, à moins que leur famille… ils reviennent à celle-ci, et tout ce à quoi ils reviennent... Vous voyez ce que je veux dire. Beaucoup de soldats...
Mais un homme, vous en trouvez rarement un qui donne sa vie pour la cause de Christ. Il ne veut même pas quitter l’ombre de son arbre pour aller à l’église ; il ne voudra même pas laisser la télévision assez longtemps pour assister à une réunion de prière de mercredi soir. C’est juste. Amen. C’est une honte, une disgrâce.
C’est la raison pour laquelle les Anges ne visitent pas les églises. C’est la raison pour laquelle les Anges ne visitent pas les maisons. Nous devons être profondément sincères au sujet de cette chose. Les Anges de Dieu sont sur terre ici ce soir, exactement comme ils l’ont toujours été.
Le Saint-Esprit a toujours été ici depuis la résurrection de Jésus-Christ et la venue de la Pentecôte. Il est apparu à travers les âges, rassemblant un reste de gens. Les autres, c’est de la chair à canon ; je vous le dis maintenant. C’est de la chair qui se mélangera à la fumée du tourment. Oui, oui. Il faudra l’expérience de la nouvelle naissance, être lavé dans le Sang de l’Agneau, être sanctifié, rempli du Saint-Esprit, sinon il n’y aura jamais cet enlèvement, selon cette Parole. Oui. C’est exactement ce que les Ecritures déclarent.

49 Une jeune dame ici dans l’Oregon essayait de discuter une fois avec moi. Elle était membre d’une église qui a pour chef Marie. Et elle a dit, parlant de cela, elle a dit : « Je déteste de savoir que je... » Elle a dit : « Vous voulez me dire que pendant le… qu’au Ciel il y aura ces bandes d’idiots comme ceux qui faisaient des histoires là hier soir, quand vous prêchiez... que ce sont ces gens qui règneront au Ciel ? »
J’ai dit : « C’est ce que la Bible dit. »
Elle a dit...
J’ai dit : « Votre sainte vierge Marie a dû aller jusqu’à la Pentecôte, recevoir le Saint-Esprit et se comporter comme le faisaient ces gens hier soir, sinon elle ne serait jamais allée à Ciel. »
Elle a dit : « Ce n’est pas vrai. »
J’ai dit : « Permettez que je vous montre juste ici dans Actes 2 si c’est vrai ou pas. Marie est devenue si ivre ; elle a chancelé comme si elle était ivre en Esprit, et s’est comportée comme une personne ivre le jour de la Pentecôte. Et si Dieu n’a pas laissé Marie rentrer à la maison au Ciel, avec quelque chose de moins que cela, comment allez-vous y arriver sans cela ? » C’est juste. « Que vous soyez membre de n’importe quelle église que vous voulez, vous devrez avoir la même expérience, la même chose, exactement. »
Elle a dit : « Eh bien, je – je – je – je ne voudrais pas être là. »
J’ai dit : « Je ne pense pas que vous devriez vous en faire trop pour cela. » C’est juste. « Je ne pense pas que vous devriez vous en faire trop pour cela. » J’ai dit : « Eh bien, allez-y et écrivez un article très sale là-dessus dans le journal. Mais je vous dit ceci : ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, notez mes paroles. D’ici deux mois, en mourant dans un accident au bord de la route, vous vous souviendrez des paroles que je vous ai dites.’»
Et elle n’a jamais rien écrit. C’est juste. Elle a fait là quelque chose de sage. Je l’ai vue mourir, gisant dans un accident de voiture. Dieu lui donnait une chance à ce moment-là. Mais elle fut assez sage pour ne rien écrire. Il n’y eut rien dans le journal ; elle a simplement laissé tomber cela. Donc, c’est une idée sage. Elle a seulement sauvé sa vie en faisant cela. Voyez-vous, Dieu est toujours Dieu.

50 Dieu a dit : « Il vaudrait de loin mieux pour vous qu’on suspendît à votre cou une meule de moulin et qu’on vous jetât au fond de la mer, que de scandaliser un de ces petits qui croient en Moi. »
« Qu’est-ce ? dites-vous, eh bien, je suis un petit qui croit. »
La Bible dit : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. » Dieu fait une distinction, Il met une marque sur les gens. S’ils croient, ces miracles accompagneront ceux qui croient (C’est juste.), les croyants, pas ceux qui disent qu’ils croient, ou les soi-disant croyants, mais les vrais croyants. Je veux être membre d’une église que ces miracles et ces prodiges accompagnent. C’est là que je veux communier, juste sous le Sang de Jésus-Christ, là où il y a des Anges, les puissances, le Saint-Esprit, et où Dieu opère continuellement dans Son Église, à travers Son peuple, en montrant des miracles et des prodiges.

51 Eh bien, c’est la plus grande chose que j’aie jamais connue dans ma vie. C’est une partie du ciel sur la terre. Un peuple qui accepte la Parole de Dieu. Si vous n’avez pas le Saint-Esprit en vous, comment pourriez-vous accepter la Parole de Dieu ? Le Saint-Esprit en vous dira « amen » à chaque Parole que Dieu a écrite. C’est juste.
Si la – si la Bible dit : « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement », le... Si vous avez l’Esprit en vous, Il dira « Amen ». Si la Bible dit : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru » et que votre église dise que c’est pour un autre âge, le Saint-Esprit en vous dira : « Amen, la Parole de Dieu est vraie. Toute autre parole d’homme est un mensonge... ?... »

52 Si Pierre a dit le jour de la Pentecôte : « Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera » et que votre église dise : « Le Saint-Esprit s’est arrêté là-bas avec les apôtres », vous direz : « Que toute parole d’homme soit tenue pour un mensonge et celle de Dieu pour vraie. » Amen.
Le Saint-Esprit s’accorde avec Sa propre Parole. C’est pour vous, et pour vous et pour chaque généra-... Tant que le Seigneur appelle, le Saint-Esprit est toujours là pour baptiser chaque saint et chaque croyant. Amen. La Parole immuable de Dieu.

53 Comme je prêchais l’autre soir, cela… ou plutôt sur Pourquoi ? Une Ecriture ou un verset qui dit Pourquoi ? Pourquoi ? Dieu va demander : « Pourquoi ? » Vous allez rendre compte de cela.
N’y a-t-il pas de baume en Galaad, n’y a-t-il pas de médecin ? Saint Pierre a écrit ( Il était un médecin, Simon Pierre.), il a écrit cette prescription le jour de la Pentecôte. Croyez-vous cela ? Quand les gens ont dit : « Hommes frères, que pouvons-nous faire ? » Il a fait la prescription pour le baume.
N’essayez pas de vous amuser avec. N’essayez pas d’en ôter quelque chose et de dire que les jours des miracles sont passés, que le baptême du Saint-Esprit n’existe pas.

54 Prenez l’un de ces pharmaciens charlatans qui prendraient, ou plutôt un médecin charlatan qui prendrait une – une prescription qu’un vrai médecin a écrite et qui guérit une maladie, et un médecin ou un pharmacien charlatan en retranche quelque chose, qu’est-ce que c’est ? Il y a là-dedans beaucoup de poison. Et il y a suffisamment de poison pour tuer le germe, suffisamment d’antidote pour l’empêcher de vous tuer. Si vous enlevez tout l’antidote, le poison vous tuera. Vous tuerez votre malade.
C’est ça le problème d’un grand nombre de ces églises aujourd’hui, si formalistes et impies ; ils tuent leur église en prenant la prescription pour en faire un dogme, en ne la laissant pas telle que Dieu l’a écrite. Alléluia! Je crois que la Parole éternelle de Dieu est aussi vraie qu’Elle l’a toujours été. Je L’ai éprouvée maintes et maintes fois, je sais qu’Elle est la Vérité. Amen.

55 Zacharie est resté juste là sur l’estrade, et l’Ange l’a quitté. Et il fut rendu muet.
Alors l’Ange a dit : « Marie, ta cousine qui est enceinte est déjà dans son sixième mois. » Et Il a dit : « Maintenant, ce Saint Enfant qui naîtra de toi sera le Fils de Dieu. »
Savez-vous ce que Marie a dit ? J’aurais voulu que nous ayons davantage de Marie ici en ce moment. Marie a dit : « Je suis la servante du Seigneur. Qu’il me soit fait selon Ta Parole. » Oh ! la la !
Elle n’a jamais douté ; elle n’a jamais douté. Et, en plus, elle n’a jamais attendu jusqu’à ce qu’elle ait senti la vie. Elle n’a pas attendu d’être sûre. Elle n’a pas attendu de voir que quelque chose s’est arrêté en elle. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]

56 Gloire ! C’est amplement suffisant, quand c’est Dieu qui dit cela, cela règle la question pour l’éternité. Cette Parole était amplement suffisante pour elle. Elle a dit : « Je suis la servante du Seigneur. Qu’il me soit fait selon Ta Parole », et elle a commencé à se réjouir là-dessus, sans attendre... Voyez-vous, elle devait croire l’impossible. Elle devait croire quelque chose qui n’était jamais arrivé. C’est ce que nous devons faire. Nous devons croire l’impossible pour voir la nouvelle Vie. Amen.
Mais quand vous croyez l’impossible... Si le médecin dit que vous avez le cancer et que vous allez mourir, vous devez croire l’impossible pour voir une nouvelle Vie s’emparer de vous. Amen. Si le médecin dit que vous ne marcherez plus jamais, vous devez croire l’impossible pour voir la nouvelle Vie entrer en vous, la nouvelle Vie dans ces fibres. Et, ô Dieu, produis une nouvelle main, un nouveau bras, de nouveaux poumons, un nouvel estomac, quoi que ce soit. Dieu le fera si vous Le prenez au Mot.

