Un Paradoxe

Date: 64-0418B | La durée est de: 1 heure et 46 minutes | La traduction: Shp
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1          Que le Seigneur vous bénisse. Je considère certainement comme un–un grand privilège pour moi d’être ici ce matin. C’était... C’est une bénédiction inattendue; en effet, je ne pensais pas que j’aurais ce privilège de pouvoir parler ici, particulièrement à vous, ce que l’on pourrait considérer, que l’on appellerait un groupe sélectionné: les prédicateurs et mes frères qui sont ici, qui collaborent à cette série de réunions et qui l’ont rendue possible. Je désirais avoir cette occasion. De cette manière, j’ai parfois l’occasion d’expliquer des choses que je–que je n’explique pas à l’estrade, parce que là vous êtes dans un auditoire composé de tout le monde.

2          Et ce matin, j’ai fait la connaissance d’un avocat ici, un des frères d’entre les Hommes d’Affaires Chrétiens. Et hier soir, je prêchais sur Zachée d’autrefois là, vous savez, quand il... Jésus était dans la... Il avait de la peine à croire (comme l’illustrait le petit drame) que Jésus était un prophète. Mais quand Jésus s’est arrêté sous l’arbre et a levé les yeux, Il l’a appelé par son nom, et Zachée est descendu. Je n’ai pas dit ce qui est exactement arrivé à Zachée. Savez-vous ce qui est arrivé à cet homme? Il est devenu un membre des Hommes d’Affaires du Plein Evangile. Un membre fondateur, c’est juste. Bien sûr, Jésus ne pouvait avoir rien d’autre qu’un Plein Evangile, vous savez. Ainsi, Zachée étant un homme d’affaires, cela faisait partie de votre... Alors, vous pourriez donc vous souvenir de cela.

            Et l’autre jour, je parlais donc de–là à la dernière réunion–de la tenue d’un procès où comparaît Jésus, ou plutôt Dieu, à propos de Sa Parole, pour  non respect de Sa promesse. Beaucoup d’entre vous ont entendu cela. Et je comptais donc peut-être apporter cela le dimanche après-midi, ce procès. Et alors, cet avocat ici présent pourrait peut-être me corriger sur certaines procédures que je vais utiliser.

3          Ainsi... Mais c’est certainement un–un privilège d’être assis ici ce matin. Je regardais tout autour différents amis; et un jeune garçon ici, un petit  ami ici, m’a appelé là-bas. Et il est estropié.

            Il a dit: «Frère Branham, si seulement vous pouvez me dire que je peux sortir d’ici en marchant, c’est tout ce que je désire que vous fassiez.» Voyez-vous?

            Et je me suis simplement dit: «Comme–comme c’est beau!» Voyez-vous? Mais, voyez-vous, ces choses sont quelque peu différentes de ce que nous–vous en pensez. Voyez-vous, voyez-vous  Eh bien, c’est là, je pense, que bien des frères déraillent. Voyez-vous, voyez-vous? Dieu leur permet de faire quelque chose avec un peu de foi. Ensuite, ils pensent que tous les cas qu’ils rencontrent, ils doivent simplement les proclamer [guéris], et c’est tout. Mais, voyez-vous, comment puis-je dire AINSI DIT LE SEIGNEUR tant qu’Il ne me l’a pas dit premièrement? Je dois premièrement avoir cela. Si Lui ne l’a pas dit, je dirais: «Ainsi dit William Branham», mais cela ne ferait aucun bien. Mais, vous voyez, il faut donc qu’Il me le dise premièrement.

4          Un homme est arrivé dans une ambulance avec un bébé, et j’étais très occupé. Il a dit: «Eh bien, je... Si vous voulez juste me dire cela, venir ici et déclarer que mon bébé ira bien, c’est tout ce que je veux savoir.»

            Eh bien, cela, comme c’est beau; mais comment puis-je dire cela tant que je n’en suis pas sûr? Voyez-vous? Si je... Certaines personnes agissent... Les gens agissent tout simplement sur base d’une impression: «Le Seigneur m’a dit de faire ceci.» Eh bien, souvent c’est–c’est vous-même. Voyez-vous? Vous devez réellement voir la chose et en être sûr. Comment pourrais–pourrais-je... frère Fox ici présent peut-il dire quelque chose sans que (s’il est sincère)... S’il disait: «Frère Branham a dit telle chose», et si je n’ai pas dit cela, il–il–il m’accuse faussement d’avoir dit quelque chose que je n’ai pas dit. Mais si j’ai réellement dit la chose, alors je dois soutenir cela. Par conséquent, quand le Seigneur déclare quelque chose, ça suffit.

5          J’ai rencontré un petit baptiste ici il y a quelques instants, puisse... Ce n’est pas un baptiste. Je pense que c’est un baptiste pentecôtiste, comme moi maintenant. Et il est aussi un bon vieil originaire du Sud. Ce matin je l’observais manger ici cette crème glacée Georgia, cette... le gruau de maïs. Et ainsi, il–il était le genre de personne tenace, vous savez. Et il fumait la cigarette, et c’est un très brave baptiste. Et il avait... Ainsi il–il avait... Et il avait tout un tas de choses qu’il n’avait pas cessées. Et il continuait...

            Eh bien, ici dans les réunions, ce sont ceux... Vous–vous les gens... Les gens font cela eux-mêmes. Voyez-vous?  Et c’est Christ qui vient vers Son Corps. Voyez-vous?

            Eh bien, permettez-moi de prendre ceci maintenant même, de m’arrêter avec vous juste un instant. Voyez-vous, Christ qui vient vers Son Corps, cela ne veut pas dire qu’il ne s’agit que de moi. Je ne suis pas le Corps. Je ne suis qu’un membre de ce Corps. Voyez-vous? Vous aussi vous faites partie de ce Corps. «Nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit (1 Corinthiens...?... 15–1 Corinthiens 12), dans un seul Esprit, pour former un seul corps.» Nous sommes membres de ce Corps, chacun de nous, que vous soyez méthodiste, baptiste, luthérien, unitaire, binitaire, quinquetaire ou quoi que vous soyez. Voyez-vous? Nous avons tous été baptisés dans ce seul Esprit, pour former un seul Corps.

6          Si Dieu accepte les unitaires avec leur conception particulière, l’église de Dieu avec sa conception particulière, les méthodistes avec leur conception particulière, les assemblées avec leur conception particulière, cela dépend de Lui. J’ai neuf frères, et chacun de nous est différent de l’autre, mais nous avons tous les mêmes parents. Voyez-vous, nous sommes tous des Branham. Eh bien, mes frères, moi je suis chasseur; j’aime la chasse et la pêche. Les autres, ça ne leur dit rien. Eux, ils aiment jouer au golf et des choses comme cela, mais pas moi. Voyez-vous, c’est ma particularité. Et pourtant leur père est mon père. Voyez-vous? Mais nous sommes tous d’accord quand il est question de papa, nous–c’est notre père à tous. Et c’est ce que nous faisons nous aussi.

7          Maintenant, écoutez. L’église est devenue (Voyez-vous?), elle est en train de croître. C’est juste comme j’allais prêcher ce soir sur Le Dévoilement du seul vrai Dieu. Mais je pense que ça prendra un peu trop de temps, et j’ai remarqué qu’au-delà de vingt et une heures, les gens commencent à s’impatienter; et je me suis dit que j’attendrais jusqu’à un moment donné pour prêcher cela au Tabernacle. J’ai autre chose à l’esprit peut-être pour ce soir, pour apporter un message en rapport avec le salut. C’est ce que nous essayons... c’est notre–c’est ce que nous essayons de faire ici.

            Maintenant, vous frères prédicateurs, nous... Cette guérison divine, comme le vieux docteur Bosworth (Il est rentré à la maison, dans la Gloire, tout récemment) le disait souvent: «La guérison divine est un appât que vous placez à un hameçon. Vous ne montrez pas l’hameçon au poisson. Vous lui montrez l’appât, et–et en avalant l’appât, il avale l’hameçon.» C’est donc ce qui se passe quand vous... La guérison divine ne fait qu’attirer l’attention. Voyez-vous? Et puis, c’est le salut que nous poursuivons. Nous cherchons à fortifier le Corps de Christ. Voyez-vous?

            Et chacune de vos différentes organisations, certaines... Moi, je ne penche pas beaucoup pour les organisations, juste pour dire: «Je suis membre de cette...»

            Eh bien, j’ai été ordonné en tant que baptiste. Et puis, quand j’ai entendu parler des pentecôtistes, je me suis dit: «Oh! la la! de quoi s’agit-il?» Et je me suis dit: «C’est à eux que je vais me joindre.» Et quand je suis venu ici, voici qu’ils sont aussi divisés que les baptistes, et il y a tout simplement toutes sortes d’histoires, et il y a tous les diff-...

            Je me suis dit: «Eh bien, maintenant, je ne vais adhérer à aucun de leurs groupes. Je vais me tenir juste entre eux, et mettre mes mains autour d’eux tous et dire: Nous sommes frères.» Et voyez-vous, c’est au système qui nous empêche d’être des frères que je suis opposé, le système qui... Voyez-vous? Et c’est la raison pour laquelle je suis avec un seul groupe, et ce sont les Hommes d’Affaires du Plein Evangile. Voyez-vous? Nous désirons étendre notre tente si loin qu’elle prendra tout, eux tous (Voyez-vous?), tout le monde. Nous sommes tous frères. Voyez-vous, nous sommes tous frères en Christ.

            Eh bien, parmi mes–mes grands sponsors, il y a les Assemblées, les pentecôtistes unis, les Foursquare et l’Eglise de Dieu. Et tous ces frères se sont tendu la main pour être de vrais hommes.

8          Maintenant, de quoi s’agit-il? De Christ qui vient vers Son Corps. Christ est la Parole. Nous savons tous que l’Onction c’est Christ qui vient sur la Parole et qui vivifie la Parole. Est-ce juste? C’est cela l’onction. Christ est l’Onction, l’Esprit qui vient sur la Parole, qui vivifie la Parole pour La rendre vivante. Eh bien, la Parole est dans votre coeur. Vous croyez dans la guérison divine et que sais-je encore. Voyez-vous?

            Et Christ, l’Onction, vient vers Son Corps (Voyez-vous le–le rapport qu’il y a là?), exactement comme le mari et la femme deviennent un. Eh bien, l’Eglise doit arriver à exercer un ministère qui fera que l’Eglise et Christ deviennent Un. Il peut vous oindre pour chaque bénédiction qui se trouve dans la Bible. Tout cela vous appartient. Tout ce qui a été promis pour cet âge vous appartient. Mais si nous laissons quelque chose de côté (Voyez-vous?), alors... Quand l’onction frappe cela, cela venue cela oindra la chose. C’est juste une...

9          Tenez... Par exemple, je–j’utilise ceci comme illustration. Il y a une doctrine qu’on appelle la doctrine de la pyramide. Mais ne vous mettez jamais en tête que moi, je–que moi, je–je crois dans les doctrines de la pyramide. Je crois dans la Bible (Voyez-vous?), et je crois néanmoins que la pyramide a une place là-dedans.

            Je crois que Dieu a écrit trois Bibles. Il a écrit une Bible dans les cieux, le zodiaque. Tout le monde le sait; Job en a parlé. Comment? Considérez le zodiaque. Ça commence avec la–avec la vierge; ça se termine avec Léo, le lion. C’est ainsi qu’Il est venu. La première fois, c’était par la vierge. Sa venue dernière –suivante, ce sera Léo, le lion (Voyez-vous?), Il vient en tant que le Lion de la tribu de Juda. Et tous ces signes, les poissons entrecroisés, c’est là que nous en sommes maintenant, l’âge du cancer et tout, tout cela est significatif. Mais oubliez cela. Voyez-vous? Ça, ce n’est pas votre Bible à vous.

            Ensuite, les pyramides ont été parfaitement construites; la Pierre de Faîte a été rejetée. Cependant, ce n’est pas votre Bible à vous. Ensuite, Dieu L’a écrite sous forme des Paroles.

10        Jésus vient trois fois. Une fois Il est venu pour racheter Sa femme. La fois suivante Il vient pour L’emmener. Et la fois suivante Il revient avec Elle: trois venues. Voyez-vous? Tout est comme Père, Fils et Saint-Esprit (Voyez-vous?) tout, tout va par trois. La mathématique de la Bible est parfaite. Si vous suivez correctement ces mathématiques, vous pouvez garder votre histoire dans l’ordre. Voyez-vous? Mais si vous sortez de ces mathématiques, vous aurez une... dans votre tableau une vache qui broute au sommet d’un arbre. Ainsi cela ne va pas–cela ne va pas paraître juste. Voyez-vous? Restez dans les mathématiques (Voyez-vous?) de la Bible, et placez la chose correctement.

11        Eh bien, je parlais de ce beau jeune homme qui est assis ici. Il–il a continué à venir. Chaque fois il faisait inscrire son nom pour un entretien privé. Eh bien, après avoir fait cela, il attendait alors pendant longtemps, jusqu’à ce que finalement son tour venait. Et le voilà qui vient.

            Eh bien, dans un entretien privé, ça ne se passe pas comme ceci (Voyez-vous?); ce n’est pas question de s’asseoir dans une réunion comme nous le faisons présentement. Vous attendez jusqu’à ce que le Seigneur parle et vous montre quoi faire. Eh bien, jamais cela ne... Il ne pouvait pas... Son tour passait. Eh bien, il ne se décourageait pas; il faisait inscrire simplement son nom pour un autre entretien privé. Ainsi il a finalement attendu une centaine de gens, jusqu’à ce qu’on en arrive encore à lui.

            Et alors un jour, alors qu’il était assis à un endroit... Il essayait... il acceptait toutes les idées psychologiques qu’il pouvait pour abandonner ces cigarettes, mais il n’y arrivait pas. Mais un jour, la chose est venue, l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’était cela. C’était la fin de la chose. Et, le voici donc assis ce matin. Nous en sommes donc reconnaissants.

12        Maintenant, permettez-moi de donner une petite explication pour une minute, s’il n’y a pas d’inconvénient à ce que je prenne autant de temps. Je pense que je surveille l’horloge qui est là. Nous sommes censés sortir à dix heures, si j’ai bien compris. J’ai appris cela il y a quelques minutes par le téléphone arabe. Et je suis tout simplement comme un train de marchandises, je suis verbeux. Et–et je me souviens de la première fois où j’ai commencé à prêcher. Et j’étais un jeune prédicateur baptiste. Je portais cette Bible-là sous le bras, et je pensais que j’étais un véritable prédicateur. Quand quelqu’un demandait: «Etes-vous prédicateur?»

            Je disais: «Certainement. Oui, monsieur, j’en suis vraiment un.»

13        Et un... Cela me rappelle quand j’étais un garçon dans la ferme. Mon–mon père était un cavalier. Et il dressait les chevaux et suivait le rodéo pour dresser les chevaux et ainsi de suite. Il était vraiment un bon cavalier. Eh bien, je pensais qu’étant son fils, j’étais certainement un cavalier aussi. Ainsi je...

            Quand papa se trouvait loin à l’extrémité de la ferme avec ses chevaux, vous savez, je faisais sortir le vieux cheval de labour, vous savez, qui était vieux, épuisé, raide et fatigué. Et nous avions un vieil abreuvoir qui avait été taillé dans un rondin. Combien en ont déjà vu un? Eh bien, de quel coin du Kentucky venez-vous, de toute façon? Et ainsi... Et nous avions l’habitude de descendre là, et nous nous faisions piquer par les abeilles. Vous savez, on venait prendre leur eau et tout. J’ai donc regardé pour voir papa faire ses tours dans le champ de maïs, au loin à l’extrémité. J’allais prendre sa selle et une poignée de graterons, vous savez, et je les glissais sous la selle, je tirais la sangle et je montais dessus. Et ce pauvre vieux–vieux cheval...

            Mes petits frères se tenaient tout autour là en criant: «Monte-le, Billy. Monte-le.» Vous savez. Et le vieux cheval était si fatigué qu’il n’arrivait même pas à soulever la patte du sol, et ainsi... Je me disais: «Mon gars, je suis un cavalier!» Je lisais trop d’histoires de western. C’était... Je–je me disais donc que peut-être, vous savez... eh bien...

14        Vous savez, j’ai... Un jour, j’étais convaincu que l’on avait besoin de moi à l’ouest pour dresser les chevaux, vous savez (J’avais environ dix-huit ans). On avait besoin de moi, on devait avoir besoin de mes–mes services. Je suis donc parti discrètement et suis allé à l’ouest, et j’ai essayé de m’acheter des jambières en cuir. J’étais un tout petit gars, vous savez, et je pensais qu’elles étaient jolies. Ça portait la mention A-R-I-Z-O-N-A, avec la tête d’un boeuf dessus. Puis je me suis dit: «Oh! la la! c’est beau.» Quand je les ai portées, j’avais l’air de l’un de ces petits coqs de combat, vous savez, avec ces plumes dessus. Je n’arrivais pas à marcher avec ces histoires. Je me suis donc procuré un Levis.

            Et je me suis dit: «Eh bien, je vais monter la selle d’argent. Je vais aller  me procurer un...» Et je me suis mis là. «Et je vais attendre qu’on amène ces chevaux qui lancent des ruades. Certains de ces gars se font projeter. Je vais leur montrer comment les monter. Mon papa est un cavalier.» Je suis donc monté sur la clôture, et ils avaient–ils dressaient des chevaux. Et j’ai regardé là dans l’enclos, et j’ai vu là des indomptables qui... Oh! la la! cela... On ne pouvait même pas leur jeter du fourrage; ils étaient si sauvages qu’ils refusaient de manger cela.

15        Je me suis donc dit: «Dis donc, je ne sais pas. Ça n’a pas l’air du vieux cheval de labour que je montais.» Je l’ai regardé un moment. Peu après, ils en avaient un là qu’on appelait l’Indomptable du Kansas. Ils l’ont donc fait sortir, un cheval très grand et lourd, d’environ dix-sept paumes [173,4 cm–N.D.T.] et il... C’était vraiment un cheval.

            Ils ont donc fait monter un... ils avaient là un bel homme tout paré de son remarquable uniforme et tout, toutes les jeunes filles lui faisaient signe de la main. C’était vraiment une vedette. Je l’ai regardé comme il descendait de sa voiture. Et les gens disaient: «Cet homme peut monter ce cheval.» On le fit donc entrer dans le box, et il monta sur ce cheval, et il le fit seller, et il s’installa sur sa selle, et on ouvrit la barrière.

            Oh! la la! Oh! la la! il a fait environ deux pirouettes et a roulé des épaules, et on avait l’impression qu’il pouvait envoyer la selle jusqu’à la lune. Je n’ai jamais vu un tel... Eh bien, le personnel du ramassage a pris le cheval et l’ambulance a pris le cavalier.

            Voilà venir l’animateur, vous savez. Il a dit: «Je donnerai cinq cents dollars à tout homme ici qui peut rester sur ce cheval pendant soixante secondes.» Il est passé d’un bout à l’autre de la rangée. Je ne sais pas comment cela s’est fait, il m’a directement désigné, j’étais assis là avec cette... assis là à côté de tous ces vieux cow-boys qui se cachaient, vous savez. Je n’avais pas des jambes arquées ni rien, mais je–je pensais que j’étais un vrai cavalier. Je pouvais me tenir là avec eux. Je fraternisais avec eux, vous savez, avec un chapeau posé à l’arrière de ma tête (J’avais, je pense, environ dix-sept ans), je regardais tout autour comme cela.

            Et il s’est approché et a demandé: «Es-tu un cavalier?»

            Et j’ai dit: «Non, monsieur.»

16        Quand j’étais un jeune prédicateur baptiste, je pensais que Dieu m’avait appelé à être un défenseur de la Parole. Voyez-vous? C’est Lui qui défend la–la foi. Un jour, j’étais là à Saint Louis, dans le Missouri, et je suis allé à une réunion sous tente, et je suis entré dans une réunion de Robert Daugherty. C’est un prédicateur pentecôtiste. Je me suis assis à l’estrade avec lui. Mon gars, cet homme prêchait jusqu’à en avoir le visage cyanosé, il ployait ses genoux, il retenait son souffle (On pouvait l’entendre à deux pâtés de maisons), et il se redressait tout en prêchant. Alors, quand quelqu’un disait: «Etes-vous un prédicateur?»

            Je disais: «Non, monsieur.» Quand je me retrouve parmi les pentecôtistes, je ne mentionne pas tellement que je suis prédicateur. Devant  cela je m’étais retrouvé comme devant le cheval. Voyez-vous? Je disais tout simplement: «Non, le Seigneur m’a appelé à prier pour Ses enfants malades.» Et je...

17        Ainsi, nous sommes–nous sommes heureux d’être ici ce matin dans ce... Alors que nous sommes sur cette pensée de l’équitation, j’aime la nature. C’est là que j’ai trouvé Dieu. Et, j’avais l’habitude de paître le bétail de temps à autre dans le Colorado, j’allais là-haut. Alors d’habitude je faisais le rassemblement du bétail et ainsi de suite. Nous avons le... là à la rivière Troublesome. Eh bien, je me tenais souvent là à côté de la barrière, lorsque nous faisions le rassemblement du bétail, le rassemblement du printemps, et on faisait monter le bétail. L’Association Hereford fait paître le bétail dans la vallée. Si vous produisez deux tonnes de foin, votre ranch a le droit d’amener une vache dans la forêt. Et certains d’entre eux ont des centaines de têtes; en effet, ils ont de l’espace pour faire de l’irrigation là-bas; ils ont cette prairie sauvage.

            Et puis le... Chaque printemps, quand ils font monter le bétail là-haut dans la forêt, le–le garde forestier se tient là et compte ce bétail, et il veille à la marque. Chaque bête est marquée. Le petit groupe pour le compte duquel je travaillais n’en avait pas beaucoup, environ cent cinquante, deux cents têtes, portant une petite–une petite marque Tripod. Et M. Grimes avait les Bar, les «Diamond Bar» qui comptaient environ mille cinq cents têtes.

18        Mais il y a une chose que j’avais toujours remarquée. Pendant que je me tenais là, après que nous avions amené le bétail là, le garde forestier se tenait là à la clôture amovible (Cela sert à empêcher le bétail de rentrer dans les propriétés privées), j’avais l’habitude de m’asseoir là, et de mettre ma jambe autour du pommeau de la selle et d’observer ce garde forestier. Et il observait ce bétail qui passait, alors qu’il se tenait là. On devait inspecter chaque vache qui passait. Remarquez, il ne faisait pas tellement attention à la marque qu’elles portaient. Mais il y a une chose à laquelle il faisait vraiment attention; c’était l’étiquette de sang (Voyez-vous?), car vous ne pouvez rien faire entrer là à cause de la race, pour bien préserver la–la lignée de la race. Voyez-vous? Rien qu’un authentique Hereford pouvait entrer dans ce parc–ce parc, seul un Hereford. Il devait porter une étiquette de sang pour montrer qu’il avait été examiné. Et il portait une étiquette de sang pour montrer que c’était un Hereford. Je pense que c’est ainsi que se fera le grand rassemblement. Il ne nous demandera pas si nous sommes des Assemblées, ou si nous sommes des Foursquare. Il va chercher cette étiquette de Sang. Peu importe notre marque, Il cherchera l’étiquette de Sang. «Je vois le sang...»

            Je–je suis très heureux d’être associé à un peuple comme celui-ci ce matin. Que le Seigneur vous bénisse donc très richement. Si je m’installe pour m’entretenir avec vous, mon temps s’en ira.

19        Je voudrais lire une Parole du Seigneur, car aucun culte n’est complet sans la lecture de la Parole. Et maintenant, ouvrons les Ecritures ici avec un–juste quelques pensées que j’ai alignées. Autrefois, je pouvais me rappeler les choses que j’allais dire sans même écrire une seule note. Mais, depuis que j’ai dépassé vingt-cinq ans pour la seconde fois, je ne suis plus en mesure de me rappeler les choses comme autrefois. Je dois donc plutôt faire des notes, écrire mon passage, ce que je vais dire pour me le rappeler. Et puis, je pense aussi qu’un peu plus... J’étais alors un enfant. Je crépitais tout simplement, comme quand on tire avec un fusil de chasse. Voyez-vous? Mais maintenant, vous devez en faire le réglage.

            Les gens venaient m’écouter parce que je n’étais qu’un jeune prédicateur. Maintenant, cela fait trente-trois ans que je suis derrière la chaire. Mais maintenant, je rencontre de grands hommes, comme ceux devant qui je me tiens ce matin. Vous devez toucher la cible. Ça doit être la Parole.

20        Je me rappelle le vieux prédicateur baptiste qui m’a ordonné. Je me rappelle la première fois que j’ai prêché. Je pleurais tout simplement, et je frappais sur le pupitre, et tout comme cela. Et certaines femmes âgées sont venues et m’ont donné quelques tapes dans le dos, et ont dit: «Oh! mon chéri (en pleurant), tu seras un grand serviteur de Christ.»

            Le vieux docteur Davis était assis là et me regardait droit dans les yeux, j’ai dit: «Comment ç’a été, docteur Davis?»

            Il a dit: «C’était la pire prédication que j’aie jamais entendue de ma vie!» Il m’a réprimandé. C’était donc un avocat. Alors, il–il m’a dit ensuite: «Viens au bureau, Billy.» Il a dit: «Billy, toutes tes émotions et tout ce que tu as fait, a-t-il dit, tu cherchais tout simplement à te comporter comme un prédicateur.» Il a dit: «Je–j’ai fait la même chose quand je suis devenu avocat.» Il a dit: «Je... Mon premier procès, c’était un cas de divorce.» Et il a dit: «En fait, je n’avais pas de base du tout.» Mais il a dit: «J’ai dit à cette pauvre femme... J’ai pleuré, et j’ai plissé les yeux. Et j’ai dit: ‘Je... Cette pauvre petite femme, son mari a fait ceci, cela et tout.’» Et il a dit: «J’ai attrapé la même chose que je te fais subir, et je pense que c’était une bonne chose.»

21        Il a dit: «Aussitôt, le... Alors, l’autre avocat a tapé sur le pupitre et a dit: ‘Monsieur le Juge, votre honneur, monsieur, pendant combien de temps encore votre cour va-t-elle supporter de telles absurdités?’ Il a dit: ‘Il n’a rien dit du tout pour défendre la personne, pas un seul élément de la loi. Il ne fait que crier et sautiller.’»

            Il a dit: «Et tu sais quoi? Cela m’a dégonflé, et cela m’a ramené à ma place...» Il a dit: «Eh bien, Billy, tu te livrais à toutes les émotions, tu pleurais et tu sautillais, mais tu n’as rien apporté du tout en rapport avec les Ecritures qui donnent réellement les choses fondamentales, mon garçon.» C’est juste.

22        Eh bien, nous tirons avec un fusil, il faut qu’il soit réglé. Il faut qu’il atteigne le point visé. Seigneur, aide-nous maintenant comme nous lisons dans Josué, chapitre 10. Et je vais commencer au verset 12, et je lis Josué 10, du verset 12 au verset 14 ou 15.

          Alors Josué parla à l’Eternel, le jour où l’Eternel livra les Amoréens aux enfants d’Israël, et il dit en présence d’Israël: Soleil, arrête-toi sur Gabaon, et toi, lune, sur la vallée d’Ajalon!

          Et le soleil s’arrêta, et la lune suspendit sa course, jusqu’à ce que la nation eût tiré vengeance de ses ennemis. Cela n’est-il pas écrit dans le livre du Juste?

          Le soleil s’arrêta au milieu du ciel, et ne se hâta point de se coucher, presque tout un jour.

          Il n’y a point eu de jour comme celui-là, ni avant ni après, où l’Eternel ait écouté la voix d’un homme; car l’Eternel combattait pour Israël.

23        Maintenant, veuillez m’excuser une minute, j’aimerais tirer de ce passage un sujet ici ce matin, un sujet constitué d’un seul mot. Maintenant, vous direz: «Frère Branham, ce n’est pas–ce n’est pas assez pour cet auditoire d’environ cent cinquante personnes. Ce–ce n’est pas suffisant.» Oh! si. C’est–c’est suffisant. C’est la Parole de Dieu (Voyez-vous?), peu importe que cela... Cela–cela–c’est–ce n’est pas la qualité; c’est la quantité.

            C’est comme il n’y a pas longtemps à Louisville, dans le Kentucky, je pensais à un petit garçon qui, un jour, était monté au grenier; il fouillait là. Et il est tombé sur un timbre-poste dans une vieille mansarde, dans une vieille petite malle. Et il s’est dit: «Tu sais, ceci pourrait valoir quelque chose.» Il est donc parti trouver un collectionneur. Et, bien sûr, il avait à l’esprit une crème glacée.