57 Or, elle n’en avait aucune preuve du tout, si ce n’est Sa Parole. Oh ! j’aime cela. Je pense arrêter juste une minute maintenant même. Comme je l’ai dit, je ne prêche pas à tous ceux qui vivent juste sur l’autoroute. Je dois parfois descendre la ruelle pour prendre quelqu’un.
Souvenez-vous de Rahab la prostituée. Elle n’a pas... Quand les espions ont rapporté que Josué était un grand homme de Dieu et que Dieu lui avait dit : « Je serai avec toi comme j’ai été avec Moïse »…
Elle avait appris comment tous les Amoréens et les autres là-bas étaient tombés victimes, et comment Moïse avait tué Agag et les autres. Mais elle n’a jamais dit : « Attendez un instant que je voie Josué. Et que je le voie accomplir une espèce de miracle, et alors je croirai. »
Non, non. La parole des espions était amplement suffisante pour elle. Alléluia! Elle est devenue aussi l’arrière-arrière-arrière-arrière-grand-mère de notre Seigneur Jésus-Christ. C’est tout à fait exact. Elle s’est mariée avec un – un officier d’Israël, et de cette union est issu un fils, Boaz. Et de Boaz est issu Isaï ; d’Isaï est issu David ; de David est issue Marie. Alléluia!
Eh bien, une femme des Gentils, incirconcise de coeur et d’oreille, a cru le message et l’a reçu sans aucune preuve du tout. Elle avait appris qu’il y avait un Dieu qui était capable...

58 Oh ! je me sens religieux. Elle croyait le message. Elle a pris Dieu au Mot, son nom est devenu immortel. L’arrière-grand-mère de notre Seigneur Jésus-Christ. Parce qu’elle avait pris Dieu au Mot. Et considérez qu’elle devait sortir de sa condition d’une prostituée dans une ville. Oh ! qu’est-ce qui peut laver mes péchés ?
Rien que le Sang de Jésus ;
Qu’est-ce qui peut me rétablir ?
Rien que le Sang de Jésus. Oh! précieux est ce flot
Qui rend une prostituée blanche comme neige ;
Je ne connais d’autre source,
Rien que le Sang de Jésus.

59 Aucune église, aucun credo, aucune dénomination, aucun ceci, aucun cela, le Sang de Jésus-Christ est la seule chose qui vous rendra blanc. Amen. Maintenant, je ne fais pas des histoires au sujet de vos églises ; je ne fais pas des histoires au sujet de votre credo. J’essaie de dire : « Ne fondez pas vos espoirs là-dessus. »
Ne dites pas : « Je suis un méthodiste et cela règle la question. »
Si vous êtes un méthodiste lavé dans le Sang de Jésus-Christ et rempli du Saint-Esprit, que Dieu bénisse votre coeur. Nous sommes certainement à cent pour cent frères et soeurs. Oui, oui. Baptiste, presbytérien, catholique, luthérien, quoi que vous soyez.
Mais quand vous dites : « Eh bien, je suis méthodiste. » ; « Je suis baptiste. », ça ne veut rien dire. Jésus a dit qu’il n’en était pas ainsi au commencement. C’est juste. Il ne reconnaît rien d’autre que Son propre Sang. Dieu ne reconnaîtra rien d’autre que Son propre Fils. Et c’est juste. Il est...
« Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, » a dit Dieu à la montagne de la transfiguration, « écoutez-Le. » Amen.
Jésus a dit : « Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. » Sur ce Rocher, je me tiens ce soir, peu importe comment je me sens ou ce que le diable dit. C’est Juste. La Parole de Dieu. « Les cieux et la terre passeront, mais cette Parole ne passera jamais. » Amen.

60 Je crois en Sa Parole. Je ne connais rien d’autre que Sa Parole. C’est en cela que je crois, et je – je ne marche pas d’après ce que je sens. Le diable me fait… me donne parfois le sentiment que je ne suis pas sauvé ; et le diable me donne le sentiment que je n’ai pas été guéri. Peu m’importe ce qu’il dit, je pourrais le battre chaque fois avec cette Parole. Je dis : « AINSI DIT LE SEIGNEUR. Regarde ça, mon gars. Oui, oui, tu ne peux pas enlever cela. »
Jésus l’a vaincu de la même manière. Il a dit : « Il est écrit. » Il avait le pouvoir de le renvoyer en enfer, mais Il ne l’a pas fait. Il a montré que Satan pouvait être vaincu juste là avec la Parole de Dieu. Chaque fois que Satan L’a affronté, Jésus l’a vaincu par Dieu. La Parole éternelle et sans fin de Dieu est la Vérité. Oui. Amen. J’aime cela. Sachez que vous avez un fondement sûr. [Frère Branham frappe sur la chaire. – N.D.E.]

61 Elle n’a jamais attendu autre chose. Elle a reçu la Parole de Dieu dans son coeur, et elle allait partout, témoignant qu’elle allait avoir un bébé, avant d’avoir eu une quelconque preuve de cela. Maintenant remarquez, c’est une disgrâce pour une jeune fille d’avoir un bébé sans être mariée. Elle ne s’est pas souciée de la disgrâce ; elle avait la Parole de Dieu.
Ce soir, bien des gens disent : « Oh ! s’il faut que je descende là pleurer et crier, si jamais il faut que je parle dans ces langues, oh ! pas moi. Oh ! eh bien, ma mère me mettrait à la porte. Mes camarades, eh bien, ils ne joueraient plus jamais aux cartes avec moi. »
Ne vous en faites pas. Si vous faites cela, vous ne jouerez plus aux cartes, de toute façon. C’est juste. Vous ne devez pas vous en faire pour cela. Et vos associations seront pour vous un tas d’ordures. C’est tout à fait juste. En effet, il n’y aura qu’une association: C’est le Sang de Jésus-Christ, et les rachetés depuis la fondation du monde. C’est ça l’association de Jésus-Christ. Amen.
Lavé dans le Sang, critiqué, méprisé, rejeté, chassé, traité d’idiot, et tout le reste ; mais cela n’enlève pas la promesse de Dieu. Dieu reste le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et nul ne vaut plus que Sa Parole, et Sa Parole tient aussi bon maintenant qu’avant, pour tout celui qui La croira.

62 Elle a dit : « Je suis la servante du Seigneur. Qu’il me soit fait selon Ta Parole. » Je peux voir ses petits yeux bruns briller comme les étoiles du ciel.
Elle va partout, disant : « Vous savez, je vais avoir un Bébé. »
« Oh ! Marie. »
« Oui, je vais avoir un Bébé. »
« Etes-vous déjà mariés, Joseph et toi ? »
« Non. Il sera le Fils de Dieu. » Amen. Rien de tel n’était jamais arrivé avant. Mais elle ne se souciait pas de savoir si cela était déjà arrivé ou pas, de toute façon. Elle avait la Parole de Dieu, la promesse de Dieu. C’est amplement suffisant. Elle ne se préoccupait pas du côté honteux de la chose. Elle avait la Parole de Dieu pour cela. C’est exact.

63 Regardez dans le temple ce jour-là, quand elle L’a consacré. Il venait là et toutes les mères venaient là, avec des petits bébés portant de petits habits brodés et tout comme cela, et – et là toutes disaient : « Oh ! oh ! regardez là-bas, voilà la Marie en question. Voyez-vous, ce bébé est né hors du mariage. Restez loin de Lui ; ne vous approchez pas », et on se tenait bien loin de Lui. Il était enveloppé dans des langes, pas dans un ouvrage brodé, des langes.
Et pendant qu’Il était couché là-dedans, si ce qu’on m’a rapporté est vrai, c’est le joug que porte le boeuf que les gens – les gens avaient mis là dans l’étable, il y avait un tissu qui empêchait le joug de frotter ses épaules. On dit que c’est là-dedans que Jésus a été enveloppé, qu’Il n’avait même pas d’habits à porter, qu’Il n’avait pas un lieu où reposer Sa tête, qu’Il est venu au monde par un sein emprunté, sur un tas de fumier, et en partant Il a dû emprunter une tombe pour y être enterré. Et ensuite, nous, nous pensons être quelqu’un. Oh ! la la !
Le Dieu du Ciel Qui a été capable de créer du pain et du poisson, et de changer l’eau en vin, Qui a fait les cieux et la terre et Il a pris la place d’un homme humble, le plus pauvre de tous, Il a lavé les pieds des disciples. Il a lavé la poussière même qu’Il avait créée. Il était fait de la poussière même qu’Il avait créée, Il a dressé Sa tente ici bas, et Il a vécu parmi nous dans un corps de chair, Il a quitté Son rang, Il est venu de Dieu, du Ciel pour devenir un homme, afin de toucher le coeur. C’est un super signe.

64 C’est un vrai signe. Vous parlez des signes ; quand Jéhovah a été fait chair et a habité parmi nous, voilà un signe qui devrait toucher le coeur de chaque homme, de voir que Dieu est si humble. Le Dieu précieux et tendre a mis de côté Sa magnificence, Il s’est abaissé pour faire la cour à mon âme et la gagner. Comme Booth-Clibborn l’a écrit dans son célèbre cantique Il est descendu de Sa Gloire. Oh ! la la ! J’aimerais écouter ce cantique dans la gloire. « Le Grand Créateur est devenu mon Sauveur. Et toute la plénitude de Dieu habite en Lui. » Comme j’aime cela.

65 Aujourd’hui, alors que les gens essaient de faire de Lui un prophète, essaient de faire de Lui un simple homme, Il était plus que cela ; Il était Emmanuel.
Et Il était là. Elle est sortie en courant, elle a commencé à dire à tout le monde ce qui était arrivé. (Oh ! combien Dieu l’avait bénie.) Et il se fit qu’elle s’est dit : « Ma cousine Elisabeth, je ne l’ai pas vue depuis des années. Je pense donc que je vais passer là la voir. »
Elle a donc couru la voir, comme je l’ai dit l’autre soir. Et quand elle est montée là pour la voir, Elisabeth s’était cachée pendant plusieurs jours, parce qu’elle était une – une – une… à l’époque les femmes ne se montraient pas comme elles le font aujourd’hui. Et ainsi, elle s’est vite retirée quelque part pour se cacher.

66 Voyez ces dames. Excusez-moi, soeurs, je vous en prie, juste une minute. Mettez simplement votre conscience de côté un instant. Vous écoutez votre médecin. Vous devriez m’écouter de la même manière ; je suis votre frère. Mais une femme enceinte se promène ici, voyez-vous, avec ces sales petits shorts et autre comme cela, c’est une disgrâce pour la nation, pour le drapeau, pour la race humaine, pour toute autre chose. Une cigarette en main, marchant comme cela. Oh ! la !la ! la ! la !
Si – si ce que j’ai c’est le Saint-Esprit, vous aurez très peu de chance d’arriver même à la porte. Et c’est juste. Dieu hait cela. Certainement. La chose la plus vile qu’une femme ait faite, c’est quand elle a commencé à fumer la cigarette. Et vous, mari, qui la laissez faire cela, eh bien, j’ai ma propre opinion sur vous. C’est exact. Vous n’êtes pas le chef de votre maison, certainement pas.