            Il a dit: «Que me donneras-tu en échange de ce timbre?»

            L’autre a dit: «Eh bien, je vais–je vais te donner un dollar pour cela.»

            Oh! la la! là ça faisait environ dix cornets, vous savez, il–il s’est donc dit qu’il avait fait une affaire. Peu après cet homme vendit cela à cinq cents dollars. Et j’oublie maintenant combien de milliers de dollars vaut ce timbre-poste.

            Voyez-vous, à considérer seulement le papier, ça ne valait rien. Mais c’est ce qui  était écrit dessus qui faisait la différence. Cette Bible, c’est juste du papier pelure ordinaire. Mais ce qui compte, c’est ce qui est dessus. C’est Dieu sous forme de lettres. Oui.

24        Parfois c’est un... Peu importe combien c’est petit... C’est là que nous  commettons notre erreur. Nous voulons toujours faire quelque chose de grand. Peut-être qu’on n’a pas été destiné à faire quelque chose de grand. Peut-être que  ce sont les petites choses que nous ne faisons pas qui nous causent du tort.

            C’est comme au Canada, je me tenais là en compagnie de mon grand ami, le docteur Ern Baxter, qui était souvent mon manager: un homme éloquent, très bien. Et quand le Roi George (pour qui j’ai eu le privilège de prier, vous savez, quand  il fut guéri d’une sclérose en plaques), quand lui et sa femme passaient dans la rue ce jour-là, à Vancouver, là... Tandis qu’ils descendaient la rue, sa femme était là dans sa belle robe bleue, et le roi lui-même était assis là, essayant de se tenir droit, alors qu’il avait des douleurs et était malade, et ses ulcères le tourmentaient. Mais néanmoins, il savait qu’il était le roi, et ainsi il saluait les gens en hochant la tête.

            Et quand il passait, Ern et moi assistions à cela. Il... Ern a tout simplement détourné la tête et s’est mis à pleurer; il ne pouvait pas se contenir. Il a dit: «Frère Branham, c’est mon roi qui passe.»

            Et je me suis dit: «Si cela peut amener un Canadien à éprouver de tels sentiments, qu’en sera-t-il quand nous verrons notre Roi passer?» Voyez-vous?

25        Ils avaient fait sortir tous les enfants de l’église, ou plutôt des écoles pour qu’ils voient le roi. On leur avait remis des drapelets britanniques à agiter. Quand ils sont retournés dans les écoles, selon leur procédure habituelle, ils se sont rendu compte qu’un petit enfant n’était pas rentré. Et l’institutrice fut alarmée, elle alla donc à la recherche du petit ami. Et elle se tenait là (c’était une fillette), elle se tenait derrière un poteau, pleurant amèrement. L’institutrice l’a prise et a dit: «Qu’y a-t-il, ma chérie?» Elle a dit: «N’as-tu pas vu le roi?»

            Elle a dit: «Si, j’ai vu le roi.»

            L’institutrice a dit: «As-tu agité ton drapelet?»

            Elle a dit: «Oui, j’ai agité le drapelet.»

            L’institutrice a dit: «Pourquoi pleures-tu alors?»

            Elle a dit: «Vous savez, a-t-elle dit, je suis trop petite.» Elle a dit: «Je–j’ai vu le roi, et j’ai agité mon drapelet, mais le roi ne m’a pas vue.» Voyez-vous? Et son petit coeur était brisé.

            C’est différent de notre Roi. Vous ne pouvez pas être trop petit... Vous ne pouvez pas faire quoi que ce soit sans qu’Il voie chaque petit geste que vous faites. Il sait tout à votre sujet.

26        Bon, mon sujet dont je vais parler ce matin pendant quelques minutes, le Seigneur voulant, c’est Un Paradoxe. Qu’est-ce qu’un paradoxe? Selon le Webster ici, cela signifie quelque chose qui est incroyable mais vrai. Je pense que nous en avons été témoins ces quelques derniers jours, c’est dans sa forme mineure. Mais un paradoxe, c’est quelque chose qui est incroyable, et pourtant vrai. C’est cela un paradoxe.

            Dans Hébreux, chapitre 11, verset 3, nous voyons que le monde fut créé et formé par la Parole de Dieu. Et, il y a quelques semaines, j’étais à New York, au Morris Auditorium. Et j’ai écouté cette bande de–d’Einstein qui parlait de cette galaxie et combien... Si nous quittions ici et allions (Je pense) à cent cinquante millions d’années-lumière, en voyageant à la vitesse de la lumière, cela nous prendrait cent cinquante millions d’années-lumière pour arriver là-bas, et puis cent cinquante millions d’années-lumière pour revenir. Et vous savez à quelle  vitesse la lumière se déplace. Voyez-vous? Et pensez-y tout simplement, cent cinquante millions d’années-lumière.

27        Eh bien, si vous faisiez une rangée de neuf faisant à plusieurs reprises le tour du monde, vous ne pourriez jamais évaluer le temps que ça prendrait en terme d’années. C’est-à-dire neuf, neuf, neuf, neuf, serrés, faisant le tour du monde, vous ne pourriez pas évaluer le temps que cela prendrait en terme d’années. Car, pensez-y tout simplement, quelle est la vitesse de la lumière? Huit cents–huit–cent quatre-vingt-six... cent quatre-vingt-six mille miles par seconde [299.274 km/s–N.D.T.]. Et une année-lumière...

            Trois cents millions d’années-lumière, essayez de vous représenter cela. Et savez-vous combien de temps cela fera alors, depuis que nous aurons quitté la terre? Cinquante ans. C’est juste. Voyez-vous, ils sont entrés pour voir si l’éternité... On raconte que John Glenn, l’astronaute qui a fait le tour, cela n’a pas du tout pris une seule seconde de sa vie, même la vitesse d’environ mille sept cents miles à laquelle il voyageait. Voyez-vous?

            Ainsi, voyez-vous, on est entré dans l’éternité. Nous sommes liés à la terre et nous ne connaissons que les centimètres et des choses de ce genre. Quand vous entrez dans ce domaine inconnu, vous–vous ne pouvez pas vous représenter cela. Notre esprit ne peut appréhender cela. Nous–nous ne pouvons pas–nous ne pouvons pas nous représenter ce que cela signifie d’entrer dans cela. Mais nous savons que c’est vrai.

28        Et Einstein a dit: «Il n’y a qu’une seule chose censée que nous puissions dire au sujet du monde. C’est par la foi que nous comprenons que Dieu a formé le monde.» Voyez-vous?

            Et ce monde qui est suspendu là dans l’espace a dû venir de quelque part. La science déclare que c’est un fragment du–du soleil. Alors d’où est venu le soleil? Voyez-vous, vous continuez à décomposer la chose jusqu’à ce que, finalement, vous en arriviez à un point où vous devez vous rendre compte que cela a dû avoir un commencement. Voyez-vous? La Bible nous enseigne que Dieu a créé les cieux et la terre.

            Et comment se tient-il là dans l’espace? Il ne bouge pas. Vous ne pouvez pas–vous ne pouvez pas prendre un instrument... Je portais au retour de mon... de la Finlande... un–mes réunions outre-mer en Suisse, l’une des meilleures montres qui m’a été offerte durant mon séjour là-bas. En fait, je pense qu’en monnaie américaine, elle coûte cent cinquante, deux cents dollars, peut-être plus. Et pourtant cette montre fait du retard ou de l’avance, juste en quelques jours.

29        Je l’ai amenée chez un joaillier. Il a dit: «Eh bien, nous n’avons rien qui reste parfaitement à l’heure.» Voyez-vous? Mais la terre reste parfaitement à l’heure. On peut annoncer les éclipses du soleil et de la lune plusieurs, plusieurs années avant à la minute près. C’est la façon dont elle tourne, et pourtant rien ne la tient dans l’espace.

            Où est le haut et où est le bas? Nous ne savons pas. Est-ce le pôle nord qui est en haut ou le pôle sud? Nous sommes dans l’espace. C’est un paradoxe, n’est-ce pas? C’est inexplicable. Tout ce qui–ce qui est inexplicable comme cela est simplement un paradoxe. Nous voyons donc que le fait que la terre est–est dans l’espace est un paradoxe. Très bien.

            Et les temps et les saisons, comment les saisons interviennent-elles exactement aux mêmes périodes? Comment l’été et l’hiver... Comment la terre est inclinée... Elle est inclinée vers l’arrière. Si elle était toute droite...

30        Maintenant, nous avons prouvé qu’à une certaine époque la terre était toute droite; en effet, Dieu a dit qu’elle l’était. Là dans les champs de glaces britanniques, on peut creuser à l’aide des explosifs à cinq cents pieds [15 m–N.D.T.] dans cette glace, et il y a des palmiers, des fougères. Cela montre qu’autrefois c’était une région tropicale. Et maintenant (Voyez-vous?), la terre est inclinée vers l’arrière, depuis la destruction du monde antédiluvien, elle est inclinée en arrière. Et je crois que la chose même qui, autrefois, l’a fait basculer  de son orbite est maintenant sur le point de la ramener dans son orbite.

            L’homme se détruit par son savoir. Voyez-vous? Jamais il ne... Dieu ne détruit rien. L’homme... Et vous... Nous ne pouvons pas, peu importe ce que nous... Nous pouvons détruire, mais nous ne pouvons pas anéantir. Nous n’avons rien, même si c’est la chose qui semble la plus proche de l’anéantissement... Mais vous ne pouvez pas anéantir. Quand les feux brûlent, ce sont des gaz qui se décomposent. Cela retourne droit à son état originel. Vous ne pouvez rien anéantir.

31        Certaines personnes se sentent si coupables qu’elles veulent que l’on prenne leurs corps et qu’on les incinère, et qu’on en jette les cendres au sept vents de la mer. Mais cela ne change rien. Votre... Cela n’est pas anéanti; vous ne pouvez rien anéantir. C’est Dieu qui a créé cela. Vous ne pouvez pas détruire cela. Vous pouvez–vous pouvez pervertir ou tripoter ou faire d’autres choses, mais vous ne pouvez pas anéantir. Dieu seul peut anéantir. Il est le Créateur. Il est le seul qui a le droit de le faire.

            Comment la terre se tient-elle dans l’espace? Nous pourrions dire tant de choses à ce sujet, cela prendrait des heures.

32        Mais nous voyons ici que Josué arrête le soleil; c’est donc un paradoxe. Je me rappelle lorsque mon vieux papa qui n’avait pas d’instruction, et je... Il savait à peine écrire son nom. Mais il avait l’habitude de me dire une chose, il disait: «Tu sais, je ne suis jamais arrivé à croire que le–que le... autre chose que le soleil tourne autour de la terre.»

            J’ai dit: «Eh bien, je ne sais pas, papa.»

            Et un jour, dans une école secondaire, je me souviens que je parlais dans une école secondaire, à un enseignant de la Bible là-bas. Et–et je lui ai posé cette question au sujet de Josué. Il a dit que la translation de la terre produit la gravitation, et que la gravitation a maintenu la–la terre suspendue dans le vide.

            J’ai dit: «Alors, pourquoi (Vous enseignez la Bible.) Josué a-t-il donc ordonné au–au soleil de s’arrêter?»

            Il a dit: «Dieu a fermé les yeux sur l’ignorance de Josué (Voyez-vous?) et a arrêté la terre.»

            J’ai dit: «Vous venez de me dire...» Eh bien, il ne croyait pas aux miracles de Dieu (Voyez-vous?), et il a dit... «Vous venez de me dire que si jamais la terre s’arrêtait, cela arrêterait sa gravitation, et alors elle filerait comme une comète dans l’espace.» Et j’ai dit: «La Bible dit que la terre s’arrêta là pendant vingt-quatre heures.» Voyez-vous, voyez-vous?

33        C’est un paradoxe, pourtant Dieu l’a quand même fait. Quoi? Par un homme, pas un dieu, pas un certain grand Ange descendu du Ciel, [mais] par un homme qui avait la foi dans la mission qui lui avait été confiée, pour s’emparer de ce pays; la Parole de Dieu soutenait cela. «Je vous donne ce pays. Et tout lieu que foulera la plante de votre pied, Je vous le donne. Cela vous appartient.» Les empreintes de pas signifiaient la possession.

            Et c’est le soleil qui... La–la mission qu’il essayait d’accomplir (Voyez-vous?)... son ennemi était mis en déroute. Il savait que si le soleil se couchait, ces rois se regrouperaient et reviendraient contre lui avec une force deux fois plus grande. Le soleil se couchait donc, et Josué, l’homme qui en avait reçu la commission, a dit: «Soleil, arrête-toi.»

34        J’ignore ce que Dieu a fait. Mais le soleil s’est arrêté, la lune s’est arrêtée sur Ajalon, parce qu’un homme, un être humain, un être humain était dans la ligne du devoir. Pendant qu’il était dans la ligne du devoir, il a ordonné au soleil de s’arrêter. Et si nous sommes des chrétiens, nous devons croire que ceci c’est la Parole infaillible de Dieu. Partout... Il arrêta la terre, il arrêta le soleil, quoi qu’il ait fait, cela s’arrêta pendant vingt-quatre heures. Je crois cela.

            Jésus a dit dans Saint Marc 11.22: «Si vous dites à cette montagne: ‘Ôte-toi de là’, et si vous ne doutez point dans votre coeur, mais croyez que ce que vous avez dit arrivera, vous le verrez s’accomplir.» Mais il faut qu’il y ait un motif et un objectif. Bien sûr, vous devez avoir une raison pour cela. Vous ne pouvez pas avoir la foi, sans que vous ayez une raison.

35        C’est comme j’essayais de le dire hier soir, certaines personnes mettent leur foi dans leur manuel. Les autres mettent leur foi dans quelque chose d’autre. Mais ça dépend de là où vous basez votre foi. Moi, je veux croire la Parole de Dieu. Ce que Lui dit est la vérité. Je dois donc voir si c’est Sa volonté ou pas. Si donc c’est Sa volonté, je dois vérifier l’objectif, et ensuite le motif qui me poussent à faire cela.

            Si je le fais parce que je dis: «Eh bien, je vais là sur la montagne. Il y a une montagne devant moi. Il y a un million de gens sur l’autre versant en train de périr. J’ai cent millions de gens par ici à qui je prêche.» Eh bien, si je ne peux pas passer par-dessus la montagne, la contourner, ou passer en dessous de celle-ci ni rien, et que néanmoins dans mon coeur quelque chose me dit sans cesse: «Va de l’autre côté de la montagne; va vers ces gens; va vers ces gens», et que je n’arrive pas à la franchir; eh bien, Jésus a dit: «Ils vont déplacer cette montagne.» Voyez-vous? Si cela...

36        Eh bien, en fait, voici ce qu’il y a premièrement. Qu’arriverait-il si je disais... Eh bien, premièrement, ce n’est pas moi qui ai créé cela là-bas. Quelque Chose a créé cela. C’est pour une cause juste. En effet, pour quelle raison irais-je vers un million alors que cent millions ici sont en train de périr de ce côté-ci? Mais c’est quelque chose dans mon coeur qui dit: «Va là-bas, de ce côté-là.»

            Eh bien, voici la première chose que je dois me dire: «Eh bien,  si je vais là-bas, ce côté peut seulement me payer autant par mois, mais là-bas, ils...» Voyez-vous, mon motif n’est pas juste. Mon objectif n’est pas correct. Non.

            Eh bien, et si je disais: «Non, l’argent m’importe peu. Mais si je vais là-bas, un jour dans les–les âges à venir, ils érigeront un énorme monument avec la mention: ‘Frère Branham, le grand missionnaire’». Alors, mon motif n’est toujours pas juste.

            Mais quand cela importe peu pour moi que les gens sachent qui est allé là-bas, Il est tout simplement dans mon coeur. Alors je parlerai à cette montagne et la chose arrivera. Voyez-vous? Absolument. Mais, examinez si votre motif et votre objectif dépendent de votre personnalité, de l’importance de l’affaire, de ce que votre–ce que... C’est là que l’église passe loin de la chose. Les gens sont pris par une émotion, et bien vite, un enthousiasme... Ils ne s’arrêtent pas pour vérifier encore cela ici, vérifier là, pour être sûrs.  Alors c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR, voyez-vous, si la chose est correcte.

37        Josué avait reçu la commission d’aller là pour s’emparer de ce pays, et Dieu a accompli un glorieux paradoxe. Même la science peut prouver aujourd’hui que le ciel porte encore la cicatrice là où la chose est certainement arrivée. Il n’y a pas longtemps à Chicago, j’ai entendu un homme de science parler, montrant sur un petit diagramme là où cela était arrivé.

38        Maintenant, nous voyons encore que Moïse était aussi dans la ligne du devoir. Et la mer Rouge était là. Avez-vous vu cet article insensé que l’un de ces gens essaie de présenter maintenant, qui montre que Moïse a traversé un–un tas de roseaux, une mer de roseaux? N’est-ce pas horrible? Juste pour essayer... Le diable inspire à ces gens de retrancher la vérité de la Parole. Comment les eaux pouvaient-elles... Et puis, est-ce que ce sont des roseaux qui ont ensuite noyé Pharaon quand il est venu? C’est de la folie. Voyez-vous?

            Et puis, nous voyons que Moïse avait reçu la commission de faire sortir ces gens d’Egypte pour les amener à cette montagne. Et cela était alors dans la ligne du devoir. Et Moïse s’est mis à crier à Dieu, quand il vit la Colonne de Feu suspendue par ici, et que là-bas venaient les chars de Pharaon. Il a crié, et la–la Colonne de Feu est descendue, et Elle était une lumière pour eux et des ténèbres pour les autres. Et Dieu a dit: «Pourquoi cries-tu à Moi? Je t’ai commissionné pour faire cela. Parle et va de l’avant.» Oh! la la!

39        Le problème aujourd’hui est que les églises parlent, c’est comme si elles disent: «Qu’a dit Moody? Qu’a dit Sankey?» Parlez et dites ce que Dieu a dit. Allons de l’avant, ne regardons pas en arrière. Allons dans cette direction.

            C’est difficile à ces tournants. L’église ne veut pas croire cela. Voyez-vous? Les gens se réfèrent toujours au passé, suivant leur point de vue intellectuel. Bien sûr, en soi c’est une école. Voyez-vous? Ils apprennent cela  par l’étude des livres. Nous, nous savons cela par expérience en faisant confiance à Dieu (Voyez-vous?) et sachant qu’Il fait effectivement cela. C’était un paradoxe quand Dieu a ouvert cette mer Morte et qu’Il a fait cette chose glorieuse.

40        Noé, en son jour... Rappelez-vous, Noé a prêché dans un... intellectuel... à un monde intellectuel comme celui que nous écout-... auquel nous prêchons maintenant, en un jour où les gens étaient bien plus avancés dans la science que nous le sommes aujourd’hui. Nous ne saurions jamais construire une pyramide. Il nous est impossible de le faire. Nous n’avons pas les machines pour le faire. Certains de ces–ces... Si vous aviez déjà été là, oh! ces–ces blocs de pierre pesaient des tonnes, des centaines de tonnes, et ils ont été amenés très haut en l’air. Nous n’avons pas de machine pour soulever cela à cette hauteur. Nous n’avons rien du tout pour le faire, aucune énergie qui pourrait les soulever à cette hauteur. Eux, ils l’ont fait.

41        Je me souviens qu’à l’école nous avons eu un débat là-dessus. Et moi, j’ai pris position pour dire qu’ils avaient un secret. Les gens ne savaient pas... Et mon opposant a pris position pour dire que, eh bien, ils ont placé assez d’hommes tout autour de cela, et ils ont arrangé un–un niveau de terre comme ceci, et qu’ensuite ils ont fait monter cela en le roulant.

            J’ai dit (Je travaillais dans une équipe de cheminots), j’ai dit: «Eh bien, nous ne pouvons pas... Prenez un wagon ayant des roues graissées et mettez-le sur la voie ferrée, vous ne pouvez pas mettre assez d’hommes là pour pousser ce wagon, même s’il est vide. C’est juste. Vous avez juste une rangée d’hommes, et alors l’homme qui suit pousse le suivant (Voyez-vous?), vous n’arriverez pas à le déplacer s’il vous fallait le faire.»

42        Ils en avaient le secret. Ils savaient comment s’y prendre. Ils avaient un équipement plus important–un plus important. Cette pyramide se tient si parfaitement au centre de la terre (elle est bien dressée) qu’il n’y a pas une... il–il–il n’y a aucune ombre autour d’elle, quelle que soit la position du soleil. Elle n’a point d’ombre autour d’elle. Voyez-vous? Ils ont érigé une–une oeuvre parfaite. Et leur équipement dépassait de loin celui que nous avons aujourd’hui.

            Et Noé a prêché dans ce grand âge intellectuel.

            Et Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de Noé», un autre grand âge intellectuel. Voyez-vous?

            Maintenant, souvenez-vous, Noé avait un message de la part de Dieu, disant qu’il allait pleuvoir. Eh bien, il n’y avait jamais eu... Voyez-vous, la terre était tout droit en ce temps-là. Ils n’avaient jamais connu de pluie. Mais Noé a dit: «Il va pleuvoir.» L’eau était sur la terre, pas dans les cieux. Ils pouvaient prendre un instrument pour prouver qu’il n’y avait pas d’eau là-haut. Mais Noé a dit: «De toute façon, cela va arriver.» Voyez-vous? Et il a plu. C’était un paradoxe (Voyez-vous?), quelque chose qui ne pouvait pas être expliqué. Mais Dieu a fait basculer la terre, et l’a mise dans une position telle qu’il pouvait pleuvoir. Voyez-vous donc que c’était un paradoxe que Noé ait pu faire cela.

43        C’était aussi un paradoxe quand Israël se tenait d’un côté de la colline et  Goliath de l’autre côté de la colline. Ils avaient là un grand provocateur. C’était un grand homme de science. Il–il connaissait tous les tenants et les aboutissants. Et quand l’ennemi pense qu’il vous a mis au pied du mur, c’est à ce moment-là qu’il aime faire trop de bruit.

            Je me souviens au début, quand j’ai commencé dans ce ministère, notre–mon pasteur Davis m’a dit, il a dit: «Billy, qu’avais-tu donc pris comme souper ce soir-là?» Voyez-vous? Il ne pouvait pas comprendre cela.

            J’avais avec moi un groupe de ministres. Ils ont dit: «Qu’est-ce qui t’arrive? Tu penses que ce...»

            J’ai dit: «Peu m’importe.»

            «Dans cet âge scientifique où nous vivons, tu veux me dire que Dieu...»

            J’ai dit: «Peu m’importe ce que vous dites. Je... Cet Homme, cet Ange du Seigneur ne m’a jamais rien dit de faux.» J’ai dit: «S’Il m’envoie là-bas, il y aura quelqu’un qui va écouter cela. Si l’Eglise baptiste ne veut pas écouter, alors voici ma carte de membre.» C’est tout. Je savais que Dieu l’avait dit, et ça réglait la question. C’est juste.

            Il a dit: «Tu ne sauras pas le faire.»

44        C’est ce géant qui se tient là-bas, disant: «Si vous venez par ici et envoyez l’un de vos hommes se battre contre moi, alors nous éviterons un bain de sang.»

            Oh! la la! comme c’est facile! Comme ils aiment fanfaronner quand ils sont dans cette position-là! Il a dit: «Vous... Que l’un de vos plus grands hommes...» Bien sûr, Saül dépassait toute son armée de la tête. Mais il était assez avisé pour ne pas aller affronter ce gars sur son terrain.

            Il a dit: «Maintenant, nous ne tuerons personne. Nous allons simplement... Que–que deux d’entre nous... l’un de nous meure, qu’un seul homme meure au lieu que toute cette armée meure.» Il fit une–une suggestion psychologique; et remarquez qu’il a dit... Et Israël avait une peur bleue. Ils ne voulaient pas relever le défi.

45        Mais un jour, un petit gars rougeaud s’avança là, avec un morceau de peau de brebis enveloppant ses épaules; il avait le dos voûté, ses cheveux lui tombaient sur le visage, il était venu là apporter à ses frères des gâteaux aux raisins, pour lesquels le–son père l’avait envoyé là. Il s’appelait David. C’était un tout petit gars décharné qui se tenant là...

            Mais vous savez, quelques jours avant cela un prophète l’avait oint. On avait voulu mettre l’huile d’onction sur la tête de son grand frère, parce qu’il avait une meilleure apparence. Vous savez, cela fait bonne impression aux yeux des gens devant lesquels il se tiendra; il a les allures d’un roi.

            Oh! les yeux du monde sont encore remplis de cela, d’Hollywood. Ils devraient être remplis de Christ. Voilà pourquoi il est si difficile d’apporter le programme aux gens, le Message. Ils veulent s’identifier à Hollywood. Hollywood brille. Eh bien, cela brille...

46        Maintenant, j’habite... Je suis un–un prospecteur. Vous savez, la pyrite brille plus que le véritable or. Tout ce qui brille... Tout ce qui brille n’est pas  or. Après tout, l’or ne brille pas; il luit. Et Hollywood brille avec éclat, alors que l’Evangile luit avec humilité. Hollywood brille avec ses grandes belles églises, ses ministres instruits et psychologues, qui, en prêchant peuvent utiliser les noms et les pronoms et tout le reste correctement, alors que l’Evangile de Jésus-Christ luit dans l’humilité pour la gloire de Dieu, et eux n’en savent pas plus qu’un lapin n’en sait sur les raquettes. Ils... c’est tout aussi éloigné... (Excusez-moi pour cette manière de m’exprimer. Ici n’est pas un endroit pour plaisanter.)

            Et je... Mais je... C’est ce que je... Je vais essayer de le dire, vous savez. Les gens ne–les gens ne comprennent pas cela. Ils pensent que ça doit être raffiné à la manière des érudits. Et–et nos pentecôtistes deviennent comme cela. Leurs ministres doivent partir, obtenir beaucoup de diplômes en  psychologie, et ils doivent savoir comment dire «amen» correctement. C’est juste. Oh! c’est honteux, mes amis. C’est une honte parmi nous.

47        Eh bien, ce n’est pas que je sois contre l’église; je suis contre ce système qui prend des hommes pieux pour faire cela. Nous n’avons pas besoin de briller. Nous n’amènerons jamais l’ennemi sur notre terrain, ou plutôt nous ne pouvons pas aller là sur le terrain de l’ennemi et essayer d’avoir un bel éclat, de beaux vêtements, des cols d’ecclésiastiques et tout, et toute notre chorale en robe et tout comme cela. N’allez pas sur leur terrain. Nous ne pouvons jamais nous comparer à eux.

            Qu’ils viennent vers nous, s’ils ont faim. Nous sommes les gens du Plein Evangile. Amen. Restons comme tel. L’Evangile n’est pas venu en paroles seulement, mais avec puissance et démonstration de la Parole. C’est ce qu’a dit l’écrivain: la puissance et la démonstration. En d’autres termes, la Parole confirmée, c’est l’Evangile (Voyez-vous?), Marc 16.

48        Remarquez maintenant, nous voyons qu’au temps de Noé, pendant qu’il prêchait, les gens pouvaient difficilement croire à une telle chose... ils... Noé croyait une telle chose. Mais, finalement, le paradoxe est arrivé, et la chose s’est produite. Il a effectivement plu.

            Puis, au temps de David, nous voyons que lorsque Saül était là, avec toute sa grande armée, ce petit homme rougeaud se présenta là, et–et il était venu  apporter quelques gâteaux à son frère, de la part de son père. Et ce géant est sorti et a fait sa vantardise pour une fois de trop. Il y avait un véritable homme de Dieu qui entendit cette vantardise.

            Et il se retourna et dit: «Vous voulez me dire que vous, l’armée du Dieu vivant, laisserez cet incirconcis de Philistin se tenir là et vous dire que les jours des miracles sont passés? (ou, eh bien, je... C’était... le même principe...) Laisserez-vous cet homme de science incirconcis vous dire–défier l’armée du Dieu vivant?» Il a dit: «J’ai honte de vous, et vous êtes supposés être des hommes entraînés.» Il a dit: «Moi, j’irai me battre avec lui.» Oh! j’admire son courage. Il savait ce qu’il croyait.

49        Alors Saul l’a amené là et a dit: «Fiston, eh bien, j’admire ton courage. Mais, n’oublie pas que tu n’es qu’un adolescent (voyez-vous?), tandis que lui, il est guerrier depuis sa jeunesse. Vois-tu? Et tu ne connais rien d’une épée et de ces choses. Eh bien, comment vas-tu affronter cet homme, comment vas-tu relever son défi?»