67 Je ne dis pas que ma femme ne peut pas faire cela ; mais le jour où elle le fera, elle ne sera plus Mme William Branham. Ça c’est sûr. Effectivement, oui, je ne dis pas que mes filles ne peuvent pas faire cela. Mais regardez simplement leur dos et voyez combien d’ampoules elles auront après cela. C’est tout à fait exact. Je ne dis pas qu’elles ne peuvent pas le faire ; je ne sais pas. C’est Dieu qui tient le futur. J’espère ne pas engendrer une telle chose. C’est juste. Je ne sais pas ce qui peut arriver.
Mais, écoutez, alors que ce qui fait que la cinquième colonne est pire dans cette nation, c’est la mère qui fume la cigarette… J’ai des statistiques émanant du gouvernement. Elles montrent que quatre-vingts pour cent des mères qui fument doivent nourrir leurs bébés avec le lait de vache, si elles fument. S’ils absorbent le poison de la nicotine qui se trouve dans le lait, ils ne vivront pas dix-huit mois. Pensez-y....
Le sabotage ? Oh ! comme je l’ai toujours dit : « Ce n’est pas le rouge-gorge qui picore la pomme qui l’abîme, c’est le ver qui se trouve dans son coeur qui la tue. » C’est juste. C’est notre propre crasse et notre propre saleté tout autour...

68 Ces compagnies de cigarette essaient de faire croire aux femmes qu’elles ont diminué la dose ; cela vous donne la tuberculose et le cancer. Les médecins ne vous disent-ils pas ça ? N’écoutez pas tout cela. Ils prennent cette histoire et – et exposent cela là à la télévision et – et puis, ils font disparaître cela des taxes du gouvernement des États-Unis, et ensuite ils prennent un pasteur et l’envoient en prison pour n’avoir pas payé des impôts sur quelque chose qu’il est... Oh ! la la ! Nous sommes bien prêts pour le châtiment. Il ne reste rien d’autre que le jugement. C’est juste.
Elle n’est pas très vieille. Apocalypse 13 dit que cette nation ne vivra pas très longtemps, de toute façon. Vous le savez. Le petit agneau s’est levé, mais il n’est jamais devenu un bélier comme les autres. Il est mort dans sa jeunesse. C’est juste. Quand le pouvoir ecclésiastique et le pouvoir politique se sont rencontrés avec ces deux petites cornes du bélier, ils ont uni l’église et l’Etat. Et c’est pratiquement ce que nous sommes en train de faire maintenant même. Cela dépend tout simplement du sens dans lequel les vagues iront, quand ils auront d’autres élections. Et nous en sommes presque là maintenant. Laissez tout simplement cela évoluer.

69 Vous pouvez penser que je suis un fanatique, mais notez cela quelque part sur votre petit bout de papier, mettez cela dans votre Bible, et observez un de ces jours. Ça vient. Il se peut que cela soit juste à la porte. Vous feriez mieux de prier. Vous feriez mieux de vous mettre en ordre avec Dieu. L’heure est proche.
Et nous voyons les nations se disloquer, Israël se réveiller, les signes que la Bible a prédits. Les jours des Gentils sont comptés, encombrés d’horreur. Oh ! retourne, ô toi qui es dispersé, chez toi. Oh !la la ! Eloignez-vous de ces choses du monde et allez auprès de Dieu aussi vite que possible. C’est le seul espoir que nous avons, la seule chose qui reste. Chaque nation est prête à voler en éclats ; le temps de la fin est proche. Et il n’y a rien d’autre qui puisse subsister, nulle part où vous pouvez placer votre espoir si ce n’est dans la Venue du Seigneur Jésus-Christ et le juste... ?... Amen. Combien c’est vrai !

70 Marie est allée voir Elisabeth. Et je peux voir Elisabeth là derrière en train de tricoter ces petits chaussons, vous savez, et d’apprêter les choses pour le bébé. Mais vous savez ce qui était drôle, le bébé n’avait jamais bougé. Elle, la mère, était à son sixième mois, et c’est tout à fait anormal. Nous le savons. C’est entre trois et quatre mois, et voilà que cela faisait déjà six mois et le petit Jean n’avait jamais bougé. Et elle était là derrière en train d’apprêter les petits chaussons. Et j’entends quelqu’un dire : « Je vois venir une femme. » Peut-être quelqu’un qui était à l’extérieur.
Et Elisabeth a soulevé le rideau, elle a regardé. Elle a dit : « Je dois connaître cette femme. Peu importe de qui il s’agit, elle est très heureuse. »
Vous savez, il y a quelque chose chez un chrétien qui fait qu’il est très heureux. Il y a quelque chose dans un homme qui a déjà rencontré Dieu ; il y a quelque chose d’heureux dans cette femme ou dans cet homme.
Voici venir la petite Marie. Elle avait (oh !) dix-huit ans environ. Ses petits yeux étincelaient, ses petites joues étaient roses. Et voici qu’elle vient en toute hâte. Oh, elle se réjouissait simplement et – et louait Dieu.
Et lorsqu’elle s’est approchée, Elisabeth a bien regardé et a dit : « Eh bien, ce doit être Marie, ma cousine. » Eh bien, vous savez que Jean et Jésus étaient des cousins issus des germains. Elle a donc dit : « Voici venir ma cousine Marie. ».

71 Et elle est sortie de la maison en courant, elle a pris son petit châle et s’en est couverte. Elle est sortie en courant, et elle est allée à la rencontre de Marie et a jeté ses bras autour d’elle et s’est mise à l’étreindre.
Vous savez, je souhaiterais que les gens s’aiment encore comme cela, pas vous ? Oh ! la la ! ils sont froids, n’est-ce pas ? Tout aussi froids qu’une excroissance sur un cornichon. Je n’ai jamais rien vu de tel dans ma vie. Oh ! c’est terrible. Plus personne ne témoigne de l’amitié.
Frère Arganbright, vous rappelez-vous, il y a bien des années, quand nous avions la ferme, et que le voisin avait là un problème ? S’il tombait malade, nous allions couper du bois pour lui, rentrer son maïs, labourer son champ de maïs, ou quoi que ce fût. On s’entraidait. Maintenant, vous ne savez pas que votre voisin est mort à moins que vous lisiez cela dans le journal ou quelque part. C’est vrai. Nous n’avons plus d’amour les uns pour les autres.

72 Et nous sommes sortis, juste ici récemment. Les gens ne se comportent même pas correctement les uns envers les autres. J’allais en ville. (Elle me reprendra pour ceci, ma femme.) J’allais donc en ville ; cette dame a dit : « Bonjour, soeur Branham. »
Je lui ai jeté un coup d’oeil, et j’ai dit : « Meda. » J’ai dit : « Cette dame-là t’a parlé. »
Elle a dit : « J’ai répondu. »
J’ai dit : « Comment a-t-elle entendu cela alors que moi qui suis assis à côté de toi, je n’ai pas entendu ? Et je sais que mes oreilles entendent bien ; j’ai une bonne ouïe. » J’ai dit : « Comment – comment t’a-t-elle entendue ? »
Elle a dit : « Je – je – j’ai souri. »
J’ai dit : « Oh ! la la !... » Une pauvre petite salutation ridicule.
Eh bien, ça ce n’est pas parler. Certainement pas. J’aime une vigoureuse bonne poignée de main, à l’ancienne mode comme cela. Je – j’aime sentir cela.

73 C’est comme l’a dit Paul Rader quand il quittait sa maison un jour. Il a dit que lui et sa femme avaient eu une petite discussion à table. Vous souvenez-vous tous du regretté Paul Rader, qui est mort ici en Californie ? Le cimetière des pasteurs, Los Angeles, tous vont là-bas et meurent.
Ainsi donc, quand ils sont arrivés à ce point-là, lorsqu’il quittait… il a dit qu’en quittant sa femme, ils avaient eu une petite prise de bec. Et il a dit que d’habitude, à la porte il – elle, il l’embrassait en guise d’au revoir, il allait jusqu’au portail, et alors ils se disaient au revoir de la main. Il a dit que ce matin-là, il est allé à la porte, mais elle avait plutôt la tête baissée. Il a dit qu’il l’a embrassée en guise d’au revoir, puis il a franchi le portail et il a de nouveau agité la main en guise d’au revoir.
Il s’est mis à descendre la rue, et il s’est fait qu’il s’est dit : « Et si elle mourait ? Et s’il m’arrivait quelque chose ? Elle est la femme la plus chère qu’il y a sur la terre ; combien je l’aime ! Je me souviens quand je lui ai promis à l’autel que je lui serais fidèle, toutes ces choses-ci, que je l’aimerais, l’honorerais et la chérirais toujours. » « Oh ! a-t-il dit, Dieu a commencé à traiter avec mon coeur. Je suis revenu, j’ai franchi le portail, jusqu’à la porte, j’ai ouvert la porte et j’ai dit : ‘Faye, où es-tu ?’ » Il a dit : « Elle était là... [Frère Branham renifle. – N.D.E.] (Vous savez comment peut faire une femme, vous savez.) debout derrière la porte, en quelque sorte en train de pleurer. »
Il a dit qu’il l’a regardée comme cela, qu’il lui a relevé le menton, et qu’il lui a donné un très gros baiser sur les lèvres, puis s’est retourné et a dit : « Au revoir. »
Elle a dit : « Au revoir. »
Il a dit qu’il a franchi le portail en courant, il s’est de nouveau retourné, et il a dit qu’il a regardé derrière ; elle se tenait à la porte. Et il a dit : « Au revoir. »
Elle a dit : « Au revoir. » Il a dit : « Elle l’a dit juste comme la première fois, mais cette fois-ci cela avait de la chaleur. » C’est donc la raison pour laquelle j’aime une poignée de main. Cela a de la chaleur.
J’aime une religion comme cela (Amen.), celle qui a de la chaleur, montrant que vous êtes passé de la mort à la Vie, et le Saint-Esprit vous rend témoignage que vous êtes fils et filles de Dieu. Quelque chose qui a de la chaleur, quelque chose qui vous donne la certitude que vous êtes passé de la mort à la Vie.
Récemment, en Floride, je suis allé là pour rendre visite à ce petit garçon appelé petit David. Dites donc, je pense que je vois le frère… comment s’appelle-t-il, là au fond ? Il est du Tabernacle ; Morris, est-ce juste ? Vous souvenez-vous de la soirée où notre Tabernacle était trop petit, notre auditorium et nous avions dû aller là, pour un échange avec le petit David ? Le petit David avait un grand auditorium, et nous avions trop de monde pour notre auditorium, nous avons simplement fait un échange. Et il est venu là, et euh, nous sommes allés et avons pris le sien.
J’ai dit : « David, laisse-moi te payer pour cela », ou plutôt à M. Walker, son père.
Il a dit : « Ne vous en faites pas, ne vous en faites pas, il n’y a pas de problème, Frère Branham. Allez-y. »
Et le petit David s’est rendu en Floride. Et évidemment le… C’est là le problème qu’ont les pentecôtistes, ils… le boeuf connaît son étable ; le maître connaît le... « L’âne connaît la crèche, mais Mon peuple ne connaît rien. »
Quand ils ont eu ce petit David, qui aurait pu gagner des milliers d’âmes, mais comme il venait d’une autre organisation, alors l’autre organisation devait avoir un petit David, l’autre organisation aussi, l’autre organisation aussi ; toutes ont eu des petits David. Dès que Dieu donne un don de guérison, l’autre doit l’avoir ; cette dénomination-ci doit l’avoir, et celle-là doit l’avoir ; et celle-là... Oh ! la la ! Les gens ne comprennent tout simplement pas ; c’est tout.

74 Ils ont pris ce petit garçon ; ces vieux papas chrétiens auraient dû l’entourer et lui faire descendre un peu la tête ; il ne se serait pas gonflé d’orgueil. Ce petit garçon était un prédicateur, pas : « Maman, toi, petit Jésus qui est né... Ne... ?... C’était quoi la suite, maman ? » Non, non, ce petit garçon prenait un texte et le traitait comme un prédicateur. Et si eux tous s’étaient tenus tout autour et ne l’avaient pas laissé s’enfler d’orgueil, il aurait gagné des dizaines de milliers de petits enfants à Christ. Mais non, chacune devait avoir un petit David.
Il y avait là Mme Willet ainsi que les autres, avec toutes sortes de petits David, et deux pages pour inscrire des petits David. Il m’a donc demandé si je viendrais ; il a raccroché. Et je suis allé là, et il y avait une espèce de duchesse ou... C’est quoi encore ? Est-ce juste, duchesse ? Une sorte de femme, cette duchesse, je ne sais pas ce que cela veut dire, mais c’était une femme importante. Et, oh, il y avait là des milliers de personnes pour qui on devait prier. C’est alors que frère Bosworth est arrivé. Et...
Oh ! quelqu’un est venu vers moi, c’était frère Lindsay, et il a dit : « Frère Branham. » (Je pense que c’était frère Lindsay ou frère Moore, l’un d’eux), il a dit : « La duchesse veut vous voir. »
J’ai dit : « La quoi ? »
Il a dit : « La duchesse. »
J’ai dit : « Qui est la duchesse, et c’est quoi, une duchesse ? »
Et il a dit : « C’est une femme importante, une sorte de personnage important, vous savez. » Et il a dit : « C’est elle la propriétaire de ce terrain-ci. »
J’ai dit : « La voir elle et laisser ces pauvres gens malades étendus ici ? Et environ deux mille personnes cherchent à m’atteindre pour une prière en leur faveur, alors que je pars cet après-midi, et je vais voir une femme qui est en très bonne santé et laisser ces pauvres gens étendus là ? » J’ai dit : « Non, non, je vais voir ces malades, si j’ai le temps d’en voir un autre. »
« Oh ! a-t-il dit, mais frère Branham, elle se tiendra à la porte quand vous sortirez. » Il a dit : « Cela ne vous prendra pas beaucoup de temps. Elle veut juste vous rencontrer. »
« Eh bien, ai-je dit, d’accord. »
Et comme je sortais, voici qu’il se tenait là une femme énorme, portant aux mains une quantité de bijoux qui suffiraient pour supporter cinquante voyages d’un missionnaire autour du monde, pour prêcher l’Evangile. Et elle est venue là, et elle avait une paire de lunettes sur une baguette. Elle la tenait comme ceci.
Et elle a dit : « Bonjour. »
Elle a dit : « Etes-vous docteur Branham ? »
J’ai dit : « Non, Madame. Non, Madame. » J’ai dit : « Je suis juste frère Branham. »
Et elle a dit : « Ravie de faire votre connaissance », tout en gardant la main très haut comme cela. J’ai saisi cette grosse vieille main grasse, et je l’ai rabaissée, et j’ai dit : « Abaissez-la à ce niveau afin que je vous reconnaisse quand je vous verrai. » J’ai essayé de l’amener... Oh ! je vous assure, frère, je... Oh ! jamais je ne... A quoi sert-il de faire ce que nous appelons (Excusez-moi l’expression.), « faire de l’épate », quand vous ne valez rien du tout, de toute façon ? Oh ! si notre peuple américain pouvait éviter de faire de l’épate !

75 Frère Arganbright, je ferais mieux de ne pas dire ce que nous avons vu en Suisse, apporter… cette femme, arrivant là avec tout… avec toute cette bijouterie de bazar. Nous passions de bons moments jusqu’au moment où Miss Amérique s’est amenée et a déposé un caniche sur la table, et je... Oh !...
Ça suffit pour vous écoeurer. Je n’ai pas beaucoup apprécié ce bifteck ce jour-là, frère Arganbright, là à Lausanne. Jamais je... Cela vous écoeure. Oh ! elle est Miss Amérique, la cigarette... Le médecin lui a certainement recommandé d’en rester éloignée autant que possible. Elle tenait ça comme cela. Avec une très longue tige, cherchant à faire de l’épate. Oh ! je n’ai jamais vu pareille chose de ma vie. Qu’est-ce ?

76 Je passais dans un musée, il n’y a pas longtemps, et ils avaient l’estimation d’un corps humain qui gisait là. Et c’était juste assez de blanc de chaux pour asperger un nid de poule. Et cet homme pesait 150 livres [environ 70 kg – N.D.T.]. Et c’est juste assez de calcium et de potasse... De toute façon, tout compte fait, un homme de 150 livres [environ 70 kg], vous savez ce qu’il vaut ? 84 cents.
Et vous mettez un – un chapeau de 20 dollars sur 84 cents, un manteau de vison d’une valeur de 500 dollars sur 84 cents ! Vous relevez votre nez en l’air, et s’il pleuvait, cela vous noierait, vous essayez de penser que vous êtes quelqu’un d’important alors que vous ne l’êtes pas. Vous ne valez que 84 cents ; c’est tout.

77 Oh ! la la ! Si vous allez au restaurant et commandez un bol de soupe, et que là-dedans se trouve une araignée, vous intenterez un procès contre ce restaurant. Et puis vous laissez le diable bourrer votre gorge de cigarettes, de tabac et de péché pour condamner cette âme qui vaut 10.000 mondes. Et puis vous parlez de civilisation ! Oh ! la la ! Nous sommes... La roue a encore tourné à reculons. Certainement.
Ces garçons qui se tenaient là ont regardé cela ; et l’un a regardé l’autre et a dit : « Jack, nous ne valons pas grand-chose, n’est-ce pas ? 84 cents ! »
J’ai dit : « Un instant, les garçons. Vous avez là à l’intérieur une âme qui vaut 10.000 mondes. C’est juste. » Jamais il n’estime... Tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière,
Ne fut pas dit de l’âme.
La vie des tous les grands hommes nous rappelle
Que nous pouvons rendre nos vies sublimes,
Et en partant laisser derrière nous
Des empreintes de pas sur le sable du temps.
Des empreintes de pas qui feront que quelqu’un d’autre peut-être,
En naviguant sur l’océan solennel de la vie,
Un frère désespéré qui a fait naufrage,
Reprenne courage en les voyant. Oh ! j’aime tant cela, ce Psaume de la Vie de Longfellow.

78 La petite Marie, comme elle arrivait là (je reviens à mon texte), ses petites joues rougissaient, ses yeux… elle savait qu’elle était près de la maison. Sur tout son chemin, elle témoignait à tout le monde qu’elle allait avoir un bébé.
Voici sortir Elisabeth avec son petit châle sur elle, et elle a dit : « Marie. »
Et elle a dit : « Elisabeth. »
Et elles ont commencé à s’étreindre. Oh ! la la ! Et elle a dit : « Je suis très ravie de te voir, Marie. »
Elle a dit : « Oui, je suis ravie. »
Elle a dit : « Je vois. »
Elle a dit : « Oui, c’est juste. » Elle a dit : « Je suis enceinte. » Elle a dit : « Zacharie, mon mari, est tout muet. » Elle a dit : « Il n’arrive plus à parler. Il a rencontré un Ange. »
Elle a dit : « Je comprends. » Amen. Elle savait tout ce qu’il en était.
Elle a dit : « Mais, tu sais quoi, Marie ? » Elle a dit : « Je suis un petit peu inquiète. »
Elle a dit : « Pourquoi ? »
Elle a dit : « Cela fait six mois que je suis enceinte, et il n’y a pas encore de vie. » Elle a dit : « Je suis un petit peu inquiète. »
Et je peux voir Marie avec ces petits yeux. Elle a dit : « Mais, tu sais, moi aussi je suis enceinte. »
« Oh ! êtes-vous déjà mariés, Joseph et toi ? »
« Non, nous ne sommes pas encore mariés, Joseph et moi. Non. »
« Marie, ma cousine, tu vas avoir un bébé avant que Joseph et toi ne soyez mariés ? »
« Oui. » Amen.
« Oh ! comment cela va-t-il se faire ? »
« Le Saint-Esprit va me couvrir de Son ombre. Il l’a déjà fait. Oh ! et dans mon sein il y aura un bébé qui sera le petit Emmanuel. Et Il a dit que je Lui donnerai le Nom de Jésus quand Il va naître. »
Et dès qu’elle a dit « Jésus », le petit Jean s’est mis à crier et à bondir, à bondir, de toutes ses forces, à bondir. Oh ! la la ! Et le Saint-Esprit est descendu sur Elisabeth ; et la Bible dit que Jean a été rempli du Saint-Esprit dans le sein de sa mère. Oh ! la la ! Oui. Dieu tient Sa Parole.
Et, écoutez, si la première fois que le Nom de Jésus a été prononcé par des lèvres humaines a fait qu’un bébé mort revienne à la vie et bondisse de joie dans le sein de sa mère, qu’est-ce que cela devrait faire à une église qui déclare être née de nouveau de l’Esprit ? Amen.
Comment un cancer mortel peut-il rester là, comment une cataracte mortelle peut-elle rester là ? Comment un esprit sourd-muet peut-il vous lier, quand il est dit : « En Mon Nom, ils chasseront les démons » ? Alléluia!
Ne doutez simplement pas. Recevez Sa Parole comme Marie, et commencez à vous réjouir. Allez-vous le faire ? Vous pour qui on va prier ce soir, allez-vous, dès que le Nom de Jésus sera invoqué sur vous, allez-vous commencer à sauter de joie en disant : « Que Dieu soit loué. C’est complètement terminé maintenant. Alléluia, c’est complètement parti maintenant » ?
En sortant d’ici, si quelqu’un dit : « Comment vous sentez-vous ? »
« A merveille, à merveille, merveilleusement bien. »
« Pourquoi ? Comment savez-vous que vous êtes guéri ? »
« Dieu l’a dit. C’est tout. »