            David répondit: «Saül, je faisais paître les brebis de ton serviteur, et un ours est venu et en a attrapé une. Et il s’est enfui avec elle. Je suis allé, et je la lui ai arrachée. Un lion est venu et en a attrapé une, et je l’ai poursuivi. Et, j’ai pris une fronde et je l’ai terrassé; quand il s’est relevé, je l’ai tué.» Il a dit: «Si le Seigneur Dieu  m’a donné la victoire sur le lion et sur l’ours, à combien plus forte raison me donnera-t-Il la victoire sur cet incirconcis de Philistin.»

50        Vous savez, je pense à cela quand je prie pour vous. Voyez-vous? Voyez-vous, un lion qu’on appelle «cancer» est venu et a attrapé une de Ses brebis. Moi, je n’ai pas de médicaments. Je n’ai pas de piqûres. Je ne sais pas ce que c’est le radium. Je ne connais rien de la théologie et de ces choses faites de main d’homme; mais je connais bien cette petite fronde. Je suis venu ici à votre recherche maintenant. Je désire vous ramener. Il s’agit de la brebis de mon Père. Parfois, je dois vous réprimander et m’en prendre à vous. Mais c’est parce que je vous aime. Gardez cela toujours, toujours, toujours à l’esprit, que l’amour est correctif.

            Si votre petit garçon était assis là dans la rue, et que vous disiez: «Mon cher Junior, tu ne devrais pas t’asseoir... Oh! mon petit chéri, si tu veux...» Ça, ce n’est pas une véritable mère ou un véritable père. Vous iriez le prendre par le bras, le retourneriez et lui donneriez une bonne petite fessée. Cela le corrigera comme il faut (voyez-vous?), si vous le ramenez.

            Mais vous n’allez pas rester là et dire: «Eh bien, Junior, mon cher...», alors que vous savez que le petit ami peut se faire renverser. Vous l’aimez. C’est la raison pour laquelle je m’en fais. Ce n’est pas pour chercher à causer du tort à une organisation. Il est question de dire: «Réveillez-le!» C’est la vérité.

51        Ainsi nous voyons que David a dit... Saül a dit: «Eh bien, je vais te dire, si tu vas te battre avec lui, je–je...» Et il a revêtu David de son armure. Oh! je me représente le petit David qui mesurait peut-être 5 pieds environ [environ 1,52 m–N.D.T.] et qui avait des épaules voûtées, et ces épaulettes étaient ressorties comme cela, et cet airain... Saül a finalement dit: «Ôtez de lui cette histoire.»

            David a dit: «Je n’ai jamais éprouvé ceci. Je ne sais rien de votre éthique et de votre (oh!) de vos bonnes manières à la chaire et des choses que vous êtes censés avoir.» Voyez-vous? Il s’est rendu compte que son veston ecclésiastique n’allait pas à un homme de Dieu.

            Ainsi il a dit: «Ôtez de lui cette histoire. Il n’en sait rien.»

            David a dit: «Laissez-moi aller avec ce que je sais être la vérité, là où Dieu m’a béni.» C’est juste. Laissez-moi aller avec la Parole, pas avec un programme éducatif ou quelque chose que quelqu’un a inventé quelque part. Je sais que la Parole de Dieu ne faillira jamais, la parole des autres hommes faillira. Et Dieu est Son propre interprète. Il a dit: «Allons comme cela. Croyons cela.»

52        Sans doute que le médecin vous fera les meilleurs examens possibles, et  vous aidera de toutes les manières possibles. Cependant, c’est au mieux de sa connaissance. Nous, nous en savons autre chose. Quand tous les espoirs sont partis, alors, Il est celui qui vient à notre secours.

            Nous voyons ensuite ceci, David, pas avec un arc ni une flèche, pas avec  un... En effet, vous ne pourriez atteindre le géant nulle part. Il n’avait qu’un seul endroit, c’était au niveau de ses yeux.

            Pensez-y simplement, la–la–la grande lance qu’il avait, oh! elle pesait probablement 400 livres [environ 200 kg]. Ses doigts mesuraient 14 pouces [environ 35,5 cm]. Et pensez tout simplement au casque qu’il avait sur la tête. Et toute cette cuirasse... Et le vaillant David n’avait qu’une minuscule pierre. C’est tout ce qu’il avait. Il en avait quatre autres dans sa fronde. Savez-vous ce que représentaient ces cinq pierres? La f-o-i [F-a-i-t-h en anglais–N.D.T.] en J-e-s-u-s. C’est ce qui a fait l’affaire. Voyez-vous? Il avait la foi (Voyez-vous?), la foi, la grâce. Il était la grâce de Dieu.

            Et alors, il s’est avancé pour affronter le géant. L’ennemi n’avait qu’un seul point vulnérable, et Dieu a dirigé cette pierre. Et quand il a tué ce géant pour montrer que cela était possible, alors, le reste de l’armée, ils se sont saisis de leurs épées et ont foncé. Ils les bâtirent jusque dans leurs derniers retranchements.

53        Eh bien, il y a quelques années, les gens disaient que la guérison divine n’existe pas. Mais lorsque nous nous sommes avancés pour prouver qu’elle existe, alors le feu a embrasé l’Eglise pentecôtiste, et nous avons eu quinze ans de réveil. Frère, ces critiqueurs qui voulaient donner mille dollars si on leur donnait une quelconque preuve, ils–ils ont fermé la bouche maintenant, car la chose est prouvée. Il y a des déclarations de médecins et tout, sur des cas de cancer, des aveugles, des sourds, des muets, même des morts qui ont été ressuscités, parce que vous avez tout simplement reçu la foi en voyant une seule chose accomplie. Dieu existe. La chose entière est fondée là-dessus. Croyez chaque Parole qu’Il a dite. En effet, la guérison... Je crois dans l’enlèvement; je crois dans tout ce qu’Il a annoncé. Ça s’appelle un paradoxe, quelque chose qui est scientifiquement impossible, mais qui est quand même arrivé. C’était un paradoxe.

54        Maintenant, ma pensée suivante portait sur Samson et sa mâchoire de mule. C’est très, très étrange de voir ce gars de Samson... Beaucoup de gens se représentent qu’il–qu’il était un... J’ai vu l’effet psychologique, ou plutôt un tableau de Samson, où il avait des épaules aussi larges que la porte d’une grange. Eh bien, là ce ne serait pas–pas étrange de voir un tel homme saisir un lion et le déchirer en deux. Samson était un tout petit gringalet (comme on l’appellerait) aux cheveux bouclés, un tout petit gars, le petit garçon de maman, avec de longues boucles de cheveux lui tombant dans le dos.

            Et quand vous voyez... Maintenant, souvenez-vous, quand le lion s’est élancé pour rugir sur lui, remarquez ce qui s’est passé. Voyez-vous? Que s’est-il passé? L’Esprit de Dieu vint sur lui. C’est ce qui faisait la différence. C’est la raison pour laquelle une fois on a pu le lier quand l’Esprit du Seigneur n’était pas venu sur lui. Son signe de naziréat n’était plus là. Mais aussi longtemps qu’il sentait ce signe de naziréat, advienne que pourra.

55        Et il en est de même avec vous les pentecôtistes. Quand vous en arrivez à ce côté éthique, quand vous en arrivez à ce point où vous voulez écouter les credos et des choses semblables, je ne sais pas ce qu’il en est de vous alors. Mais si seulement vous revenez à ce signe de naziréat, le Saint-Esprit oeuvrant en vous, alors tout va bien. N’ayez peur de rien. Aussi longtemps que le Saint-Esprit est là pour identifier cette Parole, laissez les gens raconter ce qu’ils veulent. Oui, monsieur. Dieu accomplit toujours des paradoxes.

            Et nous voyons que Samson... Pensez-y. Avec une vieille mâchoire fragile de mule qui gisait là dans cette prairie depuis plusieurs années... Et tout le monde sait que si vous cogniez cela contre une pierre, ça volerait en morceau. Et «Samson, les Philistins sont sur toi», et il a regardé tout autour. Il n’avait rien dans ses mains. Et voilà que mille Philistins se tenaient là.

            Il a donc simplement tendu la main et a pris cette vieille mâchoire. Et représentez-vous donc ces casques qu’ils avaient sur la tête; ils avaient peut-être un pouce et demi [3,8 cm–N.D.T.] d’épaisseur. Et il a pris cette mâchoire de mule et il a assommé mille Philistins. Humm! Ceux qui s’étaient réfugiés dans le rocher pour se cacher, il leur a dit: «Vous en voulez? Descendez.»

56        C’était un paradoxe. Mais l’Esprit du Seigneur était sur lui. C’est ce qui faisait la différence. C’était un paradoxe de voir un homme se battre avec des hommes bien armés, bien entraînés au combat, munis de longues lances, des couteaux et ainsi de suite, des casques et des armures, et ce seul homme se tenait dans le champ avec cette mâchoire de mule, et il a assommé mille d’entre eux. C’est pourtant la vérité. La Bible le dit.

            Un homme qui pouvait arracher les portes de Gaza, pesant probablement 8 tonnes chacune, de grandes portes en airain... Et une nuit, ils l’avaient enfermé là-dedans. Ils ont dit: «Nous allons l’avoir.» Ils ont dit: «Nous allons ratisser cet endroit jusqu’à ce que nous le trouvions, et nous allons l’avoir.» Mais ce petit gringalet sortit vers minuit et, ayant regardé là, il vit que les portes lui barraient le passage. Il les arracha tout simplement et les mit sur ses épaules, et il monta jusqu’au sommet de la colline, et il s’assit dessus. C’était un paradoxe.

57        Vous ne pouvez pas enfermer Dieu. Vous ne pouvez Le lier nulle part. Il est Dieu. Certainement. Les grandes victoires que Samson remporta... Dieu l’utilisa et accomplit des paradoxes. Il utilisera n’importe qui aussi longtemps que vous accepterez Sa Parole, si vous êtes ordonné pour la cause. Si vous ne l’êtes pas, eh bien, restez alors avec ceux qui... Ecoutez alors le Message.

            Maintenant, nous allons nous dépêcher. Je vois qu’il me reste environ dix minutes.

            La naissance virginale était un paradoxe [Quelqu’un parle et dit: «Vous pouvez continuer jusqu’à dix heures trente.»–N.D.E.] Dix heures trente. Je vais essayer de ne pas aller jusque-là. Vous avez été un auditoire si aimable en tout point de vue. Et je–je–je sais que je suis censé rester ici pour faire un discours à l’intention de ces Hommes d’affaires et ainsi de suite, mais je–je ne peux pas faire de discours. Je n’en sais rien.

58        Seulement, je me souviens qu’il n’y a pas longtemps, juste avant la conversion de Billy (il était avec moi), il a dit: «Papa...» Nous étions à un endroit où nous mangions, et il y avait une chanson qui jouait, vous savez, comme cela. Et il a dit: «N’est-ce pas une belle chanson?»

            Et j’ai dit: «Quelle chanson?»

            Et il a dit: «Papa, tu sais, il n’y a qu’une seule chose qui cloche chez toi?»

            Et j’ai dit; «Qu’est-ce, Billy?»

            Il a dit: «Tout ce à quoi tu penses, c’est Christ; c’est tout.»

            J’ai dit: «C’est un compliment, fiston.» Oui, oui. Il pensait qu’il me faisait un reproche (Voyez-vous?), mais ce–c’est–c’était un compliment. C’est ce que je... Je–je ne connais que Lui. C’est tout ce que je désire, et Le connaître, c’est la Vie. Et pour ce qui est de connaître ces autres choses, je n’en sais rien. Cela pourrait–pourrait me faire passer pour un homme intelligent. Et je ne désire pas être un homme intelligent. Je désire simplement Le connaître. Je Le connais, comme Paul l’a dit, dans la puissance de Sa résurrection, afin que lorsqu’Il appellera je puisse sortir d’entre les morts. Tout ce que je désire, c’est Lui. J’ai besoin de Lui. Je veux que mon nom soit au bon endroit.

59        Bon, c’était un paradoxe quand Dieu a fait qu’une femme conçoive. C’était un paradoxe que le Dieu éternel qui remplit tout le temps et toute l’éternité puisse descendre et devenir un petit Bébé pleurant dans une crèche. C’était un paradoxe. C’était un paradoxe quand Il mourut à la croix. C’était un paradoxe de penser que Dieu deviendrait un homme afin de pouvoir mourir comme un homme, pour racheter Sa propre création. Il devait le faire. Personne d’autre ne pouvait le faire. Si c’était quelqu’un d’autre que Dieu (voyez-vous?), si c’était quelqu’un d’autre que Dieu, nous sommes perdus.

60        Par exemple, qu’arriverait-il si j’avais l’autorité sur vous comme Dieu en a sur toutes choses? Et si je disais: «Eh bien, je vais vous dire quoi. Quiconque regarde cette lampe va mourir. C’est comme de manger de l’arbre.» Et bien vite, ce frère assis ici regarderait cela. J’ai pitié de lui. Je–je ne veux pas qu’il meure. Je vais donc demander à Terry ici de... Ce ne serait pas correct. Non. Eh bien alors, qu’arriverait-il si je demandais à mon propre fils de le faire? Ce ne serait pas correct. Le seul moyen pour que je sois juste, c’est de prendre sa place. Et Dieu, en tant qu’Esprit, ne pouvait pas prendre la place de l’homme. Dieu a donc créé une cellule de sang qui était Son propre Fils, Jésus-Christ. Et Dieu y est entré et y a vécu, et Il a vécu et s’est identifié en Christ. C’était Dieu Emmanuel. Jésus a dit: «Moi et Mon Père nous sommes Un. Mon Père demeure en Moi», voyez-vous, Dieu en Christ réconciliant le monde. Jésus était le Corps, le Tabernacle; Dieu était l’Esprit qui habitait en Lui.

61        Maintenant, par exemple, nous avons l’Esprit dans une portion. Lui, Il L’avait sans mesure. Il était la plénitude de la Divinité corporellement, Dieu. Mais nous, nous L’avons avec mesure. Maintenant, par exemple, c’est comme le petit don que nous avons maintenant parmi nous. Eh bien, c’est comme prendre une cuillérée de l’eau de l’océan. Jésus était l’océan entier, mais ceci n’est qu’une cuillérée. Mais, souvenez-vous, les mêmes éléments chimiques qui se trouvent dans l’océan entier se trouvent dans cette cuillérée; seulement, là il y en a en plus grande quantité. Voyez-vous? Il était Dieu. Nous, nous ne sommes pas Dieu. Nous ne sommes pas Dieu, mais ensemble...

62        Si vous remarquez bien, c’était si merveilleusement illustré, quand cette grande Colonne de Feu qui accompagnait les enfants d’Israël à travers le désert apparut à saint Paul... Quand Elle est descendue le jour de la Pentecôte, Elle s’est divisée et des langues de feu se sont posées sur chacun d’eux. C’était Dieu dans cette Colonne de Feu, le Logos, se divisant parmi Son peuple, montrant que Christ et l’Epouse (Voyez-vous?), Dieu et Son Eglise deviennent Un. Oh! c’est vraiment la plus belle chose que vous ayez jamais vue. Alors ensemble, frères... Ce n’est pas en étant dans différentes organisations que nous serons forts. Je suis originaire du Kentucky. L’union fait la force.

            Pourquoi les Indiens ont-ils perdu ce pays au profit des Blancs? C’est parce qu’ils n’étaient pas–ils étaient divisés entre eux. Comment allons-nous perdre cette grande course? C’est parce que nous sommes divisés. Comment allons-nous gagner cela? Nous devons rester unis. Nous croyons tous en Dieu. Le Saint-Esprit nous fait tous entrer. Ce sera un paradoxe si Dieu nous réunissait. Mais Il le fera; faites-Lui simplement confiance. La naissance virginale... Il sait comment envoyer la persécution. Elle nous forcera à nous unir. Eh bien, la naissance virginale était...

63        Eh bien, la Pentecôte était un paradoxe, le fait que Dieu ait choisi une bande de pêcheurs illettrés qui ne connaissaient même pas leur–leur abc. Il est dit que Pierre ne savait même pas écrire son nom. La Bible dit que lui et Jean (Actes 4) étaient des hommes du peuple et sans instruction. Et pourtant les gens les reconnurent pour avoir été avec Jésus. C’est ça l’essentiel.

            Et que Dieu ait choisi... Eh bien, la–l’église avait formé un groupe d’hommes pour cela, des milliers d’éminents sacrificateurs intellectuels qui, dit-on,  connaissaient toute la signification de cette Parole, et tout, qui L’étudiaient nuit et jour, qui la connaissaient par coeur; mais ils ont manqué de voir la chose. Mais Dieu a choisi un groupe d’hommes qui ne connaissaient même pas leur–qui ne savaient pas écrire leur nom. C’était un paradoxe que de ne pas prendre un homme qui était formé pour la Parole et par la Parole, et de prendre plutôt un homme qui ne connaissait rien de la Parole, et de confirmer la Parole par lui. C’était un paradoxe, certainement.

64        C’était un paradoxe que ces gens qui étaient là dans cette chambre haute par crainte des Juifs, et qui avaient marché avec Jésus, n’aient cependant plus eu peur quand le Saint-Esprit est venu. Ils sortirent dans la rue en criant, en tombant et en se comportant comme une bande de gens ivres. C’était un paradoxe. Le Saint-Esprit est venu sur eux, sur des femmes et sur tout le monde. Ils n’avaient pas honte de l’Evangile de Jésus-Christ. C’était certainement un paradoxe.

            Les visions des anciens prophètes étaient un paradoxe. Nous ne pouvons pas expliquer une vision. Comment allez-vous expliquer une vision? C’est quelque chose qui arrive à une personne et qui fait qu’elle voie à l’avance des choses devant arriver dans les années à venir. La chose s’accomplit parfaitement à la lettre. Cela ne peut pas s’expliquer. Il n’y a aucun moyen scientifique de le faire.

65        Il n’y a pas longtemps, au cours d’un–au cours d’une discussion avec un médecin, lorsque j’étais à–à une réunion des Kiwanis, il a dit: «Monsieur Branham, je ne... Je–j’aime vous entendre parler, a-t-il dit, mais–mais je vous assure, a-t-il dit, je–je ne peux rien croire qui ne soit prouvé scientifiquement.»

            J’ai dit: «Vous prétendez être chrétien?»

            Il a dit: «Oui. Certaines de ces choses me rendent perplexe.»

            Alors j’ai dit: «Alors vous ne pouvez pas l’être. Vous devez croire le tout. Voyez-vous?»

            Il a dit: «Je–je ne peux pas croire à la naissance virginale.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, moi, je peux croire–je peux croire à la naissance virginale plus facilement qu’à la naissance naturelle.» Certainement.

66        Si jamais vous voyiez comment, dans la naissance naturelle, ce sperme venant du mâle et de la femelle et là où... Qui détermine ce que ça va être? Ici on a le sperme venant du mâle, avec le–l’hémoglobine, le sang dedans. Et ici on a la femme, c’est-à-dire l’ovule, ici. Eh bien, les deux premiers qui se rencontrent, le germe pénètre dans l’ovule et les autres meurent. Et il y a des dizaines et des dizaines de milliers de ces germes.

            Et vous direz: «Eh bien, c’est le premier qui est devant.»

            Non, non. Ils s’arrêtent. Et peut-être que c’est un des germes qui étaient au milieu, et que l’oeuf vient du fin fond, et ils se rencontrent et s’unissent. C’est déterminé si ce sera un garçon ou une fille, si ce sera quelqu’un aux cheveux roux ou noir, quelle nature il aura. Quelque chose que la science ignore détermine cela.

            Si ce n’est pas là un paradoxe, qu’est-ce alors? A tout point de vue, c’est la meilleure façon pour nous–pour nous de le comprendre. Mais pas cette fois-ci. C’est Dieu qui détermine la chose. Eh bien, la naissance naturelle, si nous avions le temps de l’expliquer, même pour ce qui est des éléments chimiques du sang et ainsi de suite, et prouver cela, oh! la la! c’est un grand mystère, la manière dont... Nous–nous prenons cela comme une chose ordinaire.

67        Et c’est là le problème qu’ont ces pentecôtistes. Nous considérons Dieu d’une manière trop ordinaire. Nous laissons passer toute la chose. Ne faites pas cela. Ce n’est pas juste; ne faites pas cela. Considérez cela et louez Dieu pour cela. Chaque petite chose qui se produit, louez Dieu pour cela. C’est ce qu’Il... Cela montre que vous appréciez la chose. Qu’arriverait-il si quelqu’un continuait de faire marcher les choses pour vous, et que vous, vous ne le remerciez même pas ni rien? Voyez-vous? Alors après un certain temps, il en aura assez de faire cela. Voyez-vous? Ainsi donc, c’est ce que Dieu fera aussi. Maintenant, souvenez-vous, de ces pierres-ci Dieu peut susciter des enfants à Abraham.

            Eh bien, ces visions des anciens prophètes étaient certainement un paradoxe. Nous ne pouvons pas les expliquer, elles sont au-delà de toute explication. Mais chacune d’elles s’est accomplie exactement tel qu’ils l’avaient annoncé.

68        Ecoutez, Jésus-Christ est ici, maintenant même parmi nous. C’est un paradoxe, le fait qu’Il soit vivant après deux mille ans. Qui pourrait expliquer cela? Que Lui l’Esprit invisible puisse venir parmi nous, prendre un individu, et s’identifier parfaitement, s’incarner dans un individu comme vous en tant qu’un croyant, et pour un don. C’est un paradoxe. Personne ne peut comprendre cela.

            Personne ne peut comprendre comment Il peut très parfaitement dire à chaque personne ce qu’il y a, de quoi il s’agit, le lieu, et ce que c’est, sans jamais se tromper. C’est parce qu’Il est Dieu; Il ne peut pas se tromper. C’est un paradoxe.

            Comment se fait-il donc... Pendant que j’entrais hier soir, j’ai entendu mon frère, mon manager ici pour le champ de mission, monsieur Borders, parler (Je n’ai suivi que la dernière partie de cela) au sujet de George J. Lacy qui a pris une photographie de cet Ange du Seigneur. Examinez cela. Si ce n’est pas la même Colonne de Feu qui accompagnait les enfants d’Israël... Voyez-vous, comment le savez-vous? Ç’a la même nature.

69        Quand Jésus était sur terre, Il a dit: «Je viens de Dieu et Je retourne à Dieu.» Et nous savons qu’Il était le JE SUIS. Et le JE SUIS, c’était ce Logos, cette Colonne de Feu. Et puis, après qu’Il fut retourné à Dieu et qu’Il fut monté au Ciel, un jour Saul de Tarse était en route pour Damas, et cette même Lumière est descendue dans–devant lui et l’a aveuglé. Maintenant, écoutez, il est possible que quelqu’un La voie et qu’un autre ne La voie pas. Des dizaines de milliers de gens L’ont vue. Quand j’en parlais, les gens disaient: «Oh! c’est de la psychologie. Il a simplement imaginé cela, ces gens sont tellement sous l’émotion.»

            Mais quand George J. Lacy a pris cette photographie, il m’a dit ce jour-là au–à Houston, là dans le–dans la salle devant tous ces gens du Times, du Life, du Collier et de tous ces autres magazines; il a dit: «Monsieur Branham, moi aussi, je suis l’un de ceux qui vous critiquent.» Il a dit: «Cependant j’aimerais vous dire quelque chose. Je disais que c’était de la psychologie.» Il a dit: «Mais l’oeil mécanique de cet appareil photo ne prendra pas de la psychologie.» Ainsi... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] «... la mort du testateur.» Voyez-vous? Il a dit: «Mais un jour, après que vous serez parti, elle sera dans les bazars.» Il a dit: «Je suis bien placé pour savoir que jamais un Etre surnaturel n’a été confirmé scientifiquement, mais, a-t-il dit, ceci est prouvé scientifiquement. La Lumière a bel et bien frappé l’objectif.»

70        Vous voyez donc, le témoignage que j’ai donné depuis que j’étais un tout petit garçon, comme quoi je voyais toujours cette Lumière devant moi, et vous le savez, vous avez lu les livres et avez vu les déclarations écrites (Voyez-vous?), c’est la vérité. Je ne suis pas ici pour vous séduire.

            J’ai une femme, j’ai un petit garçon qui m’a appelé l’autre soir au téléphone, en pleurant, disant: «Papa, rentre à la maison.» Combien il pleure et fait des histoires quand il me voit partir, parce qu’il y a tant d’accidents d’avion et tout comme cela! Mes fillettes et les autres, oh! ce sont les filles à papa. Voyez-vous?

            Mon église me paie. Je n’ai jamais de ma vie prélevé une offrande. Je ne demande pas de l’argent aux gens, mais les gens m’en donnent. Je le mets dans les missions à l’étranger. Voyez-vous? Certains de mes administrateurs sont assis ici maintenant même, ils savent que c’est vrai. Je n’en dépense pas un seul sou. J’apporte l’Evangile moi-même. Et quand j’ai accumulé assez d’argent, je vais outre-mer pour prêcher aux gens que–que vous–que vous... C’est vous–vous qui les parrainez. Eux, ils n’ont pas un seul sou. Et puis quand je vais là-bas, alors je vais là-bas et j’y prêche l’Evangile. Les voyages sont déjà supportés par vous les Américains. Vous êtes en train de bâtir votre demeure. Vous n’en savez rien. Mais ce jour-là vous le comprendrez. Voyez-vous? C’est vous qui faites cela. Je reçois de mon église cent dollars par semaine, et c’est vrai.

71        Je n’ai aucune raison d’être ici, nullement. Mais cela–c’est quelque chose en moi. Je n’en ai pas le contrôle. C’est–c’est–c’est une pulsation; cela–cela me pousse à le faire. Vous pensez que c’est facile de se tenir ici à parler contre les organisations, en voyant ces frères qui sont assis ici, des frères qui ont pris des risques pour me faire venir ici?

            Même mes frères Hommes d’Affaires Chrétiens, quand je devais dire à Demos l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, ce qui allait arriver dans cette organisation, et qui est effectivement arrivé il y a quelques semaines au travers de frère Ford et les autres, je leur ai dit, il y a deux ans, d’observer ce qui arriverait. Voyez-vous? Vous êtes en train d’entrer là-dedans. Vous allez en faire une organisation. Quand cela arrivera, alors j’en aurai fini avec cela (voyez-vous?), à la même minute. Ç’a été un oasis parce que les gens, les ministres y viennent, car c’est leur soutien. Voyez-vous? Et puis, je peux apporter le Message et planter la semence, faire tout ce que je peux.

72        Ce n’est pas parce que je veux être singulier. Si c’est le cas, alors je suis un hypocrite. Dieu n’accomplira donc jamais ces choses au travers d’un hypocrite. Dieu s’identifierait-Il  à un hypocrite? A Dieu ne plaise. Ça doit être la vérité. Mais si nous pouvons tout simplement nous secouer une minute et prendre conscience. Et ne pensez pas que c’est un certain homme; un homme n’a rien à... Un... Dieu doit choisir quelqu’un.

            Maintenant, vous les historiens qui êtes ici, Dieu a-t-Il déjà utilisé une organisation? Jamais. Eh bien, j’aimerais vous poser une autre question. Quand un homme se levait avec un message, et que cette organisation s’organisait après ce message, elle mourait sur-le-champ, et Dieu la mettait au rancard. Et elle ne revenait plus jamais à la vie. Maintenant, posez–posez-vous cette question.

73        Eh bien, voyez-vous, maintenant il ne s’agit pas de parler contre... Eh bien, ces catholiques... Toute ma famille est catholique. Je suis un Irlandais, et toute ma famille, ce sont des Irlandais catholiques, et ce sont des gens aimables. Et je ne suis pas contre les catholiques; il s’agit du système. Je ne suis pas contre les méthodistes. Je ne suis pas contre les pentecôtistes. C’est ce système-là qui nous exclut. «Nous sommes ce...» Voyez-vous, nous travaillons ici pour accomplir une seule chose, et nous essayons de produire Dieu, la Bible. Mais eux, ils ont déjà rédigé leur document, leur–leur forme de religion, ce qu’ils croient, et en dehors de cela vous ne pouvez aller au-delà.

74        Pensez-vous que c’est facile pour moi de me tenir ici et de dire cela à des frères qui m’aiment? Pensez-vous que c’est facile pour moi de vous réprimander, vous soeurs qui portez des cheveux courts? Pensez-vous que c’est facile pour moi de vous réprimander, vous les hommes, du fait que vous permettez à vos femmes de porter des shorts et des choses semblables, alors que ces femmes donnent leur argent pour me soutenir, pour l’oeuvre missionnaire outre-mer? Si l’argent n’entrait pas dans l’église, je pourrais... mes enfants ne pourraient pas vivre. Et une personne qui est gentille et aimable envers vous... Pensez-vous que c’est facile pour moi de me tenir là, alors que j’aime les gens?

75        Quand j’étais petit garçon, mon père étant un contrebandier d’alcool, j’étais détesté. Tout le monde qui allait en ville, quand je me mettais à parler à quelqu’un, personne ne voulait avoir affaire à moi. Quand il–il voyait venir quelqu’un d’autre à qui il pouvait parler, il s’éloignait et me quittait. Mais je–j’aimais toujours les gens.

            Quand j’étais petit garçon, je m’enfermais et je lisais mon–mon–mon livre d’histoire. Un jour, je lisais et j’ai vu là où Abraham Lincoln est descendu d’un train là, à Nouvelle Orléans. Et on vendait aux enchères un grand esclave de couleur, là-bas, pour qu’on le croise avec des femmes plus robustes afin d’obtenir de meilleurs esclaves. Et Abraham Lincoln ôta son chapeau et ferma son poing (il était aussi du Kentucky), il a dit: «Ce n’est pas correct. Ce n’est pas correct.»

            Et je dis toujours que ce n’est pas correct. Dieu a créé les hommes. L’homme a fait des esclaves. Dieu nous donne notre couleur exactement comme Il le fait avec les fleurs. Il a une fleur blanche, une fleur bleue, une fleur rouge. Laissez-les tranquilles. Ne les hybridez pas. Laissez-les tranquilles; laissez-les telles qu’elles sont. Elles sont toutes des fleurs de Dieu. C’est Son bouquet. Dieu a créé l’homme et l’homme a fait des esclaves. Nous n’avons pas besoin d’être des esclaves.

76        C’est comme je le disais, ce Martin Luther King est en train de conduire son peuple à une–une crucifixion. C’est du communisme. Certainement. Si ces gens étaient des esclaves, alors je serais là à combattre pour eux. C’est vrai. Mais ils ne sont pas des esclaves. C’est un débat au sujet des écoles qu’ils fréquentent ou pas. Je ne vais pas parler de cela. J’ai simplement pensé exprimer cela. Voyez-vous? Très bien. Remarquez, c’est simplement le diable. Certainement.

            Nous sommes tous des êtres humains; nous venons tous de Dieu. Dieu a fait sortir toutes les nations d’un seul sang. Un homme de couleur peut me donner son sang par la transfusion. Son sang est exactement comme le mien. Le mien est simplement... Je peux lui en donner. Qui suis-je pour discuter? Il est mon frère.

77        Cependant je ne crois pas dans le fait de se marier et de faire des mariages mixtes avec eux comme cela. Je ne crois pas qu’un Blanc... Qu’est-ce qu’une jeune et belle fille de couleur intelligente a à épouser un Blanc, pour avoir des enfants mulâtres? Qu’est-ce qu’une brave fille de couleur intelligente a à vouloir faire une telle chose? Je n’arrive pas à comprendre cela.

            Et qu’est-ce qu’une femme blanche a à vouloir épouser un homme de couleur pour avoir avec lui des enfants mulâtres? Pourquoi ne restez-vous pas tel que Dieu vous a créé? Soyez satisfait de ce que vous avez. Voyez-vous?

78        Maintenant, remarquez la naissance virginale, et les prophètes... Très bien.

            Eh bien, aujourd’hui Il est toujours vivant. Il est toujours ici. Il se confirme par Sa Parole. Cette Parole est Dieu. Croyez-vous cela? Et puis, cette Parole a été destinée à ce jour-ci. Il fallait que quelqu’un vienne, afin que cette Parole puisse être vivifiée, et pour rendre cette Parole vivante. C’est alors qu’Il naquit par une naissance virginale. C’était inhabituel, ça sortait de l’ordinaire. Ces choses sortent de l’ordinaire. Et Il n’y pouvait rien, pas plus que Joseph ne pouvait s’empêcher d’être ce qu’il était.

79        Considérez ces quatre patriarches: Abraham, Isaac, Jacob et Joseph. Abraham, l’appel; Isaac, l’élection (ou vice versa), Abraham, l’élection; Isaac, l’appel; Jo-... Jacob, la grâce; Joseph, la perfection. On ne trouve rien à redire à son sujet. C’était Dieu qui se frayait une voie.

            Suivez. Luther, Wesley, la Pentecôte et la  Pierre de Faîte, quand l’Eglise et la Parole deviennent la même chose: exactement la même chose, parfaitement. Tout dans les mathématiques de la Bible établit parfaitement cela. J’aurais souhaité avoir un mois ici avec de gentilles personnes que vous êtes. Nous pourrions nous asseoir et en parler. Voyez-vous, voyez-vous? Nous nous précipitons tout simplement pour venir et repartir. Cela vous semble inimaginable; vous vous en allez et dites: «Je me demande.» Beaucoup d’entre eux, pas vous, mais beaucoup d’entre eux disent: «Je me demande.» Voyez-vous, vous devez tout simplement arriver au bout de la chose et partir–juste assez pour que vous puissiez comprendre. Voyez-vous? Et c’est de cette manière que Dieu appelle Son peuple. Il le fait toujours de cette manière-là.

80        Remarquez maintenant. Eh bien, Il est toujours vivant aujourd’hui, c’est un paradoxe. La Colonne de Feu est identifiée parmi nous scientifiquement, et Elle est toujours ici, depuis tout là-bas dans le désert, quand Elle était avec Moïse. Il est toujours le JE SUIS. Pas «J’étais» ni «Je serai», JE SUIS: au temps présent scientifiquement, et par le...

            Observez cette Colonne de Feu qui aveugla les yeux de Paul (Saul), alors que ces hommes qui se tenaient là n’ont même rien vu en rapport avec cela. Ils ne L’ont pas vue. Mais Elle était si brillante pour Paul qu’Elle a aveuglé ses yeux. Et depuis lors, il avait toujours des ennuis avec ses yeux. Voyez-vous? Il–il explique cela... Maintenant, écoutez, ça c’est chez les Hébreux.

            Et il a dit: «Seigneur, qui es-Tu?»

            Eh bien, cet Hébreux aurait-il appelé un quelconque esprit Seigneur, cet homme loyal qui avait été instruit aux pieds de Gamaliel, un enseignant de renom? Et Paul savait que c’était soit le Seigneur... que c’était le Seigneur qui avait conduit Son peuple hors d’Egypte. Cette Colonne se tenait là, disant: «Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu?»

            Il a dit: «Seigneur, qui es-Tu?»

            Il a dit: «Je suis Jésus.»

81        Eh bien, Le voici, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Voyez-vous? Il est retourné, et Il a promis de retourner dans les derniers jours. Le voilà, le Saint-Esprit (Voyez-vous?), retournant dans les derniers jours pour amener les gens... Maintenant, suivez. Juste à la fin de la dispensation des Juifs et des Samaritains, cette manifestation de la Parole de Dieu, le fait de connaître des pensées du coeur, Il leur a manifesté cela avant qu’ils ne soient mis de côté. Et le voile qui couvrait leur face (C’est cela que je comptais prêcher ce soir) les avait–avait aveuglés. Ils n’ont pas vu cela. Eh bien, s’Il–s’Il a fait cela auparavant, avec ces deux races de gens (En effet, je dis qu’il y en a trois: Cham, Sem et Japhet), s’Il a fait cela et qu’Il laisse cette église-ci continuer avec des conceptions intellectuelles, alors Il avait commis une erreur. Mais Il est le même hier pour Cham, Sem, Japhet, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et Il a promis de le faire. Ainsi, Il ne fait acception de personne.

82        Et observez comment Abraham est passé par ces signes et tout, et le dernier signe qu’il vit Dieu accomplir, c’était Dieu Lui-même. Il L’avait vu sous forme des lumières et tout le reste. Mais Dieu se manifesta Lui-même dans un être humain qui mangea et but.

            Un homme m’a dit une fois (un prédicateur, frère Fox), il a dit: «Frère Branham, voulez-vous me dire que vous pensez que cette personne-là qui a mangé, que cet homme qui se tenait là en train de manger ce veau, de manger du pain de maïs et de boire du lait, vous pensez que c’était Dieu?»

            J’ai dit: «Certainement. Abraham l’a dit. C’est bien Lui qui parlait à Abraham. Il le savait forcément. Il a dit qu’Il était Elohim.» J’ai dit: «Vous...» Voyez-vous, Il était descendu pour mener une enquête, de la même manière qu’Il mène une enquête maintenant en vue du jugement, pour voir qui sont des croyants. Nous avons tant crié à ce sujet. Il mène tout simplement une enquête pour voir qui sont réellement des croyants. Voyez-vous? Et Il s’est manifesté.

            Il a envoyé là-bas ce genre un peu faible, comme ceux qui apportent ces messages modernes que nous entendons à Babylone. Mais observez ce qu’Il fit là pour cette église élue. Il lui a offert aussi une chance. Voyez-vous? Voyez-vous ce que je veux dire? Et il est racheté par le...

83        Mon Dieu! Qu’a-t-Il fait? Vous savez que nous sommes constitués de seize éléments différents de la terre: la potasse et–et le pétrole, la lumière cosmique et que sais-je encore. Il a tout simplement tendu la main et Il a pris une poignée d’atomes, de lumière cosmique, de pétrole [Frère Branham souffle.–N.D.E.] et Il a dit: «Entre dedans, Gabriel.» Et Il en a fait un pour y entrer Lui-même. Voilà notre Dieu.

            Et après avoir donné Son message à Abraham, Il a disparu et Il est retourné à Dieu. Et tous ces atomes et tout se sont tout simplement décomposés, exactement comme le feu décompose les acides et–et les éléments chimiques du bois, ou du charbon ou je ne sais quoi que vous brûlez, cela est retourné à l’invisible. Je suis si heureux que mon Père soit comme cela.

            Voyez-vous, je sais qu’après que ce corps sera réduit à rien que vous puissiez encore voir, rien que les éléments chimiques qui le composaient, un jour Il appellera et je Lui répondrai. Oui, oui.

84        Il n’y a pas longtemps, mon épouse a dit... Je peignais ces deux ou trois cheveux qui me restent. Et elle a dit: «Billy, tu sais quoi? Tu deviens complètement chauve.»

            J’ai dit: «Je n’ai perdu aucun cheveu.»

            Elle a dit: «Je te prie de me dire où ils se trouvent.»

            J’ai dit: «D’accord, chérie, je te le dirai quand tu auras fait ceci: dis-moi où ils étaient avant que je ne les aie...?... Là où ils étaient avant que je ne les aie, c’est là qu’ils attendent que j’aille les rejoindre.» Alléluia.

            Voilà mon Dieu. Voilà notre Dieu. Certainement. Si nous sommes des enfants d’Abraham, nous croyons cela. Oui, monsieur. Il est notre Dieu. (Je dois me dépêcher.)

85        La Colonne de Feu est scientifiquement identifiée, par la réaction, par Sa caractéristique et tout le reste. Juste telle qu’Elle était lorsqu’Elle demeurait dans le corps du Fils unique de Dieu, de même Elle demeure dans le corps de Ses fils adoptés pour les derniers jours.

86        Maintenant, je sais, frères, nous avons eu tant de ces imitations. Mais la Bible a dit que cela arriverait; vous savez cela. De même que Jannès et Jambrès s’opposèrent à Moïse (Voyez-vous?), cela doit arriver. Mais ne laissez pas cela–ne laissez pas cela vous aveugler. Quand vous voyez un faux dollar, souvenez-vous qu’il a été fait à partir d’un vrai dollar. Voyez-vous? Si ce n’est pas le cas, il est le–il est l’original. Mais il y a un Saint-Esprit original, un Christ original, certainement. Il est le Saint-Esprit.

            Remarquez maintenant, la Colonne de Feu est encore vivante aujourd’hui parmi nous, après tous ces millénaires, Elle est toujours ici. C’est un paradoxe.

87        Une semence qui est sous terre, c’est un paradoxe. (Et je vais terminer dans environ douze minutes.) Une semence qui est sous terre, c’est un paradoxe. La manière dont cette petite semence va sous terre et meurt, et alors après que cette petite semence est morte sous terre, alors elle... Vous pourriez prendre une poignée de terre et l’amener au laboratoire pour l’examiner, vous ne saurez pas trouver ce germe de vie si vous le devriez. Il n’y a rien de scientifique là qui montre qu’il est là. Mais que le soleil tourne une fois et se mette dans la bonne position. Observez ce qui arrive. Il sort de quelque part. Il se lève. C’est un paradoxe. On ne peut pas expliquer cela. De voir tout là-dedans mourir à l’exception de la vie, et la vie est invisible. Et là où il y a la vie, c’est surnaturel. Et le corps naturel a complètement disparu. Mais le surnaturel continue à vivre.

88        Maintenant, si cette petite semence peut être ensevelie... (Maintenant, écoutez-moi, les amis.) Cette petite semence pourrait être ensevelie dans le sol. Mais si elle n’a pas été fécondée par le mâle, peu m’importe combien cette semence est belle, elle ne vivra jamais. Voyez-vous? Peu m’importe combien vos églises s’embellissent, combien on essaie de très bien s’habiller, combien nous devenons très intellectuels, à moins que nous n’entrions en contact avec le Mâle, et le Mâle, c’est la Parole (Voyez-vous?), vous ne pouvez pas ressusciter. Cela vous est impossible. Voyez-vous?

89        Vous savez, prenons le maïs. Nous vivons dans un temps de l’hybridation. Tout est hybride au point qu’on a même hybridé l’église. C’est juste. On a hybridé l’église en passant de la Parole à des credos intellectuels, à la dénomination. Jésus n’a jamais dit: «Allez faire des dénominations.» Il n’a jamais dit: «Allez construire des écoles.» Il a dit: «Prêchez la Bonne Nouvelle.» Démontrez la puissance de la Parole promise pour le jour. Voyez-vous? Mais nous avons hybridé cela. Maintenant, nous avons une plus belle église.

            Vous femmes pentecôtistes, autrefois vos mères se tenaient au coin sans bas, elles portaient de vieux petits souliers usés (et ces tennis) et battaient un tambourin. Et les dénominations se moquaient d’elles et les tournaient en dérision. Papa se tenait là avec les cheveux ayant besoin d’une coupe, et il ramassait du maïs sur la route ou quelque part pour vous nourrir, vous les enfants. C’est bien dommage que vous vous soyez éloignés de cela.

90        Maintenant, vous avez là-dedans une bande de Rickys qui veulent ressembler aux autres, comme le fit Israël qui voulait un–voulait un roi à lui. Vous avez voulu faire comme bon vous semblait. Voyez-vous? Et maintenant, qu’avez-vous obtenu? Une bande de Rickys instruits. C’est juste. Ils ont cette... intellectuel... Ils veulent ressembler aux autres, Docteur Untel et Docteur Untel. Voyez-vous? Et où cela vous a-t-il amenés? Vous êtes devenus plus beaux. C’est juste. Vous êtes de meilleures églises. Mais où est cet Esprit qui s’y trouvait? Où sont ces réunions de prière de toute la nuit à cause de ces péchés qui se commettent dans la ville? Souvenez-vous, le Saint-Esprit a dit dans les derniers jours: «Va, scelle uniquement ceux qui gémissent et soupirent à cause des abominations qui se commettent dans la ville.»

            Eh bien, j’aimerais que vous les ministres vous trouviez un tel membre dans votre église, vous prédicateurs pentecôtistes. Et alors, quand vous l’aurez trouvé, alors venez, et je vous présenterai des excuses. Trouvez un de vos membres qui ne peut pas se reposer jour et nuit parce qu’il gémit à cause des abominations du péché qui se commet dans la ville. Quatre-vingt-dix pourcent d’entre eux restent à la maison et regardent Nous aimons Suzy, au lieu de faire cela.

            Oh! vous parlez en langues, certainement; vous sautillez, vous criez. C’est très bien. Je n’ai rien contre ça. Je n’ai rien contre votre organisation non plus. Mais j’essaie de parler de la vie. Où est-elle? Eh bien, montrez-moi un tel membre. Voyez combien ils sont mondains et indifférents.

91        L’extérieur exprime toujours ce qui est à l’intérieur. C’est à leurs fruits qu’on les reconnaît. Où est la vie? Eh bien, je vous pose tout simplement–pose tout simplement une question. Avant que vous puissiez condamner cela (Voyez-vous?), posez-vous tout simplement cette question. C’est bien.

            Voyez-vous, eh bien, je ne cherche pas à vous blesser. J’essaie de vous aider. Voyez-vous? J’essaie de vous aider. Cette semence doit mourir. Quand les Juifs–ces Grecs vinrent auprès de Jésus et dirent: «Nous voudrions voir Jésus», qu’a dit Jésus? La première chose qu’Il a dite: «Si le grain de blé ne tombe en terre et ne meurt, il demeure seul.» Il leur a montré comment Le voir. Mourir à vous-même, mourir à votre éthique, à vos credos et à toutes ces choses. Naître tout simplement de la Parole, en Christ. Voilà le paradoxe, voir cela se produire. Oui.

92        Je me souviens qu’il n’y a pas longtemps j’étais dans une petite ville du nom d’Acton, dans le Kentucky, tout au fond dans les montagnes, je n’y avais jamais été auparavant. Un compagnon du nom de monsieur Wood et moi... Il fut un témoin de Jéhovah. Et il était dans une des réunions et le Saint-Esprit a parlé. Il avait un garçon qui avait une jambe estropiée, qui était recroquevillée comme cela. Je me tenais à l’estrade prêchant tout simplement et j’ai regardé, et j’ai dit: «Je vois un homme assis tout au fond de la salle.» Elle était trois fois plus longue que celle-ci, c’était une grande tente.

            Et j’ai dit... Et nous étions là près de... oh! c’est là dans les Grands Lacs.

            Et–et cet homme... J’ai dit: «Il a un garçon. Cet homme vient du Kentucky, tout au fond du Kentucky. C’est un entrepreneur. Il s’appelle Banks Wood. Il a un garçon qui a contracté la polio. Sa jambe est recroquevillée.» J’ai dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, il est guéri.» Alors son épouse s’est levée là.

            Eh bien, beaucoup de gens sont ici ce matin, mes fidèles, qui connaissent David Wood. Combien connaissent David Wood, connaissent...? C’est juste. Juste à ce moment-là le garçon s’est levé, et sa jambe était devenue parfaitement normale. Cela a réglé le problème des Témoins de Jéhovah. Et en plus, ces mêmes visions ont amené toute sa famille à se convertir.

93        Son frère qui est venu pour se moquer de lui et pour lui passer un savon lui a dit: «Qu’est-ce qui te prend pour suivre un tel fanatique, un de ces cultes des temps modernes?» (C’était un lecteur chez les Témoins de Jéhovah.)

            Il a dit: «Eh bien, l’homme est là-dehors en train de tondre le gazon.» Et je portais un grand et vieux chapeau de paille, et j’étais dans la cour en train de tondre le gazon. Et je suis entré et me suis assis. Frère Banks a dit: «Je vous présente mon frère Lyle.»

            Et j’ai dit: «Enchanté, Monsieur Wood.»

            Il a dit: «Enchanté.»

            Oh! un type très arrogant. Je me suis assis là un petit moment, et le Seigneur a donné une vision. J’ai dit: «Monsieur Wood, ai-je dit, je suppose que vous ne croyez pas ceci?»

            Il a dit: «Certainement pas.» Et il a dit: «De telles histoires n’existent pas.» Il a dit: «Ce n’est qu’un tas de supercheries dans lesquelles vous avez embrouillé mon frère.»

            J’ai dit: «Vous savez, la Bible dit: ‘Une seule parole contre le Saint-Esprit ne sera jamais pardonnée.’» J’ai dit: «Que... Et Jésus faisait la même chose.» Voyez-vous, il n’avait encore jamais vu cela. Voyez-vous?

            Il a donc dit: «Je ne crois pas à de telles histoires.»

            J’ai dit: «Très bien. Si vous croyiez à ces choses, vous retourneriez vers votre épouse que vous avez quittée.»

            Il s’est retourné vers moi. Il a jeté un coup d’oeil... Eh bien, il ne savait pas que je captais ses pensées.

94        Comme c’est étrange! Les gens viennent (je vois cela à l’estrade), et ils pensent que vous ne savez pas très exactement... Oh! Il vous révèle des choses qui se passent juste autour de vous. Voyez-vous? Mais vous ne pouvez pas en parler. Jésus connaissait bel et bien Judas qui était avec Lui tout le temps. Mais (Voyez-vous?) laissez cela tranquille, car il y a un but derrière cela. Voyez-vous? Et juste...

            Il s’est donc tenu là, et il a dit... Il s’est tourné vers Banks comme si c’est Banks qui le lui avait dit (C’est son frère). J’ai dit: «Vous avez deux enfants, deux petits garçons blonds.» Il a de nouveau regardé Banks. Voyez-vous? Et j’ai dit: «Que pensez-vous? Que c’est Banks qui me l’a dit.»

            J’ai dit: «Et qu’en est-il de ça? La nuit d’avant-hier, vous courriez avec une femme qui a des cheveux châtains, et vous étiez dans une chambre. Et pendant que vous y étiez, quelqu’un a frappé à la porte. Et vous avez envoyé la femme à la porte parce que vous aviez peur. C’était prudent de votre part. Vous vous seriez fait sauter la cervelle. Un autre de ses amants se tenait là avec un pistolet dans la main.»

            Il a dit: «Ô Dieu, aie pitié de moi.»

            Dieu sait comment s’y prendre. Maintenant, c’est un chrétien loyal et doux. Son père est venu de la même façon, ses soeurs ainsi que tous les autres.

95        Nous étions dans le Kentucky, nous chassions l’écureuil pendant l’intermède, après l’une de mes réunions. J’avais deux semaines. Le temps était devenu très sec. Combien ont déjà chassé l’écureuil? Oh! la la! frère, il n’y a rien de tel. Donnez-moi donc une carabine calibre 22 à la mi-août, et je me sentirai comme un poisson dans l’eau. Combien le Seigneur parle là-bas, et sait faire les choses, combien vous...  oh! et ainsi de suite.

            Remarquez, ensuite nous... Le temps était très sec sur les crêtes où nous nous trouvions, et il a dit: «Je connais un vieil homme qui est un infidèle.» Il a dit: «Il possède cinq cents acres [environ 200 hectares–N.D.T.], rien que de collines comme ceci, et cela s’étend jusque dans les–les vallées, les dépressions (comme on les appelle là-bas), où vous pouvez marcher, parce que c’est humide.» Il a dit: «Nous pourrions attraper quelques écureuils.» Il a dit: «Mais c’est un vieil homme rude.»

            J’ai dit: «Eh bien, allons le voir.»

96        Ainsi quelques mois avant cela, voici comment nous avons connu cet endroit: je tenais une série de réunions sur le terrain de camping des méthodistes à Acton, dans le Kentucky. Et ce soir-là, pendant que le Saint-Esprit faisait le discernement, une femme était assise tout au fond du terrain. Et Il a appelé son nom et a dit: «Vous avez une soeur qui se meurt d’un cancer de l’estomac. Elle a été récemment à Louisville, et elle a été opérée. Le cancer l’a tellement envahie qu’elle–qu’ils n’ont pas pu l’opérer. Et il s’agit de Mme Unetelle.» Elle s’est levée et s’est mise à pleurer.

            J’ai dit: «Quand vous quittiez la maison ce soir, vous avez pris un petit mouchoir qui était sur une commode ayant un sommet en marbre, et vous l’avez mis dans votre sac à main. Ce mouchoir a un petit motif bleu au coin.» Voyez-vous?

97        Vous direz: «Comment... Ç’a l’air très...» Bien, que direz-vous de Jésus qui a dit où se trouvait ce poisson qui avait une pièce de monnaie dans sa bouche? Que direz-vous du prophète qui a dit à l’homme que les mules étaient aussi retournées? Voyez-vous, vous... Le diable en a une imitation, oui. Mais vous n’entendez aucun de ces gens-là prêcher l’Evangile et amener les âmes au salut (Voyez-vous?) et tout. Voyez-vous? Vous devriez être avisé.

            Ainsi donc, nous voyons qu’Il lui a dit cela, qu’Il lui a dit: «Prenez ce mouchoir et posez-le sur votre soeur. Car AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle vivra.»

98        Eh bien, je ne sais pas si certains d’entre vous connaissent frère Ben (son nom de famille m’échappe. Bryant, c’est juste), Ben Bryant. Oh! la la! Si vous le connaissez, jamais vous ne... Vous le reconnaîtrez toujours, si jamais vous le voyez une fois. S’il était ici, il crierait, il jetterait les mains et les pieds en l’air comme cela, poussant des cris. Ainsi une fois... Alors il a accompagné cette femme pour poser cela sur l’autre (le mouchoir), pour–pour poser le mouchoir sur l’autre là-bas.

            Et c’est environ deux ans plus tard que nous sommes allés chasser l’écureuil, il a dit: «Allons à ce...» Oui, je ne savais pas qu’il s’agissait de la même contrée. C’était à environ vingt miles [32 km–N.D.T.] de là où nous nous trouvions. Nous sommes donc allés là et nous nous sommes retirés très loin dans les collines et dans les creux, et nous sommes remontés en traversant un champ de genêts dans cette direction jusqu’à ce que nous sommes arrivés à une grande vieille maison. Et il y avait deux hommes âgés qui étaient assis sous un pommier, avec leurs vieux chapeaux à large bord enfoncés. Il a dit: «C’est lui, et mon gars, c’est un dur.» Il a dit: «C’est un–vraiment un infidèle.»

99        Nous nous sommes donc arrêtés et j’ai dit: «Il serait alors mieux que Toi, tu ailles lui parler. S’il apprend que je suis un prédicateur, il ne nous laissera pas du tout chasser.» Ainsi il–il a dit... s’est avancé là et s’est arrêté.

            L’homme se tenait là avec un gros morceau de tabac à chiquer dans la bouche et ça lui coulait sur la barbe, pendant qu’il se tenait là. Il s’est donc tourné et a dit, eh bien, il a dit: «Bonjour, approchez.»

            Il s’est donc approché là et il a dit–il a dit: «Je m’appelle Wood.» Il a dit: «Je suis Banks Wood.» Il a dit: «Je... Nous sommes... Mon ami et moi,  nous chassons par ici, a-t-il dit, depuis quelques jours par ici dans les environs d’Acton.» Il a dit... Et il a dit: «Je–je... ou plutôt, le temps est très–très sec, a-t-il dit, nous ne pouvons pas entrer dans le bois. Les écureuils sont très rares.» Il a dit: «Je sais qu’il y a des écriteaux dans votre domaine, mais je me suis dit qu’il fallait que je vienne peut-être vous demander de nous permettre de chasser.»

            Il a dit: «Quel Wood êtes-vous?»

            Il a dit: «Je suis le fils de Jim Wood.» C’est le lecteur de Jéhovah–le lecteur des Témoins. Voyez-vous?

100      Il a dit: «Le vieux Jim Wood est l’un des hommes les plus intègres qu’on ait jamais...» (A l’époque ils vivaient dans l’Indiana.) Il a dit: «C’est l’homme le plus intègre qu’on ait jamais eu dans cette contrée.» Il a dit: «Je peux certainement vous faire confiance que vous ne tuerez pas une de mes vaches ou que vous ne déclencherez pas un incendie.» Il a dit: «Servez-vous.» Il a dit: «Allez-y et chassez-y.» Il a dit: «J’ai cinq cents acres  [250 hectares–N.D.T.] ici. Faites comme chez vous.»

            «Très bien.» J’ai dit: «Merci.» Il a dit: «Je pense que ça ne vous dérangerait pas que mon pasteur vienne aussi.»

            Il a dit: «Votre quoi?»

            Il a dit: «Mon pasteur.» (Est-ce que je prends trop de temps? Très bien.) Il a dit: «Mon pasteur.»

            Et il a dit: «Wood, vous n’allez pas me dire que vous êtes tombé si bas qu’il vous faut trimballer un prédicateur avec vous partout où vous allez.» Et il a dit...

            Je me suis dit que c’était alors le moment pour moi de descendre. Je suis donc descendu de la voiture et je me suis approché, j’ai dit: «Bonjour.»

            Il m’a regardé, il s’est raclé la bouche pour en dégager le tabac, vous savez, et il a craché par terre comme cela. Il a dit: «Et vous êtes un prédicateur, hein?»

101      J’ai dit... Il a regardé, j’étais tout couvert de sang d’écureuils, avec de la barbe (Je n’avais pas pris un bain depuis deux semaines, vous savez), et on s’étendait et on dormait dans les bois, vous savez. Et–et ainsi, j’ai dit: «Peut-être que je n’en ai pas l’air, mais, ai-je dit, je–je suis prédicateur.»

            Et il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, au moins je peux vous respecter comme vous avez l’air d’un être humain.» Il a dit: «Vous avez plus l’air d’un prédicateur que d’autres.»

            Ainsi j’ai dit: «Eh bien, merci, monsieur.»

            Il a dit: «Je suis plutôt contre vous autres.»