79 C’est comme les gens ont dit à Abraham : « Comment sais-tu que tu vas avoir ce bébé ? »
Il a dit : « J’ai besoin de dix yards de tissu [environ 10 m – N.D.T.] de couches. J’ai besoin d’épingles. J’ai besoin de chaussons. »
« Pourquoi ? Eh bien, tu es un vieil homme, ta femme est vieille. »
« Cela ne change rien ; nous allons avoir un bébé. »
« Comment savez-vous que vous allez l’avoir ? »
« Dieu l’a dit. » Le premier mois est passé. « Sara, comment te sens-tu?»
« Aucun changement. »
« Nous allons avoir le bébé de toute façon. C’est Dieu qui l’a dit. »
Dix ans s’écoulèrent ; vingt ans s’écoulèrent ; vingt-cinq ans s’écoulèrent. « Comment te sens-tu, Sara ? »
« Aucun changement du tout. »
« Gloire à Dieu ! Nous allons avoir le bébé, de toute façon. »
« Comment le sais-tu ? »
« Dieu l’a dit. » Ça suffit. Quand Dieu l’a dit, ça suffit. Abraham appela ces choses qui n’étaient pas comme si elles étaient, parce qu’il avait accepté la Parole de Dieu selon laquelle Il est capable de tenir Sa promesse. Et nous qui sommes morts en Christ, nous devenons la postérité d’Abraham et sommes héritiers selon la promesse. Et nous n’arrivons pas à faire confiance à Dieu pendant quinze minutes. Nous n’arrivons pas à Lui faire confiance entre l’instant où nous quittons ici et l’instant où nous nous trouvons loin de la chaire, nous doutons déjà de la chose. Et d’où viendra donc l’enlèvement ? La postérité d’Abraham !

80 Quand vous vous conformez aux commandements de Dieu et prenez Dieu au mot, ces signes accompagneront ceux qui auront cru. Dieu a envoyé des dons et tout le reste, et Il nous a confirmé qu’Il est avec nous. Quand nous vous imposons les mains, croyez-le de tout votre coeur. Descendez de l’estrade. C’est une oeuvre achevée. C’est Dieu qui l’a dit. Amen.
Quelqu’un dit : « Vous êtes paralysé et incapable de bouger même un doigt. »
Dites : « Je suis déjà guéri. »
« Comment le savez-vous ? »
« Dieu l’a dit. Dieu l’a dit. »
« Frère Branham l’a dit. » Non, jamais. C’est Dieu qui l’a dit. C’est Dieu qui l’a dit, et la Parole de Dieu est la Vérité. Rien d’autre ne peut L’arrêter. Que ce soir Dieu nous donne davantage de Marie et de gens qui recevront Sa Parole. Inclinons la tête maintenant pendant que nous prions.

81 Y en a-t-il un dans la salle, avant que nous commencions la ligne de prière, qui voudrait dire : « Frère Branham, je voudrais avoir en moi l’Esprit de Dieu qui fera que j’accepte chaque Parole de Dieu et dise que c’est la vérité. Je voudrais avoir en moi l’Esprit de Dieu qui fera que je dise : ‘Dieu l’a dit. C’est tout ce qu’il en est.’ » ? Et chaque promesse dans le Livre est mienne,
Chaque chapitre, chaque verset, chaque ligne.
Je crois dans Son amour divin,
Car chaque promesse dans le Livre est mienne. Voudriez-vous lever les mains et dire : « Priez pour moi, frère Branham ? » Que Dieu vous bénisse. Oh ! la la ! Partout dans la salle, c’est formidable.

82 Y a-t-il un pécheur qui ne sait pas Lui faire confiance, et qui oserait venir ici ? Maintenant, rappelez-vous, je ne suis pas l’un de ces pasteurs qui font un appel pathétique à l’autel. Je crois que c’est la Parole qui fait cela, sinon c’est… cela ne fera aucun bien, de toute façon. Voyez-vous ?
Je crois que si vous connaissez la Parole et croyez au Seigneur Jésus-Christ, vous monterez carrément ici ce soir, et vous vous tournerez vers cet auditoire et direz : « Je suis convaincu que Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Je L’accepte maintenant comme mon Sauveur personnel. »
Il y a plein d’eau ici dans le lac, et le Saint-Esprit attend. C’est juste. C’est de cette manière qu’il faut venir. C’est de cette manière qu’il faut venir. Oui, oui, si vous croyez, au moment même où vous croyez et L’acceptez comme votre Sauveur personnel, tenez-vous debout devant les hommes et rendez témoignage de cela. Il a dit : « Je rendrai aussi promptement témoignage de cela devant Mon Père et les saints Anges. » C’est vrai. Venez maintenant, je vous en prie. Alors que nous attendons juste un moment pendant que la musique continue à jouer.

83 Seigneur Jésus, je T’en prie, ô Seigneur. Je ne connais pas ceux qui sont dans l’auditoire. Tu les connais, Seigneur. Aide-moi, mon Seigneur. S’il y en a un ici, afin que je sois sûr qu’à ce grand jour du Jugement, ils ne pointeront pas un – un doigt osseux sur moi pour dire : « Si seulement vous aviez fait l’appel ce soir-là ! » Je leur donne maintenant cette opportunité, Père. C’est leur âme qui est en jeu. Père, qu’ils s’avancent maintenant pour confesser leurs péchés et croire en Jésus, Ton Fils, pour L’accepter comme leur Sauveur personnel.
Le Jésus même qui a été conçu dans le sein de Marie quand Jéhovah, le Dieu Tout-Puissant, l’a couverte de Son ombre, et a introduit une cellule de sang dans son sein, Il l’a unie à cet ovule qui était dans la femme, Il a produit cela, ce n’était pas le sang juif, ni le sang des Gentils, mais le Sang de Dieu... Par ce Sang sacré, sans mélange, Il nous a sauvés de nos péchés.
Seigneur, accorde que s’il y a un pécheur, Tu connais leur coeur, moi, je ne les connais pas, qu’ils viennent maintenant pendant que nous attendons. Pendant que Tu appelles les autres,
Ne m’oublie pas.
Sauveur (Si je ne vous revois plus, voici votre opportunité.) mon humble cri ;
Pendant que Tu appelles les autres,
Ne m’oublie pas. [Frère Branham fredonne. – N.D.E.] Je cherche Ta face ;
Guéris mon… affligé, brisé. [Frère Branham s’éloigne du microphone, et commence à prier pour les malades. – N.D.E.] … ?… Je prie… ?…

84 Cet homme, cette femme et ce jeune Indien, trois précieuses âmes. Nous avons la victoire maintenant. Ils sont montés ici ce soir, parce que Dieu les a appelés. Eh bien, Jésus a dit : « Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’appelle premièrement. » Est-ce juste ?
« Il faut que Mon Père l’appelle premièrement. Et tout celui qui viendra à Moi, Je ne le mettrai pas dehors. Et Je lui donnerai la Vie Eternelle et le ressusciterai au dernier jour. » Dieu a-t-Il dit cela ? C’est Sa promesse.
« Maintenant, celui qui a honte de Moi devant les – les hommes, J’aurai honte de lui au Jugement, devant le Père et les saints Anges. Mais celui qui se lève pour me confesser devant les hommes, Je le confesserai devant Mon Père et les saints Anges. »
Ces noms qui viennent de m’être donnés maintenant, Dieu les a inscrits dans le Livre de Vie. « Celui qui écoute Ma Parole et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. » Croyez-vous cela ?
Maintenant, mes amis et vos amis que voici n’ont plus honte ; ils sont frères et soeurs en Jésus-Christ.