            Et j’ai dit: «Je–j’ai appris de monsieur Wood que vous l’étiez.»

            Il a dit: «Vous savez, je suis un infidèle; je suis censé l’être.»

            J’ai dit: «Oui, mais je ne pense pas qu’il y ait là de quoi se vanter, n’est-ce pas?»

            Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, je–je ne sais pas.» Il a dit: «Je pense que vous aboyez au mauvais buisson.» (Et savez-vous ce que cela veut dire? C’est un chien qui ment. Voyez-vous? Le raton laveur ne se trouve plus là-haut. Voyez-vous?) Ainsi il a dit: «Je pense que vous aboyez au mauvais buisson. Il n’y a rien là-haut, et tous vous mentez tout simplement là-dessus.»

            J’ai dit: «C’est une opinion, bien sûr.»

            Et il a dit: «Oui, je pense que c’est ainsi que vous prenez cela.»

            Il a dit: «Ecoutez ceci, monsieur.» Il a dit: «Voyez-vous cette vieille cheminée là-haut? C’est là que se trouve la vieille maison. Je suis né là-haut. Mon papa a construit cette maison par ici, a-t-il dit, il y a environ soixante- quinze ans.» Il a dit: «J’ai grandi ici même; j’ai marché sur ces collines. J’ai regardé partout, en haut dans les cieux, tout autour. Je n’ai vu ni Dieu, ni anges, ni rien d’autre.»

            J’ai dit: «Eh bien, c’est une opinion.»

            Et il a dit: «Je n’en ai jamais vu un ici que je n’aie considéré comme un mensonge.» Il a dit: «Je ne veux pas vous offenser, monsieur.»

            Est-ce que je... eh bien, faut-il que j’aille chasser ou que je lui cloue vraiment le bec? Ainsi je me suis dit qu’il fallait que je lui donne simplement... Maman disait toujours: «Donnez à une vache assez de corde, elle s’étranglera toute seule.» Voyez-vous? Je me suis donc tout simplement dit que j’allais lui répondre: «Oui, monsieur. C’est juste.»

            Il a dit: «Je–j’ai rencontré... J’ai entendu parler une fois d’un prédicateur, si seulement je rencontrais ce gars, je vais lui parler.» Il a dit: «Celui-là pourrait avoir quelque chose.»

            Et il... Nous avons parlé un petit peu, vous savez, et j’ai dit: «Qui était-ce?»

            Il a dit: «Il y avait un homme... a-t-il dit, quel était encore son nom? Il était ici à Acton. Je crois qu’on l’appelait... Son nom m’échappe: Branham.»

            J’ai jeté un coup d’oeil à Wood, et frère Wood a dit: «Oui, oui.»

102      Il a dit: Vous savez, a-t-il dit, la v–v–vieille dame Casmo qui habite là au-dessus de la colline, a-t-il dit, nous–nous l’avions amenée chez le médecin à Louisville, et ils ont dit qu’elle avait le cancer, et ils ont tout simplement refermé après l’avoir opérée.» Il a dit: «Le médecin leur a donné des médicaments à lui administrer pour la tranquilliser jusqu’à ce qu’elle meure. Et à ce moment-là, c’était pour elle pratiquement le moment où elle devait mourir.» Il a dit: «Elle ne pouvait même pas se lever du lit.» Il a dit: «Nous devions retirer de sous elle les alèses; elle... Nous ne pouvions pas la mettre sur le bassin hygiénique (Voyez-vous?) juste sous elle.» Il a dit: «Mon épouse et moi, nous montions là pour nettoyer son lit chaque matin.» Et il a dit: «Il y avait un prédicateur venu de très loin là-bas, quelque part dans l’Indiana.» Il a dit: «Il–il est venu ici, et il tenait des réunions là-bas.» Et il a dit: «Cet homme s’est tenu là ce soir-là et a parlé à sa soeur Unetelle d’un mouchoir qu’elle avait dans sa poche.» Et il a dit: «En venant...»

            Et il a dit: «On a amené une bande de ces saints exaltés là-bas, a-t-il dit, j’ai cru qu’on avait fait venir l’Armée du Salut au sommet de la colline cette nuit-là.» (C’était le vieux Ben qui poussait des cris comme cela, vous savez.)

            Il a donc dit–il a dit: «J’ai dit: ‘Eh bien, tu sais, elle est morte.’ J’ai dit: ‘C’est sa famille.’»

103      Oh! vous savez comment ça se passe là-bas à la campagne. Ils sont tout simplement attachés les uns aux autres, et ils s’aiment et vivent les uns pour les autres. C’est bien dommage que nous ne fassions pas cela dans les grandes villes. Ainsi ils–ils ont dit: «Nous... Et si elle allait mourir...» Il a dit: «Je me suis dit: ‘Eh bien, il s’agit d’elle.’ J’ai dit: ‘Eh bien, il fait tard; nous ne pouvons pas faire sortir son corps avant le matin.’ J’ai dit: ‘Je vais chercher ma charrette, et j’irai la prendre là-bas et je vais la faire sortir pour que nous puissions l’amener au–à Campbellsville, dans le Kentucky, à environ quarante miles [64,3 km–N.D.T.] de là, chez l’entrepreneur des pompes funèbres.’» Il a dit que l’entrepreneur devait venir jusqu’à la route principale, qui est à environ huit miles [12,8 km]–dix miles [16 km]. Il a dit: «Il peut prendre son corps à partir de là.» Il a dit: «Il est inutile d’aller là-bas cette nuit; ils seront tout simplement en train de pleurer.» Il a dit: «Eh bien, nous allons simplement attendre jusqu’à l’aube.»

            Il a dit: «Vous savez, le lendemain matin, quand je suis monté là, cette femme avait préparé des tartes aux pommes frites, et elle et son mari étaient assis à table et ils en mangeaient. Pourtant elle vivait du sirop d’orgeat.»

            Je me suis dit: «Oh! oh!» J’ai dit: «Oh! eh bien–eh bien, attendez une minute.» J’ai dit: «Vous ne croyez pas ça.»

            Il a dit: «Et vous, vous ne croyez pas cela?» Et j’ai dit: «Eh bien, c’est vous qui avez dit cela.»

            Je me suis dit: «Mon vieux, c’est toi qui vas me prêcher maintenant.» Voyez-vous?

            Il a dit: «Vous ne croyez pas cela?»

            J’ai dit: «Bon sang! voulez-vous me dire qu’une telle histoire a pu se produire dans cet âge absolument scientifique, où on a les meilleurs médecins?»

            Il a dit: «Si vous ne le croyez pas, je vais vous amener là-haut et vous le prouver.» Maintenant, c’est l’infidèle qui me prêche au sujet de Dieu. Voyez-vous?

            J’ai dit: «Eh bien, vous euh... Vous êtes sérieux là-dessus?»

            Il a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Eh bien, qu’était-ce?»

            Il a dit: «J’aimerais... Si jamais je rencontrais cet homme, je lui demanderais ce qui lui avait révélé cela, et comment il avait su que cette femme se rétablirait.» Voyez-vous? Il a dit: «Je vais le lui demander.»

104      J’ai dit: «Oui, oui.» J’ai dit: «Eh bien, ce serait une bonne chose.» Et j’ai dit: «Dites donc, pouvez-vous me permettre de prendre une de ces pommes?» Et il y en avait par terre: c’était l’automne, vous savez, eh bien, c’était la deuxième semaine du mois d’août, et les feuilles tombaient de l’arbre. Et les pommes étaient là, et c’étaient de belles pommes. Et j’en ai pris une et je l’ai frottée sur ce vieux pantalon sale, et je me suis mis à la manger, vous savez, comme cela.

            Il a dit: «Oui, servez-vous. Les guêpes les mangent.» Combien savent ce qu’est une guêpe? Il a donc dit: «Les guêpes les mangent. Vous pouvez vous servir.»

            J’ai donc dit: «Très bien.» Je me suis donc mis à manger et j’ai dit: «Dis donc, c’est une pomme délicieuse.»

            Il a dit: «Oh! oui. J’ai planté cet arbre là moi-même il y a cinquante ans.»

            «C’est étrange.» J’ai dit: «Hé! vous savez, nous allons avoir un automne précoce.» J’ai dit: «Regardez là.» J’ai dit: «Je me demande pourquoi ces feuilles tombent de cet arbre avant même que nous ayons une nuit froide: août est le mois le plus chaud.»

            «Oh! a-t-il dit, la vie a quitté cela.»

            «Oh! est-ce ce qui en est la cause?»

            Il a dit: «Oui, les feuilles jaunissent et tombent.»

            J’ai dit: «Où va la vie?»

            Il a dit: «Elle descend dans la racine.»

            J’ai dit: «Eh bien, comment... Pourquoi cela?» Voyez-vous?

            Il a dit: «Eh bien, c’est parce que si elle ne–si elle ne descend pas dans la racine, a-t-il dit, l’hiver tuera l’arbre. Le germe de vie est dans la–dans la–la sève qui est dans l’arbre, et la sève descend dans les racines.»

105      Voyez quel merveilleux témoignage (Voyez-vous?) de la mort, de l’ensevelissement et de la résurrection nous avons là. Voyez-vous? Alors j’ai dit: «Ensuite elle... Qu’arrive-t-il ensuite? Est-ce qu’elle reste là en bas?»

            Il a dit: «Non, non.»

            J’ai dit: «Cela revient le printemps suivant et vous apporte un autre tas de pommes. Et vous vous asseyez là et vous les mangez.»

            «Oui.»

            «Et puis, vous dites que vous n’avez jamais vu Dieu.»

            Il a dit: «Eh bien, ce n’est que la nature.»

            J’ai dit: «Est-ce juste?»

            «Oui, monsieur.»

            J’ai dit: «J’aimerais vous poser une question. Si c’est juste la nature, dites-moi quelle intelligence avertit cet arbre, cette sève qui est dans l’arbre... Elle n’a pas d’intelligence en soi. Mais quelle intelligence envoie cette sève en bas dans les racines et dit: ‘Descends-là et cache-toi dans les profondeurs de la terre maintenant jusqu’à ce que toutes les intempéries soient passées. Ensuite, je te ferai remonter.’ (Voyez-vous?) Dites-moi la vie qui était dans la feuille... Seul le corps meurt; la feuille est tombée. La vie elle-même est descendue, elle revient avec la nouvelle feuille. Voyez-vous?» J’ai dit: «La vie s’est cachée, elle est descendue dans le sol.»

106      Job, comme je l’ai dit hier soir, a dit: «Oh! si Tu voulais me cacher dans le séjour des morts (Voyez-vous?), jusqu’à ce que Ta colère fût passée.» Il a vu venir la tribulation, bien sûr. Voyez-vous? Remarquez, il a dit: «Cache-moi.»

            Il a dit: «Eh bien, c’est juste la nature.»

            Et j’ai dit: «Monsieur, ai-je dit, si je plaçais un seau d’eau ici sur ce poteau, et alors chaque mois d’août cette eau descendra-t-elle au bas du poteau, pour ensuite remonter dans le seau au printemps?»

            Il a dit: «Oh! oh! non. Cela n’a pas de vie.»

            J’ai dit: «Vous y êtes! Eh bien, vous avez compris. Voyez-vous, c’est la vie.» Eh bien, j’ai dit: «Voyez-vous, c’est Dieu.»

            Il a dit: «Vous savez, je n’y avais jamais réfléchi.»

            J’ai dit: «Dites-moi, qu’est-ce–qu’est-ce qui fait cela?»

            Il a dit: «Je ne sais pas. Je ne sais pas ce qui fait cela.»

            J’ai dit: «C’est la nature, ai-je dit, eh bien, Qui contrôle la nature? La nature a-t-elle une intelligence? Non.»

            Il a dit: «Eh bien, je n’y avais jamais réfléchi de cette manière-là.»

107      J’ai dit: «Je vous le dis, je vais là chasser l’écureuil, si c’est en ordre.» Il a dit: «Servez-vous.» J’ai dit: «Et à mon retour... A mon retour... Etudiez cela très sérieusement maintenant, et à mon retour vous me direz quelle est cette intelligence qui dit à cette vie qui est dans cet arbre de descendre dans la racine et de revenir le printemps suivant et moi, je vous dirai ce qui, la chose même qui m’avait dit que cette femme qui avait le cancer là-bas vivrait.» Il a dit: «Vous a dit à vous?»

            J’ai dit: «Oui, oui.»

            Il a dit: «Etes-vous ce prédicateur-là?»

            J’ai dit: «Oui, monsieur. Je suis frère Branham.»

            Et là, sous cet arbre cet après-midi-là, par une simple petite chose comme celle-là, je l’ai conduit à Christ, tandis que les larmes lui coulaient sur les joues.

            Une année plus tard, j’y suis allé, et j’ai garé ma camionnette dans la cour. Ils avaient déménagé. Lui s’en était allé. Il était déjà mort. Et quand je suis retourné, la dame se tenait là afin de me passer un savon pour avoir chassé dans un domaine où il y avait des pancartes. Le vieil homme m’avait dit de chasser à tout moment que je le désirais. Elle n’était pas... ne l’avait pas entendu quand il avait dit cela.

            Je me suis donc approché et j’ai dit: «Je–je m’excuse.» J’ai dit: «Je suis venu ici tôt ce matin, et j’ai garé la voiture ici à un endroit où vous pouviez la voir.»

            Elle a dit: «Est-ce qu’elle porte une plaque d’immatriculation de l’Indiana?»

            Et j’ai dit: «Oui, madame.» J’ai dit: «Votre mari...»

            Elle a dit: «Cela fait presque une année que mon mari est mort.» Et elle était assise sous le porche de derrière en train de peler des pommes, des pommes de ce même arbre-là. Et j’ai dit: «Eh bien, il m’a dit avant de mourir...»

            Elle a dit: «Je ne le crois pas.»

            J’ai dit: «Je me tenais juste là un jour.» Et j’ai dit: «Et je me suis approché et j’ai eu un entretien avec lui. On disait que c’était un infidèle.»

            Elle laissa tomber cette pomme, me regarda et dit: «Etes-vous frère Branham?»

            J’ai dit: «Oui, madame.»

            Elle a dit: «Pardonnez-moi.» Elle a dit: «Pardonnez-moi.» Elle a dit: «Il est mort en criant, les mains en l’air, en louant Dieu, sachant que de même que cette feuille revient lui aussi reviendra.» Voyez-vous? C’est un paradoxe, c’est inexplicable.

108      J’étais assis, mangeant de la crème glacée (juste pour terminer), il n’y a pas longtemps j’étais assis et je mangeais de la crème glacée. Et un vieux pharmacien m’a parlé, disant: «Vous savez, Frère Branham, j’ai... Croyez-vous dans les paradoxes?»

            Et j’ai dit: «Oui.»

            Il a dit: «Une fois j’ai entendu votre message sur bande: Un paradoxe.» Il a dit: «Il y a plusieurs années pendant la crise économique, a-t-il dit, les gens dans le comté, pour recevoir une aide sociale, ils devaient venir prendre une ordonnance, a-t-il dit, pour obtenir leurs médicaments.» Et il a dit: «Ils devaient se tenir dans de longues files.» Et il a dit: «Un jour quelque chose d’étrange...»

            Il a dit: «J’étais assis ici derrière, en train de lire un journal, et mon jeune garçon, a-t-il dit, était là.» Et il a dit: «Une petite dame se tenait dans la file là-dehors. Depuis qu’elle était tombée enceinte, vous savez, elle devait chaque fois prendre un certain médicament. C’est le médecin qui l’avait prescrit. Il devait exécuter la prescription.»

109      Alors il a dit: «Le garçon ou plutôt la mère ne pouvait plus rester debout. Il l’a fait approcher là. Il a dit: ‘Monsieur, je vais me tenir dans la file. Je dois ramener mon épouse à la maison.’ Voyez-vous? Il a dit: ‘Puis-je la ramener à la maison? Le médecin a exigé qu’elle prenne ce médicament cet après-midi, mais elle ne peut plus rester debout.’ Il a dit: ‘Puis-je–puis-je obtenir que cette prescription soit exécutée? Je... Vous voyez, j’ai l’ordonnance ici, il me faut juste avoir une note m’autorisant de le faire.’ Et il a dit: ‘Je vais aussitôt vous ramener cela.’»

            «Et le jeune homme (Bien sûr, c’était au temps de la crise économique, vous savez), il a dit: ‘Je–je m’excuse.’ Il a dit: ‘Je–je ne peux pas faire cela.’ Il a dit: ‘Nous–nous avons reçu des instructions de ne pas faire cela.’ Il a dit: ‘ Je ne peux pas faire cela.’»

            Et il a dit qu’il s’est juste retourné par hasard pour entendre ce que c’était, et il a regardé là. Et cette pauvre petite femme avait la bouche pâle, et elle se tenait contre le mur comme cela, et son mari se tenait là, gentil au possible, il a dit: «Une minute, fiston.»

110      Il a dit: «Je suis allé prendre la prescription, je l’ai exécutée, je l’ai ramenée.» Il a dit: «Frère Branham, quand je suis allé pour la lui remettre, a-t-il dit, j’ai regardé, et j’ai mis cela entre les mains du Seigneur Jésus.» Il a dit: «Je me suis frotté les yeux, et j’ai encore regardé.» Et il a dit: «C’était Lui qui avait tendu la main et qui avait reçu cette prescription.» Il a dit: «Pensez-vous que j’ai perdu la tête, Frère Branham?»

            J’ai dit: «Non, non. ‘Toutes les fois que vous avez fait ces choses au plus petit de Mes enfants, c’est à Moi que vous les avez faites.’» Un paradoxe, ça l’était certainement. Cela a accompli la Parole.

111      Il y a beaucoup de grands paradoxes dont nous pourrions parler. Mais, mes chers amis, alors que nous terminons, pensons à ceci. Il y a un grand paradoxe qui vient, l’Enlèvement. Soyons tous prêts pour celui-là. Préparons nos âmes maintenant devant Dieu, afin que lorsque ce moment-là viendra nous puissions partir.

            Quand la trompette du Seigneur sonnera,

            Et qu’il n’y aura plus de temps,

            Le matin se lèvera éternel, radieux et beau.

            Et quand nos élus s’assembleront

            Dans leur maison au-delà du Ciel,

            Quand l’appel retentira là-bas,

            Soyons tous là.

112      Ce matin je me suis assis à la table, vous regardant. Vous savez, il est possible que nous ne prenions plus un autre petit déjeuner ensemble. Le savez-vous? Ceci pourrait être la dernière fois que nous prenons le petit déjeuner ensemble. Mais une chose est certaine: par la grâce de Dieu, l’un de ces jours nous prendrons part ensemble à un souper.

            Je regarderai là de l’autre côté de la table, et je vous verrai. Et je dirai: «Vous rappelez-vous ce moment où nous étions là à Tampa?»

            «C’est–c’est là que je me suis entièrement abandonné.»

            Eh! oh! la la! Bien sûr, les larmes couleront sur nos joues. Alors le Roi sortira dans Sa beauté, Il essuiera les larmes de nos yeux et dira: «Ne pleurez plus, enfants. C’est terminé. Entrez dans les joies du Seigneur qui ont été préparées pour vous depuis la fondation du monde.» Inclinons la tête.

113      Père céleste, l’élément temps représente beaucoup pour nous, Seigneur. Nous sommes tout simplement liés à la terre. Et juste quelques minutes ici et là, et ça passe pour nous. Et alors que nous nous entretenons avec Toi, nous croyons que nous sommes donc ressuscités avec Toi, et nous sommes assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ. Et Tu es avec nous ce matin. Nous en sommes conscients. Nous savons que Tu es ici.

            Et nous parlons de ce sujet: Un Paradoxe. C’est le surnaturel. C’est un paradoxe que Tu aies sauvé un malheureux comme moi. Alors que toute ma famille, c’étaient des pécheurs, et j’ai grandi au fond des bois, un gratteron, comment pourrais-Tu faire de cela un grain de blé, Seigneur? C’est un paradoxe.

            La plupart des membres de ma famille mouraient les bottes aux pieds, en se battant avec des fusils. Ô Dieu, mais Ta grâce m’a sauvé. Je Te serai toujours reconnaissant, ô Dieu, pour toujours reconnaissant.

            Je prie pour les autres, Seigneur. Si je pouvais... S’ils pouvaient seulement connaître cette merveilleuse Personne, Christ. Quand je les vois, Seigneur, alors qu’ils se tiennent à l’écart avec une conception intellectuelle de la chose... En fait, ils ne connaissent pas la Personne de Christ. Seigneur, rend la chose réelle pour eux. Aide ce–ce merveilleux groupe d’hommes, Seigneur, mes frères. Ces ministres et ces Hommes d’affaires qui, en cette heure de profondes ténèbres, ont exprimé leurs convictions, Seigneur. Et cela parfois en allant à l’encontre de la meilleure conception de leurs organisations, ils–ils désirent malgré tout la chose. Bénis-les, Père. Bénis chacun d’eux.

114      Maintenant, pendant que nous avons la tête inclinée, je me demande ce matin s’il y a quelqu’un ici qui n’est pas sûr que la petite feuille (car vous produisez de l’ombre pour quelqu’un d’autre), si la vie devait la quitter pour qu’elle retourne dans la terre, ressuscitera-t-elle? La semence a-t-elle été fécondée par le Mâle pour qu’elle revienne? Si vous n’en êtes pas absolument certain, mon ami, prions maintenant à ce sujet.

            Savez-vous ce que c’est la Vie? C’est le Saint-Esprit. Si vous n’avez pas reçu ce Saint-Esprit en vous, qui est la Vie qui était dans la première Plante qui est ressuscitée (Voyez-vous?), Christ, les Prémices de ceux qui dormaient... Eh bien, si cette Vie qui était en Lui, ce même Esprit n’est pas en vous, peu importe combien vous essayez d’être une bonne personne, vous ne pouvez pas ressusciter. Il n’y a rien là pour vous ressusciter. Vous pouvez prendre le maïs, l’hybrider avec quelque chose d’autre; il ne se reproduira plus. Il est fini.

115      Si vous n’êtes qu’un membre d’église et que vous ne soyez pas réellement rempli de l’Esprit de Dieu... Je sais que c’est difficile de prendre position maintenant, car on vous traitera de tous les noms. Ça importe peu. Lui, ils L’ont traité de la même façon. Et tous ceux qui vivent pieusement en Jésus-Christ seront persécutés. Ils ont persécuté les prophètes qui étaient avant vous. Ils le font aujourd’hui. Ils ont persécuté ceux qui croyaient aux prophètes qui étaient avant Lui. Ils vous feront la même chose. Si vous n’en êtes pas certain, pendant que vous avez la tête inclinée et les yeux fermés, je vais vous demander de faire encore une chose. Je vous prie de me comprendre. Inclinez votre coeur, je vous prie. Inclinez simplement votre coeur une minute. Et dites: «Frère Branham (Personne ne regarde, à part Dieu et moi), je–je... vraiment, je doute un peu si je pourrais me relever. Veuillez vous souvenir de moi dans la prière.»

            Maintenant, nous ne pouvons pas faire un appel à l’autel. Je voudrais simplement que vous leviez la main. Levez simplement la main et dites: «Souvenez-vous de moi, Frère Branham.» Que Dieu vous bénisse, vous, et vous, et vous, et vous, vous, oui...?... Merci.

116      Père céleste, ce sont de simples petites paroles, mais cependant le Glorieux Saint-Esprit est tout près. Il connaît même les secrets du coeur. Et ils ont levé la main pour montrer qu’ils n’en sont pas certains. Mais cependant, ils–ils–ils croient en Toi. Ils–ils veulent le faire. Et ils–ils–ils n’ont pas ce... Ils ne savent simplement pas comment sera la route en descendant la grosse branche, en quittant la branche pour aller sur la grosse branche, en quittant la grosse branche pour descendre dans le tronc, et en remontant. C’est Toi le Guide, Seigneur.

            C’est comme dans une partie de chasse, si vous n’appelez pas un guide à l’avance pour prendre des dispositions, vous pouvez vous perdre. Et nous appelons maintenant à l’avance le Guide de la Vie qui a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie.» C’est Toi qui connais le chemin, Seigneur, et je T’écris cette petite lettre sous forme de prière. Et ils sont en train d’écrire la même chose. Reçois-les, Seigneur.

117      Ils veulent faire des réservations pour l’Enlèvement, ce grand paradoxe. Ils ont assisté aux réunions cette semaine, ils ont vu Ta Présence, et ils savent que Tu es ici. Ils ne sont pas si empesés pour penser que... Les hommes qui apportent les messages ne sont pas des anges, ce sont des hommes. Et nous savons que Tu travailles au travers des hommes. Et je prie maintenant pour que leurs réservations soient faites ce matin.

            Tu as dit: «Celui qui Me confessera devant les hommes, Je le confesserai devant Mon Père et les saints Anges.» Quand ce jour viendra, Tu les guideras alors jusque de l’autre côté de la rivière, en partant de la branche, en descendant dans le Cep, jusque dans la racine de l’arbre, si Tu tardes; ensuite Tu les ramèneras dans ce glorieux paradoxe à la fin de la route. Ils sont Tiens, Seigneur. C’est entre Toi et eux. Je prie, Seigneur, pour que s’ils n’ont jamais été baptisés du baptême chrétien, qu’ils se fassent baptiser. Et alors, ils seront remplis du Saint-Esprit, la Vie qui les guidera. Car c’est au Nom de Jésus-Christ que nous le demandons. Amen.

118      Merci pour votre amabilité. Nous avons largement dépassé le temps, et je sens que j’en suis responsable. S’il y a une différence que l’on doit payer par rapport à ce qui était prévu pour la salle ce matin, je la payerai moi-même. Nous allons arranger cela.

            Je L’aime (Lui), je L’aime,

            Parce qu’Il m’aima le premier,

            Et acquit mon salut

            Sur... du Calvaire.

            Remarquez l’ordre de l’Enlèvement, comment ça se passera. Nous nous rencontrerons les uns les autres avant de Le rencontrer, car Il savait que lorsque nous arriverions là, je me demanderais si vous étiez là, vous vous demanderiez si j’étais là. Mais la Bible dit: «Nous qui serons vivants et qui serons restés pour la Venue du Seigneur, nous ne devancerons pas (ou ne ferons pas obstacle à) ceux qui dorment. Car la trompette sonnera et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous qui sommes vivants et qui serons restés nous serons changés en un instant, en un clin d’oeil, et nous serons enlevés ensemble avec eux.» Oh! quelle adoration ce sera à ce moment-là! Eh bien, enlevés ensemble avec eux. Eh bien, si nous devenons une partie de cela avant que ne vienne ce temps-là, en étant pris dans l’Enlèvement...

119      Serrons-nous la main juste un instant. Et puis, nous serons congédiés officiellement, juste dans un instant. Pendant que nous chantons Je L’aime, serrons-nous la main les uns aux autres et disons: «Que Dieu vous bénisse, frère, que Dieu vous bénisse, soeur.»

                 Je L’ (Que Dieu vous bénisse)... (Que Dieu vous bénisse, frère. Pendant que vous les congédiez. Vous savez, je–je vais éviter d’être pris dans la foule. Vous comprenez. Que Dieu vous bénisse, frère...?...)

                 ...Il m’aima le premier,

                 Et acquit mon salut

                 Sur...

            Que Dieu vous bénisse, frère. Maintenant, levons tout simplement les mains et fermons les yeux. Maintenant, très doucement:

            Je L’aime, je L’aime...

E-1 The Lord bless you. It's certainly deemed to me a--a grand privilege to be here this morning. That was... It's a unexpected blessing, because I didn't think I'd have this privilege to get to speak here, especially to just you--what we'd think, we'd call a selected group: the ministers, and my brethren here, who are cooperating in this meeting and making it possible. I wanted this opportunity. This way I get a chance sometime to explain things, that I--that I don't do at the platform, 'cause you're in a mixed audience there.

E-2 And I met an attorney here this morning, one of the brethren, the Christian Business Men. And last night I was speaking on Zacchaeus once there, you know, when he... Jesus was in the... He hardly believed (as the little drama was) that He wasn't a prophet. But when Jesus stopped under the tree and looked up, He called him by name, and come down. I never did tell just what happened to Zacchaeus. You know what happened to that fellow? He become a member of the Full Gospel Business Men's... A charter member, that's right. Of course, Jesus wouldn't have nothing else but a full Gospel, you know. So, Him being a businessman, that was part of your... So you could remember that then.
And so, I was speaking the other day on--up at the last meeting--on having a court trial, and Jesus brought, or God brought in, about His Word for a breach of promise. Many of you has heard it. And so I was thinking about maybe giving that Sunday afternoon, this court trial. And then this attorney here, he might be able to correct me on some of the--the procedure that I go about.

E-3 So... But setting here this morning, it's certainly a--a privilege. I was looking around, different friends and a little boy here, a little friend here, just called me over there. And he's crippled.
He said, "Brother Branham, if you'll just tell me that I can walk out of here, that's all I want you to do." See?
And I just thought, "How--how lovely." See? But, see, these things are a little different than what we--you think they are. See, see? Now, that's where I think many of the brethren gets off the track. See, see? God will let them do something with a little faith. Then they feel that everything they bounce into they just say it, and that's all. But you see, how can I say THUS SAITH THE LORD until He tells me first? I've got to have it first. If He didn't, I'd say, "Thus saith William Branham," but that wouldn't do any good. But, see, now, He's got to tell me first.

E-4 A man drove up in a ambulance with a baby, and I was real busy. He said, "Well, I... If you'll just tell me, come here and say my baby will be all right, that's all I want to know."
Well that, how lovely, but how can I say that, until I know it. See? If I... Some go... People just go on impression: "The Lord told me to do this." Well, that's--that's yourself many times. See? You've got to actually see it and know it. How could--could I... Brother Fox here say something, unless (if he's honest)... He said, "Brother Branham said so-and-so," and if I didn't say that, he--he's--he's falsely accusing me of saying something that I didn't say. But if I really said it, then I've got to stand behind it. So when the Lord says anything, that does it.

E-5 I met a little Baptist here awhile ago, let... He isn't Baptist. I think he's a Pentecostal Baptist like me now. And he's another good old southerner. I watched him eating this Georgia ice cream this morning here that, the grits. And so, he--he was one of those persistent type, you know. And he smoked cigarettes, and a very good Baptist. And he had... So he--he had--and he had a lot of things that he was going on. And he kept on...
Now, out here in the meeting, it's those... You--you people... The people, they are doing that themselves. See? And it's Christ coming to His body. See?
Now, let me get that, right now, just stop with you just a moment. See, Christ coming to His body, that don't mean it's just me. I'm not the body. I'm just a member of that body. See? You're part of that body too. "By one Spirit (I Corinthians...?... 15--I Corinthians 12), by one Spirit we are all baptized into one body." We are members of that body every one of us, whether you are Methodist, Baptist, Lutheran, oneness, twoness, fiveness, or whatever you got. See? By that one Spirit we're all in one body.

E-6 If God accepts the oneness in with his peculiar idea, the Church of God in with his peculiar idea, the Methodist in with his peculiar idea, the Assemblies in with his peculiar idea, that's up to Him. I got nine brothers, and every one of us different from another, but we all got the same parents. See, we're every one Branhams. Now, my brothers, I'm the hunter--I like to hunt and fish. The rest of them don't care for it. They like to play golf and things like that, but not me. See, that's my peculiarity. But yet their father's my father. See? But we all agree when it comes to daddy, we--that's all our daddy. And that's the way we do too.

E-7 Now, look. The church has become (See?) just growing up. Just like I was going to speak tonight, upon the "Unveiling of the One True God." But I think it'll take a little too long, and I notice the people, after about nine o'clock they get restless, and I thought I'd just wait till sometime at the tabernacle. I got something else on my mind maybe for tonight, to bring a message of salvation. That's what we're trying, that's our--what we're trying to do here.
Now, you minister brothers, we... This Divine healing, as old Doctor Bosworth (He just went home to glory down here, recently.), he used to say, "Divine healing is a bait that you put on a hook. You never show the fish the hook. You show him the bait, and--and he gets the bait and gets the hook." So that's the way it is when you... Divine healing just draws the attention. See? And then salvation is what we're after. We're after the strength of the body of Christ. You see?
And every one of your different organizations, some... I'm not too much on the organizations, just saying, "I belong to this..."
Now, I was ordained a Baptist. And then when I heard about Pentecostals, I thought, "My, what's this?" And I thought, "That's what I'm going to join up with." And I come over here they're as broke up as the Baptists is, and just all different types of things, and there's all diff...
I thought, "Well now, I'm not going to join any of them. I'm going to stand right between them, and put my arms around all of them, and say 'We're brothers.'" And see, the system that keeps us from being that, that's what I'm against, the system that... See? And that's the reason that I'm with one group, and that's the Full Gospel Business Men. See? We want to stretch our tent so far that it'll take everything, all of them (See?), everybody. We're all brothers. See, we're every one brothers in Christ.
Now, one of my--my great sponsors is Assemblies, and United, and the Foursquare, and the Church of God. And all those brethren, they panned out to be real men.

E-8 Now, what is it? Christ coming to His body. Christ is the Word. We all know the anointing is Christ, that comes on the Word that makes the Word live. Is that right? That is the anointing. Christ is the anointing, the Spirit that comes upon the Word, that quickens the Word to make it live. Now, the Word is in your heart. You believe in Divine healing, whatevermore. See?
And Christ, the anointing, coming to His body (See the--the connection there?), just like husband and wife become one. Now, the church has got to get to the ministry until the church and Christ become one. He can anoint you for every blessing that's in the Bible. All of it is yours. Everything that's promised of this age is yours. But if we leave anything out (See?) then... If anointing strikes that, it'll--it will anoint it. It's just a...

E-9 Here... Like I--I use this for an illustration. There's a doctrine called pyramid doctrine. But don't never get that in your idea, that I--that I--I believe in pyramid doctrines. I believe in the Bible (See?) and although I believe the pyramid part played something in it.
I believe God wrote three Bibles. He wrote one in the skies, which is the zodiac. Anybody knows that; Job spoke of it. What? Look at the zodiac. It starts off with the--with the virgin; it ends up with Leo the lion. That's how He come. First was the virgin. His last--next coming will be Leo the lion (See?) coming as the Lion of the tribe of Judah. And all of them, the crossed fishes, and what we're in now, the cancer age, and everything; it all speaks. But forget it. See? That ain't your Bible.
Then the pyramids, exactly how they were drawed, the headstone was rejected. Still, that's not your Bible. Then God wrote it on Words.

E-10 Jesus come three times. One time He come to redeem His wife. Next time He comes to catch her away. And the next time He comes with her: three comings. See? Everything it like: Father, Son, and Holy Ghost (See?) all, everything's in a three. The mathematics of the Bible is perfect. If you keep them mathematics right, you can keep your story right. See? But if you get off the mathematics, you'll have a--in your picture a cow picking grass in top of a tree. So it won't--it won't look right. See? Stay in the mathematics (You see?) of the Bible, and you place it out right.

E-11 Now, I was telling about this here young, fine looking fellow setting here. He--he kept coming. Every time they'd put his name on for a private interview. Well, when he would do that, then he'd wait a long time, till finally his time come up. Here he come.
Now, in private interview it isn't like this (See?); it isn't setting in a meeting like we do here. You wait until the Lord speaks and shows you what to do. Well, it never... He never could... His time would run out. Well, he wouldn't be discouraged; he just put his name down for another one. So he finally worked down through a few hundred, till they got to him again.
And then one day, setting at the place... He would try--he would take all the psychological ideas that he could to lay them cigarettes down, and he couldn't do it. But one day it come, THUS SAITH THE LORD. That was it. That was the last of it. And so, here he sets this morning. So we're thankful for that.

E-12 Now, let me just give a little exclamation a minute, if it's all right to take this--this much time. I think I'm watching the clock there. At ten o'clock we're supposed to be out, I understood. I heard through the grapevine just a few minutes ago. And I'm just like a freight train; I'm long-winded. And--and I remember the first time when I started to preach. And I was a little Baptist preacher. I carried that Bible under my arm, and I thought I was just a real preacher. Somebody'd say, "Are you a preacher?"
I'd say, "Sure. Yes, sir, really am."

E-13 And a... reminds me when I was a boy out on the farm. My--my father was a rider. And he'd break horses and follow the rodeo to break the horses, and so forth. He was really a good rider. Well, I thought being his son, surely I was a rider too. So I...
Daddy would be away out at the back of the farm with his horses, you know, and I'd take out the old plow horse, you know, old, and stoved-up, and stiff and tired. And we had an old water trough hewed out of a log. How many ever seen one of that? Well, what part of Kentucky you from anyhow? And so--and we used to go down there, and get stung with the honey bees. You know, come to get their water and things. So I looked to see daddy making his rounds in the corn field, way back at the back. I'd go in and get his saddle, and a handful of cockleburs, you know, and slip it up under the saddle, pull up the cinch, and climb up in it. And that poor old--old horse...
My little brothers setting all around there hollered, "Ride him, Billy. Ride him." You know. And the poor horse so tired, he couldn't even get his feet off the ground, and so on... I thought, "Man, am I a rider." I'd read too many western stories. That was... So I--I thought, maybe, you know... well...

E-14 You know, I got... One day I decided that they needed me out in the west to break their horses, you know (about eighteen years old). They had to have me; my--my services was needed. So I slipped right out and went out west, and I tried to buy me a pair of chaps. I was a little bitty fellow, you know, and I thought they had pretty. It had A-R-I-Z-O-N-A and a steer's head on it. Then I thought, "Oh, my, that's beautiful." When I put them on I looked like one of these little game chickens, you know, with them feathers all. I couldn't walk with the things. So I just got me a pair of--of Levis.
And I thought, "Well, I'll ride the silver saddle. I'll go out and get me some..." And I set out there. "And wait till they bring them bucking horses out. There's some of them guys get throwed. I'll show them how to ride them. My daddy is a rider." So I climbed up on the fence, and they had--was breaking some horses. And I looked over there in the pen, and I seen them outlaws in there that... My, that... You couldn't even throw fodder in to them; they was so wild they wouldn't eat it.

E-15 So I thought, "Say, I don't know. That don't look like that old plow horse I rode." I looked at him for awhile. After while, they had one there they called the Kansas Outlaw. So they brought him out, a great big heavy horse, about seventeen hands and it... He was really a horse.
So they put a--had a fine man there with all of his great uniform on, and everything, the girls all waving at him. He was quite a star. I looked at him as he come out of his automobile. And they said, "This man can ride this horse." So they put him in the chute, and he got up on there, and got him saddled up, and he got set in his saddle, and they opened the gate.
My, oh, my, about two twists and a sunfish, and he looked like he could throw the saddle over the moon. I never seen such a... Well, the pickups got the horse and the ambulance got the rider.
Here come the caller around, you know. He said, "I'll give any man here five hundred dollars, that can stay on him sixty seconds." He come right down the line. I don't know how it ever was, he picked me right out, setting there with this--setting there by all these old disappearing cowboys, you know. My legs wasn't bowed or nothing, and I--I thought I was a real rider. I could set there with them. I was fellowshipping with them, you know, with a hat setting on the back of my head (about seventeen years old, I guess), looking around like that.
And he come said, "Are you a rider?"
And I said, "No, sir."

E-16 When I was a little Baptist preacher, I used to think God called me to be the defender of the Word. See? He would defend the--the faith. One day I was over in St. Louis, Missouri, and I went into a tent meeting, and I run into a Robert Daugherty. He's a Pentecostal preacher. I set up on the platform with him. Man, that man preached till he'd get blue in the face, and buckle his knees together, and catch his breath (you could hear him for two city blocks), and come back up preaching. Then somebody'd say, "Are you a preacher?"
And I'd say, "No. sir." I get amongst the Pentecostal people; I don't say much about being a preacher. I was with that like it was with the horse. See? I'd just say, "No, the Lord called me to pray for His sick children." And I...

E-17 So we are--we're happy to be here this morning in this... While we're on the thought of riding, I love outdoors. That's where I found God. And I used to herd quite a bit in Colorado, go up there. Then I usually ride the roundups, and so forth. We have the--up on Troublesome River. Now, many a time I stood there by the side of the gate, when we was having the roundup, spring roundup, and send the cattle up. The Hereford Association grazes the valley. Raise two ton of hay, and you have the right on your ranch, to put a cow on the forest. And some of them has hundreds of head, 'cause they got where they can irrigate down there; they have that wild meadow.
And then of a... Every spring when they run them cattle up on the forest up there, the--the ranger stands there and counts those cattle, and watches the brands. They're each one branded. The little group that I worked for didn't have too many, about hundred and fifty, two hundred head, a little, a tripod brand. And Grimes, the Bar, Diamond Bar, had about fifteen hundred head.

E-18 But there's one thing I always noticed. When standing there by, after we got the cattle up there, and the ranger stood in the drift fence (That's to keep the cattle from getting on private property again.), I used to set there and put my leg around the horn of the saddle and watch that ranger. And he'd watch them cattle coming through, stand there. Every cow went through you had to inspect. You notice, he didn't pay much attention to the brand that was on them. But there's one thing he really watched; that was for the blood tag (See?), because you can't put nothing in there on account of the breed, keeping the--the line of breed right. See? Nothing but a genuine Hereford could enter that park--that park, nothing but a Hereford. Had to have a blood tag to show that it was examined. And it had the blood tag to show it was a Hereford. I think that's the way the great roundup will be. He won't ask us whether we were Assemblies, or whether we were Foursquare. He's going to look for that Blood tag. No matter about our brand, He'll watch for the blood tag. "I see the blood..."
I--I'm so glad to be associated with such people as that this morning. The Lord bless you real richly now. I set and talk to you; my time would get away.

E-19 I want to read a Word of the Lord, because no service is complete without the reading of the Word. And now, let's turn over in the Scriptures here with a--just a few thoughts I had lined out. Used to be I could think of the things that I was going to say without even writing a note. But since I've passed twenty-five the second time, I can't think of it like I used to. So I have to kindly make a note, write down my text what I'm going to say and think of it. And then I think too, a little more... I was a kid then. I just splattered, like shooting a shotgun. See? But now you've got to zero it.
People come to hear me because I was just a boy preacher. This is thirty-three years behind the pulpit for me. But now, I meet great men, like I'm setting before this morning. You've got to hit the target. It's got to be the Word.

E-20 Remember the old Baptist preacher that ordained me. I remember my first time up to preach. I just cried and beat on the desk, and everything like that. And some of the elderly women come by and patted me on the back and said, "Oh, honey," and crying, "you're going to be a great servant to Christ."
Old Dr. Davis, setting there looking me right in the eye, I said, "How did I do, Dr. Davis?"
Said, "The worst I ever heard in my life." He upbraided me. So he was an attorney. So he--he said to me afterwards, "Come over to the study, Billy," He said, "Billy, all your emotion, and all that you went through," said, "you was just trying to act like a preacher." He said, "I--I got the same thing when I become an attorney." He said, "I... My first case was a divorce case." And said, "Really didn't have no grounds at all." But said, "I said to this poor woman... I cried, and I wrung with my eyes. And said, 'I... This poor little woman, her husband did so-and-so, and things.'" And said, "I got the same thing I give you, and I thought it'd be a good thing."

E-21 Said, "The first thing you know, the... So the other attorney struck the desk and said, 'Judge, your Honor, sir, how much more of this nonsense will your court stand?' Said, 'He hasn't said one thing to defend the person, not one part of the law. He's just crying and jumping up and down.'"
He said, "And you know what? That deflated me, and put me back where I came..." Said, "Now, Billy, you was doing all the emotions, crying and jumping up and down, but you never brought one thing of the Scripture that really gives the basic things, boy." That's right.

E-22 Now, we're shooting a rifle. It's got to be zeroed. It's got to hit the spot. Lord, help us now, as we read from Joshua, the 10th chapter. And I'm going to begin at the 12th verse, and read Joshua 10 and 12, down to the 14th or 15th verse.
Then spake Joshua to the Lord in the day when the Lord delivered up the Amorites before the children of Israel, and he said in the sight of Israel, Sun, stand... still upon Gibeon; and thou, Moon, in the valley of Ajalon.
And the sun stood still, and the moon stayed, until the people had avenged themselves upon their enemies. Is not this written in the book of Jasher? So the sun stood still in the midst of heaven, and hastened not to go down about a whole day.
And there was no day like that before... or after it, that the Lord hearkened unto the voice of a man: for the Lord fought for Israel.

E-23 Now, if you will pardon me for a minute, I want to take a text here this morning on the subject of one word. Now, you say, "Brother Branham, that's not--that's not too much for audience here, hundred and fifty people or so. That's--that's not enough." Oh, yes it is. It's--it's enough. It's the Word of God (See?) no matter it... It--it--it's--it's not the quality; it's the quantity.
Like here, not long ago, in Louisville, Kentucky, I was thinking of a little boy that climbed up in the attic--was searching around one day. And he found in an old garret, in a little old trunk, he found a postage stamp. And he thought, "You know, this might be worth something." So he took off and found a collector. And, 'course, he had ice cream in his mind.
He said, "What will you give me for this stamp?"
He said, "Well, I'll--I'll give you a dollar for it."
Oh, my, that was about ten cones there, you know, so he--he had thought he had made a bargain. That man sold it a little later for five hundred dollars. And I forget now it goes into the thousands what that stamp's worth.
See, as far as the paper, it wasn't worth nothing. But it's what's wrote on it what makes the difference. This is just ordinary India paper. But it's what is on it. It's God in letter form. Yes.

E-24 Sometimes it's a... No matter how little it is... That's where we people make our mistake. We're always wanting to do something big. Maybe it wasn't ordained to do something big. Maybe it's the little things that we're leaving undone is what's hurting us.
Like in Canada, I was standing there with my good friend Dr. Ern Baxter, who used to be my platform man: very fine, eloquent man. And when King George (who I had the privilege of praying for, you know, when he was healed with the multiple sclerosis), when he and his wife passed down the street that day in Vancouver, there... As they went down the street, there she was in her beautiful blue dress, and the king himself setting up there, trying to set straight, hurting and sick, his ulcers bothering him. But yet, he knowed he was a king, and so he bowed to the people.
And when he went by, Ern and I listened to it. He... Ern just turned his head and started crying; He couldn't hold it. He said, "Brother Branham, my king is passing by."
And I thought, "If it'll make a Canadian feel like that, what will it do when we see our King go by." See?

E-25 They turned out all the children at church--or the schools did, to see the king. They give them little British flags to wave. When they returned back to the school after their regular procedure, they found out that one little fellow didn't come back. And the teacher got alarmed, so she went out to look for the little fellow. And it was standing (a little girl), standing behind a post, crying her little heart out. The teacher picked her up and said, "What's the matter, sweetheart?" Said, "Didn't you see the king?"
She said, "Yes, I saw the king."
And said, "Did you wave your little flag?"
Said, "Yes, I waved the little flag."
Said, "What you crying about?"
She said, "You know," she said, "I'm too little." She said, "I--I saw the king, and I waved my flag, but the king didn't see me." See? And her little heart was broken.
That's different from our King. You can't be too little... You can't do anything but He sees every little move that you make. He knows all about you.

E-26 Now, my subject this morning I'm going to speak on for a few minutes, the Lord willing, is "A Paradox." What is a paradox? According to Webster here, it means something that's incredible but true. I think we've witnessed that, the last few days, it's in minor stage. But a paradox, an incredible, but yet it's true. That makes a paradox.
In Hebrews the 11th chapter and the 3rd verse, we see that the world was made and framed together by the Word of God. A few weeks ago I was in New York City at the Morris Auditorium. And I heard this tape of--of Einstein talking of that galaxy, of how many... If we left here, and went (I think) a hundred and fifty million light years, traveling at the speed of light, take us a hundred and fifty million light years to get over there, and then a hundred and fifty million light years to get back. And you know how fast light travels. See? And just think, a hundred and fifty million light years.

E-27 Well, if you'd run a row of nines around, around and around the world, you'd never break it down in years. It's nine, nine, nine, close together around the world, you couldn't break it down in years. For just think; light travels what? At eight hundred--eight--a hundred and eighty-six... a hundred and eighty-six thousand miles per second. And a light year...
In three hundred million light years, try to figure it up. And you know how long then, we'd been gone from the earth? Fifty years. That's right. See, they broke in, to find out if eternity... They say that John Glenn, the astronaut that went around, it never taken one second off of his life, even the speed that he was traveling, about seventeen hundred miles. See?
So then, see, we broke into eternity. We're an earthbound people that knows just inches and so forth. When you break into that unknown, you--you can't fathom that. Our minds are not comprehension. We--we couldn't--we couldn't fathom what it means to get into that. But we know that it's true.

E-28 And Einstein said, "There's only one sensible thing to say about the world. By faith, we understand that God framed the world together." See?
And the world standing there in space, it had to come from somewhere. The science says it's a piece of--of the sun. Then where did the sun come? See, you keep breaking it down, till finally you come to a place that you have to find out it had to have a beginning. See? God created the heavens and the earth, we're taught in the Bible.
And how does it stand there in its space? It never moves. You can't--you can't take an instrument... I have wore from my Finnish... a--my meetings overseas in Switzerland, one of their best watches that was give me while I was there. It's a really, I think in American money it costs a hundred-fifty, two hundred dollars, maybe more. And yet that watch will gain and lose, just in a few days.

E-29 I took it to a jeweler. He said, "Well, we have nothing that keeps perfect." See? But the world does, perfectly, at its time. They can tell the eclipse of the sun and moon, many, many years apart, just to the minute. How it turns, and yet nothing holding it up.
Which is up, and which is down? We don't know. Is the North Pole up, or the South Pole up? We're in space. That's a paradox, isn't it? It cannot be explained. Anything that--that cannot be explained like that, is simply a paradox. So we find out that it was a paradox for the world to--to be in space. All right.
And time and its seasons, how does it cross its seasons just the same time? How that summer and winter... How it leans... It's leaning backward. If it was up straight...

E-30 Now, we proved that at one time it was up straight, 'cause God said it was. Up in the British ice fields, they can blast five hundred foot through that ice, and there's palms, ferns. It showed it was once a tropic. And now (See?) it leans back, from the antediluvian destruction, that leaned it back. And I believe the very thing that they throwed it out of its cycle then, is ready to throw it back in its cycle now.
Man destroys himself by his knowledge. See? He never... God destroys nothing. Man... And you... We can't, no matter what we... We can liquidate; we cannot annihilate. There's nothing, and even as far as the closest we have to annihilation... But you can't annihilate. When fires are burning, that's gases breaking apart. It goes right back to its original condition again. You can't annihilate nothing.

E-31 Some people get so guilty till they want to--to take their body and have it burned, and blow it to the seven winds of the seas. But that doesn't make any difference. Your... It isn't annihilated; you can't annihilate. God created it. You can't tear down. You can--you can pervert, or carry on, or do other things, but you can't annihilate. God's the only One Who can annihilate. He's the creator. He's the only One that has the right to do it.
How it stands in space? So much we could say to that, it'd take hours upon it.

E-32 But we find out here that Joshua stopping the sun, now that's a paradox. I remember the time that my old father, he had no education, and I... He could just hardly sign his name. But he used to say to me; he said, "You know, I never could believe that the--that the--but what the sun turns from the world."
And I said, "Well, I don't know, dad."
And one day in high school, I know I was talking to the high school, a teacher there of--of the Bible. And--and I asked him this question about Joshua. He said the turning of the earth made the gravitation, and the gravitation held the--the world up.
And I said, "Then, why, then (You teach the Bible.) did Joshua command the--the sun to stand still?"
He said, "God winked at his ignorance (See?) and stopped the world."
I said, "You just got through telling me" Now, he didn't believe in the miracles of God (See?) and he said... "You just got through telling me that if the world ever stopped, it would stop its gravitation, and then it would shoot like a comet through the air." And I said, "the Bible said that the world stood still here for twenty four hours." See, see?

E-33 It's a paradox, but God did it anyhow. What? By a man, not a god, not some great Angel coming down from heaven, a man with faith in the mission that he was given, to take that land, the Word of God was behind it. "I give you this land. And everywhere the soles of your foot shall set upon, that I give you. It's yours." Footsteps meant possession.
And the sun is what... The--the achievement he was trying to do (See?), his enemy was routed. And he knew if the sun ever set, them kings would get together, and they'd come back upon him with double forces. So the sun was going down, and Joshua, a man commanded to do this, said, "Sun, stand still."

E-34 Whatever God did, I don't know. But the sun stood still, the moon over Ajalon, because a man, a human being, a human being was in the line of duty. In the line of duty he commanded the sun to stand still. And if we're Christians we have to believe this to be the infallible Word of God. Everywhere... He stopped the world, stopped the sun, whatever He did, it stood still for twenty-four hours. I believe it.
Jesus said in St. Mark 11:22, "If you say to this mountain, 'Be moved,' and don't doubt in your heart, but believe that what you said will come to pass, you can have what you said." But that takes motive and objective. Of course, you got to have a reason for it. You can't have faith, unless you've got some reason.

E-35 As I tried to say last night, some people's faith is in their textbook. Some people's faith's in something else. But depends on where your faith is. I want to believe God's Word. What He says is true. Then I've got to see whether it's His will or not. Then if it's His will, I've got to check out my objective to it, and then my motive in doing it.
If I do it because I'd say, "Well, I'm going over the mountain here. There's a mountain before me. There's a million people on that side perishing. I've got a hundred million over here I'm preaching to." Well, if I can't get over, around, or under the mountain or nothing, and yet something in my heart keeps telling me, "Go over the mountain; go to them; go to them," and I can't get over it, now Jesus said, "they shall move this mountain." See? If it...

E-36 Now, the thing of it is, is first. What if I say... Now, first, I never--I never created that in there. Something created that. It's for a good cause. Because why would I go to one million, when a hundred million here are perishing on this side? But it's something in my heart, saying "Go over on that side."
Now, the first thing I have to say, "Well, if I go over there, this side can only pay me so much a month, and over there, they..." See, my motive's not right. My objective is not right. No.
Well, what if I say, "No, I don't care about the money. But when I get over there, someday the--the ages to come, they'll put up a great big monument, say 'Brother Branham, the great missionary.'" Then still my motive's not right.
But, when I don't care if they ever knowed who went over there, He's just in my heart. Then I'll speak to that mountain; it'll happen. See? It's got to. But see your motive, and your objective depends on who you are, and what business, what your--what... That's where the church misses it so far. They get worked up in an emotion, and first thing you know, an enthusiasm... They don't stop to check it back here again, check there, for sure. Then it's THUS SAITH THE LORD (See?), whether it's right.

E-37 Joshua had a commission to go over and to take that land, and God caused a great paradox. Even science can prove today the scar is still in the sky where that absolutely happened. I heard in Chicago, not long ago, a scientist talking, that was showing it on a little chart where it happened.

E-38 Now, we find out again, Moses was in the line of duty too. And there was the Red Sea. Did you see that rashal article that some of them people are trying to make now, that Moses went through a--a bunch of reeds, a sea of reeds. Wasn't that horrible? Just trying... The devil, inspiring those people to take away the truth of the Word. How could the waters... And then did the reeds drown up Pharaoh then when he come? Crazy. See?
Then we find out that Moses had a commission to bring those people out of Egypt to that mountain. And there it was in the line of duty. And Moses begin to cry unto God, when he saw the Pillar of Fire hanging up here, and there come Pharaoh's chariots. And he cried, and the--the Pillar of Fire come down and was light to them and darkness to them. And God said, "Why are you crying to Me? I commissioned you to do it. Speak, and go forward." Oh, my.

E-39 The trouble of it is, today the churches speak, look like they say, "What did Moody say? What did Sankey say?" Speak, and say what God said. Let's go forward, not look back. Go this a way.
It's hard, on these turning corners. Church don't want to believe that. You see? They're always referring back from where their educational standpoint. 'Course, that's a school in itself. See? They learn that through book learning. We know that through experience of trusting God (See?) and knowing that He does do this. It was a paradox, that God opened up that Dead Sea, and did that great thing.

E-40 Noah, in his time... Remember, Noah preached in an intellectual--to an intellectual world like we're list--preaching to now, a day when they were farther advanced in science than we are now. We could never build a pyramid. There's no way for us to do it. We haven't got the machinery to do it with. Some of them--them... If you was ever there, why, them--them boulders weighed tons, hundreds of tons, way up in the air. We have no machinery to lift it up there. Nothing at all to do it with, no power that would lift it up there. They did it.

E-41 I remember in school, we had a debate on that. And I took the--the side to say that they had some secret. They didn't know... And my opponent, he took the side to say that, why, they got enough men around it, and they made a--a level of dirt like this, and then they rolled it up.
I said (I worked in a section gang), I said, "Why, we can't... You take a box car with wheels, and them greased, and put them on a railroad track, and you can't put enough men along there to push that box car, and it empty. That's right. You just get one layer of men, and then the next man is--is pushing against that man. See? You couldn't move it if you had to."

E-42 They had the secret. They knowed how to do it. They had a greater--a greater instrument. That pyramid sets so perfectly in the center of the earth, pointing, that there's not a--there's--there's--there's not a shadow around it, no matter where the sun is. It's never got a shadow around it. See? It's a--it's a perfect thing that they did. And their instruments was far beyond what we have now.
And Noah preached in that great intellectual age.
And Jesus said, "As it was in the days of Noah," another great intellectual age. See?
Now, remember Noah had a message from God, it was going to rain. Well, there had never... See, the world set up straight in them days. They did never had rain. But Noah said, "It's going to rain." The water was on the earth, not in the skies. They could take an instrument and prove there was no water there. But Noah said, "It's going to happen anyhow." See? And it rained. That was a paradox (See?), something that could not be explained. But God shook the earth around, just in condition so it would rain. So you see it was a paradox for Noah to do that.