85 S’il y a des ministres ici, qui sont de la place et qui connaissent ces gens, je voudrais que vous veniez devant maintenant ; tout ministre qui est de la place d’où viennent ces gens, venez et donnez-leur la main d’association ; amenez-les dans votre église et exécutez la prescription qui a été donnée dans la Bible pour eux. Y a-t-il ici un pasteur, pour montrer que – pour montrer que vous êtes… l’une des églises qui connaissent ces gens ?
Etes-vous d’ici ? De cette communauté, quelqu’un d’ici ? Vous n’êtes pas d’ici. Très bien, vous n’êtes donc pas de cet endroit-ci. Etes-vous le… mon jeune frère indien, vous n’êtes pas d’ici non plus ? Vous ne l’êtes pas. Combien parmi vous les accueillent dans le Royaume de Dieu Comme frères et soeurs, levez la main ? Que Dieu vous bénisse. comme vous retournez chez vous maintenant, irez-vous dans une bonne église et direz-vous au pasteur que vous êtes sauvé ? Le ferez-vous ? Le ferez-vous – le ferez-vous, monsieur. Le ferez-vous, soeur ? Que Dieu vous bénisse. Oh ! c’est beau. Chantons maintenant pour eux: Béni soit le lien qui unit, pendant qu’ils regagnent leurs sièges.
Allez-y maintenant. Et si jamais je ne vous revois plus de ce côté-ci de la rivière, je vous verrai là-bas. Serrez-leur la main pendant qu’ils passent. Béni soit le lien... Cher frère, allez à votre... ?... je voudrais... ?... belle communion fraternelle... ?... église... ?... Que Dieu vous bénisse... ?... Mon précieux frère, je suis reconnaissant... ?... Et un jour, quand... ?... [Espace vide sur la bande – N.D.E.] Oh ! avec ça, je me sens très bien. Pensez-y, c’est… que juste là, ça vaut trente mille mondes, selon la Bible. Chaque âme vaut dix mille mondes. Oh ! n’est-Il pas merveilleux ?

86 Je crois que Dieu va appeler ce jeune Indien à être prédicateur. Cette dame a dit qu’elle vient de Hot Springs, dans l’Arkansas. Et quand j’étais là à la réunion, ayant passé des moments difficiles, comme jamais connus, elle a dit que cette Lumière... Combien En ont donc vu la photo ? Nous L’avons ici, je pense que vous étiez tous là. Cette Lumière, elle L’a vue venir au-dessus de moi, pendant que je prêchais là, et son mari a dit qu’elle avait perdu la tête, qu’elle n’avait pas vu cela. Elle avait effectivement vu cela. Et elle en est restée marquée jusque maintenant. Elle est devenue une chrétienne maintenant. Que Dieu vous bénisse, soeur.
Ce même Halo de la grâce de Dieu est au-dessus de vous maintenant. Cela vous conduira jusqu’à la Terre promise. C’est la raison pour laquelle Cela a été envoyé. Amen. Amen.

87 Très bien, où est Billy Paul ? Quelles cartes de prière as-tu distribuées ? Quelque part... Est – est-il ici ? Série C, de 50 à 100. Très bien. Qui a la carte C-50 ? Levez la main, afin que nous soyons certain de les avoir toutes ici ; nous allons les appeler.
Voulez-vous que je vous dise quelque chose ? Il y a ici ce soir des gens qui ont pas mal de foi. C’est la meilleure foi que j’ai jamais vue depuis que les réunions ont commencé. Je peux voir des visions apparaître juste ici maintenant au-dessus des gens.
Si tu peux croire, tout est possible. Ayez simplement foi et ne doutez pas. Il est merveilleux, n’est-ce pas ?

88 Voyez-vous cet homme âgé qui est assis ici et qui souffre d’un durcissement des artères ? Et il est un petit peu dur d’oreille. Si vous croyez, là, monsieur, de tout votre coeur, Dieu vous rétablira. Amen.
Voici une femme qui est assise juste par ici, elle prie pour sa fille qui n’est pas ici, qui souffre de la sinusite. Si vous croyez de tout votre coeur, madame... Vous L’avez touché. Voyez-vous ? Ayez foi en Dieu.

89 [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… trouble de la vésicule biliaire... Croyez-vous que Dieu vous rétablira ? L’homme qui est assis à côté d’elle et qui souffre du coeur, croyez-vous que Dieu vous rétablira ? Cela s’accomplira. Acceptez cela, vous deux. Avez-vous une carte de prière ? Vous n’en avez pas ? Vous n’avez pas besoin d’en avoir une. Voyez-vous ? Il connaît votre coeur ; c’est pour cela que vous priez. Est-ce juste ? Levez la main afin que l’auditoire voie que c’est vrai. Levez la main. Très bien, juste ici...
Voyez-vous comment cela se passe ? Le Saint-Esprit est ici. Vous devez croire en Lui. Est-ce juste ? « Si tu peux croire, tout est possible, si tu peux croire. »
Je veille au discernement. Que la ligne du discernement se tienne là. Je vais juste prier pour ces gens-ci. J’ai vu quelque chose se produire. Amen.

90 Le mal d’estomac est terminé, monsieur, vous pouvez arrêter de prier, là-bas. Croyez que le Seigneur vous a guéri. Que Dieu vous bénisse. Croyez-vous cela ? Vous faisiez cette prière : « Seigneur, permets, je t’en prie, qu’il me parle ce soir. Je n’ai aucun moyen pour arriver là. » Votre mal d’estomac est terminé. Rentrez chez vous et soyez en bonne santé maintenant. Jésus-Christ vous rétablit. Il était assis là, priant de tout son mieux, et j’ai vu cette Lumière tournoyer au-dessus de lui comme cela. Je le vois refuser de la nourriture. Vous êtes bien portant maintenant. Partez, soyez en bonne santé.
Je vois une femme assise ici. Elle tient sa carte de prière en main, elle est assise juste là. Je ne crois pas qu’elle m’entende ; elle est dure d’oreille. Mais si seulement elle acceptait sa guérison ! Cela se trouve juste au-dessus d’elle maintenant. Son sang aussi n’est pas bon ; c’est un problème d’artères dans les bras et tout. C’est juste. Cette dame assez âgée, qui a des cheveux coupés court, en robe verte, qui tient sa carte en main, si vous croyez maintenant même, vous n’aurez même pas besoin de venir sur l’estrade. M’entendez-vous ? Très bien, ça a marché. Amen. C’est très bien. Vous n’avez donc pas besoin de venir, dites-lui simplement qu’elle n’a pas besoin de venir. Dites-lui, quelqu’un là-bas, qu’elle n’a pas besoin de venir. Vous êtes en bonne santé. Que Dieu vous bénisse.
Oh ! loué soit le Seigneur ! J’aime voir cela. Une pauvre vieille femme assise là ; personne ne s’occupait d’elle, personne ne faisait attention à elle, mais – mais Dieu l’a vue. Amen.

91 Ce frère qui est assis là, la tête relevée, tout en prière, vous n’avez pas de carte de prière, n’est-ce pas, monsieur ? Là-bas... Non, vous n’en avez pas besoin. Vous êtes en bonne santé de toute façon. Rentrez chez vous ; vous serez bien portant.
Maintenant, est-Il encore ici ? Qu’ont-ils touché ? Le bord de Son vêtement. Ce n’est pas moi qu’ils ont touché. C’est Lui qu’ils ont touché. Eh bien, voyez-vous, leur foi les a sauvés. Cela fait-il de Jésus-Christ Celui dont nous parlions et qui est né d’une naissance virginale ? Il n’est pas mort ; Il est vivant. Est-ce juste ?
Vous dites : « Frère Branham, comment faites-vous cela ? » C’est juste un don. Vous vous détendez simplement devant Dieu et... C’est juste comme ce microphone qui est – qui est muet. De soi-même, ce microphone ne peut pas parler ; moi non plus, je ne peux pas parler.
Comment est-ce que je vous connais ? Tout le monde à qui j’ai dit quelque chose ici, il y a un instant, qui que vous soyez, levez la main si je vous suis inconnu. Tout le monde qui a été appelé, que le Saint-Esprit a appelé, levez la main si... Vous y êtes. Voyez-vous ? Voilà ceux qu’Il a appelés, et je ne connais aucun d’eux.

92 Combien y en a-t-il dans cette ligne que je ne connais pas ? Levez la main, vous savez que nous sommes étrangers l’un à l’autre. Je ne connais aucun d’eux. Voyez-vous ? Je suis donc un muet ; c’est le Saint-Esprit qui parle à travers ceci.
Maintenant, Dieu peut utiliser un homme comme Son microphone. Ne le pensez-vous pas ? Si vous pouvez simplement devenir assez muet vis-à-vis de vous-même. Laissez Dieu le faire. C’est juste ; c’est comme ça. Amen.
Très bien. Est-ce que cela a... Quelqu’un vient-il ? De ceux qui restent de quatre-vingt-dix ou de cent ? Très bien. Commençons la ligne de prière. Nous attendrons jusqu’à ce que nous ayons fini avec ceux-ci. Voyez-vous ?

93 Maintenant, rappelez-vous, vous dans la ligne de prière, vous avez vu le discernement sur ceux là-bas qui n’ont pas de carte de prière. N’est-ce pas ? Croyez-vous que cela fait que l’onction du Saint-Esprit soit sur moi maintenant ? La Bible dit-Elle que ceci est la véritable Parole de Dieu : « Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris » ? Est-ce juste ?
Maintenant, écoutez, il y a quelques instants, lorsque le Saint-Esprit tombait, c’étaient les bénédictions du Seigneur. Maintenant, ce que vous voyez opérer comme ceci, c’est la puissance du Seigneur. Ce sont des bénédictions. Ne confondez pas la bénédiction avec la puissance. Vous pouvez avoir une bénédiction sans avoir suffisamment de puissance pour guérir un mal de dents. Mais la puissance du Seigneur, c’est pour manifester Dieu. Voyez-vous ce que je veux dire ? La puissance du Seigneur. Bon – bon, il s’agissait là des gens qui n’ont pas de carte de prière. Maintenant, en voici un qui a une carte de prière.

94 Vous – vous êtes – vous êtes une dame qui est dans la ligne de prière. Très bien, approchez et tenez-vous juste ici devant moi. Regardez-moi. Je dis cela comme Pierre et Jean lorsqu’ils sont passés par la porte appelée la Belle. Eh bien, je ne vous ai jamais vue de ma vie. Nous sommes étrangers l’un à l’autre. Dieu nous connaît tous les deux. Si Dieu veut bien – veut bien me dire le motif de votre présence ici, allez-vous croire que je suis Son prophète ? Vous allez croire. Combien parmi vous autres là-bas vont croire ? Regardez ici, voici ma main ; voici la Bible de Dieu. A ce que je sache, je n’ai jamais vu cette femme de ma vie. Il se pourrait qu’en descendant la rue quelque part, par ici, je l’aie vue passer, ou à bord de son véhicule. Si je – je veux dire pour connaître, elle dit qu’elle ne me connaît pas ; moi, je ne la connais pas. Si cela… est-ce juste, madame ? Si c’est juste, levez simplement la main afin que les gens voient.