E-43 Also it was a paradox when Israel stood on one side of the hill, and Goliath on the other side of the hill. They had a great challenger over there. He was a great scientist. He--he knew all the ins-and-outs. And when the enemy thinks he's got you to the wall, that's when he likes to bark the loudest.
I remember when I first started out in this ministry, our--my Pastor Davis said to me, he said, "Billy, what in the world did you eat that night for supper?" See? He couldn't understand it.
I got a group of ministers together with me. They said, "What's the matter with you? You think that that..."
I said, "I don't care."
"In the day of this scientific age that we're living in, and you mean to tell me that God..."
I said, "I don't care what you say. I... That Man, that Angel of the Lord, has never told me anything wrong." I said, "If He sends me out there, there'll be somebody that'll listen to it. If the Baptist church don't want to, then here's my fellowship card." That's all. I knew God said so, and that settled it. Right.
Said, "You can't do it."

E-44 That's that giant standing yonder saying, "If you'll come over here, and send one of your men and fight me, then we won't have no bloodshed."
Oh, my. How easy. How they like to bark, when they got it like that. Said, "You... Let one of your greatest men..." 'Course, Saul was head and shoulders above his army. And he knowed better than to go out and meet that fellow on his grounds.
He said, "Now, we won't kill anybody. We'll just... Let--let two of us--one of us die, just one man die instead of the whole armies here die." He had a--a psychological point, and you notice he said... And Israel was scared to death. They wouldn't want to meet the challenge.

E-45 But one day a little old ruddy fellow come up, piece of sheepskin wrapped around his shoulders, bent down, his hair in his face, come up there to bring his brothers some raisin cakes, that the--a father sent him up there. His name was David. Little bitty, old scrawny fellow, standing around there...
But you know, there'd been, a few days before that, a prophet had anointed him. They wanted to put it upon his bigger brother's head, 'cause he looked better. You know, that makes impression to the--the people he's going to stand before; he looks like a king.
Oh, that's what the world's still got their eyes full of Hollywood. Ought to be full of Christ. That's the reason it's so hard to get the program over to the people, the Message. They want to be Hollywood. Hollywood shines. Well, it's a--a shine...

E-46 Now, I live... I'm a--I'm a prospector. You know, fool's gold shines brighter than real gold. Anything glitters... Everything glitters is not gold. After all, gold doesn't glitter; it glows. And a Hollywood shines with glitter, while the Gospel glows with humility.
Hollywood shines with its great fine churches, its psychological, educated ministers, who can speak and use their nouns and pronouns, and everything just right, while in humility the Gospel of Jesus Christ glows to the glory of God, where they know no more about it than a rabbit would know about snowshoes. They just--it's just as far... (Excuse that expression. This is no place for joking.)
And I... But I... That's what I... I'll try to mean, you know. They don't--they don't understand it. They think it's got to be all polished up in a scholarship. And--and our Pentecostal people's getting like that. Their ministers has got to go away, and have so many degrees of psychology, know just how to say "Amen" just right. That's right. Oh, it's a disgrace, friends. It's a disgrace among us.

E-47 Now, it isn't that I'm against the church; I'm against that system that's taking godly men and doing that. We need not to shine. We'll never get the enemy over on our ground, or, we can never go over on the enemy's ground and try to have fine glitter, well-dressed, and clergy collars, and everything, and our choir all robed, and everything like them. Don't go on their ground. We can never compare with them.
Let them, if they're hungry come over to us. We're full Gospel. Amen. Let's stay that way. The Gospel came not in Word only, but through power and manifestation of the Word. That's what the writer said: power and manifestation. In other words, the Word vindicated is the Gospel (See?), Mark 16.

E-48 Notice now, we find that in the days of Noah that while he preached, they could hardly believe such a thing as that--they--Noah believing for such a thing. But finally the paradox came, and it happened. It actually rained.
Then in the days of David, we find out that when Saul was up there with all of his great army, and this little ruddy-looking fellow come up there, and--and he come to bring some cakes to his brother from his father. And this giant come out and made his boast one time too many. There was a real man of God heard that boast.
And he turned around, he said, "You mean to tell me that you, the armies of the living God, will let that uncircumcised Philistine out there stand and tell you the days of miracles is past? (or, well, I... That was... Same principle...) Let that uncircumcised scientist tell you--defy the armies of the living God?" Said, "I'm ashamed of you, and you supposed to be trained men." Said, "I'll go fight him." Oh, I admire his courage. He knowed what he believed.

E-49 So Saul took him up there and said, "Son, now I admire your courage. But remember, you're nothing but a youth (See?), and he is a warrior from his youth. See? And you know nothing about a sword and things. Now, how you going to meet that fellow, meet his challenge?"
He said, "Saul, I was herding your servant's sheep, and a bear come in and got one of them. And he run with it. I went and took it away from him. A lion come in and got one, and I run out after him. And I took a slingshot and knocked him down; when he rose up I slew him." Said, "The Lord God that give me the victory over the lion and the bear, how much more will He give me the victory over this uncircumcised Philistine?"

E-50 You know, I think about that when I'm praying for you. See? See, a lion called "cancer" come in and got one of his sheep. I ain't got no medicine. I have no shots. I don't know what radium is. I don't know nothing about theologies and these manmade things, but I know how to send this little Slingshot. I come here after you now. I want to bring you back. It's my Father's sheep. Sometimes I have to scold you and fuss at you. But it's because I love you. Always, always, always bear this in mind, that love is corrective.
If your boy's setting out here in the street, and you say, "Junior, dear, you shouldn't set... Oh, bless your little heart, if you want..." That's not a real mother or dad. You'll go get him and turn him over his arm, and give him a little posterior protoplasm stimulation. It'll fix him up just right (See?) if you bring him in.
But you ain't going to stay there, and say, "Now, Junior, dear..." when you know the little fellow can get hurt. You love him. That's the reason I'm fussing. It's not trying to hurt some organization. It's, "Wake him up!" That's the truth.

E-51 So we find out that David said, Saul said, "Well, I'll tell you, if you're going to fight him, I--I..." And he put his armor on him. Huh. I imagine little David, probably about five foot tall, and stooped shoulders, and this shoulder pads out about like this, and this steel... Saul finally said, "Take the thing off of him."
Said, "I never proved this. I don't know nothing about your ethics, and your, oh, your pulpit manners, and things you're supposed to have." See? He found out that his ecclesiastical vest didn't fit a man of God.
So he said, "Take the thing off of him. He knows nothing about it."
Said, "Let me go with what I know is the truth, where God has blessed me." That's right. Let me go with the Word, not with some educational program, or something somebody's cooked up somewhere. I know God's Word will never fail, other men's word will fail. And God's His own Interpreter. Said, "Let's go like that. Let's believe it."

E-52 Doctor, no doubt, will give you the best examination he can, and helps you every way he can. But that's the best he knows. We know something different. When all hopes is gone, then He's the one that comes to help us.
We see this then, David, not with a bow and arrow, not with a... 'Cause you couldn't hit the giant nowhere. He just had one place across his eyes.
Just think, his--his--his big spear he had, why, would probably weigh four hundred pounds. His fingers was fourteen inches long. And just think of the helmet was over top of his head. And all this breastplate... And brave David had a little bitty rock; that's all he had. He had four more in his sling. You know what them five rocks meant? F-a-i-t-h in J-e-s-u-s. That did it. See? He had faith (You see?), faith, grace. He was the grace of God.
And then he went to meet the giant. He only had one place, and God directed that rock. And when he slew that giant to show that it could be done, then the rest of the armies grabbed their swords and away they went. They fought them to the bottom.

E-53 Now, a few years ago they said there's no such a thing as Divine healing. But when we stepped out to prove that there was, then the fire caught in the Pentecostal church, and we've had a fifteen year revival. Brother, them critics that wanted to give a thousand dollars for any proof, they--they shut up now, 'cause it's proven. Doctor's statements, and everything, cancer, blind, deaf, dumb, even to them that's dead's been raised up, because you've just received faith by seeing one thing done. God is. The whole thing's based upon that. Believe every Word that He said. For healing... I believe in the rapture; I believe in everything that He said is going to take place. It's called a paradox, something that was unscientifically, but it happened anyhow. It was a paradox.

E-54 Now, my next thought was Samson with his jawbone of the mule. Very, very strange to see this guy Samson... A lot of people try to think that he--he was a... I seen the psychological effect, or a picture of Samson with shoulders as big as a barn door. Well, now that would be no--no strange thing to see that man pick up a lion and tear him apart. But Samson was a little bitty, curly-headed shrimp (as we'd call him), little bitty old guy, mommy's little boy, long curls hanging down his back.
And when you see... Now remember, when the lion run out to roar upon him, notice what happened. See? What happened? The Spirit of the Lord came on him. That's what made the difference. That's the reason they could bind him one time when the Spirit of the Lord didn't come to him. His Nazarite sign wasn't there. But as long as he could feel that Nazarite sign, let anything come what wanted to.

E-55 And that's the way it is with you Pentecostals. When you get to that ethicals part, when you get to that spot to where you want to listen to the creed, and so forth like that, I don't know about you then. But if you'll just come back to this Nazarite sign, the Holy Ghost working in you, everything's all right then. Don't be afraid of nothing. As long as the Holy Ghost is there to identify that Word, let them say what they want to. Yes, sir. God still performs paradox.
And we find out that Samson... Think of that. With an old brittle jawbone of a mule, that had been laying out on that prairie there for many years... And anyone knows you could hit it against a rock, it'd fly to pieces. And the, "Samson, the Philistines is upon thee," and he looked around. He had nothing in his hands. And here was a thousand Philistines standing there.
So he just reached down and picked up this old jawbone. And you think of those helmets, was sometimes an inch-and-a-half thick over the top of their heads. And he took that mule's jawbone and beat down a thousand Philistines. Hm. Them sticking up in the rocks, hiding, said, "You want some of it? Come on down...?..."

E-56 It was a paradox. But the Spirit of the Lord was upon him. That's what made the difference. It was a paradox to see a man with well-armed men, trained men to fight, with long spears, and knives and so forth, helmets and armors, and this one man standing alone out in the field with the jawbone of a mule, and beat down a thousand of them. But it's the truth. The Bible said it was.
A man that could take the gates of Gaza, that weighed down there probably eight tons apiece, big brass gates... And they fenced him in one night. Said, "We'll get him." Said, "We'll comb every hair in here till we find him, and we'll get him." But this little shrimp come out about midnight, and looked out there, and the gates was in his way. So he just picked them up and put them upon his shoulders, and walked up to the top of the hill, and set down on them. It was a paradox.

E-57 You can't fence God in. You can't tie Him in nowhere. He's God. Sure. Great victories that he won, Samson... God used him, and made paradox. He'll use anybody as long as you'll take His Word, if you're ordained for the cause. If you're not, well, then just stay with the ones... Listen to the message then.
Now, we'll hurry. I see I got about ten minutes left.
The virgin birth was a paradox [Someone speaks and says, "You've got till 10:30."--Ed.] Ten-thirty. I'll try not to take all that. You've been such a nice audience everywhere. And I--I--I know I'm supposed to stand here and make a speech to these Business Men and so forth, but I--I can't make speeches. I don't know anything about it.

E-58 Only, I remember here not long ago, Billy just before his conversion (he was with me), he said, "Daddy..." We was in a place to eating, and there was a song going on you know, like that. And he said, "Ain't that a pretty song?"
And I said, "What song?"
And he said, "Daddy, you know there's only one thing about you that's wrong?"
And I said, "What's that, Billy?"
He said, "The only thing you think about is Christ; that's all."
I said, "That's a compliment, son." Yes, sir. He thought he'd get next to me (You see?), but that--that's--that did. That's what I... I--I just know Him. That's all I want, and to know Him is Life. And to know these other things, I don't know about it. It might--might identify me as a smart man. And I don't want to be a smart man; I just want to know Him. I know Him, as Paul said, in the power of His resurrection, that when He calls I'll come out from among the dead. That's all I want Him. I want Him... I want my name on the right place.

E-59 Now, it was a paradox when God caused a woman to conceive. It was a paradox that how God, the Eternal that fills all time and eternity, could come down and become one little Baby crying in a manger. That was a paradox. It was a paradox when He died at the cross. That was a paradox, to think that God would come human so He could die as a human, to redeem His own creation. He had to do that. There's nobody else. If that was anybody else besides God (See?) if that was anybody else besides God, we're lost.

E-60 For instance, what if I had the jurisdiction over you as God had over everything? And I'd say, "Well, I'll tell you what. Anybody looks at that light's going to die. Like, take the tree." And the first thing you know, this brother setting here this would look at that. I feel sorry for him. I--I don't want him to die. So I will have Terry here to... That wouldn't be right. No. Well now if I'd have my own son to do it? That wouldn't be right. There's only one way I can be just, and that's take his place. And God could not take a human's place, being His Spirit. So God created a blood cell which was His own Son, Jesus Christ. And God came in and lived in there, and lived, identified Himself in Christ. That was God Emmanuel. Jesus said, "I and My Father are One. My Father dwells in Me," (See?), God in Christ reconciling the world. Jesus was the Body, the Tabernacle, God was the Spirit that lived in Him.

E-61 Now, for instance, we have the Spirit by portion. He had It without measure. He was the Fullness of the Godhead bodily--God. But we have it by measure. Now, for instance like the little gift that we have among us now. Now, that's like taking a spoonful of water out of the ocean. Jesus was the whole Ocean, but this is just a spoonful. But remember, the same chemicals that's in the whole ocean is in this spoonful; only there's more of it out there. See? He was God. We are not God. We are not God, but together...

E-62 If you notice, it was so beautifully illustrated, when that great Pillar of Fire that followed the children of Israel through the wilderness appeared to St. Paul... When It come down on the day of Pentecost It broke up and tongues of fire set upon each of them. It was God in this Pillar of Fire, the Logos, separating Himself among His people, showing that Christ and the Bride (See?), God and His church are becoming one. Why, it's just the most beautiful thing you ever seen. Then together, brethren... Not in different organizations we'll ever stand. I'm a Kentuckian. Together we stand, and divided we'll fall.
Why did the Indians lose this country to the white people? It's because they wasn't--they was divided among themselves. How are we going to lose this great race? It's because we're divided. How we going to do it? We got to stay together. We're all believers in God. The Holy Ghost takes us all in. It'll be a paradox if God ever gets us together. But He will; just trust Him. The virgin birth... He knows how to send the persecution. It'll run us together. Now, the virgin birth was...

E-63 Now, Pentecost was a paradox, how that God chose a bunch of illiterate fishermen that didn't even know their--their abc's. There's told that Peter couldn't even sign his own name. The Bible said that he and John (Acts 4) was ignorant and unlearned. But yet they taken notice that they had been with Jesus. That's the main thing.
And how God chose... Now, the--the church had trained up a bunch of men for that, thousands of fine, intellectual priests who knowed that Word, they said, from all the meanings of it, and everything, studied it day and night, just had it in their heart, and failed to see it. And God chose a bunch of men that didn't even know their--how to sign their name.
That was a paradox, from taking a man who was trained for the Word, and by the Word, and take a man knowed nothing about the Word, and confirming the Word through him. That was a paradox, certainly was.

E-64 It was a paradox, how that them people up in that upper room there, afraid of the Jews, and had walked with Jesus, but when the Holy Ghost came, they wasn't afraid no more. Out into the street they went, screaming, and falling, and acting like a bunch of drunk people. That was a paradox. The Holy Ghost came upon them, women and all. They wasn't ashamed of the Gospel of Jesus Christ. It certainly was a paradox.
The old prophet's visions was a paradox. We can't explain a vision. How are you going to explain a vision? It's something that happens to the person, that he foresees things for years to come. It happens exactly on the dot. That cannot be explained. There's no scientific way of doing it.

E-65 Here some time ago in a--in a fuss with a doctor, when I was at--at a Kiwanis meeting, he said, "Mr. Branham, I don't... I--I like to hear you talk," he said, "but--but I tell you," said, "I--I can't believe anything but what is scientifically proved."
I said, "You claim to be a Christian?"
He said, "Yes. Some of it's puzzling to me."
Then I said, "Then you can't be. You must believe all of it. See?"
He said, "I--I can't believe the virgin birth."
And I said, "Well, I can believe--I can believe the virgin birth better than I can believe the natural birth." Certainly can.

E-66 How if you'd ever see the natural birth, how that sperm from male and female, and where... Who determines what it's going to be? Here is the sperm from the male with the--the hemoglobin, the blood in it. And here's the woman, which is the egg, up here. Now, the first two that meets, the germ crawls into the egg, and the rest of them die. And there's tens of thousands times thousands of those germs.
And you say, "Well, the first in front."
No, no. They stop. And maybe it'll be a germ come up from the middle of the germs, and the egg come from the very back end, and they'll come across one another and meet. It's determined whether It's going to be a boy or girl, whether it's going to be red-headed or black-headed, what disposition it's going to be. Something unknown to science determines it.
If that ain't a paradox, what is? Point to point is the closest way around, we--we understand. But not that time. God determines it. Why, the natural birth, if we had time to break it down, even to the chemistry of the blood and so forth, and prove that out, my, it's a great mystery, how... We--we take it commonly.

E-67 And that's the trouble with these Pentecostals. We're taking God too commonly. The whole thing, we just let it pass by. Don't do that. That's not right; don't do that. Look at it and praise God for it. Every little thing that takes place, give God praise. That's what He... Shows you appreciate. What if somebody keeps going things for you, you don't even thank him, or nothing. See? Then after while they get tired of doing that. See? So now, God will too. Now, remember, He's able of the stones to rise children to Abraham.
Now, them visions of the old prophets were certainly paradox. We cannot explain them, they're without explaining. But every one of them happened just according to the way that they said.

E-68 Listen, right now in our midst, Jesus Christ is here. That's a paradox, how that He's alive after two thousand years. Who could explain that? How that He, that Spirit unseen, can come among us, and take an individual, and identify Himself exactly, impersonate Himself in an individual, as you as a believer, and to a gift. That's a paradox. Nobody can understand that.
Nobody can know how perfectly He can just say to each person what it is, and what's this, and where's this, and what's that, and never be mistaken. Because He's God; He can't mistake. That's a paradox.
How is it that now, as I come in last night and hearing my brother, my field manager here, Mr. Borders, speaking (I just got the last part of it.) about George J. Lacy taking a picture of that Angel of the Lord. Search it. If that isn't the same Pillar of Fire that followed the children of Israel... See, how do you know? It's got the same nature.

E-69 When Jesus was on earth He said, "I come from God, and I go to God." And we know that He was the I AM. And the I AM was that Logos, that Pillar of Fire. And then, when He went back to God and ascended up on high, Saul of Tarsus was on his road down to Damascus, one day, and that same Light fell in--before him, and blinded him. Now, look, it's possible that one can see it, and the other one can't. Tens of thousands have seen it. When I used to tell about it, they'd say, "Aw, that's psychology. He just imagined that--them people just so under emotion."
But when George J. Lacy took that picture, he said to me that day over to--at Houston, there in the--in the building before all that "Times," "Life," and "Collier's," and all them other magazines; he said, "Mr. Branham, I'm one of your critics too." He said, "But I want to tell you. I said it was psychology." But said, "The mechanical eye of this camera won't take psychology." So... [Blank.spot.on.tape--Ed.]
"... the testator's dead." See? He said, "But someday after you're gone it'll be on ten cent stores." Said, "I'm in position to know there's never been a supernatural Being that's been scientifically proven." But, said, "This is scientifically proven. The Light struck the lens."

E-70 Then you see, the testimony that I've given since a little bitty boy, that I've seen that Light before me always, and you know, you've read the books and seen the documented statements (See?); it's the truth. I'm not here to deceive you.
I got a wife, I got a little boy called me the other night on the phone, crying, "Daddy, come home." How he will cry, and go on, when he sees me leaving, because so many accidents in planes, and things like that. My little girls, and them, why, they're daddy's girls. See?
I get paid from my church. I never took a offering in my life. I don't ask people, and people gives me money. I put it in foreign missions. See? Some of my trustees are setting present right now, knows that's true. I don't spend one cent of it. I take the Gospel myself. And I get enough built in there, I take off overseas and preach to people that--that you--that you... You--you're sponsoring them. They don't have one penny of money. And then when I go over there, then I go in there and preach the Gospel over there. The way's already paid by you Americans. You're building your home. You don't know nothing about it. But that day you'll understand. See? It's you doing that. I get a hundred dollars a week from my church, and that's right.

E-71 I don't have no reasons to be out here, no other way. But it--it's something in me. I can't curse it or bless it. It's--it's--it's pulsation; it--it drives me to it. You think it's easy, standing here speaking against organizations? And see these brothers setting here, brothers who stuck their neck right out to have me to come here?
Even my Christian Business Men brethren, when I had to tell Demos about THUS SAITH THE LORD, what was going to take place in that organization, which it did a few weeks ago by Brother Ford and them. Told them two years ago to watch what would happen. See? You're getting it into. You're going to make it an organization. When it does, then I'm through with it (See?) that minute. It's been a oasis, because the people, the ministers will come in, 'cause that's their support. See? And then I get to bring the message, and plant the seed, everything I can.

E-72 It's not because I want to be different. If I'm that way, then I'm a hypocrite. Then God will never work them things through a hypocrite. God identify in a hypocrite? And far be it from God. It has to be truth. But if we could just shake ourself a minute and realize. And don't think it's some man; some man's got nothing to... Some... God has to choose somebody.
Now, you historians here, did God ever use an organization? Never. Now, I want to ask you something else. When a man raised up with a message, and that organization organized a organization behind that message, it died right there, and God put it on the shelf. And it never did come to life. Now, just ask, ask yourself that question.

E-73 Now, see, now that's not talk against... Now, these Catholics... All my people are Catholic. I'm an Irishman, and all my people are Irish-Catholic, and they're fine people. And I'm not against the Catholic people; it's the system. I'm not against the Methodists. I'm not against the Pentecostals. It's that system that bars us out. "We're that..." See, we're working for one achievement here, and we're trying to produce God, the Bible. And they've already got their documents drawed, their--their form of religion, what they believe, and outside of that you can't cross it.

E-74 And you think it's a easy thing for me to stand here and say that to brothers who love me? You think it's easy for me to bawl you sisters out with short hair? You think it's easy for me to bawl you men out for letting your women wear shorts and things like that, when them women puts money in to support me, a missionary overseas? If there was no money went in the church, I could--my children couldn't live. And somebody who's nice to you and kind to you... You think it's an easy thing for me to stand there, when I love people?

E-75 When I was a little boy, my father being a bootlegger, I was hated. Anybody who'd go downtown, I'd start talking to somebody. Nobody'd have nothing to do with me. They--they'd see somebody else come along they could talk to, they'd walk away and leave me. And I--I always loved people.
When I was a little boy I set in in reading my--my--my history book. I was reading one day, and seen there where Abraham Lincoln got off of a train down here in New Orleans. And there was auctioning off a big colored slave, down there, and to breed him over to some bigger women to make better slaves. And Abraham Lincoln took his hat off, and twisted his fist (He was a Kentuckian too.), he said, "That's wrong. That's wrong."
And I still say it's wrong. God made men. Man made slaves. God makes us our color, just like He does the flowers. He has a white flower, a blue flower, a red flower. Let them alone. Don't hybreed it. Leave them alone; let them the way they are. They're all God's flowers. It's His bouquet. God made man, and man made slaves. We don't need to be slaves.

E-76 Like I said, this Martin Luther King's a-leading his people to a--a crucifixion. It's communistic. Sure it is. If them people were slaves, then I'd be down here fighting for them. That's right. But they're not slaves. It's a argument where they go to school or not. Won't go talking about that. I just thought I'd express it. See? All right. Notice, it's just the devil. Certainly.
We're all human beings; we all come from God. God by one blood made all nations. A colored man can give me a blood transfusion. His blood's just the same as mine is. Mine, just is... I can give him one. Who am I to argue? He's my brother.

E-77 But I don't believe in marrying and intermarrying them like that. I don't believe in a white... What--what business would a beautiful, young, intelligent colored girl want to marry a white man for, and have mulatto children? What would a fine, intelligent, colored girl want to do a thing like that for? I can't understand it.
And what would a white woman want to marry a colored man, with mulatto children? Why don't you stay the way God made you? Be content with such as you have. See?

E-78 Now, notice the virgin birth, and the prophets... All right.
Now, today, He's still alive. He's still here. He's proving Hisself by His Word. This Word is God. You believe it? And then this Word is allotted here for this day. There's got to be somebody come by, that that Word can become quickened, and make that Word live. That's when He was borned a virgin birth. It was unusual, out of the ordinary. These things are out of the ordinary. And He couldn't help it, no more than Joseph could help being who he was.

E-79 Look at those four patriarchs, Abraham, Isaac, Jacob, and Joseph. Abraham, calling, Isaac, election, (or vice versa) Abraham, election, and Isaac, calling, Jo--Jacob, grace, Joseph, perfection. Nothing against him. That's God working His way out.
Watch. Luther, Wesley, Pentecost, and the capstone, when the church and the Word becomes the same: same thing exactly, perfectly. Everything in the mathematics in the Bible perfectly sets it. I wished I had a month here with you nice people. We could set down and talk that over. See, see? We just run in and out. It looks spooky to you; you walk away and say, "I wonder." Many of them, not you, but many of them say, "I wonder." You see, you just have to hit the end of it and walk away--just enough that you can see. See? And that's the way that God calls His people. He always does it that way.

E-80 Notice, now. Now, He's still alive today, a paradox. The Pillar of Fire identified among us scientifically, and It's still here, since plumb back in the wilderness with Moses. He's still the I AM. Not "I was," or "I will be," I AM: present tense scientifically, and by the...
Notice this pillar that put the eyes of Paul out (Saul), and them men standing there didn't even see nothing about it. They didn't see It. But It was so bright to Paul, It put his eyes out. He always was bothered with his eyes from then on. See? He--he put it... Now, look, that'd be in the Hebrew.
And he said, "Lord, Who are You?"
Now, would that Hebrew have called some kind of a spirit "Lord," that staunch man who was taught under Gamaliel, renowned teacher? And he knew that either it was Lord, It was the Lord that led His people out of Egypt. There was that Pillar of Fire standing there, saying, "Saul, Saul, why persecutest thou Me?"
Said, "Lord, Who are You?"
He said, "I'm Jesus."

E-81 Now, here He is the same yesterday, today, and forever. See? He returned, and promised it to return in the last days. There He is, the Holy Spirit (See?) returning in the last days to bring the people... Now, look. Right at the end of the Jew and the Samaritan, this manifestation of the Word of God, knowing the thoughts that's in the heart, He showed that to them before they were taken away. And the veil over their face (that I was going to preach about tonight) had--had blinded them. They didn't see it.
Now, if He--if He done that before, on them two races of people (which I say there's three: Ham, Shem, and Japheth), if He did that, and He lets this church here go in on intellectual conceptions, then He did wrong. But He's the same yesterday to Ham, Shem, Japheth, the same yesterday, today, and forever. And He promised to do it. So He's no respecter of persons.

E-82 And watch how Abraham come up through his signs and things, and the last sign that he saw done by God, was God Himself. He saw Him in lights and everything else. But God, Himself was manifested in a human Being that eat and drink.
Some man said to me one time, (a minister, Brother Fox), he said, "Brother Branham, do you mean to tell me you think that one that eat was, that that man stood there eating that calf, and eating cornbread, and the milk, do you think that that was God?"
I said, "Certainly. Abraham said it was. He was the one talked to Him. He ought to know it. He said He was Elohim." I said, "You..." See, He come down to make an investigation, as He is now in investigation judgment, to see who is believers. We've been hollering so much about it. Just investigating, see who really is believers. See? And He made Hisself manifest.
He sent the little wheat type down in there, like in the modern messages we hear in Babylon. But watch what He done there to that church elect. He give it a chance too. See? See what I mean? And he's bought by the...

E-83 My God? What did He do? You know we're made out of sixteen different elements of the earth: potash, and--and petroleum, and cosmic light, and whatmore. He just reached over and got a handful of atoms, and cosmic light, petroleum [Brother Branham blows--Ed.] and said, "Step into it, Gabriel." And made one to step into Himself. That's our God.
And when He give His message to Abraham, He vanished and turned right back to God again. All them atoms and things just broke up, like a fire breaks up the acids and--and chemicals in the wood, or coal, or whatever you're burning, turned back to the unseen. I'm so glad my Father's like that.
See, I know after this body's become nothing but you can't see no more, just the chemicals where it was, someday He'll call and I'll answer Him. Yes, sir.

E-84 My wife said here not long ago... I was combing these two or three hairs I got left. And she said, "Billy, you know what? You're getting completely baldheaded."
I said, "I haven't lost a one of them."
She said, "Pray, tell me where they're at."
I said, "All right, sweetheart, I will when you do this: tell me where they was before I got them...?... Wherever they was before I got them, they're there waiting for me to come to them again." Hallelujah.
That's my God. That's our God. Sure. If we're Abraham's children, we believe it. Yes, sir. He's our God. (I got to hurry.)

E-85 The Pillar of Fire is identified scientifically, and by the reaction, by Its character, and everything else, just the same as It was when It was dwelling in the body of God's only begotten Son, so does It dwell in the body of His adopted sons for the last day.

E-86 Now, I know, brethren, we've had a lot of this impersonation. But the Bible said it would happen; you know that. As Jannes and Jambres withstood Moses (See?), it's just got to happen. But don't let that--don't let that blind you. When You see a bogus dollar, remember it was made off of a real one. See? If it isn't, it's the--it's the original. But there is original Holy Ghost, original Christ, certainly. He is the Holy Ghost.
Notice now, and the Pillar of Fire still alive today among us, after all these thousands of years, and still it's here. It's a paradox.

E-87 The seed in the ground is a paradox. (And I'm going to close about twelve minutes.) The seed in the ground is a paradox. How that that little seed will go in the ground and die, and then when that little seed dies in the ground, then it... You might take a handful of the dirt and take it to the laboratory and examine it, you couldn't find that germ of life if you had to. There's nothing scientifically there, show it's there. But just let the sun rock around in its right position. Watch what happens. It comes from somewhere. It rises. That's a paradox. They can't explain it. See everything in it dies but the life, and the life is unseen. And wherever the little life is, it's supernatural. And the natural body's completely gone. But the supernatural still lives.

E-88 Now, if that little seed could be buried. (Now, listen to me, friends.) That little seed could be buried in the ground. And if that seed hasn't become germitized with the mate, I don't care how pretty the seed is, it'll never live. See? I don't care how pretty our churches get, how nice we try to dress, how fine and intellectual we become, unless we become in contact with the Mate and the Mate is the Word (See?), you can't rise. There's no way for you to do it. See?

E-89 You know, we take corn. We're living in a day of hybrid. Everything's hybrid, till they've even hybrid the church. That's right. They've hybrid the church from the Word to intellectual creed, denomination. Jesus never did say, "Go make denominations." He never did say, "Go build schools." Said, "Preach the Gospel." Demonstrate the power of the Word of promise for the day. See? But we've hybrid it. Now, we've got a prettier church.
You Pentecostal women--your mothers used to stand on the corner with no stockings on, little old wore out shoes (and them tennis), beating a tambourine. And the denominations laughed at her and made fun of her. Dad stood there with needing a hair cut, and picking up corn on the road somewhere to feed you kids. It's too bad you got away from it.

E-90 Now, you got a bunch of Rickys in there that wants to come like the rest of them, like Israel did, wanted a--wanted a king of their own. You wanted to make your own. See? And now what you got? A bunch of educated Rickys. That's right. They got this intellectual... They want to be like the rest of them, Dr. so-and-so, and Dr. so-and-so. See? And where's it got you to? You're more prettier. That's right. You're better churches. But where's that spirit was in there? Where's them all-night prayer meetings for them sin in the city? Remember, the Holy Spirit said in the last days, "Go seal those only who cry and sigh for the abomination that's did in the city."
Now, I want you ministers to lay your hands upon that member of your church, you Pentecostal ministers. And then when you find this, then you come, and I'll apologize to you. You find that member of yours that can't rest day and night, for crying for the abomination of sin that's done in the city. Ninety percent of them stay home, and see "We Love Suzy," instead.
Oh, you speak with tongues, sure, jump up-and-down and shout. That's all right. Nothing against that. Nothing against your organization, either. But I'm trying to talk about life. Where's it at? Now, you show me that member. Look how worldly, how indifferent.

E-91 Always the outside expresses what's on the inside. By their fruits they're known. Where's it at? Now, I just ask--just ask you a question. 'Fore you condemn it (See?) just ask that question. Fine.
See, now, I'm not trying to hurt you. I'm trying to help you. See? I'm trying to help you. That seed must die. When the Jew--these Greeks come to Jesus and said, "We would see Jesus," Jesus, what did He say? The first thing He said, "Except a corn of wheat falls into the ground, dies, it abides alone." He showed them how to see Him: Die to yourself, die to your ethics, your creeds, and all this. Just be born in the Word, into Christ. That's a paradox, to see it come forth. Yes.

E-92 I remember here not long ago, I was down in a little place called Acton, Kentucky, way back in the mountains, never been there before. A fellow named Mr. Wood and I... He was a Jehovah Witness. And he was at one of the meetings, and the Holy Spirit spoke. He had a boy with a crippled leg drawed up under him like that. I was standing on the platform just preaching, and I looked, and I said, "I see a man setting way in the back of the building." Three times as long as this is here, a big tent.
And I said... And we was up around, oh, it's up on the Great Lakes.
And a--and this man, I said, "He's got a boy. The man comes from Kentucky, way down in Kentucky. He's a contractor. His name is Banks Wood. He's got a boy that's got polio. His leg's drawed up under him." I said, "THUS SAITH THE LORD, he's healed." So the woman stood there.
Now, there's just many people standing, right here this morning, my people, that knows David Wood. How many knows David Wood, knows... That's right. Right then he raised up, and his leg perfectly normal. That settled the Jehovah Witness problem. And besides that, by them same visions has led his whole people.

E-93 His brother come in to make fun of him and just tear him apart, said, "What are you doing following some kind of a fanatic like that, some of these modern day cults?" (A reader in the Jehovah Witness.)
He said, "Why, the man's out there cutting grass." And I had on a big old straw hat and out in the field mowing. And I come in, set down. He said, Brother Banks said, "This is my brother, Lyle."
And I said, "How do you do, Mr. Wood?"
Said, "How do you do?"
Oh, real arrogant. I set there a little bit, and the Lord gave a vision. I said, "Mr. Wood," I said, "I suppose you don't believe this?"
He said, "I certainly don't." And he said, "There's no such a thing as things like that." Said, "It's just a bunch of makeup that you got my brother all mixed up in."
I said, "You know, the Bible said, 'One word against the Holy Ghost will never be forgiven.'" I said, "What... And Jesus was doing the same thing." See, he'd never seen it yet. See?
So he said, "I don't believe in no such."
I said, "All right. If you would believe in such, you'd go back to your wife that you've left."
He looked around at me. He looked over... Now, he didn't know that I was catching his thoughts.

E-94 How strange. People come around, see that on the platform, and think that you don't know just exactly... Why, He reveals things right around you. See? But you can't say it. Jesus knowed Judas was with Him all the time. But just (See?) let it alone, 'cause there's a purpose of it. See? And just...
So he set there, and he said... Looked around at Banks as if Banks told him (That's his brother.). I said, "You've got two children, two little blond-headed boys." He looked back to Banks. See? And I said, "What are you thinking? That Banks told me that."
I said, "How about this? Night before last, you were running with a woman that's got auburn hair, and you was in a room. And in this room, there's somebody knocked on the door. And you sent her to the door because you was afraid. It's a good thing. You got your head blowed off. Another one of her lovers was standing there with a pistol in his hand."
He said, "God be merciful to me."
God knows how. Now, he's a sweet, staunch Christian. His father came the same way, his sisters, and all of them.

E-95 We were down in Kentucky, squirrel hunting between one of my meetings. I had two weeks. Got real dry. How many ever hunted squirrels? Oh, my brother, there's nothing like it. So give me a .22 rifle in the middle of August, and I'm at home. How the Lord speaks out there, and know things, how you, oh, so forth.
Notice, then we... It got real dry up on the ridges where we were at, and he said, "I know an old man that's an infidel." Said, "He's got five hundred acres of just hills like this, and down in the--the valleys, hollows (We call them there.), that you can walk, 'cause it's wet." Said, "We might get to some squirrels." Said, "But he's a rough old fellow."
I said, "Well, let's go down and see him."

E-96 So about a couple months before that, how we knowed the place was there I had a meeting on the Methodist Camp Grounds at Acton, Kentucky. And that night, while the Holy Spirit was making discernment, there was a woman setting way back in the back of the grounds. And it called her name and said, "You got a sister that's dying with cancer of the stomach. She's just been to Louisville, and they opened her up. The cancer was wrapped so around her that she--they couldn't operate. And it's Mrs. So-and-so." She raised up and started crying.
I said, "When you left home tonight, on a marble top dresser you taken a little handkerchief, and you put it in your purse. It's got a little blue figure in the corner." See?

E-97 You say, "How... that sounds very..." Well, how about Jesus telling where that fish had the coin in his mouth? How about the prophet telling the man that the mules had returned back too? See, you just... The devil has an impersonation, yes. But you never hear of one of them preaching the Gospel and getting souls saved (See?), by and things. See? You ought to know better.
So then, we find out, told her that, said, "Take that handkerchief and lay it upon your sister. For THUS SAITH THE LORD, she'll live."

E-98 Well, I don't know whether any of you ever knowed Brother Ben (I forget what his last name. Bryant, that's right), Ben Bryant. Oh, my, if you did, you'll never... You'll always know him, if you ever see him once. If he'd been here, he'd been screaming, throwing hands and feet in the air like that, screaming. So one time... Then he went with this woman, to put it on her handkerchief--and--and put the handkerchief upon her up there.
And about two years later is when we went squirrel hunting, he said, "Let's go down into that..." Yeah, I didn't know it was that same country. It was about twenty miles from where we were. So we went down there, and drawed way back over the hills, and down in the hollows, and up though a broom-sage patch, and over this way, till we come to a big old house. And there set two old men, setting under an apple tree, and their old slouch hats pulled down. He said, "That's him, and, boy, he's a rough one." Said, "He's a--truly an infidel."

E-99 So we stopped, and I said, "You better go talk to him then. He know I'm a preacher, he wouldn't let us hunt at all." So he--he said--walked up there and stopped.
He was standing there with a big chew of tobacco in his mouth, and it running all down through his beard, standing there. So he got around, and said, why, he said, "Hello, come in."
So he got up there, and he said--he said, "My name is Wood." He said, "I'm Banks Wood." Said I... We been... Me and my friend's been hunting over here," said, "for a few days up here around Acton." He said... And said, "I--I..." or, "It's so--so dry," said, "We can't get into the woods. The squirrels are so scarce." Said, "I know your place is posted, but I thought maybe I'd come ask you, you'd let me hunt."
Said, "What Wood's are you?"
He said, "I'm Jim Wood's boy." That's the Jehovah reader, the Witness reader. You see?

E-100 He said, "Old Jim Wood is one of the most honest men you ever..." (They lived in Indiana then.) said, "most honest man that there ever was in this country." Said, "I can certainly trust you not to kill one of my cows or start a fire." He said, "Just help yourself." Said, "Go ahead and hunt in it." Said, "I got five hundred acres here. Make yourself at home."
"All right." Said, "Thank you." He said, "I guess it's all right for my pastor to come too."
He said, "Your what?"
Said, "My pastor." (Am I taking too long? All right.) He said, "My pastor."
And he said, "Wood, you don't mean to tell me you got so lowdown till you have to carry a preacher with you wherever you go." And he said...
I thought it was about time for me to get out then. So I got out of the car and walked around, and said, "How do you do?"
He looked at me, and washed his tobacco around, you know, and spit down like that. He said, "And you're a preacher, huh?"

E-101 I said... Looked, squirrel blood all over me, and whiskers (I hadn't had a bath for two weeks, you know.), and laying in the woods sleeping, you know. And--and so, I said, "Might not look like one," but I said, "I--I am."
And he said, "Well," he said, "at least I can respect you looking like a human being." He said, "You look more like a preacher than some."
So I said, "Well, thank you, sir."
He said, "I'm kindly a--against you fellows."
And I said, "I--I understood from Mr. Wood you was."
He said, "You know, I'm an infidel; I'm supposed to be."
And I said, "Yes, but I don't think that's anything to brag about, do you?"
And he said, "Well," he said, "I--I don't know." He said, "I think you fellows are barking up the wrong bush." (And you know what that means? A lying dog. See? The 'coon ain't up there. See?) So he said, "I think you are barking up the wrong bush. There's nothing up there, and you all are just lying about it."
I said, "'Course, that's to opinion."
And he said, "Yes, I guess that's the way you think it." He said, "Looky here, Mister." Said, "See that old chimney up there? That's where the old house. I was borned up there. My pappy built this house down here," he said, "about seventy-five years ago." Said, "I was raised right here; I've walked over these hills. I've looked everywhere, up in the skies, all around. I ain't seen no God, no angels, or nothing else."
I said, "Well, that's to opinion."
And he said, "I never seen one here but what I thought was lying." He said, "I don't want to hurt your feelings, mister."
I, well, am I going to go hunting, or am I going to really trim him down? So I thought I'll just give him... Mama always said give a cow enough rope, it'd hang itself. See? So I thought, just going answer, "Yes, sir. That's right."
He said, "I--I met... I heard of one preacher one time, that if I ever meet the guy, I'm going to talk to him." Said, "He might've had something."
And he--we talked a little while, you know, and I said, "Who was that?"
Said, "There was a fellow..." said, "what was his name? He was up here at Acton. I believe they called him... I forget what his name was: Branham."
I looked over to Wood, and Brother Wood, said, "Huh-uh."

E-102 He said, "You know?" said, "O--o--old lady Casmo that lives up here on top of the hill," And said, "we--we taken her to the doctor in Louisville, and said she had cancer, and they just sewed her back up." Said, "The doctor give them medicine to give her and keep her quiet till she died. And she was then just about time for her to be gone." Said, "She couldn't even raise in the bed." Said, "We had to pull the bed sheet out from under her; she--we couldn't put her on the bed pan (See?) right from under her." Said, "Wife and I'd go up and clean up her bed every morning."
And said, "There was a preacher from way out yander, somewhere in Indianer." Said, "He--he come down here, and he had a meeting up there." And said, "That man stood there that night and told her sister So-and-So of a handkerchief she had in her pocket." And said, "Coming on..."
And said, "They brought a bunch of them holy-rollers over there," and said, "I thought they had the Salvation Army up on top of the hill that night." (That was old Ben crying out like that, you know.)
So he said a, he said, "I said, 'Well, you know, she died.' Said 'That's her family.'"

E-103 Oh, you know how it is back in the country. They just have one another, and they love and live for one another. It's too bad we don't do that around the big cities.
So they--they said, "We... And if was going to die..." Said, "I thought, 'Well, that's her.' Said, 'Well, it's late; we can't get her body out till morning.' Said, 'I'll get my wagon, and I'll go up there and get her, and haul her out so we can take her to the--over to Campbellsville, Kentucky, about forty miles from there, to the undertaker.' Said the undertaker had to come to the main road, which is about eight miles--ten miles out. Said 'He can pick her body up from there.' Said, 'No need of goin' over there tonight; they'll just be crying.' Said, 'We'll just wait till daylight.'"
Said, "You know, the next morning when I went up there, that woman had cooked some fried apple pies, and her and her husband set at the table eating them. And she was living on barley water."
I thought "Oh, oh." I said, "Oh, now--now wait a minute." I said, "You don't believe that."
He said, "And you don't believe it?" And I said... Well you was the one that said it.
I thought, "Old boy, you're going to preach to me now." See?
He said, "You don't believe it?"
I said, "Man, do you mean to tell me that such a thing as that could happen in all these scientific age, where they have the best doctors?"
He said, "If you don't believe it, I'll take you up there and prove it to you." Now, the infidel is preaching to me about God. See?
I said, "Well, you a... you mean that?"
He said, "Yes."
I said, "Well, what was it?"
He said, "I want to... If I ever meet that man, I'm going to ask him what in the world it was that told him about that, and how he knowed that woman would be well." See? Said, "I'm going to ask him about that."

E-104 I said, "Uh-huh." I said, "Well, that'd be a good thing." And I said, "Say, do you mind if I have one of them apples?" And it was laying on the ground: fall of the year, you know, it was, well, second week in August, and the leaves was dropping off the tree. And the apples was there, and they was nice apples. And I picked it up and rubbed it on these old dirty pants, and went to eating it, you know like that.
He said, "Yeah, help yourself. The yellow jackets are eating them." How many knows what a yellow jacket is? So he said, "The yellow jackets eating them up. You can help yourself."
So I said, "All right." So I went to eating, and I said, "Boy, it's a fine apple."
He said, "Oh, yes. I planted that tree there myself fifty years ago."
"That's strange." I said, "Hey, you know we're going to have a early fall." I said, "You looky there." I said, "Wonder why that them leaves are dropping off that tree before we even have a cool night: August's the hottest."
"Oh," he said, "the life left it."
"Oh, is that what does that?"
He said, "Yeah, they're turning yellow and dropping off."
I said, "Where'd the life go?"
He said, "It went down into the root."
I said, "Well, how... What'd it do that for?" See?
He said, "Well, it's because if it don't--if it don't go down in the root," he said, "the winter will kill the tree. The germ of life is in the--in the--the sap that's in the tree, and it goes down in the roots."

E-105 See what a beautiful testimony there (See?) of death, burial, and resurrection again. See? Now, I said, "Then it... What happens then? Does it stay down there?"
He said, "No, no."
I said, "Comes back the next spring, and brings you another bunch of apples. And you set there and eat them."
"Yeah."
"And then you say you never seen God."
He said, "Well, that's just nature."
I said, "Is that right?"
"Yes, sir."
I said, "I want to ask you something. If it's just nature, tell me what intelligence that warns that tree, that sap in the tree... It has no intelligence of its own. But what intelligence runs that sap down to the roots, say, 'Get down here and hide in the depths of the earth now, till all the trouble's past. Then I'll bring you back up again.' (See?) Tell me the life that was in the leaf... Just the body dies; the leaf dropped off. The life itself went down, coming back with the new leaf. See?" I said, "The life hid, went down in the ground."

E-106 Job, as I said last night, "Oh, hide me in the grave (See?), till Thy wrath be past." He seen the tribulation coming, of course. See? Notice, he said, "Hide me."
He said, "Well, that's just nature."
And I said, "Mister," I said, "if I put a bucket of water out here on the post, and then every August that water run down to the bottom of the post, and then in the spring of the year it'll come back up in the bucket again?"
He said, "Oh, oh, no. It don't have any life."
I said, "There you are. Now, you got it. See, it's life." Now, I said, "See, that's God."
He said, "You know, I never thought of that."
I said, "Tell me what--what does that?"
He said, "I don't know. I don't know what does it."
I said, "It's nature," I said, "Well, Who controls nature? Is nature an intelligence? No."
He said, "Well, I never had thought of it just like that."

E-107 I said, "I tell you, I'm going out here squirrel hunting, if it's all right."
Said, "Help yourself."
"And," I said, "when I come back... When I come back... You study real hard now, and when I come back you tell me what Intelligence that tells that life in that tree to go down in the root, and come back next spring, and I'll tell you what, the same thing, that told me that woman was going to live up there that had the cancer."
Said, "Told you?"
I said, "Yes, sir."
He said, "Are you that preacher?"
I said, "Yes, sir. I'm Brother Branham."
And there under that tree that afternoon, by a simple little thing like that, I led him to Christ, tears running down his cheeks.
A year later I went down, and I pulled my truck up in the yard. They'd moved away. He was gone. He'd died. And when I come back the lady was standing there to give me a bawling out for hunting on posted ground. He'd told me to hunt any time I wanted to. She wasn't--didn't hear him say that.
So I come up, and I said, "I--I'm sorry." I said, "I come here early this morning, and parked the car here where you could see it."
Said, "There an Indiana license on there?"
And I said, "Yes, ma'am." I said, "Your husband..."
Said, "My husband's been dead almost a year." And she set peeling apples on the back porch, off that same tree. And I said, "Well, he told me before he died..."
Said, "I don't believe it."
I said, "I was setting right out there one day." And I said, "And I come up, and I was talking to him. They said he was an infidel."
She dropped that apple and looked down at me, and said, "Are you Brother Branham?"
Said, "Yes, ma'am."
She said, "Forgive me." She said, "Forgive me." She said, "He died shouting, both hands up in the air praising God, knowing, as that leaf come back, he'd come back again." See, a paradox, unexplainable.

E-108 Set eating some ice cream (just in closing), set and eating some ice cream not long ago. An old druggist told me, he said, "You know, Brother Branham, I got... You believe in paradox?"
And I said, "Yes."
He said, "I heard your message one time on a tape, 'A Paradox.'" He said, "Many years ago during the depression," said, "people on county, on relief, had to come get an order," and said, "to get their medicine." And said, "They'd have to stand in long lines." And said, "One day a strange thing..."
He said, "I was setting back here reading a paper, and my young boy," he said, "he was up there." And said, "A little woman been standing in line out there. Since she was to be mother, you know, any time, she had to get some medicine. The doctor prescribed it. He had to get the prescription filled."

E-109 So said, "The (boy) or, the mother couldn't stand up no longer. He brought her up there. Said, 'Sir, I'm going to stand in line. I got to take my wife home.' See? Said, 'Can I take her home? The doctor said to have this medicine this afternoon, and she can't stand any longer.' Said, 'Can I--can I get this prescription filled? I--see, I got the order here, I got to just get a note to say that I can do it.' And said,'I'll bring it right back to you.'"
"And the young boy ('course, in times of depression, you know), he said, 'I--I'm sorry.' He said, 'I--I can't do that.' Said, 'We--we got orders not to do that.' Said, 'I can't do that.'"
And said he just happened to turn around and listen to what it was, and looked up there. And that poor little woman, her mouth white, and holding against the side of the wall, like that, and her husband standing there just as nice as he could be, he said, "Wait a minute, son."

E-110 Said, "I went and got the prescription, filled it, brought it back." Said, "Brother Branham, when I went to hand it out," he said, "I looked, and I put it in the hands of the Lord Jesus." He said, "I rubbed my eyes, and I looked again." And said, "He was the One reached out, and got that prescription." Said, "Do you think I'm beside myself, Brother Branham?"
I said, "No, no. 'Insomuch as you have done it unto the least of these My little ones, you have done it unto Me.'" A paradox, sure it was. It fulfilled the Word.

E-111 There's many a big paradox we could talk about. But, dear friends, as we close let's think of this. There's one great one coming, the rapture. Let's all be ready for that one there. Let's condition our souls now before God, that when that time comes that we'll go.
When the trumpet of the Lord shall sound,
And time shall be no more,
The morning breaks eternal bright and fair.
And when our chosen ones are gathered
To their home beyond the sky,
When the roll is called up yonder,
Let's all be there.

E-112 I set at the table this morning looking at you. You know, we may never eat another breakfast together. You know that? This may be the last time we'll ever eat breakfast together. But there's one thing sure, by the grace of God, we're going to be at a supper together one of these days.
I'll look across the table there and see you. And I'll say, "Remember when we was down at Tampa?"
"That's--that's when I made my full surrender."
And my. 'Course, tears will run down our cheeks. Then the King will come out in His beauty, wipe all tears from our eyes and say, "Don't cry anymore, children. It's all over. Enter into the joys of the Lord that's prepared for you since the foundation of the world." Let us bow our heads.

E-113 Heavenly Father, our time element means so much, Lord. We're just earthbound. And just a few minutes here and there, and it just runs out on us. And when we talk with You, we believe that we are risen with You now, setting in heavenly places, in Christ Jesus. And You're with us this morning. We're conscious of that. We know that You're here.
And we're speaking on the subject of paradox. That's the supernatural. It's a paradox that You ever saved a wretch like me. How that all my people sinners, raised in the back woods, a cocklebur, how'd You ever make a grain of wheat out of it, Lord? Paradox.
Most of my people dying with their boots on, fighting, guns. O God, but Your grace saved me. I'm ever grateful, God, forever grateful.
I pray for others, Lord. If I could... If they could just know this wonderful Person, Christ. When I see them, Lord, as they set back with an intellectual conception of it, and really don't know what the Person Christ is. Lord, make it real to them. Help these, these fine bunch of men, Lord, my brothers. These ministers and Business Men, who in this great hour of darkness, they've identified themselves, Lord, their convictions. Even sometimes against the better thinking of their organizations, they--they want it anyhow. Bless them, Father. Bless each one.

E-114 Now, while we have our heads bowed, I wonder this morning if there's any here that's not sure that the little leaf, that you're making shade for somebody else, if the life should leave it to go back to the ground, would it rise again? Is the seed germitized with the Mate that would make it come back again? If you're not absolutely sure of that, friend, let us pray about it now.
You know what the Life is? It's the Holy Spirit. If you haven't received that Holy Spirit in you, which is the Life that was in the first Plant that raised up (See?), Christ, firstfruit of those that slept... Now, if that Life that was in Him, that same Spirit, is not in you, no matter how nice you try to be, you can't come forth. There's nothing there to raise you up. You can take corn, hybreed it with something else; it won't bear no more. It's finished.

E-115 If you just belong to church, and you're really not filled with the Spirit of God... I know it's hard to make a stand now, 'cause they call you everything. That don't matter. They called Him the same thing. And all that live godly in Christ Jesus shall suffer persecution. They persecuted the prophets which was before you. They do it today. They persecuted those who believed the prophets that was before Him. So will they do to you.
If you're not sure of it, with your head bowed and your eyes closed, I'm going to ask you one more thing to do. Please understand me. Bow your heart, will you? Just bow your heart for a minute. And you'd say, "Brother Branham (nobody looking but God and I), I--I... truly, I'm a little in doubt whether I'd come up again. Will you remember me in prayer?"
Now, we can't make no altar call. I'm wanting you just raise your hand. Just raise your hand and say, "Remember me, Brother Branham." God bless you, and you, and you, and you, and you, you, yes...?... Thank you.

E-116 Heavenly Father, little simple words, but yet the great Holy Spirit is near. He even knows the secret of the heart. And they've raised their hands that they're not sure about it. But yet, they--they--they believe You. They--they want to. And they--they just--they haven't got that... They just don't know how that road will be down the limb, out of the branch into the limb, out of the limb down into the trunk, back up again. You're the Guide, Lord.
Like on a hunting trip, if you don't call ahead and make arrangements for the guide, you can get lost. And we're calling ahead now to the Guide of Life Who said, "I am the Resurrection and the Life." You know the way, Lord, and I'm writing You this little letter in the form of prayer. And they're writing the same thing. Receive them, Lord.

E-117 They want to make reservations for the rapture, that great paradox. They've been in the meeting this week, and they've seen Your Presence, and they know You're here. They're not that starchy, to think that... Men who bring messages are not Angels, they're men. And we know that You work through men. And I pray now, that their reservations will be made this morning.
You said, "He that will confess Me before men, him will I confess before My Father and the holy Angels." When that day comes, then You'll guide them over the river, out of the branch, down into the vine, into the root of the tree, if You tarry, then bring them back up again in that great paradox at the end of the road. They're Yours, Lord. It's between You and them. I pray, Lord, if they've never been baptized with Christian baptism, that they'll do that. And then they'll be filled with the Holy Ghost, the Life that will guide them. For it's in the Name of Jesus Christ we ask it. Amen.

E-118 Thank you for your kindness. Way overtime, and I feel that I'm responsible. If there's any difference to be paid than what there was for the hall this morning, I'll pay it myself. We'll will make it right.
I love Him, (Him) I love Him,
Because He first loved me;
And purchased my salvation
On Calvary's...
Notice the form of the rapture, how it will be. We meet one another before we meet Him, 'cause He knowed that when we got there, I'd be wondering if you were there, you wondering if I were there. But the Bible said, "We which are alive and remain to the coming of the Lord shall not prevent (or hinder) those which are asleep. For the trumpet shall sound, and the dead in Christ shall rise first. Then we which are alive and remain shall be changed in a moment, in a twinkling of an eye, and be caught up together with them." Oh, what a worship it'll be that time. Now, caught up together with them. Now, if we become part of that before that time comes, catching up into the rapture...

E-119 Let's just shake hands, just for a moment. Then we'd be dismissed officially, just in a moment. While we sing "I Love Him," let's just shake hands with one another and say, "God bless you, brother, God bless you, sister."
I (God bless you.) Him, (God bless you, brother. While you're dismissing them. I--I will, you know, keep from getting caught in the crowd. You understand. God bless you, Brother...?...)
... He first loved me;
And purchased my salvation
On...
God bless you, brother. Now, let's just raise up our hands and close our eyes. Now, real sweetly,
I love Him, I love Him,

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