95 Nous y voilà. Maintenant, qu’est-ce que la puissance de Dieu ? Quel est le signe de Jésus-Christ ? Jésus a dit : « Les choses que Je fais, vous les ferez aussi. » Est-ce juste ? Et qu’a-t-Il dit dans Saint Jean 5.19 ? « Je ne fais que ce que le Père me montre. »
Eh bien, dans la Bible, quand Philippe est venu vers Lui, Jésus savait que celui-ci avait trouvé Nathanaël sous l’arbre. Il a dit à la femme au puits ce qu’était son problème. Une femme a touché Son vêtement dans l’auditoire, et elle s’est retirée là-bas. Il lui a dit qu’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
Et la Bible dit que la Parole… « Au commencement était la Parole (Combien savent cela ?), la Parole était avec Dieu, et Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous. » Est-ce juste ? Maintenant, laissez-moi vous attraper. Hébreux 4, la Bible dit : « La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu’à partager os et moelle ; elle juge les pensées de l’esprit. » Jésus connaissait leurs pensées, parce qu’Il était la Parole. Est-ce juste ?

96 Or, Dieu a utilisé les hommes comme Ses agents. Est-ce juste ? Dieu a toujours utilisé un homme comme Son agent. Jésus était l’Agent de Dieu. Elie était l’agent de Dieu. Jean était l’agent de Dieu. Maintenant, si dans cet âge Dieu a un témoin, ô Seigneur, que je sois Ton agent. Alors, que... [Espace vide sur la bande – N.D.E.]... ce qu’elle a comme problème… Qu’elle soit le juge, si c’est juste ou pas. Cela devrait régler la question pour cette assemblée, est-ce juste ?
Regardez par ici, soeur. Maintenant, si je peux me détendre… croyez en moi. Comme Pierre et Jean ont dit : « Regarde-nous. » Saisissez-vous ce que je veux dire ? Faites simplement attention à ce que je dis. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue, étant de parfaits inconnus l’un à l’autre, si Dieu me révèle votre maladie, vous saurez si c’est vrai ou pas. Cela vous aidera-t-il alors ? Cela vous aidera-t-il ? Cela ne vous guérira pas. Mais cela vous aidera à avoir la foi pour être guérie, si vous êtes malade. Je ne sais pas si vous êtes malade. Je ne – je ne sais rien à votre sujet. Je ne vous ai jamais vue.
Mais vous êtes ici parce que vous avez des problèmes au niveau du cou. Il s’agit d’une grosseur dans votre cou. Et puis, je crois que le médecin a déclaré autre chose qui ne va pas à la – à la – à la langue. Non, il s’agit de la salive, des glandes salivaires. C’est juste. Très bien, Mme Rogers, c’est ça votre nom ? Maintenant, rentrez chez vous heureuse, parce que vous allez être rétablie… ?…

97 Très bien, croyez-vous de tout votre coeur ? Très bien, alors ayez la foi pendant que nous prions pour les gens. Vous tous, aidez-moi maintenant. Ces visions m’ont déjà affaibli. Vous voyez, je ne peux pas... Combien savent que les visions affaiblissent ? Quand Moïse est descendu, il n’avait pas mis son... Je parle juste un instant pour retrouver mes forces maintenant. Voyez-vous ? Vous allez quelque par ailleurs ; vous êtes dans un autre monde. Vous voyez ce qui était arrivé, ce qui arrive : ce qui était, ce qui est, et ce qui sera. Voyez-vous ? Moïse a accompli ce miracle une fois et tout Israël a cru en Lui.
Je suis votre frère que Jésus-Christ a envoyé, et à qui Il a rendu témoignage par une Lumière suspendue au-dessus de moi il y a plusieurs années. Même quand je suis né, comme un petit garçon, à l’âge de vingt et un ans, quand je suis devenu ministre, Il l’a confirmé à la rivière devant dix mille personnes. Cela a été publié dans la Presse Associée. « Je suis venu vers toi pour te dire que tu imposeras les mains aux gens et que tu verras opérer le don ; Je t’ai dit qu’il arrivera que tu connaîtras le secret du coeur. » Tout exactement comme Il l’avait dit, et tout ce qui avait été annoncé par prophétie s’est accompli. Est-ce juste ? Tous ceux qui étaient là au début de mon ministère, levez la main s’il avait été prophétisé que cela s’accomplirait ?
La Bible dit : « Si quelqu’un parmi vous prétend être prophète ou spirituel, si ce qu’il dit arrive, écoutez-le, car Je suis avec lui. » Est-ce juste ? C’est ce qui en est le signe.

98 Certains ont dit : « Eh bien, frère Branham... » Il n’y a pas longtemps, quelqu’un a dit : « Frère Branham – Frère Branham dit la vérité quand il fait le discernement, mais sa théologie est fausse. »
Cela vous montre ce que vous en savez sur la signification d’un prophète. Moi, je ne me dis pas prophète, c’est vous qui le dites de moi. La Parole du Seigneur venait au prophète. Qu’est-ce qu’un prophète ? C’est un témoin pour annoncer, donner une confirmation comme quoi il est un devin de la Parole de Dieu. La Parole de Dieu venait aux prophètes. Examinez cela et voyez si ce n’est pas vrai.
Maintenant, à vous qui êtes debout dans les lignes de prière, nous allons vous imposer les mains maintenant. Vous allez passer afin que je puisse avoir chacun de vous, et il y a encore des cartes. Je pense que quelqu’un d’autre là-bas a une carte, pas vous ? Y en a-t-il d’autres que nous avons pris et qui traînent, je pense, de la série A et de la série B ? Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, il reste sept cartes. Très bien, nous allons les placer juste à la fin de cette ligne. Faites-les directement passer.

99 Mais maintenant, alors que nous commençons à prier, combien là-bas, dans cet auditoire, vont lever la main pour dire qu’ils vont prier pour ces gens ? Vous tous, vous tous priez maintenant. Nous voulons... Et si c’était ma soeur ? C’est la soeur de quelqu’un, la fille de quelqu’un, l’enfant de quelqu’un. Prions maintenant, vous tous, avec la tête inclinée.
Maintenant approchez, soeur. Père céleste, au Nom de Jésus-Christ, ce Nom qui a fait que le petit Jean ressuscite d’entre les morts, bondisse dans le sein de sa mère, que cela guérisse notre soeur. Amen. Très bien.
Approchez, monsieur. Croyez en Lui maintenant de tout votre coeur. Approchez, croyez-vous ? Ô Dieu, au Nom de Jésus-Christ, guéris cette précieuse personne. Amen.
Maintenant, vous savez que je connais votre problème. Mais cela ne servira à rien de vous le dire, car vous savez ce qui ne va pas, n’est-ce pas ? Mais croyez-vous que Dieu vous guérira de toute façon ? Alors cette vieille toux va vous quitter et l’asthme va disparaître, vous allez continuer votre chemin et être en bonne santé. Très bien, venez en croyant maintenant. Notre Père céleste, je bénis ma soeur et invoque sur elle ce Nom qui a fait que le petit Jean bondisse dans le sein de sa mère. Accorde-le, Seigneur, pour la guérison. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur.

100 Approchez maintenant. Croyez-vous de tout votre coeur ? Vous savez que je connais votre problème. Ô Seigneur, je Te prie de guérir notre soeur, comme je lui impose les mains au Nom de Jésus-Christ. Amen. Partez, en vous réjouissant maintenant, étant heureuse.
Maintenant, frère, croyez-vous qu’Il le fera ? Au Nom de Jésus-Christ, en ce Nom tout-suffisant, il est dit : « En Mon Nom, ils chasseront les démons. » Voici mes mains. « Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. » Seigneur, Tu as confirmé que je crois en Toi. Je prie donc pour lui au Nom de Jésus. Amen. Partez étant heureux. Votre mal d’estomac est terminé.
Croyez-vous, soeur ? Seigneur Dieu, au Nom de Jésus, j’impose les mains à ma soeur. Je suis un croyant. Tu as dit : « Voici les miracles qui les accompagneront. » Qu’elle soit guérie au Nom de Jésus. Amen.
Approchez, soeur, en croyant de tout votre coeur. Maintenant, Dieu notre Père, en tant que croyant, ensemble avec cette grande église de Dieu ici ce soir, j’impose les mains à notre soeur, et condamne la maladie et réclame sa guérison au Nom de Jésus... Amen.
« La prière de la foi sauvera le malade. Dieu le relèvera. » Notre Père céleste, j’impose la main à ma soeur et demande qu’au Nom de Jésus-Christ Tu la guérisses et la rétablisses. Qu’elle s’en aille et qu’elle soit guérie, au Nom de Jésus. Amen. Partez maintenant, heureuse, vous réjouissant. C’est terminé.

101 Dieu notre Père, au Nom de Jésus-Christ, que ma soeur soit guérie maintenant. Je prie pour elle dans ce Nom tout-suffisant du Seigneur Jésus. Amen. Partez en vous réjouissant et en disant : « Je Te remercie, Seigneur. »
Maintenant, je ne comprends pas pourquoi vous ne vous réjouissez pas et ne louez pas Dieu pendant que vous passez. Eh bien, c’est ce que je n’arrive pas à comprendre, église. Ne savez-vous pas que Dieu est autant Dieu à un moment qu’Il l’est à un autre ? Voyez-vous ?
Eh bien, quelqu’un m’a dit, il n’y a pas longtemps, il a dit : « Je ne comprends pas ça. » Eh bien, maintenant, écoutez. Vous savez que je ne vous engueule pas, n’est-ce pas ? Vous savez que j’essaie de vous faire comprendre une vérité. Croyez-vous cela ? Vous vous rendez compte de cela. Dieu que je... Il n’y en a pas eu un seul qui est passé sans que je n’ai vu ce qui n’allait pas en lui. Si j’entre dans une vision, qu’est-ce que cela fait ? Cela les disperse simplement, et vous y voilà – voilà. Voyez-vous ? Les gens passent ; ils passent et disent... « Ouais, ouais », et vous saisissez cela. Voyez-vous ? « Eh bien, non, je n’ai jamais reçu cela. » C’est la raison pour laquelle on distribue des cartes de prière. Si on ne le fait pas, vous reviendrez encore immédiatement dans la ligne et reviendrez encore. Chaque fois cela affaiblit simplement votre foi, vous devenez de plus en plus faible et de plus en plus faible.
Dès que vous passez par ici, c’est comme si vous passez sous la croix. Vous ne passez pas à côté de moi ; vous passez à côté de Lui. Il vous connaît, Il sait tout à votre sujet. Il peut dire tout ce qu’Il veut. Croyez-vous cela ?

102 Tenez, vous madame. Je vous suis étranger. Dieu vous connaît. Croyez-vous qu’Il peut me dire votre problème ? S’Il le fait, cela vous aidera-t-il ? Vous priez pour quelqu’un d’autre (C’est juste), votre mari. Votre mari a des problèmes internes. Il souffre sérieusement d’un mal de tête. Il est un vétéran de la guerre. Il a été blessé à la guerre. Il a de violents maux de tête. Vous venez d’un endroit appelé Fortbags. Vous vous appelez Mme O’Neil. Prenez ce mouchoir et posez-le sur lui. Et il... Croyez au Seigneur Jésus-Christ et il sera sauvé. Une ombre noire vous couvre. Partez, tout en croyant maintenant, soeur, et soyez… il sera guéri au Nom de Jésus.
Maintenant, croyez-vous ? Ayez la foi. Maintenant, voyez-vous, cela me tue presque. Venez en croyant, soeur. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il soit guéri.
Approchez. Au Nom de Jésus-Christ, soyez guéri.
Au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit guérie. Amen.
Approchez, frère... ?...

103 Maintenant, croyez-vous ? Croyez-vous que Dieu va parler de votre guérison ? Une tumeur. C’est juste. Savez-vous comment j’ai découvert cela ? Regardez ici. Maintenant, mettez ma main sur la vôtre. Voyez-vous comment elle enfle et rougit ? Voyez-vous ces petites choses blanches qui la parcourent ? Cela montre que vous avez une tumeur. Vous devez subir une opération. Croyez-vous ? Maintenant, observez. Je vais vous montrer l’autre main. Voyez-vous ? Cela ne se trouve pas là sur ma main. Maintenant, je remets celle-ci là. Voilà. Maintenant, à vous les anciens, voyez-vous cela ? C’est exact. Maintenant, observez-la. Me croyez-vous de tout votre coeur ? Je peux faire que cela vous quitte, mais je ne peux pas garder cela loin de vous. Maintenant, afin que vous compreniez très bien, prenez cette autre main-ci. Mettez votre main ici au-dessus. Maintenant, ma main paraît tout aussi normale, n’est-ce pas ? Ça c’est votre main gauche. Maintenant, prenez votre main. Maintenant, mettez cette main dessus. Voilà. Elle ne paraît plus normale là, n’est-ce pas ? Maintenant, posez la mienne dessus ; elle est toujours normale. Mettez la vôtre dessus ; voilà. Elle enfle, devient rouge sombre, avec de petites choses blanches qui la parcourent en faisant : « Htrrr, htrrr ». C’est cette tumeur. Voyez-vous ?
C’est une multiplication de cellules vivantes à l’intérieur, quelque chose pour vous tuer. Je peux faire partir cela ; si vous croyez, cela restera loin de vous. Très bien, observez ma main. Il serait mieux que vous incliniez la tête, pour ceci. Il s’agit de chasser quelque chose. Ô Seigneur, écoute la prière de Ton serviteur. Réponds à ma prière, Père. Tumeur, toi démon, quitte cette dame au Nom de Jésus-Christ. Sors d’elle. Le voilà qui s’en va. Maintenant, soeur, maintenant regardez ma main. C’est complètement parti maintenant, n’est-ce pas ? La tumeur est morte. Continuez votre chemin en vous réjouissant et en disant : « Merci, Seigneur. »

104 Tout le monde a-t-il déjà vu cela arriver auparavant ? Voyez-vous, Dieu ne retire jamais un don. Tenez, regardez cette dame-ci. Faites voir votre main. Certainement, la gastrite. Vous avez cela à l’estomac. Regardez ici à ma main. Voyez-vous comment elle enfle ? Regardez, maintenant retirez votre main. Est-elle redevenue normale ? Maintenant, mettez ma main au-dessus comme la vôtre. Cela ne la dérange pas. Maintenant, prenez l’autre main. Cela ne la dérange pas. Maintenant, retournez cette main et posez-la là-dessus. Voilà votre ulcère. Le voyez-vous là ? Très bien, maintenant, allez-vous croire si j’ôte cela de vous par la prière, vous allez croire que cela restera loin de vous ? Irez-vous de l’avant pour prendre votre dîner et être en bonne santé ?
Seigneur Dieu, je défie ce démon, non pas pour les miracles, mais voici la dernière soirée de la série de réunions. Afin que les gens sachent que Tu es Dieu... Glorifie Ton Nom parmi les gens, Seigneur.
Satan, quitte cette femme au Nom de Jésus-Christ. Le voilà qui s’en va. Maintenant, regardez ma main. Bon, mettez l’autre main dessus. Est-elle normale ? Maintenant, remettez cette même main. Bon, vous avez vu ce qui s’est passé il y a un instant. Maintenant, remettez cette main. Voilà. Maintenant, votre gastrite est guérie. Continuez votre route en vous réjouissant.

105 Ayez simplement la foi, c’est tout. Voyez-vous ? Tous les dons opèrent. Et l’autre jour, Il m’a dit : « Prononce simplement la Parole, et cela arrivera si tu amènes les gens à te croire. » Maintenant, combien ont déjà lu mon livre ? L’Ange du Seigneur m’a dit : « Tu recevras... »
J’ai dit : « Les gens ne me croiront pas. »
Il a dit : « Tu recevras deux signes. L’un, tu prendras leur main et leur révéleras ce qui ne va pas en eux. S’ils ne croient pas cela, alors tu leur révéleras le secret même de leur coeur, et ils seront obligés de croire cela. »

106 Frère pasteur qui venez de là, est-ce que vous... N’est-ce pas ce qui est arrivé pendant que j’étais à votre réunion ? Voici la chose, tout y est. Eh bien, Dieu a dit : « Prononce simplement la Parole. Prie pour les malades. Cela arrivera. » Absolument.
Au Nom de Jésus, guéris cet homme, Seigneur. Amen. Partez, tout en croyant maintenant de tout votre coeur, monsieur. Soyez en bonne santé.
Vous étiez ici il y a quelques instants pour le salut. Maintenant, Seigneur, rétablis-la au Nom de Jésus-Christ. Amen. Elle est ton enfant. Croyez maintenant.
Approchez, soeur. Ce vieux mal de dos va vous quitter. continuez votre chemin en vous réjouissant et en disant : « Merci, Seigneur ».
Approchez. Au Nom du Seigneur Jésus, guéris mon frère. Accorde-le, Seigneur. Amen.
Au Nom de Jésus-Christ, guéris ma soeur. Accorde-le, Seigneur.
Au Nom de Jésus-Christ, que le Saint-Esprit qui donne l’onction maintenant, guérisse mon frère. Amen.
Que Dieu te bénisse, ma chérie. Au Nom de Jésus-Christ, que cette fille soit guérie. Amen.
Approchez, soeur. Au Nom de Jésus-Christ, que la puissance de Satan quitte cette dame. Amen.
Ne croyez-vous pas la même chose maintenant pour eux comme vous les faites pour les autres ? Certainement, vous pouvez croire cela. Si je vous dis ce qui ne va pas en vous, cela va-t-il vous aider ? Très bien. Il s’agit de votre dos et de vos pieds. C’est un nerf coincé. Vous avez quelqu’un sur votre coeur pour qui vous priez. C’est un ami qui est paralysé. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Maintenant, cela vous a-t-il aidé ? Partez en croyant. Amen.

107 Voyez-vous, ayez simplement la foi ; croyez. Au Nom de Jésus, soyez guéri. Amen. Ayez simplement la foi, ne doutez pas.
Au Nom du Seigneur Jésus, soyez guéri.
Approchez, soeur, en croyant. Au Nom de Jésus, soyez guérie.
Approchez, soeur, en croyant de tout votre coeur. Au Nom du Seigneur Jésus, soyez guérie.
Avez-vous compris que c’est le Saint-Esprit qui dit cela ? Au Nom du Seigneur Jésus, soyez guéri.
Approchez, soeur ; croyez maintenant. Au Nom du Seigneur Jésus, soyez guérie. Croyez-vous cela ? Cela vous a quitté aussitôt. Maintenant, soeur, si tout le monde avait une telle foi, ce serait très bien. Vous êtes libre maintenant ; allez-y.
Approchez, monsieur. Regardez, vous étiez assis là il y a quelques instants, vous réjouissant pendant que je prêchais. C’est juste. Je vous ai vu là derrière. Je crois qu’Il est venu sur vous quand j’ai dit il y a un instant : « S’ils avaient autant de foi. » C’était sur vous. Vous souffrez d’un mal de dos. Vous souffrez de la poitrine, vous avez mal aux pieds. Cela a pour cause une grave chute que vous avez connue. Vous avez été guéri avant de venir dans la ligne. Continuez votre route en vous réjouissant, et soyez heureux.

108 Approchez, soeur, croyez. Au Nom de Jésus, qu’elle soit guérie. Amen. Partez en vous réjouissant maintenant. Ne doutez pas. Croyez maintenant. Très bien. [Espace vide sur la bande – N.D.E.] Mais elle a fait cela. Croyez-vous qu’elle sera guérie ? Je condamne ce démon qui a fait ce mal à la soeur. Qu’elle parte d’ici ce soir, une femme en bonne santé afin de témoigner pour la gloire de Dieu. Au Nom de Jésus-Christ, je lui ordonne de quitter. Amen. Maintenant... [Espace vide sur la bande – N.D.E.]
Tenez-vous debout, chacun de vous et louez Dieu. Ô Seigneur Dieu, guéris ces gens que ces mouchoirs représentent. Guéris cette assistance-ci. Que Satan ne soit pas en mesure de faire douter l’un d’eux, mais que tous soient complètement guéris. Sors d’ici, Satan. Je te somme au Nom de Jésus-Christ d’ôter tes mains de ces gens.

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